Mophus Leingarth

Prénom et/ou Nom : Mophus Leingarth

Race : Humain


Métier : Paladin


Savoir-faire : Forgeron

Caractéristiques physiques : Mophus est plutôt imposant physiquement !Environ 5 pieds de hauts et il pèse plus de 180 livres !Il porte un tout le temps un casque avec en métal avec deux cornes .Ce dernier lui fait de l'ombre en dessous des arcades ce qui laisse brillé deux lueurs rouges au fond de ses orbites .Mophus n'a pas l'apparence d'un barbare .Il a l'apparence d'un noble même s'il peut faire peur au plus moche de tout les afreux ! [^.^]

Caractéristiques mentales : Mophus n'est pas du genre ... disons sociable !Il n'aime pas vraiment la compagnie .Il préfère rester seul mais quand il s'agit d'une quête plutôt périeuse ,il ne peut refuser de l'aide !
Il n'est pas pour la violence ,mais qu'en il faut ,il ne se gène pas!Il est propriétaire d'un caractère plutôt sympathique mais il est aussi propriétaire d'une très grosse épée dont il ne se gène pas de se servir lorsque quelqu'un le gène !Il aime se reposer dans des tavernes après de longues quêtes .

Mophus est aussi très calculateur !Il ne laisse rien au hasard !

Vêtements : Mophus ne porte seulement qu'une tunique beige ,un pantalon de cuir marron et des bottes en cuire marrons aussi .Il garde seulement son casque !Il a laisser son armure dans son village natale pour ne pas peser trop lourd durant le voyage !

Etat d'esprit : Mophus est très choquer par la mort de ses parents ,en particulier par celle de son père avec qui il était très lié .

Histoire :
Si dessous .
Cause : La longueur de votre message dépasse la limite autorisée.

Objets : : Epée usée .

Techniques :

• Manipulation :
  

Il suffit tous simplement qu'il plonge ses "yeux" (si l'on peut appelé ça comme ça) dans ce de quelqu'un d'autre pour que cette personne n'ai plus qu'a moitié le controle de son corps .Il ne peut l'utiliser seulement pour marcher .Seulement ,Mophus peut utiliser cette technique d'une trentaines de secondes .Après avoir utilisé cette technique ,Mophus a la tête qui tourne et dois se reposer environ 1 minutes pour reprendre ses esprits .

• Ferveur :
  

Mophus a longuement manié l'épée lors de sa jeunesse et sa lui arrive de se rappeler des bases lorsqu'il combat .Il a donc aquit un niceau très élevé .Il peut donc taper cinqs coups par secondes pendant 3 secondes .Après avoir utilisé cette technique ,il ne peut plus manié l'épée pendant une minutes trente .

• Force :
  

Mophus est capable de soulevé des poids très élevés (rochers ou autres ...)ou même pour assener des coups très puissants .Cette capacité ne peut être utilisé que lorsque Mophus est très énervé et seulement pendant 1 minutes de temps .

Que pouvez-vous apporter au forum ? : Je ne sais pas se que je pourrais à G&H a part le fait que je peut être très actif est ainsi lancé moultes quêtes !

Comment avez vous connu ce forum : J'ai connu ce forum grâce a ForumActif.com !

Avez-vous un parrain :Non

Respect des règles du forum : Lire les règles ICI

J'ai bien lu les règles du forum ; en postant ma fiche de création de perso, je m'engage à les avoir lues, à les respecter et cela me lie par un contrat moral non négociable

J'ai plus de 13 ans, et je m'engage à être présent régulièrement (régulièrement ne veut pas dire forcément 4 h par jour ou même une, mais nous donner de vos nouvelles de temps en temps), passer faire un petit coucou toutes les semaines et prévenir de mes absences ; en cas d'absence de d'un mois non prévenue avant, mon compte sera supprimé...

Lu et approuvé


Voilà !Si quelque chose ne va pas (ex pour le métier ,je ne suis pas sur que je puisse en mettre un tout de suite)!Dites le moi !Merci !

Le départ de Mophus

Andariel, un petit village paisible à l'Ouest de Fayalteme, ce fut dans cette bourgade que je vécus jusqu'à mes dix ans. Je suis né dans une famille de huit enfants, mon père était un simple fermier et ma mère s'occupait de nous avec beaucoup d'amour. Ce fut donc dans cette ambiance de sérénité et d'amour que je fus élevé, avec mes quatre frères et mes trois soeurs, Dryd, Ortigan, Tommy, Glyron et Organ, Gwenis, Rosie. La journée, après avoir accompli nos corvés à la ferme nous partions tous les huit à la rivière pour pêcher ou nous parcourrions les collines vertes de la région.

J'étais le second enfant, l'aîné était Ortigan qui était agé de douze ans, et la dernière Rosie qui était agée de quatre printemps. Elle était toujours avec moi, où que j'aille, elle me suivait docilement ne se plaignant pas de la distance que nous parcourrions dans la journée, et je la pris plus en affection que mes autres frères et soeurs, car elle était si jolie et fragile avec ses cheveux bouclés noirs, ses grands yeux marrons, et son visage toujours sale. Mais notre rêverie enfantine allait être brisé, j'aspirais à devenir un grand aventurier et de partir loin de mon village, alors que Ortigan, prétentieux et ambitieux, voulait devenir le chef du village, et les autres aspiraient à n'être que de simples fermiers comme notre père, et de se marrier, fonder une gentille famille, alors un jour arriva un évènement qui allait changer mon destin. Un paladin, un Homme, nommé Freladan, accompagné par un jeune garçon du même âge que moi affublé du nom de Braulin, arriva à Andariel lors des moissons, son visage était couvert de cicatrices et creusé par la fatigue, son armure était maculée de sang sec.

Braulin était richement habillé, c'était un fils de marchand de Fayalteme, j'étais ébahi devant la prestance de ce jeune garçon qui me paraissait supérieur, ils passèrent la nuit à l'auberge. Cette nuit là le village tout entier s'était précipité à l'intérieur pour recueuillir des informations de l'extérieur auprès des deux mystérieux voyageur.

-Que se passe t-il à Fayalteme ?

-Est-ce vrai ce que l'on dit sur les démons et leur pouvoirs ?

-Les menaces sont toujours aussi grandes ?

-Avez-vous déjà combattu un dragon ? Des démons ? Des orques ?

Toute la soirée se passa ainsi, tous essayant de poser le maximum de questions, c'était une sorte de rituel dans nos contrées rustiques, mais moi je restais là à admirer le paladin et son jeune acolyte, et je lui enviais sa place. Alors quand les voyageurs prirent congés des autres clients de la taverne j'en profitais pour les aborder, avec une fermeté et un détermination déroutante pour un garçon de mon âge.

-Euh excusez moi monsieur le paladin !

Freladan se retourna vers moi, puis en me voyant il me sourit, Braulin quant à lui ne faisait que jongler avec son regard entre le paladin et moi.

-Que veux-tu mon jeune ami ?

-Je me demandais si je pouvais venir avec vous monseigneur, je veux partir à l'aventure avec vous.

Le paladin me dévisagea d'un air amusé puis il me demanda avec douceur.

-Quel est ton nom jeune homme ?

-Je m'appelle Mophus fils de Ogion le fermier.

-Et penses-tu Mophus que ton père accepterai de te laisser partir avec un inconnu, même si c'est un paladin ?

-Il ne me laisserai pas partir du tout, il veut que je mène une vie de fermier, je veux apprendre autre chose, je veux connaître les dieux, je veux savoir lire et écrire comme les érudits, je veux affronter des dragons et des démons comme vous.

Freladan rit un peu avant de reprendre là où je m'étais interrompu, cet homme me fascinait, il possédait un tel charisme.

