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| Le dernier acte? | |
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Durias Désigné volontaire
Nombre de messages : 152 Age : 31 Age RP : A définir Fiche perso : (Non défini) Date d'inscription : 16/05/2008
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| Sujet: Le dernier acte? Jeu 5 Juin - 19:45 | |
| DuriasPOST N°9Le jeu en aura t-il valu la chandelle? Post précédent à Amresia, les routes d'Amresia : https://gloire-honneur.1fr1.net/les-routes-d-amresia-f136/mourra-bien-qui-mourra-le-premier-t2927.htm#24780Durias fut émerveillé par le spectacle qui s'offrait à lui : une immense clairière recouverte d'arbres noueux dont les racines surgissaient par endroits du sol et s'entremêlaient toutes les unes aux autres recouvraient le sol. Les arbres étaient d'une taille immense, et il aurait fallu plusieurs hommes les bras écartés pour en faire le tour complet. Des touffes d'herbes éparses et rares apparaissaient par endroits. Le lichen avait véritablement envahi le lieu : il en poussait sur tous les troncs de la forêt et il recouvrait le sol. La forêt avait l'air vieille. Très vieille. Tellement qu'on aurait pu croire qu'elle avait été un jour éveillée et animée du volonté propre mais qu'elle était tombée dans un sommeil profond, tel un volcan endormi à jamais. Un mince filet de brume épais voilait les détails du sol aux yeux de Durias. Le vent faisait bruisser les feuilles des arbres qui se balançaient comme au ralenti, en faisant un bruissement faible et inquiétant. Un peu partout on pouvait remarquer des rochers qui jonchaient le sol. Des sifflement aigus également dus au vent retentissaient de partout dans le bois, renvoyer d'un arbre à un autre par le phénomène de l'écho. la forêt avait été comme immortalisée; rien ne bougeait et tout était d'un silence angoissant. Soudain, des cris de bêtes sauvages fusèrent de tous les côtés, et Durias se sentait encore moins en sécurité. Il dégaina son épée. Un craquement assourdissant se fit retentir, suivi d'un bruit mat très prononcé. Le barde sursauta violemment, et se retourna, avant de s'apercevoir que la source du vacarme n'était qu'autre qu'un arbre qui venait de céder, sûrement à cause de son âge. L'écorce ravagé et le bois mort rongé par les insectes en était sûrement la cause, d'après ce que pouvait constater Durias. Il se remit alors prudemment en route en trébuchant de nombreuses fois car le sol lui était traître et peu clément. Il sursautait régulièrement à chaque fois qu'il marchait sur une branche qui produisait alors un craquement effrayant. Il leva alors la tête, afin de contempler la voûte sylvestre qui le surplombait. Malgré les feuilles étroitement serrées les unes aux autres, le barde put constater qu'un soleil grisâtre filtrait à travers les rameaux et les branches. Ce dernier illuminait d'ailleurs par endroits éparses le sol et permettait à Durias de se mouvoir plus aisément, même si ça progression était nettement ralentie par les racines des arbres. Les arbres se resserraient de plus en plus au fur et à mesure que Durias avançait dans la forêt. L'air se faisait de plus en plus frais et la température chutait rapidement. La brume s'épaississait de plus en plus. Des formes se distinguaient dans le lointain, mais restaient trop imprécises pour que Durias puissent en définir la nature. Tout à coup, un clapotement se fit entendre. Le barde regarda par terre et se rendit compte qu'il venait de pénétrer dans un marais. Des roseaux bordaient l'eau stagnante. Une odeur répugnante s'en élevait. Les effluves agressèrent le nez de Durias à un point tel que celui ci dut se contraindre à se recouvrir e visage de sa toge et de respirer par sa bouche, ne laissant que ses yeux apparaître. Il avançait prudemment, ses yeux balayant les environs. Il regarda de nouveau ces formes qui l'avaient intrigué et fut surpris de découvrir que ce n'était rien de plus que les vestiges d'un antique temple oublié, ravagé par les dégâts du temps et les intempéries, sûrement violentes en ces lieux. Juste après avoir fait cette déduction, une pluie fine se mit à tomber, au plus grand plaisir du barde. Il fut