Prénom et/ou Nom : Silinrul
Race : Mi-Elfe Noir
Profession : Mercenaire
Caractéristiques physiques : Une longue chevelure blanche recouvre son visage. Ses yeux sont vivace, rouges, telles deux braises constemment en fusion. Sa peau est grisâtre et son corps frèle, héritage
des êtres de sa race.
Vêtements (pas d'armures au départ) :
Chemises et pantalons simples, foncés. Un manteau rapiécé possédant une capuche.
Caractéristiques mentales :
Positives: Possède un certain sens de l'honneur et une très bonne volonté.
Négatives: A tendance à réagir à toutes provocations, il est très succeptible.
Etat d'esprit: Cherche à montre sa valeur, cherche à être accepté. Est prêt à tout pour y arriver.
Histoire :
« Les êtres Albinos sont souvent accusés de sorcellerie, de pratiques magiques". Une légende mystico-religieuse indique que les albinos ne meurent jamais, mais disparaissent plutôt, qu'ils ne voient pas la nuit, ont les yeux rouges, une intelligence médiocre et un développement anormal. (...)»
extrait de l'Encylopédie Universelle de la prestigieuse cité de Port Pregas
L'être humain à cette capacité effroyable de pouvoir tendre la main au plus démunis et de mépriser l'être qui lui est différent. Le mépris, les insultes, l'esclavage peut transformer le pluis puissant des guerriers en un lambeau de chair animé ou, au contraire, lui instaurer la plus tenace des volontés.
Le petit village d'Adjir, à l'Ouest de l'Amresia en était le triste témoin.
Le soleil venait de dépasser les cimes des Montagnes Noires, imprégnant la terre de ses rayons vivaces, asséchant les dernière gouttes de rosée. Les volets commencaient à s'ouvrir à l'étage des chaumières, les paysans devaient allés au champs et les commercants à leur boutique. Petit à petit, ce qui était un lieu de calme, un lieu désert, se retrouva envahit par une cohorte humaine allant de çi, de là, chacun vaquant à ses occupations les plus communes.
Une demi-heure plus tard, les commercants avaient ouvert leur boutique, hurlant avec monotonie le prix de leur poisson, de leurs viandes, de leurs fruits. Les dames s'afferaient pour avoir dés à présent les produits les plus frais et satisfaire ainsi leur mari pour le déjeuner.
Soudainement, comme un grain de sable au milieu de la marée de bruit, un cris éclata, venant rompre avec les harmonies des vendeurs.
« Sale monstre ! Sale voleur ! Rends moi cela immédiatement ! »
Le jeune voleur s'enfuit effrayé, poursuivis par le commercant en furie. Les habitants tournaient la tête en direction des cris alors que la garde accourait déjà. Que peuvent des jambes de dix-septs révolutions astrale face à des gardes surentrainés ? Le pauvre fut facilement maitrisé et mis à terre par les hommes d'armes. Le commercant, satisfait, s'adressa au jeune orphelin avec un ton des plus glacials.
« J'espère que tu creu'vra dans ta prison sale gamin ».
Une mèche blanche dépassai de la capuche qui avait servit à dissimuler le visage de l'importun. Le commercant avait immédiatement reconnu ce qu'ils appelaient communément « le monstre ». Né d'une mère inconnu qui n'eut pas la chance de survivre à sa naissance, il fut recueilli par un orphelinat alors qu'il était abandonné en pleine nature avant de s'en enfuir quelques années plus tard. Les insultes et le mépris de ses camarades par rapport à sa chevelure blanche et sa peau grisâtre était trop lourde à porter. Il avait trouvé refuge dans une vielle masure à l'entrée du village, se nourrisant des produits de la nature ou du profit de ses rapines. Mais ce matin-çi, il s'était fait attraper, et les nombreuses plaintes des commercants risquaient de lui coûter cher. Les gardes s'empressèrent de l'amener au conétable du village, afin que les choses ne trainent pas. Et ce qui devait arriver, arriva. Le connétable ordonna aussitôt en raison du jeune âge du voleur que celui-çi soit bannis immédiatement de la ville. Echappant ainsi à la peine capitale, la mort. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le jeune orphelin fut propulsé dans une mare de boue à l'entrée du village, sous les rires et la satisfaction des habitants. Il se releva, frèle et pale, et, vif comme un cerf détala au galop. Il ne savait pas vers où il se rendait, ni comment, mais ce dont il était sûr, c'était qu'il lui était devenu impossible de passer sa vie à mendier. Nouvelle ville, nouvelle vie, il utiliserai son agilité pour manier l'épée.
Objet:
Cimeterre de mauvaise facture
Techniques :
Ombre: Lorque le lieu n'est pas imbibé de rayon du soleil, et lorsqu'il porte des vêtements sombre et légers (MAX armure de cuir) Silinrul peut essayer de se fondre dans le décor, afin de se mouvoir ou effectuer des actions quelconques sans être inquiété, en silence durant un temps limité.
Volonté de fer:
Silinrul lorsqu'il est dans un état pitoyable, peut effectuer une unique action sans se soucier de sa fatigue. Après cela, il perd connaissance.
Deluge de coup: Silinrul déverse sur son adversaire un déluge de 5 à 6 coup à l'aide d'une ou de deux lames. L'attaque peut alors provoquer la peur chez son adversaire (celui-çi peut très bien ne pas s'affoler) , lui fesant baisser sa garde et donner un avantage certain à Silinrul lors de sa prochaine attaque.
Comment avez vous connu ce forum (où ET par qui) :
Kazorson m'en a parlé et m'a conseillé d'essayer.
Avez-vous un parrain (facultatif) :
Mister Kazorson