-Eh bien je viendrais voir ton père demain matin, et je ferais tout ce qui sera en mon pouvoir pour qu'il te laisse partir, si c'est bien ce que tu veux...

-Oui c'est ce que je désire, j'attends ce moment là depuis si longtemps ! Merci je vous attenderais demain matin donc, ma ferme se trouve un peu plus sur les hauteurs,vers le Nord, vous ne pouvez pas la manquer.

Je partis alors en courant jusqu'à chez moi, pour me presser de m'endormir afin que la nuit soit courte et que le jour se hâte. Comme promis le lendemain matin le paladin Freladan arriva avec le jeune Braulin, le chevalier alla trouver mon père et il discutèrent durant tout la matiné, je jetai de rapides coups d'oeil furtifs de temps en temps pour voir les réactions de mon père, mais rien n'était visible sur son visage. Enfin arriva l'heure du déjeuner, et avant d'aller manger, mon père m'appela.

-Mophus ! Viens me voir mon garçon ! J'ai à te parler !

-Oui père ?

-Je suppose que tu connais le seigneur Freladan puisque tu lui as demandé de me persuader de te laisser partir avec lui et devenir paladin.

Je baissai alors la tête sachant quelle serait la réponse qu'allait me donner mon père, ce fut Freladan qui prit la parole soudain.

-Mophus... ton père accepte que tu viennes avec moi.

-Quoi, c'est vrai ? Vrai de vrai ?

-Vrai comme peut l'être la parole d'un membre de notre famille fiston !

Mes yeux s'équarquillèrent, je n'en croyais pas mes oreilles, j'allais enfin partir pour de grandes aventures, j'allais devenir quelqu'un d'important, un paladin, ces grands chevaliers défenseur de la justice et des faibles dans ce monde.

-Il faut que tu saches Mophus que la route pour devenir un paladin est longue et délicate, tu devras te conformer à bon nombre de règles.

-Je veux y aller !

-Alors c'est décidé ! Mophus partira cette après midi avec vous Freladan, je vous confie mon fils.

Je me précipitai dans les bras de mon père pour le remercier, je le serrai avec force puis je m'élançai en courant afin de préparer mes affaires, j'étais si léger, mais le plus dur était à venir. En effet je devais quitter ma famille et ne plus la voir avant plusieurs années selon Freladan, et je ne me doutais pas que se serrait si difficile de partir, mais je pris cela pour un test que je devais réussir, mes frères et mes soeurs étaient alignés avec mes parents attedant que je leur fasse mes adieux.

-Au revoir Dryd, au revoir Ortigan, au revoir Tommy... au revoir Glyron... au.... revoir père... mère... au revoir... Gwenis... au...re...voir Organ...

Puis vint le tour de Rosie, jolie petite Rosie, ma petite soeur, ma petite protégée, celle qui me suivait partout, elle était là, et alors que j'étais au bord des larmes, étrangement elle pleurait pas, elle me tendit une petite pipe grossière qu'elle avait surement dû faire elle-même avec ses petites mains adroites. Je la pris délicatement, puis je m'essuyai les yeux brouillés par les larmes montante, elle me prit la main et me dit de sa petite voix douce.

-Pleurs pas Mophus... si je t'ai donné la pipe, c'est pour que tu m'oublis pas et que j'sois toujours avec toi.

Je mis alors un genou à terre et l'attrapai dans mes bras, la serrant le plus fort possible comme si elle était la seule chose à laquelle je pouvais m'accrocher pour rester en vie. Puis je me retirai brutalement, ne voulant pas me retourner pour que ma famille ne voit pas mes larmes, j'enfourchai le cheval que mon père m'avait donné, et nous nous mîmes en route j'entendai alors toute ma famille qui me souhaitait bon voyage, voyage qui ne faisait que commencer.

L'ordre des paladins

Après un voyage tranquille d'une semaine, Freladan, Braulin et moi-même arrivâmes au sancturaire des paladins, un temple blanc, tinté d'or par le crépuscule pointant, installé sur une colline verdoyante, derrière se dressait un grand pic enneigé, cela m'étonna car nous étions en plein été, les moissons étaient commencé dans toute la région. Je n'avais jamais vu un spectacle semblable, un véritable rêve éveillé à mes yeux de petit garçon d'une dizaine d'étés, je me tournai et vis que Braulin était aussi stupéfait par cette vision divine, j'avais sympathisé avec le jeune garçon durant le voyage et il me paraissait de moins en moins antipathique qu'auparavant.

Nous continuâmes pourtant notre chemin, Freladan avait hâte de descendre de cheval et de pouvoir se reposer confortablement dans le temple. Nous arrivâmes enfin au pied des marches de l'immense temple, quelques prêtres et prêtresses vinrent nous acceuillir, nous glissâmes de nos chevaux et les confiaient à leurs bons soins, un prêtre vint à la rencontre de Freladan, tandis qu'une jeune prêtresse, une Elfe, vint à la notre.

-Suivez moi les enfants, le père supérieur a hâte de vous rencontrer.

Braulin et moi nous nous retournâmes vers Freladan qui nous fit signe de la suivre d'un signe de la main, la jeune et jolie prêtresse nous prit pas la main et nous gravîmes les marches du temple. Quand nous fûmes au sommet de celles-ci je pris sur moi pour demander le nom de notre belle hôtesse.

-Comment vous appelez vous madame ?
Braulin me regarda avec des yeux accusateurs, comme si j'avais posé une question taboue, mais la jeune prêtresse me sourit et me répondit de sa voix douce.

-Je m'appelle soeur Calissa, et c'est ainsi que vous devrez m'appeler.

-Oui soeur Calissa !
-Oui soeur Calissa !

Puis nous reprîmes alors notre chemin, on nous ouvrit les portes et nous débouchâmes dans le cloître du temple, un magnifique jardin où de nombreuses prêtresses s'affairaient à soigner les plantes, utiles à la médecine pour la plupart. Nous le traversâmes très vite, soeur Calissa ne voulait pas s'attarder, elle voulait nous faire rencontrer le père supérieur au plus vite, nous entrâmes dans le hall du temple, et je vis un merveilleux spectacle. En effet le sol était entièrement dalé de marbres blancs et noirs, des torches brûlaient sur les murs, deux grandes rangés de colonnes se dressaient devant nous et allaient d'un bout à l'autre du hall, une immense statue se dressait au centre de la salle.

-C'est Carel l'Unique, le premier des dieux, il créa les autres que voici.

Cinq autres statues situés de chaque côté de la pièce se dressaient de toute leur taille, Ké-Tshûn, le dieu du Savoir, Uthas le dieux des Hommes, Varel, la déesse des Elfes, Landri, la déesse de la Magie et Orfal, le dieu du Commerce, leur visages étaient beaux, magnifique même. Je restai ébahi jusqu'à ce que nous nous arrêtâmes devant de grandes portes de bois, soeur Calissa s'accroupit devant pour rectifier notre tenue, ce fut à ce moment que je me rendis compte de sa beauté, puis brusquement les portes souvrirent dans un grand fracas, Calissa se releva d'un bond.

-Entrez les enfants, le père supérieur est à l'intérieur.

D'un pas incertain et timide nous nous avançâmes, Braulin et moi vers le centre de la pièce, le seul endroit qui était éclairé, puis les portes se refermèrent lentement derrière nous.

-Avancez, mes jeunes amis ! Entrez dans le cercle de lumière purificatrice que je vous vois. Allons n'ayez pas peur...

-Un paladin ne craint rien ni personne !

Mes mots me sortirent de la bouche sans que j'ai pu les contrôler, Braulin resta pétrifié à mes côtés, il me regardait, ses yeux exprimaient la terreur, le funeste sentiment qui réussit à s'insinuer dans le coeur du plus vaillant soldat, puis la voix repris.