pris par le désir soudain et inexplicable de découvrir ces ruines qui se tenaient plus si loin de lui. Il entreprit de traverser le marais stagnant et puant. Il devait sûrement y avoir des trésors enfouis depuis longtemps là dedans se disait le barde. Des trésors d'une valeur inestimable et sources d'une richesse certaine. Durias esquissa un rictus. Ce pillage le réjouissait fortement, et l'idée l'enivra au point tel qu'il en oublia toute discrétion. Il se mit à avancer le plus rapidement qu'il pouvait, sans ce soucier du bruit qu'il pouvait faire ou des éventuels voisins qu'il pourrait y avoir. Aussi rapidement qu'il avait commencé à courir, Durias s'arrêta net. Il avait surpris un bruit étrange et des ondes dans l'eau trahissait la présence d'une entité tierce. La source des ondes de l'intrus était nettement identifiable. Elles provenaient d'une vingtaine de mètres sur la droite du barde. Celui ci jugea bon de s'élever du sol et grimpa sur un rocher proche de lui. Une attaque sous l'eau pourrait lui être fatal, car l'eau était impénétrable pour les yeux d'un humain et le moyen de prédilection pour une créature marine de surprendre sa proie. Des récits de créatures maudites, gardiennes de temples, qui avaient impitoyablement déchiqueté les voyageurs imprudents ressurgirent dans la mémoire de Durias. "Quelle imprudence ai-je commis dans ma précipitation?" songea le barde. "Quel imbécile je fais! Baisser la garde d'une telle façon!" se lamenta t-il. Mais bon, "le temps des regrets est futile, et revenir en arrière m'est impossible" conclut t-il. Il serra les dents et renfermit sa poigne sur son épée. Tout à coup, une idée lui vint à l'esprit." Et si je tentait un sort? L'effet de surprise me serait appréciable et favorable" pensa t-il. Faisant passer son épée dans la main gauche. Il décida d'opter pour son sort de cécité. "Ses effets seront de courte durée, mais si je m'en sers au dernier moment contre mon agresseur, j'aurai peut être le temps de tourner la situation à mon avantage" réfléchit t-il. Son adversaire se faisait par la même occasion dangereusement proche, les ondes dans l'eau le trahissait. Priant pour qu'il réussisse, le barde entreprit l'incantation du sort et recommanda son âme au ciel, dans l'espoir d'être une nouvelle fois béni par les dieux. (Plein de choses : mon sort va t-il réussir? Quelle est la nature de mon agresseur sous marin? Et quel sera l'issue du combat? Voilà merci ) [ Eliz : Ton sort réussit. Sort de l'eau un immense poisson, qui semble te vouloir du mal, pour une raison inconnue. Il est lourd, fort, mais peu agile et essaye de t'entraîner sous l'eau ]
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| | | Durias Désigné volontaire
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| Sujet: A l'aide! Ven 6 Juin - 19:15 | |
| (Désolé pour l'absence de RP mais il me manque des informations capitales pour pouvoir en faire un d'une taille respectable. Donc voilà, j'aurai besoin de savoir combien de temps va durer mon sort et combien de temps le contrecoups va durer sur moi (durées aléatoires à déterminer) C'est à toi de choisir en veillant à ne pas grobiliser.. J'aimerai aussi savoir quelle sera l'issue du combat : Si je suis vainqueur : y-a t-il un butin? Tu peux récupérer de la viande sur le bestiau ^^. Faudra nous demander à la fin combien de morceau tu récupères (conditionné par la qualité du RP) Dans quelles conditions suis-je vainqueur (blessé, victoire facile, etc...) C'est à toi de décider ^^.Si je perds l'affrontement : Est ce que je parviens à m'enfuir? Quel est le degré de ma défaite (blessé leger, grave, mort ?) Même chose. Tu es maitre de ton RP. Tu peux nous demander la réussite d'une attaque qui par exemple décidera de la fin du combat dans un sens ou dans l'autre mais on ne va pas décider pour toi si tu gagne ou perd dès le début ^^.Voilà merci beaucoup, bonne chance et désolé pour le dérangement MDJitage by Leelou ^^ | |
| | | Durias Désigné volontaire
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| Sujet: L'homme et la bête : le choc de deux peuples. Dim 8 Juin - 19:00 | |
| Durias POST N°10
L'homme et la bête : le choc de deux peuples.
Dès qu'il eut achevé la préparation de son sort, Durias poussa un hurlement assourdissant. Simultanément, un poisson d'une taille impressionnante bondit hors des eaux troublées et opaques. Le reflet du soleil sur ses écailles argentées renvoyait des lumières qui brillaient de mille feux sur le tronc des arbres et le visage du barde, et l'incroyable dimension des muscles de ses nageoires trahissait une grande force. Des aiguilles noirs, apparus par magie, se concentrèrent sur le poisson et filèrent à toute vitesse sur ses yeux en laissant une traînée de fumée obscure sur leur passage et formèrent un nuage impénétrable autour des yeux du poisson, l'aveuglant sévèrement. Durias fut malgré lui secoué de tremblements de douleur incontrôlables : il payait les effets de l'utilisation des Ténèbres Abyssales. Une vague de douleur passa le long de son corps et en poussant un cri de plainte, un deuxième déchirement traversa le barde, victime de sa propre main. La souffrance le quitta aussi rapidement qu'elle s'était installée et, en levant la tête, Durias vit la créature marine se vit convulsionner. La bête sautait dans les airs, tentant de se débarrasser du nuage magique qui lui coupait la vue; mais ses bonds puissants ne lui étaient d'aucune utilité. Prenant l'avantage, Durias empoigna son épée à deux mains et fit face au poisson. Il l'attendait d'un pied ferme et avait gagné de la confiance suite à sa réussite. Le succès de son sort l'étonnait beaucoup; rarement réussi ait-il un sort : son expérience dans le domaine de la magie était trop pauvre pour une réussite certaine. Soudainement, l'animal cessa ses convulsions et ses sauts acrobatiques et se mit à tourner en rond autour du rocher sur lequel le barde se tenait.
Le poisson bondit alors à une vitesse fulgurante et percuta de plein fouet Durias. Ce dernier plié en deux par le choc, effectua malencontreusement un pas en arrière et glissa sur le sol vaseux. Il chût sans pouvoir y remédier de façon aucune et tomba de son long dans le marais. Le poisson ne perdit rien pour attendre et vint rapidement lui asséner un coup puissant de sa queue. En douleur, Durias se releva tant bien que mal mais une troisième charge du poisson fit glisser son épée de ses mains. Jurant et maudissant son adversaire, Durias sauta haut dans les airs afin d'esquiver une attaque de la bête. Il plongea alors dans l'eau stagnante et, encaissant un nouveau coup, reprit son épée et se mit à genoux. La créature chargea de nouveau mais le barde l'ayant devancé lui asséna un coup dans ses écailles d'un argent aussi froid que l'acier. Néanmoins, la lame dévia sur la cotte de mailles naturelle du poisson qui surprit, s'éloigna rapidement. Durias se remit debout. Son épaule gauche le piquait : un mince filet de sang s'en écoulait. Il leva alors son épée à deux mains au dessus de sa tête tandis que son ennemi repartait de nouveau à l'attaque. La lame fendit l'air tandis que le poisson fendait les eaux de son impressionnante carrure. Au grand soulagement de Durias, la tête du poisson se détacha du reste de son corps, séparé par le tranchant de l'épée. Il avait fort fortuitement bien anticipé l'attaque de son adversaire et avait calculé avait soin et justesse le moment propice où frapper.
Satisfait, il contempla le champ de bataille. Du sang noir bouillonnait du corps sans tête de l'animal et le marais était agité de remouds. L'eau clapotait contre les pierres et les roseaux et un vent souleva le feuillage des arbres. Durias saisit sa toge à une main et avec l'autre nettoya avec soin son épée ruisselante de sang et d'eau. Quand il eut fini, il remit son arme à son fourreau leva la tête. Dans toute son agitation, il avait oublié le but de sa venue : devant se dressait majestueusement le temple mystérieux. Il s'avança calmement mais avec peine jusqu'aux ruines et quitta ses bottes de fourrure trempées. Le contact avec la vase froide fit frissonner le barde. Désormais il savait qu'il était soit très chanceux, soit le favori des grands dieux nordiques. Mais ce qu'il en était il ne savait guère. S'asseyant sur un rocher il prit sa tête entre ses deux mains et poussa un long soupir. Cet endroit ferait l'affaire pour cette nuit. Il était d'ailleurs extenué de son périple et des affrontements qui avait eu lieu aujourd'hui, de sa fuite et de sa longue marche à travers la vieille forêt. Tout à coup il se redressa. Il avait oublié un élément primordial : pouvait t-il prélever un butin quelconque sur la carcasse du gigantesque poisson. La viande de poisson était considéré comme un véritable met dans son pays, et il ne se priverait pas d'un repas royal ce soir. Il possédait tous les éléments nécessaires à la préparation d'un festin. De plus un repas succulent serait le bienvenu. Il aurait largement besoin de reprendre des forces pour se préparer au lendemain, avec une marche certaine et des rencontres certaines qui l'attendait. C'est ainsi qu'il marchat de nouveau dans le marais et ramassa ce qui restait de son adversaire décapité… | |