-Ainsi, vous vous considérez comme des paladins sans peur, des chevaliers modèles ?

Braulin et moi nous regardâmes un instant puis nous attrapant le bras nous répondîmes d'une voix claire et forte.

-Oui mon père !
-Oui mon père !

-Parfait !

La salle s'éclaira soudainement, ce n'était pas une lueur habituelle produite par une torche, c'était comme si nous nous retrouvions au beau milieu des étoiles scintillante dans un ciel nocturne, et le père supérieur se trouvait devant nous, noble et puissant, j'avais été impressionné par la prestence de Freladan à Andariel mais cet homme le surpassait grandement.

-Si telle est votre volonté vous entrerez dans l'ordre des paladins, vous ferez voeux de loyauté, de franchise, de chasteté ! Vous aiderez les plus démunis, vous sauvegarderez les pauvres ! Vous défenderez les faibles ! Car telle est la tâche d'un chevalier, d'un paladin !

-Nous le jurons mon père !

À suivre : Le récit de maître Borgius

Le récit de maître Borgius

Quinze années s'écoulèrent au temple des paladins, quinze années d'apprentissage, de piété et de dures épreuves parfois, Braulin et moi étions inséparables, nous fréquentions les même cours, nous mangions à la même heure et notre amitié se renforçait de jour en jour, parfois nous partagions notre repas avec soeur Calissa qui ne dépérissait pas malgré toutes ces années. Nous suivions un cours de religion avec le père supérieur, un cours de guérison avec Calissa qui était maintenant professeur, un cours de démonologie avec frère Corso, un Aryon, nous apprenions aussi à incanter des bénédictions divines avec soeur Lyba, une Elfe, mais je préférais par dessus tout les cours du maniement des armes avec frère Borgius, un farouche paladin Nain.

Il maniait la hache avec habileté, parfois si nous avions bien travaillé durant la séance, il nous faisait des démonstrations de son talent, je me trouvai un certain penchant pour l'épée, une arme noble, tandis que Braulin se concentrait à manier le sceptre. Nous étions de très bon élèves, maître Borgius nous classait parmis ses meilleurs disciples, mais ce que j'apréciais le plus dans ses leçons, c'était les récits de ses aventures merveilleuses, ce Nain avait passé de nombreuses fois par le danger et la mort, il nous contait des histoires de dragons, de trésors fabuleux, de guerres anciennes, de sorciers maléfiques enfermés dans des tours gardant des statuettes précieuses, et d'autres monstres horribles.
Voici ce qu'il nous conta :

J'avais accepté une mission avec d'autres aventuriers, un guerrier Humain nommé Argaïl, une archère Aryon du nom de Finfeled, un assassin Drow qui s'appelait Azgadil, et une magicienne Humaine, Lithilia. Bien que la compagnie de deux "oreilles pointues" me répugnait, nous partîmes tous ensemble vers une contré lointaine où se trouvait un château appartenant au comte de Fayalteme, celui-ci avait décidé de grassement payer tout aventurier qui ira défendre la forteresse assiégée par une armée d'Orques du Nord, les pires de cette horrible espèce. Le début de notre voyage se passa dans les meilleurs conditions, si ce n'était le vent glacial de l'hiver qui arrivait à grands pas, nous ne rencontrions aucun problèmes sur notre route, pas un Gobelin, ni même la moindre bête sauvage ou la plus petite embuscade des Orques qui devaient savoir que le comte enverrait des renforts à son château, mais finalement rien. Nous arrivâmes enfin au château du Défilé de la Wyverne, la neigne commencait à l'envahir, des soldats du comte s'activaient sur les remparts, c'était une petite forteresse taillée dans la roche qui barrait la route de Fayalteme et depuis sa création il avait tenu face aux attaques répétées des Orques du Nord. Quand notre petit groupe pénétra dans l'enceinte du fort, nous découvrîmes les aventuriers qui étaient venus rejoindre la garnison, il n'y avait que nous, aucun autre n'avait répondu à l'appel du comte, nous nous retrouvions à trois cents pour défendre le château.

-Voila donc les premiers des aventuriers qui arrivent en masse pour nous venir en aide ! Nous pensions que vous ne viendriez plus. Je suis Gimrod, capitaine de cette forteresse.

Un Homme vêtu d'une armure de plates complètes s'était avancé vers nous, de nombreuses cicatrices ornaient son visage, témoins de sa longue expérience de la guerre, bien qu'il paraissait enthousiaste, ses yeux ne pouvait trahir sa détresse et son inquiétude, ce fut Argaïl qui lui répondit.

-Nous sommes effectivement arrivé, mais nous pensions que d'autres seraient déjà là, nous espérons qu'ils ne tarderont pas.

-Oui nous l'espérons tous. Mais allons discuter dans la salle de stratégie du fort nous serons plus confortablement installé, suivez moi.

Nous nous exécutâmes, Argaïl passa le premier, suivi de Finfeled, puis de Azgadil, puis de Lithilia, je fermais la marche et je remarquai en montant les escaliers que tous les soldats nous regardaient, apparement tous leurs espoirs étaient fondés sur notre venu, pauvres diables. Quand nous entrâmes dans la salle du conseil, le capitaine Gimrod changea totalement de comportement, il se vautra dans le siège de bois qui présidait la table, il prit sa tête dans ses mains, laissant tout son désespoir s'échapper de lui.

-Comme vous pouvez l'imaginer, nous sommes dans une position délicate, d'après mes éclaireurs les Orques arriveront à la tombé de la nuit, ils sont plusieurs milliers, apparement un chef a réussi à unir tous les clans du Nord et maintenant ils marchent sur Fayalteme, et nous ne sommes pas suffisement nombreux. Mais asseyez-vous, je vous en prie.

Nous prîmes place à contre coeur, je savais que nous aurions préférer partir d'ici avant l'arriver des Orques, mais la route était surement déjà bloquée, nous étions coincés ici. Lithilia, essaya de rassurer Gimrod en lui redonnant espoir.

-Mais vous ne pouvez avoir de renforts autres que des aventuriers ?

-Le comte réquisitionne toutes les troupes disponibles pour former une armée capable de résister à la horde des Orques, notre tâche est donc de tenir le plus longtemps possible où de causer le plus de pertes à l'ennemi. Je sais que mes hommes sont prêt à se battre, et à rester ici pour défendre le fort mais si vous désirez partir, vous êtes libre, vous n'êtes pas soldat. Mais si vous voulez rester, sachez que vous avez très peu de chance d'en réchapper vivant.

Agazdil qui n'avait rien dit depuis notre arrivé, et qui n'avait pas été si bavard durant le voyage, pris soudain le parole, jamais je n'aurais cru un jour entendre de telles paroles dans la bouche d'un Elfe, surtout d'un Drow.

-On ne pourra dire que j'ai fui la veille d'un combat. Ma race est peut être porté sur la traîtrise et le meutre mais nous pouvons aussi faire preuve d'honneur. Alors je resterai me battre.

Il se leva et alla se mettre derrière le capitaine qui commençait à retrouver le sourire, puis ce fut au tour de Finfeled.

-Les Drows sont nos cousins déchus, mais s'ils arrivent à faire preuve de courage et d'honneur, alors les Elfes en seront capables également. Je reste aussi, mon arc sera utile sur les remparts.

Lithilia se leva également pour prendre la parole, mais je sus ce qu'elle allait dire, elle était trop à l'écoute des problèmes des autres pour ne penser qu'à elle.

-Je resterai aussi, ainsi que Argaïl -l'homme se leva à son nom- nul ne pourra dire que les Hommes ont failli avant la bataille.