| | | Durias Désigné volontaire
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| Sujet: Mort avec sursis. Ven 13 Juin - 19:55 | |
| DuriasPOST N°11Mort avec sursis. Durias se détourna du poisson et se rendit dans les ruines énigmatique et d'un geste ample et net fit tomber sa toge au sol. Il en sortit son contenu et tria les ustensiles dont il avait besoin pour la soirée, soit l'essentiel pour un repas somptueux, sa cithare et deux morceaux de silex aiguisés, semblables à deux pics des montagnes noires aux cimes tellement pointues et peu accueillantes que les légendes prétendent que les dieux s'en servaient pour empaler les leurs jugés comme trop faibles pour assurer leur devoir. Il alluma ainsi un feu, dont les lueurs illuminaient son sombre repère comme un soleil au milieu de l'Univers ténébreux. La chaleur qui en émanait eut vite raison de l'eau qui gorgeaient ses bottes, amies fidèles qui avaient rarement trahi le poser de son pas gauche. L'éclat de l'âtre reflété sur les alentours agités marécageux de splendides reflets iridescents. Durias s'arracha à sa contemplation et entreprit l'exploration de sa thébaïde. Les murs étaient tapissés de myxomycètes tellement nombreux que les couches de champignons se chevauchaient. Le barde trouvait cette scène comme étant la fidèle allégorie de la corruption des hommes politiques qui infestaient le gouvernement adjirien : tous n'étaient que des charognes avides de pouvoir qui étaient tous coudes à coudes dans une lutte serrée pour devenir les célébrités du moment, où parfois l'un d'entre eux surpassait les autres avant qu'ils ne le dépassent une fois de plus. Il devrait en faire une chanson. Quoique non. Les chansons à boire n'étaient pas dignes de la noble et digne musique traditionnelle des désolations nordiques. Il poursuivit son inspection et fit la stupéfiante découverte d'un cairn dont des lignes blanches parcouraient ses côtés. Cette immense pierre rubanée sans nul doute taillée par des séides d'une des nombreuses sectes depuis longtemps disparus brillait d'une lueur verdâtre. Curieux et résolu à découvrir les mystères de ce lieu; le barde s'approcha d'avantage et effleura du doigt l'édifice. Aussitôt, son corps fut traversé par une douleur déchirante. Ses entrailles étaient en feu, et des milliers de laces imaginaires le transperçaient de part en part. Il ne pouvait non plus réprimer un hurlement de douleur et les convulsions qui agitaient ses membres de mouvements spasmodiques. Soudain, tout cessa. Il ouvrit les yeux et s'aperçu qu'il avait quitté les ruines. Il était assis sur une chaise en face d'une foule de gens. Tous portaient des masques aux formes inquiétantes. Il essaya de repérer une issue mais l'endroit était bordé par des statues de dragons et de gargouilles menaçantes et de plantes étiolés. Il tente un mouvement mais il ne pouvait bouger : il était comme lié à la chaise qui le soutenait. Soudain une des personnes parla. Le ton de sa voix était rugueux et dur, comme celui qui avait connu les flammes des enfers et les milles tourments que l'on y subissait. Son masque représentait un visage de loup grimaçant aux yeux exorbités. Il s'exprima dans une langue étrangère, dans une elfique ancien pensait Durias. Son interlocuteur se mit à hurler et à fulminer, sa rage et les décibels déchirant les tympans de barde. Soudain le sectaire glissa sa main droite dans sa manche opposée et une dague fit son apparition. Avant que Durias ne réagisse la lame se retrouva figé dans le corps de l'enchanteur infortuné. Incrédule, il fixa la lame de ses yeux et s'aperçu que le sang ne coulait pas de la blessure. Il n'y avait même pas de blessure. C'était comme si son corps n'avait aucune consistance ou qu'il ne fût qu'un esprit immatériel. Tout à coup, il put voir le sol à travers ses jambes devenues transparentes. C'est ainsi sentait sa vie s'écouler de lui, comme s'il voyait son corps depuis son âme qui aurait quitté son enveloppe charnelle. Alors le monde perdit toutes ses couleurs vives; tout devint sombre et Durias fut aspiré dans ce qui lui semblait être le néant. Soudain, il retrouva son monde tel qu'il l'avait laissé. Il était allongé par terre comme l'indiquait le contact froid avec la pierre et son dos. Quand il ouvrit les yeux, il redécouvrit son campement et la mystérieuse pierre avec soulagement. Encore sous le choc des évènements passés, il retourna à son feu où il se sentait davantage en sécurité. Il s'empara de sa baguette et d'un bas morceau de viande, une côte de porc de mauvaise qualité : le boucher n'avait ni l'air de l'avoir lavé ni de savoir ce qu'étaient des côtes. Mais bon. "Qu'à cela ne tienne" se dit l'enchanteur. . Il jeta ce dernier sur le feu et en attendant qu'il rôtisse, il se servit à boire et croqua dans une poire, les yeux dans le vague; il essayait de se remettre de ce qui venait de se passer. Tout à coup, une voix s'éleva de derrière lui : "Ne bouge plus ou tu es un homme mort!"(Merci de me retirer un fruit, une baguette et un bas morceau de viande. Gros merci + bisous d'avance mais que si c'est Eliz', faire des bisous aux garçons me déplaît pas mal ^^) [ Eliz : T'as de la chance ] | |
| | | Durias Désigné volontaire
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| Sujet: Re: Le dernier acte? Mer 18 Juin - 16:43 | |
| DuriasPOST N°12Suite à l'injonction, Durias fit volte-face avant de se plaquer contre le mur sous la menace d'une épée au tranchant irréprochable que brandissait un homme trapu au visage barbu et sombre sur lequel on ne pouvait déterminer de ses émotions. Sa forte carrure, sa mâchoire carrée et son regard de braise qui foudroyant tous ses interlocuteurs laissait imaginer que cet homme était un grand guerrier ferme, de la même école des grands dirigeants. Il arborait la tunique des fiers guerriers d'Adjir. Il poursuivit son interpellation et parla d'une voix forte : "Ceci est la tombe sacrée du grand guerrier Aran'Alios. De quel droit profanez vous un tel endroit?""Oh je m'en vais calmer vos ardeurs…et vous rassurez ajouta Durias après que le soldat eut plaqué son épée contre sa glotte. Je ne faisais que passer en ces hauts lieux, je n'voulais que camper pour la nuit, rien d'plus…" s'empressa t-il d'ajouter. "Mouais… répondit le garde, sceptique. Des comme vous y'en a toutes les semaines j'vois pas pourquoi y'en aurai pas celle-ci…". Il rangea son épée dans le fourreau et poursuivit son dialogue : "Allez-y, je vois que je vous dérange pendant un repas, continuez je vous prie.""Ah, merci. Voulez vous vous joindre à moi?" demanda Durias, soulagé. "Avec plaisir!" répondit le soldat, son visage illuminé d'un sourire. Le repas s'acheva dans le silence, les deux hommes mangeant goulûment et n'accordant que peu de temps à la parole. Le dîner achevé, ils se relevèrent et se présentèrent : "Bjorn Häulmeier, sergent adjirien; pour vous servir.""Durias Nearak, barbare nordique" répondit-il d'une poignée de mains chaleureuse. "Oui je l'avais deviné. "Comment?""Grâce à l'idiome" expliqua la sergent en souriant. Celui était nettement plus amical que le disaient les préjugés établis à partir de son apparence. "Ah c'est donc ça…et quand rentrez vous à votre cité?""Je suis en route, actuellement. Puis-je vous aider? J'ai une charrette à ma disposition.""Pourriez vous me ramener à Adjir?""Sans problèmes!"C'est ainsi que les deux hommes reprirent la route ensemble, la nuit s'écoulant paisiblement dans la douce quiétude d'une agréable nuit d'été. Le barde et le soldat ne cessèrent de converser, même lorsque la fatigue se fit ressentir. Dans le courant de la nuit les amis, arrivés à destination, se séparèrent. "Encore merci de m'avoir amené à bon port!" dit Durias en chuchotant. "J'espère bien qu'on s'reverra un jour!" annonça Bjorn."De même pour moi! Je passerai vous voir!D'accord! A un d'ces quatre!" répondit le soldat tandis que le barde sautait de la charrette dans la rue.Durias repartit avec la sourire, en se retournant plusieurs fois pour distinguer la silhouette de la charrette qui s'éloignait dans l'obscurité de la nuit. Il était heureux et son nouvel ami lui plaisait. Il frappa à la porte d'une auberge et un serviteur vint l'accueillir avec une bougie. Il le mena ensuite à une chambre après avoir payé la somme due pour la nuit où il s'endormit d'un sommeil tellement profond que la mort elle même n'aurait pas pu troubler. (Merci de me soustraire 5 PO pour la nuit)[LL : or retiré ^^]https://gloire-honneur.1fr1.net/l-auberge-f146/peregrinations-t3062.htm#25980Post suivant : Amresia, Adjir, l'auberge : | |
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