Les deux Humains allèrent se placer derrière Gimrod, qui s'était levé aussi, tous me regardaient avec impatience, alors je me levai également.

-Eh bien, les Nains sont toujours ivres de batailles et de bonnes ripailles. Je ne ferais pas mentir ce que l'on dit sur ma race, alors je resterai également.

La nuit était tombé sur le Défilé de la Wyverne, nous attendions sur les remparts de la forteresse le moment où nous verrions les premières bannières orques, et ils ne tardèrent pas à arriver. Ce fut d'abord des sons de cors qui se répondaient dans toute la vallée, ils résonnaient provoquant un bruit à en faire trembler les fondations de la montagne, puis nous les vîmes, des milliers d'Orques du Nord qui apparaissaient de plus en plus nombreux.

Je n'en avais jamais vu autant de toute ma vie, ils étaient terrifiants. Comment allions-nous tenir face à une si grande armée avec nos misérables forces ? Je regardai un peu partout sur les remparts et vis les soldats amener des brasésos aux archers et un chaudron d'huile bouillante au parapet des portes, la bataille sera terrible, ils vendront chèrement leur peau et les Orques ne sortiront pas sans perte de cet affrontement. Soudain les cors retentirent de nouveau et la horde se mit en marche, les Orques se ruèrent vers les remparts et la chaussé du château, bien décidés à en finir d'une seule attaque.

Ils n'étaient qu'à cent mètres des remparts que nos archers bandèrent leurs arcs, leurs flèches étaient enflammées, je regardai la masse qui s'approchai de nous à grands pas, désireuse de nous massacrer j'usqu'au dernier. Soudain un ordre fut crier et tous les archers décochèrent leur flèches simultanément, une pluie de feu siffla dans les airs avant de retomber sur la masse des Orques, ce fut là que je compris le plan du capitaine Gimrod, la braie qui avait été versée sur le champ de bataille s'enflamma ainsi que tous les Orques qui s'y trouvaient, ce fut un beau massacre, nos hommes poussèrent des cris de joie mais malheureusement ils cessèrent aussi vite qu'ils avaient commencé. En effet les Orques surmontèrent leur peur du feu et traversèrent la barrière de flammes dressée devant eux, leur armée se sépara en deux groupe, l'un montait à l'assaut des remparts avec des échelles rudimentaires et des grappins, tandis qu'avec un bélier grossier l'autre se jetait sur les portes de la forteresse. Nous esseyâmes de pousser les échelles, mais plus nous en repoussions plus il y en avait sur les crénaux, et bientôt les combats commencèrent, j'étais à côté de Argaïl qui se battait comme un lion, je pris ma hache et taillai, tranchai, frappai de toutes mes forces tous les Orques qui osaient poser un pied sur le mur.

-Il faut tenir comme ça encore un peu, après on se replie dans la cour !

Mon compagnon a à peine le temps de finir ses mots qu'un grand bruit craqua dans les ciel et soudain un puissant éclair s'abattit sur notre section de mur, celui-ci explosa et nous fûmes projetés en l'air avant de retomber lourdement et douloureusement sur le sol de la cour. Je me relevai péniblement, je secouai un peu la tête pour retrouver toute ma tête, et je vis le corps de Argaïl, immobile, son regard figé, ses articulations déboîtées, il était malheureusement mort, mais je ne devais pas perdre de temps à m'apitoyer sur son sort car les Orques commencèrent à s'engouffrer dans la brêche que leurs shamans avaient créer.

J'étais encore sous le choc j'arrivai à distinguer certaines choses, les Orques me dépassaient, croyant que j'allai mourir sous peu, ils ne prêtèrent donc aucune importance à ma petite personne, les soldats qui s'étaient massé dans la cour se firent déborder par le nombre impressionnant d'assaillant. Azgadil qui avait pris leur commandement se retrouva encerclé par des centaines d'Orques, il luttait désespérement, entamant une danse de guerre que je ne n'avais jamais vu, mais bien que le Drow fut un exellent guerrier, il succomba sous les assauts de ses attaquants, qui le jetèrent à terre et continuèrent à le frapper alors que son corps ne bougeait déjà plus.

Je m'écroulai dans les ténèbres de l'inconscience alors que le fort du Défilé de la Wyverne vivait ses derniers instants, ainsi que mes compagnons. Je me réveillai au petit matin, le froid glacial de l'hiver me transperça affreusement, mon corps était meurtri par des courbatures et des petites plaies qui se cicatrisaient, je regardai autour de moi et ne vis que la mort et la désolation, la porte menant vers la sortie du défilé était fracassée, les Orques étaient partis maintenant et avait laissé les cadavres à la merci des corbeaux et autres charognards. Je me doutais que mes compagnons étaient morts en défendant la forteresse, mais je décidai d'aller jeter un coup d'oeil dans la citadelle pour en savoir plus et en dernier recours, trouver des vivres pour le chemin de retour, car je ne prévoyais pas de rester ici éternellement, je montais les escaliers que nous avions emprunté à notre arrivé pour aller à la salle du conseil et je rentrai dans les couloirs froids comme là mort. Le sol était jonché de cadavres, Orques, Elfes, Humains sans distinction de race mais je m'arrêtai sur l'un d'eux, celui de Finfeled, la pauvre "oreille pointue" avait été violée puis embrochée comme une volaille sur un lance Orque, son arc était brisé à son côté et son carquois était vide, apparement elle avait dû être à court de munition qu'elle a été souillée puis violement tuée. Je continuai ma route dans les couloirs macabres, les cadavres devenaient plus rares maintenant, témoignant de la fin des combats à cet endroit, puis je vis le cadavre de Lithilia, la magicienne gisait sur le sol, couverte de sang, la poitrine nue, sa robe était presque entièrement déchirée, les Orques avaient dû prendre plus de temps pour s'occuper d'elle, elle avait été souillée aussi puis éventrée, la bile me monta à la bouche et je commençai à vomir. Je passai alors mon chemin à toute vitesse et trouvai la réserve de nourriture, je me servie autant que je pû, puis je quittai au plus vite cet horrible endroit, théâtre de tant d'horreur. J'entendis sur le chemin du retour que le comte avait écrasé l'armée des Orques du Nord et ainsi préservé Fayalteme, mais à quel prix.
-Maintenant méditez là dessus, prenez conscience qu'en ce monde il existe toujours des gens capable de se sacrifier. Maintenant allez rejoindre frère Freladan qui vous attends depuis le commencement de cette histoire.
Maître Borgius adressa un clin d'oeil à Freladan qui le lui rendit, puis Braulin et moi nous dirigeâmes vers notre mentor.

-Nous le jurons mon père !

Le père supérieur tandis les bras comme pour embrasser l'ensemble de la pièce, puis il les rabaissa sur nos têtes, pour nous bénir.

-Dorénavant vous faites partie de l'ordre des paladins, vous êtes élus au rang de néophyte. Réjouissez-vous frères...

-Mophus mon père.

-Braulin mon père.

-Réjouissez-vous frères Mophus et Braulin, car vous êtes maintenant sous la protection de l'ordre des paladins qui sera pour vous comme une deuxième famille. Vous m'appellerez père Aguenor car tel est mon nom, et nous ne devons rien nous cacher entre nous. Allez maintenant en paix mes enfants, soeur Calissa vous ammènera aux bains pour vous laver et un repas chaud vous attendra dans vos quartiers où vous pourrez vous reposer pour la nuit, vos leçons commencerons demain matin.

Puis sans un mot nous nous retournâmes et allâmes vers la porte qui s'ouvrit lentement, Calissa nous attendait encore, elle avait le sourire au lèvres, elle nous tendit ses deux mains que nous serrions, chacun la sienne, puis la soeur nous emmena aux bains du temple qui étaient désert.

-Déshabillez-vous mes frères ! D'ailleurs je ne connais pas vos noms.

-Mophus.

-Braulin soeur Calissa.

-Allons ! Pressez-vous Mophus et Braulin! N'éprouvez pas de gêne, nous sommes frères et soeurs.

Convaincus par ses mots, nous nous exécutâmes, elle ramassa nos vêtements et nous invita à entrer dans l'eau agréablement chaude, nous barbotâmes un peu dans l'eau, nous délassant un peu après cette semaine de voyage à dos de cheval. Puis mes mucles se raidirent quand je vis Calissa laisser glisser sa robe sur le sol dalé de marbre noir, et laisser voir son corps nu, le rouge nous monta aux joues, et notre gêne se réinstalla en nous, puis elle descendis dans l'eau avec grâce, puis après avoir un peu nager, elle nous nettoya avec quelques onguents avec beaucoup de délicatesse et d'attention, ses gestes me rappelaient les intentions de ma mère avec mes frères et soeurs, et une larme me coula des yeux. Puis après être laver, soeur Calissa se revêtit puis elle nous donna des vêtements propres, et riches, et elle nous emmena à la chambre que nous allions partager Braulin et moi .Nous nous glissâmes sous les couvertures pour ensuite nous endormir rapidement ...

Gmork, le chef de meute

Je repensais au parole de maître Borgius, les êtres de bonne volonté existaient encore en ce monde, les paladins en faisaient partie mais ils n'étaient pas suffisement nombreux, et il ne fallait compter que sur eux pour maintenir la justice et bien. Le mal gagnait du terrain d'après les nombreux récits des quêtes de frère Freladan, et je me demandais ce que je pourrais faire contre les démons qui se déversaient sur la Terre, et je restais dans le doute sur nos chances de remporter un jour cette guerre. Braulin et moi-même arrivâmes devant notre mentor qui nous acceuillit avec un grand sourire aux lèvres.

-Mes frères ! Frère Borgius vous a encore laissez miroiter renommé et richesse, certes il a vécu beaucoup de choses mais les Nains sont connus pour déformer la vérité tout en gardant leur histoire plosible. Venez j'ai besoin de votre aide, nous partons en voyage.

-Où allons-nous frère Freladan ?

Les paroles de notre mentor avait sucité chez moi une grande exitation, nous n'étions jamais parti avec lui à l'aventure, nous avions passé toutes ces dernières années à étudier et nous entraîner pour un jour comme celui-ci.

-Vous êtes bien trop curieux et agité pour un paladin... ce n'est pas normal.

Il avait imité la voix du père supérieur du temple, père Aguenor, cela m'arracha un sourire, car Freladan n'était pas un paladin comme les autres, la doctrine voulait que l'aventure et l'agitation ne soit pas recherchées, mais notre mentor se moquait bien de cette règle. Nous gagnâmes tout trois les écuries où des destriers nous attendaient ainsi que des provisions, nous enfourchâmes nos montures et nous mîmes en route, suivant Freladan, arrivés à bonne distance du temple je me retournai et vite soeur Calissa qui était sortie du temple et nous saluait. Frère Freladan accéléra l'allure et à la nuit tombante nous nous retrouvions à l'orée d'un bois étrange, les arbres étaient contorsionnés, noués entre eux, ce bois paraissait vivant, habité par une entité mystique, soudain un frisson me parcourra l'échine et je fus tiré de mon observation par la voix de Braulin.

-Mophus ! Où vas-tu comme ça ?

Quand je revins à moi, je regardai tout autour et m'aperçus que je m'étais décalé du sentier, je me pressai pour le rejoindre, la nuit tomba et nous dressâmes le camp, une fois le foyer allumé, nous bien emmitouflé dans nos manteaux, Freladan se décida à nous parler de ce que nous étions venu faire ici.

-Il y a de ça quatre ou cinp jours, j'ai traversé le village de Gloth, une tranquille bourgade de pêcheur non loin de là, et j'y ai appri qu'une meute de loups monstrueux et sanguinaires attaquait le village toutes les nuits, le chef de cette meute est appelé Gmork "Crocs Tranchants" dans la langue natale des villageois. Ils m'ont demandé de les en débarasser, mais je me suis dis que j'aurais besoin d'aide, donc vous voila...

-Mais pouquoi ne vous êtes pas fait aider par des paladins plus expérimentés, comme maître Borgius ?

-Pour la simple et bonne raison que vous ne serez jamais des paladins expérimentés si l'on ne vous donne pas votre chance. Et puis nous n'allons affronter qu'une bande de loups.

Je souris à notre mentor et nous continuâmes de deviser au coin du feu, avant de nous endormir les uns après les autres. Nous réveillâmes un peu avant l'aube, une pâle lueur éclairsissait le ciel, mais le soleil n'avait pas encore déversé ses doux rayons et nous étions transis de froid, un vent glacial et surnaturel avait assailli la plaine, il éteignit le feu comme une simple bougie, une force mystérieuse nous pressait de rentrer dans la forêt, ce que nous fîmes sous l'ordre de Freladan.

Nous pataugions dans un marécage crasseux, l'eau et la boue nous arrivaient jusqu'aux genoux, nous tirions les chevaux pour les faire avancer car ils avaient refusé d'avancer à l'instant même où nous étions entrés dans le bois. Nous marchions ainsi sans pouvoir discerner le moment de la journée, les arbres entrelacés, formaient une sorte de plafond de ténèbres, il régnait dans la forêt une atmosphère lourde et étouffante, nous fîmes halte pour abreuver les chevaux et nous-mêmes, l'eau du marécage sufffisait à nos destriers donc ils ne risquaient pas la pénurie, alors que nous devions faire attention au contenu de nos gourdes. Après un court repos, nous continuâmes notre chemin dans la boue et la vase malodorante du marais, soudain un hurlement de loup se fit entendre, d'autres lui firent échos, bientôt toute la forêt résonnait des hurlements des bêtes qui approchaient.

-En cerle ! Dégainez vos armes !

Nous nous positionâmes donc en cercle, pour attendre l'attaque de l'ennemi, Freladan dégaina sa lourde épée à deux mains, tandis que Braulin sortis son sceptre et moi mon court glaive, nous patientâmes alors un moment, nous entendions les hurlements, et des éclaboussures. Brusquement un loup horrible sauta par dessus Freladan, celui-ci assèna un coup d'épée si puissant que la bête fut tranchée en deux, ainsi démarra le combat, nous frappions les créatures qui se rapprochaient de nous, mais l'une d'elles prit mon bras dans sa gueule immense et hideuse, m'enfonça profondément ses crocs accérés, et me secoua dans tous les sens pour me lâcher soudainement. Je virevoltai dans les airs un petit moment puis je heurtai un arbre et sombrai dans l'inconscience. Quand je me reveillai, les loups avaient disparu, les chevaux, mais pire que tout, Braulin et Freladan, je me mis à crier leurs noms, mais je ne reçus comme réponse que le coassement des crapauds, et le bourdonnement des moustiques. Je pris la décision de continuer le chemin pour les trouver moi-même, je m'enlisais dans la fange nauséabonde, et je me sentais affreusement seul, je tremblai de froid, l'eau était glacée. Je tombai soudain sur une petite clairière, le sol était dur et sec, à son extrémité se trouvait une petite grotte, ou plutot une tanière, je m'en approchai et lorsque je fus à trois pas une voix rauque et malveillante m'interpela.

-Que fais-tu là, Humain ?

Je me retournai vers l'entrée de la caverne et je vis un loup monstrueux tapis à l'intérieur, ses crocs saillaient de sa gueule surdimensionnée, ses yeux froids me fixaient avec envie, je sus qu'à la première occasion il me dévoreraient, je me tins alors sur mes gardes.

-Je cherche mes compagnons. Tu ne les aurais pas vu... Gmork ?

-Ainsi tu connais mon nom, Humain. Non je ne sais pas où se trouvent tes compagnons, ils doivent être en train d'être déchiquetés par mes frères et soeurs.

-Cela se peut. Mais maintenant je me demande comment nous allons nous sortir de cette situation. Vas-tu me laisser partir ou non ?

-Si tu veux partir d'ici vivant il va falloir le mériter.

-Nous y voila, je suis venu pour te tuer, toi et tes congénères, et tu ne me laisseras pas partir sans que je ne t'ai tué. L'effet de surprise est donc perdu.

-Nous verrons...

Puis brusquement Gmork bondit de sa tanière et me sauta par dessus, je dégainai mon épée et tout en chutant sur le dos, je lui plantai ma lame dans son ventre, il poussa un hurlement si terrible qu'il résonna dans toute la forêt. Il resta au sol, se tordant l'échine à cause de la douleur de sa blessure, sa témérité l'avait perdu alors que la mienne m'avait sauvé, une bien étrange situation, Gmork continuait à hurler, japer, se tordre dans tous les sens, et soudain il cessa de bouger. Je me relevai et m'approchai de son cadavre puant, je tirai mon épée de son ventre, le sang coula à flot de sa blessure mortelle. Alors que je m'apprêtai à repartir à la recherche de Freladan et Braulin, les hurlements de la meute se déclenchèrent, les loups revenaient au secours de leur mâle dominant, le tumulte de leur course se rapprochait dangereusement, je serrai la poignée de mon épée fermement et attendis avec une grande angoisse les évènements qui allaient suivre. Les loups de la meute stoppèrent leur course à quelques pas de ma personne, ils me menacèrent de leurs crocs aiguisés, la bave souillait leurs babines, un seul geste aurait suffit pour les inciter à me sauter dessus et me dévorer comme un cerf.

-Tu es celui qui a tué notre chef, qui plus est le père de tous les louveteaux de notre meute, tu as été capable de le tuer. Tout mâle affrontant et tuant le dominant se voit attribué la souveraineté de la bande.

A mon grand étonnement, les membres de la meute se prostèrenet, leurs grognements avaient disparu, la louve fut la dernière à s'exécuter, je me remis de ce spectacle merveilleux et rengainai ma lame.

-En tant que nouveau chef de meute, je vous ordonne de partir de cette contré sur le champ ! Et où sont mes compagnons ?

-Ils sont assoupis dans la clairière de Tol Fallan, au Sud-Ouest d'ici. Nous t'obéirons chef, ,nous partirons d'ici sous peu...

-Bien bien, partez maintenant, et ne revenez jamais importuner les villageois !

Les loups s'en allèrent à toutes jambes, laissant le cadavre de leur ancien chef à la merci des charognards de la forêt. Je me lançai alors à la recherche de mes compagnons perdus, je les trouvai comme la louve me l'avait dit, ils dormaient, adossés contre un arbre, leurs armes déposées à leur côté, je me précipitai vers eux et les secouai pour les sortir de leur sommeil.

-Que se passe t-il Mophus ? Où sommes-nous ?

-Ne vous inquiétez pas Freladan, nous allons pouvoir sortir de la forêt et regagner le temple, j'ai vaincu Gmork.

-Bravo Mophus, tu en étais capable je le savais.

Et nous reprîmes la route du temple, j'étais presser de prendre un bon bain chaud, et de revoir soeur Calissa.

Gwenlendir et Isylt

Une saison après mon combat contre Gmork, les temps étaient cruels, la sécheresse s'était abattue sur le pays, l'herbe était jaunie, les sources d'eau étaient rares, et pour nous accabler encore plus de malheurs, un immense dragon doré terrorisait les terres alentours, ravageant les villages, détruisant les récoltes, et affamant la population. Tous les paladins disponibles étaient envoyés à la recherche de ce terrible vers géant, Freladan et moi parcourrions la région, Braulin n'était pas avec nous car il était resté au temple pour assurer sa protection avec d'autres paladins, dont maître Borgius. Nos chevaux commençaient à se fatiguer, frère Freladan décida que nous devions nous arrêter abreuver les chevaux, assoifés par ce soleil brûlant d'été, nous en profitions pour nous reposer. Je me posai sous un arbre, m'adossant contre son tronc, je me mis à somnoler, une douce brise fraîche soufflait sur mon visage, ce qui rendait l’atmosphère de cet été très chaud supportable, Freladan était parti abreuver nos montures, soudain j'entendis sa voix au loin, il devisait avec une autre personne, je pris mon arme et me précipitai à la rencontre de mon mentor. Quand je fus arrivé à la rivière, je me stoppai net, pris de surprise, Freladan était en face d'un guerrier en armure, sa prestance me rappelait celle de mon ami, j'en conclus qu'il s'agissait d'un autre paladin, frère Freladan avait dégainé son épée, ce que je fis également, les deux homme tournèrent alors la tête vers moi.

-Un nouveau disciple Freladan, j'espère qu'il est bon élève, par les temps qui courrent mieux vaut avoir de bons paladins.

-Tu n'as pas à te mêler de son éducation Gwenlendir, tu n'es plus paladin tu as été renvoyé de l'ordre il y a...

-... vingt ans, vingt longues années me séparent maintenant de ce jour, le jour où Aguenor m'a certes éviter la mort mais m'a chassé de l'ordre des paladins pour avoir aimé.

-Tu peux lui être reconnaissant pour ce geste, il t'estimait beaucoup et tu l'as terriblement déçu quand tu as décidé d'abandonner le chemin de la chevalerie et de la justice pour une... putain !

-Cette putain comme tu l'appelles est maintenant mon épouse, la femme que j'aime, ma raison de vivre et je l'espère bientôt la mère de mes enfants.

-Je n'ai pas de la droit de te juger puisque tu ne fais plus parti de l'ordre mais je te demanderai de quitter ces terres, elles appartiennent à l'ordre. Pars tout de suite !

-Pas avant d'avoir accompli ce que je suis venu faire. Je ne suis pas resté inactif pendant ces longues années, je ne me suis pas laissé aller au brigandage, j'ai défendu la justice où je trouvais l'injustice, j'ai protégé les faibles, combattu monstres et démons en tout genre, et c'est un dragon que je suis venu affronter ici.

Je regardai la dispute entre Freladan et le paladin déchu, prêt à bondir au moindre geste agressif de ce dernier, soudain une voix fémine, douce mais ferme, m'interpela.

-Ne fais pas un geste jeune paladin, un seul mouvement et tu n'auras plus d'oreille gauche.

Je restai pétrifé n'osant même pas me retourner pour voir celle qui me menaçait, Gwenlendir tourna la tête vers moi et tendis la main, paume en avant.

-Paix Isylt mon amour, laisse le, nous ne sommes pas menacé...

-Ah tu crois cela ?!

A ces mots mon mentor bondis vers son adversaire, Gwenlendir s'en aperçut et au moment où Freladan allait le frapper de taille verticalement, celui-ci dégaina en un éclair son épée et para admirablement le coup.

-Viens près de moi jeune paladin, laissons les régler cette affaire entre eux.

Je me retournai et vis une magnifique femme aux cheveux dorés comme le soleil, sa peau était légèrement hâlée, elle portait une simple tunique qui laissait voir à certains endroits sa belle silhouette, je me plaçai à son côté et regardai anxieusement le combat qui se déroulait sous nos yeux.

Freladan et Gwenlendir jouaient d'estoc et de taille, de multiples feintes de combat élaboré, ils paraient, esquivaient, ripostaient sans cesse, sans éprouver, ou tout du moins montrer, de la fatigue. Apparement Gwenlendir s'amusait plus qu'il ne combattait, il ne considérait pas Freladan comme son ennemi, plutôt comme un élève arrogant qui méritait une leçon. Freladan, quant à lui, redoublait de force et d'audace à chaque assaut, dévoilant tout son talent de combattant, qui était immense, les regarder s'affronter était envoûtant, c'était une danse guerrière, aucun de leur coup n'atteignait leur but, aucun d'eux ne prenait l'avantage sur l'autre. Soudain Gwenlendir désarma Freladan, celui-ci se précipita sur son épée et tomba au sol, il la saisit mais au moment de se relever pour reprendre le combat, le paladin déchu était là, son épée dirigée sur la gorge de mon mentor.

-Tu n'as jamais sû t'arrêter, Freladan. C'était un beau combat, mais je ne compte pas le prolonger, un dragon m'attend.

Gwenlendir tendit la main à Freladan, celui-ci la prit et se hissa sur ses jambes, une fois debout, Isylt et moi les rejoignâmes, elle était un peu en retrait, prête à décocher une flèche mortelle si j'essayai de tuer son époux.

-Gwenlendir, partons tout de suite. Laissons ces paladins ici, ils vont nous poursuivre, je peux m'occuper de les tuer si tu...

-Non calme toi mon amour, nous n'avons rien à craindre, les paladins n'agissent jamais en traître, du moins si les choses n'ont pas trop changé depuis que je ne fais plus parti de l'ordre. Et Freladan et son acolyte pourraient nous être utiles

-Je me nomme Mophus, et je pense plutôt que c'est vous qui nous seront utiles.

-J'aime bien ton ami Freladan, il fera un exellent paladin s'il survit jusque là... bon très bien, vous prenez la tête. Savez-vous où se trouve le dragon que nous cherchons ?

-Nous ne faisons que suivre le sillage qu'il laisse derrière lui, mais nous pensons savoir où il se dirige. Dans un village à l'Est, du nom de Kaerlion.

-Alors qu'attendons-nous pour partir ?

Nous enfourchâmes et nous dirigeâmes vers le village que frère Freladan avait cité, nous galopions à travers la campagne jaunie par les cruels rayons du soleil. Nous arrivâmes à Kaerlion à la nuit tombée, l'odeur du souffre nous prit les narines et nous enflamma les poumons, sans perdre un instant Gwenlendir et Isylt se mirent à galoper pour rencontrer le dragon et l'affronter. Le vers géant crachait son feu sur la pauvre Kaerlion, les villageois courraient dans tous les sens à la recherche d'un abris. Le village était à cheval sur le Wisg, un grand fleuve, et la majeure partie de ses bâtiments étaient montés sur pilotis, les habitants de Kaerlion basait donc toute leur subsitance sur le commerce, grâce au fleuve ils pouvaient rejoindre les autres villages mais aussi toucher des taxes sur les marchandises qui traversaient Kaerlion. Mais ce n'était pas un élan de cupidité, ni de vengeance qui avait poussé le dragon à attaquer ce village, mais bel et bien une simple et horrible cruauté, nous poussions alors nos montures en avant pour rejoindre le terrible vers géant et l'affronter afin de l'occire définitivement. Je restai sidéré devant la puissance et l'immensité du cracheur de feu, mais je fus ramené à la raison par la main de Gwenlendir.

-Ne rêvasse pas trop p'tit frère, tu auras le loisir de le voir de plus près. Isylt, mon amour, essaye de l'attirer vers nous et je...

-Je crois me souvenir que Mophus et moi avions dit que nous aurions la direction des opérations. Il faut profiter des bâtiments pour lui tendre une embuscade.

Freladan et Gwenlendir échaffaudèrent alors un plan : Isylt devait attirer le dragon dans une ruelles assez large pour qu'il puisse y passer, quand il y serait Freladan et Gwenlendir lui sauteraient dessus et l'occiraient, moi je n'avais pas de rôle dans cette histoire et je fis remarqué ma frustration.

-Pardonnez moi mais... où je suis dans tout ça ?

-N'importe où le dragon ne peut te voir. Tu n'es pas assez expérimenté pour affronter une créature de cette taille.

-Mais je...

-Il a raison Mophus, attends nous, on en aura pas pour longtemps.

Et ils partirent tout trois à la rencontre du terrifiant dragon. L'immense bête tourbillonnait au dessus du village, prenant son temps pour choisir sa prochaine proie, piquant puis remontant subitement dans le ciel d'un noir d'encre, la lueur des étoiles et de la lune paraissait morne, comme si les évènements de cette nuit les affaiblissaient. Les trois tueurs de dragon appliquèrent donc leur plan, Isylt se positionna en haut d'un moulin en ruines à l'extrémité d'une petite rue étroite et étriquée, Gwenlendir et Freladan s'engagèrent dans cette dernière et trouvèrent une bonne cachette en hauteur, le premier serrait fermement sa lance et le second son épée, et moi je restai caché derrière un tas de sac de grain où des rats s'affairaient à en emporter le plus possible. Soudain le dragon passa dans la ligne de mire de la femme qui décocha une flèche aussi vite qu'un demi battement de coeur, malheureusement le trait rata de peu sa cible qui continua à planer tranquillement, poussant quelques cris stridents de temps à autres. Il passa une seconde fois sous les yeux de l'archère qui tira de nouveau sur la créature, la flèche alla se planter dans le flan découvert et mous du ver géant, celui-ci poussa un cri de douleur qui me força à boucher mes oreilles, et pris d'un élant de rage, il se rua dans la petite rue, repliant quelque peu ses ailes de chauve-souris afin de passer. Brusquement, comme sorties de nulle part, deux ombres se jetèrent sur le dos du terrible dragon qui vacilla un peu, Freladan et Gwenlendir levaient leurs armes et les abattaient sur les écailles aussi solides que l'acier à la recherche d'une faille. La créature se tordait dans tous les sens pour déloger les deux nuisibles qui l'avait stoppé dans sa course, et soudain, plus rien, le dragon tomba lourdement sur le sol qui trembla sous le choc, je vis Isylt courir vers le cadavre de la bête et je fis de même. Nous trouvâmes Gwenlendir et Freladan qui titubaient en s'avançant à notre encontre, Isylt se jeta dans les bras de son époux et le couvrit de baisers, je fis de même en me contentant de serrer mon mentor contre moi.

-Suffit, suffit Mophus, laisse moi respirer un peu voyons. Oh qu'elle combat, je vais aller récupérer mon épée fichée dans le crâne du dragon.

Il s'exécuta et me laissa seul avec Gwenlendir et Isylt, je tournai un peu la tête et les vis s'embrasser avec passion, puis je revins sur Freladan qui s'éloignait, je reçu brusquement un choc sur le crâne qui me plongea dans les ténèbres. Quand je revins à moi le visage de Freladan était penché sur moi, m'appelant.

-Mophus, allons mon garçon réveille toi. Allez debout.

Je me levai un peu difficilement, massant ma nuque endolorie, je regardai autour de moi et m'aperçus que Isylt et Gwenlendir avait disparu.

-Ils ont déguerpi après t'avoir assommer, Gwenlendir devait surement craindre de se mesurer à moi une nouvelle fois.

-Mais il vous a battu, Freladan.

-Par ma barbe c'est vrai ! Tu as bonne mémoire !

Il éclata de rire, apparement la fuite de Gwenlendir ne le souciait nullement, je ne m'inquiétai donc pas. Nous prîmes la route de nuit, les villageois devraient construire une nouvelle ville, Freladan prit la peine de trancher une écaille du dragon pour lui et une dent pour moi afin de les rapporter en trophées au temple, j'avais hâte de revoir Calissa et Braulin...

Durant une quête ,un orque me mit un violent coup de hache à la jambe .J'en ressentis largement les effets secondaires et je ne pouvais plus combattre pendant quelques années ...Le manque de pratique se fit ressentir lorsque je retouchas a une épée .Mon expérience avait largement baissée ...Je devais désormais me refaire une jeunesse en m'entrainant .Je pris alors le chemin pour les terres de Gloire & Honneur afin d'atteindre mon expérience au combat affecter par cette sale blessure ...

Fin de l'histoire de Mophus !

J'y ajouterais des couleurs par la suite !
Ne vous en faites pas pour l'histoire !Je ne l'ai pas écrite en 10 minutes mais j'y travaille depuis mon inscription ! Je suis moi même étonner de mon travaille colossale !J'ai édité !C'est du vite fait par contre !

Trop long, pas le temps malheureusement de lire mais Bowerstone késako ? Fayalteme Késako ? A moins d'un énorme trou de mémoire, je ne crois pas que ces villes existent dans G&H.

Ne pas prendre de savoir-faire est possible mais si tu souhaites en acquérir un, tu devras payer et les écailles que tu auras en lvl upant sans savoir faire seront perdues.

J'ai pas lu toute ton histoire mais je te précise qu'on commence lvl 0. J'ai lu en diagonale et ton personnage à l'air d'être une guerrier chevronné. Ce n'est pas possible donc. Il faut rajouter à la fin un truc du genre : suite à une blessure, il est considérablement affaibli.

Pour tes techniques, ce n'est pas bon non plus. Une technique est quelque chose qui se déclanche et qui a une fin. Être très endurant ne marche donc pas. Pour Hypnotiser les gens ok mais rentrer dans les corps ... C'est pas "C'est quoi la vie ici" xD. Et il nous faut plus d'explications. Sache aussi que tu as 3 techniques.

Voilà tout est édité !Sur ce !Bonne nuit à tout le monde je suis exténué !

Il faudrait que tu ai trois techniques, afin de ne pas être défavorisé par rapport aux autres joueurs

Okay pas de problème !

EDIT : C'est bon !Tout est édité !

Désolé du double posts .Mais c'est pour expliquer l'histoire des villages qui ne sont pas dans la carte de G&H !

Si j'ai choisis ces villages c'est parceque je voulais faire une histoire originale avec de nouveaux villages voilà !

Tu ne peux pas créer de nouveua villages comme ça ou il faut le proposer, avec leur emplacements, dans les suggestions.

Dans ta signature, il y a une image avec une adresse. A supprimer, c'est de la pub, interdite dans les signatures

D'accord je vais la retirer mais je ne créés pas les villages pour que l'on puisse se balader dedans ou même vivre là-bas etc ...Ce sont justes des villages de fiction pour mon histoire ! x)

J'ai un doute sur la possibilité de les inventer ....

Non, la création de village fictif n'est pas possible. De plus Bowerstone est, si je ne me trompe pas, une reprise de la plus grande ville du jeu "Fable : The lost Chapter"

Exact ! :)Même seulement pour mon histoire ,le village n'aurait aucun effet pour mon jeu après !C'est seulement pour prouver que je suis totalement nouveau dans les terres de G&H !

Là c'est du plagiat d'un jeu, et c'est totalement refusé

D'accord je vais trouver un nouveau nom car j'ai vraiment hâte de pouvoir jouer

EDIT : C'est bon c'est édité !

Je vais vraiment faire ma chipoteuse mais après ça tu seras validé. Tu peux me rajouter quelques lignes pour le physique, et si tu peux le mental ?

Voilà je penses que c'est bon à présent !

UP

Non, pas d'accord pour que tu sois validé si rapidement ^^

Désolé, j'ai rien contre toi mais je dirais que certaines choses ne vont pas...

Déjà, je veux bien que tu nous parles de Fayalteme et de Andariel mais... c'est où ?
Déjà le fait de créer des villages fictifs, c'est pas le top, alors si on ne sait pas où ça se situe, ça le fait pas ^^
Sur quel continent ? Amresia ? Norgod ? Djel'Fa ? Ou bien est-ce dans les terres inexplorées ?

PS : Désolé si c'est marqué et que je ne l'ai pas vu mais ton histoire est vraiment longue (et bien ) ^^

Et après, bien que je ne sois pas très doué au niveau des techniques, je pense qu'elles sont beaucoup trop puissantes ou que le contrecoup n'est pas assez handicapant...
Donner 5 coup à la secondes pendant une minutes, par exemple, ça veut dire que tu tue ton adversaire sans problème. Je ne connais aucun bretteur qui puisse esquiver une telle attaque ^^

Pour la technique "Force", le niveau puissance/contrecoup est bien répartie donc ça va ^^

Pour la première technique, je la trouve trop puissante mais à vérifier ^^

Val.. padawan des technique va ^^

Mophus Leingarth a écrit:

Techniques :

• Manipulation :
  

Il suffit tous simplement qu'il plonge ses "yeux" (si l'on peut appelé ça comme ça) dans ce de quelqu'un d'autre pour que cette personne fasse ce qu'il désire .Malheureusement ,cette technique ne fonctionne seulement que quelques minutes (environ pendant 2-3 RPs).Seulement ,après avoir utilisé cette technique ,mophus a la tête qui tourne et dois se reposer environ 1 minutes pour reprendre ses esprits .

Un controle total? Tu commence niveau 0 avec des techiques pas tres forte (voir pas du tout ^^).

un sort de controle sur un humain conscient est, a mon gout, un beau niveau 4.

De plus, les techniques durent une poignee de secondes tout au plus.

A revoir: Tu peux faire que la personne en face a un moment d'hesitation ou autre...

Mophus Leingarth a écrit:

• Ferveur :
  

Mophus a longuement manié l'épée lors de sa jeunesse et sa lui arrive de se rappeler des bases lorsqu'il combat .Il peut donc frapper plus de 5 coups par secondes pendant 1 minutes en tout .Après avoir utilisé cette technique ,il ne peut plus manié l'épée pendant une minutes trente .

Un total de... 5*60 coups soit... 300 coups...
-_-

meme un niveau 6 ne peut pas le faire. je crois meme que les hors niveau ne peuvent pas (peut etre le dragon avec sa queu et ses pattes et sa tete mais j'en suis pas sur...)

1 minutes est trop long.

Mophus Leingarth a écrit:

Force :

Mophus est capable de soulevé des poids très élevés ou même pour assener des coups très puissants .Cette capacité ne peut être utilisé que lorsque Mophus est très énervé et seulement pendant 1 minutes de temps

une maison? Une montagne?

C'est a dire tres eleve?

Voilà tout est édité .

Pour Fayalteme et Andariel ,je ne comprends pas .[xD]Enfin je me poses surtout la question :

"Pourquoi est-ce qu'ils veulent absolument que les villes de mon histoire fassent parties de la carte !"

Ces villes sont des villes lointaines .Pour prouver que je n'ai pas grandit dans les terres de G&H .

Je penses que vous devriez être un peu moins fixé sur les règles et essayer de laisser passer quelques détails .Comme le détail des villes .Je ne vois pas en quoi cela pourrait engendrer mon futur jeu !Cela ne fait que retardé (inutilement) mon arrivé dans le jeu !Après ce n'est que mon avis personnel ,vous en faites ce que vous voulez !C'est vous les admins !Voilà tout !

Le seul détail que je demande, au niveau des villes, c'est le continent sur lesquelles elles se trouvent... Maintenant si tu t'acharnes à rien vouloir dire de plus, ben tant pis, on aura juste un gros point d'interrogation sur ta provenance

Fiche Refusée. Durée de réponse trop longue