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 [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach

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Moach

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MessageSujet: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptySam 2 Fév - 21:19

Prénom et/ou Nom : Münjar jal théasul de son vrai nom mais se faisant quotidiennement appeler Moach, allez savoir pourquoi.

Race : Humain

Métier : Mercenaire

Savoir-faire : Forgeron d'arme

Caractéristiques physiques :

Des cheveux de tailles moyennes s'amoncellent sur sa tête et leur couleur marron foncés lui donne vie et vigueur. Un front ni large ni prononcé mais pas fin non plus couronne deux yeux noisettes, parfaitement banales si on pouvait ignorer le regard qui allait de pair. Perçant, pénétrant, profond, ces globes oculaires restent impénétrables et ne peuvent être source d'inspiration pour quiconque cherchant à déceler le moindre des sentiments qui fusent dans sa tête. Il en est de même pour mon nez et mon menton, tout deux représentant le parfait équilibre(ni petit ni gros etc...). Moustache rasée et barbe coiffée en deux tresses distinctes. Ni beau ni moche, ni grand ni petit, ni maigre ni gros, Moach reste un spécimen peu original, sur cela tout du moins.(1m80, 75 kilos) À noter tout de même, une musculature quelque peu au-dessus de la norme et en cela on reconnaît bien le mercenaire qu'il est.

Caractéristiques mentales :

Manipulateur, prestidigitateur, mégalomane, arrogant, condescendant, outrecuidant, vaniteux, désinvolte, fourbe, judas, hypocrite, tortueux, aigrefin... Tant de défaut qui se travestissent en qualité chez notre jeune protagoniste. Mais l'un n'empêche pas l'autre et malgré cette esprit perfide, sournois et présomptueux, il reste réfléchi, calculateur, malin et intelligent. Après tout, il ne faut surtout pas confondre vaniteux avec altier. Il a de grandes ambitions, quoi de plus normal que de s'estimer à la hauteur ? Peut être est-il orgueilleux, mais ses relations sociales n'en pâtissent absolument pas. Non, jouant l'hypocrisie à la perfection, il arrive à attirer la sympathie de certains, ceux qui l'intéressent évidemment.
Il sait aimer tout de même et a la présence d'esprit de ne jamais se montrer impertinent. Bien que frisant l'insolence, il sait ou sont les limites de cette-dernière et il les respecte aussi sûrement que sa profession presque avec fétichisme. Pour lui, ses compagnons d'armes sont ses seuls amis, ainsi va la vie d'un mercenaire.
Hormis cela, il est calme et n'agis que rarement par pulsion. Il porte un regard sur le monde dans sa globalité et aime débattre intérieurement sur moult sujet d'actualités ou même banales. Résigné, rien ne l'arrête et tout ceux qui s'opposent à lui sont considérés comme étant des ennemis bon à abattre. Il est pour le progrès mais respecte la nature comme il se doit, la sachant mère de chacun. N'apprécie guère la religion, il ne prête aucun culte hormis peut être lorsque le besoin s'en fait ressentir.
N'hésite pas à se battre mais reste perspicace vis à vis de telles ou telles situations. Après tout, c'est un guerrier au départ et le combat reste son métier quotidiens qu'il tâche d'exécuter avec efficacité.

Vêtements :

Un long manteau rouge/marron descendant jusqu'aux genoux est censé le protéger du froid. La capuche qui va avec est généralement rabattu sur sa tête. En dessous, un débardeur confortable moule à la perfection ses muscles saillants. Un pantalon Kakis peut paraître moulant au premier abord, mais détrompez-vous, il est suffisamment ample pour ne pas amoindrir sa mobilité, tout comme le reste de ses parures par ailleurs. Des bottes de tailles moyennes(moitié du tibias environ, peut être à peine plus.) chaussent ses pieds, privilégiant les longues marches. Son épée est accrochée dans son dos et il laisse sa ceinture inoccupée afin d'y ajouter sa bourse et autre petits ustensiles. Son sac de voyage se trouve au même endroit que son arme qui d'ailleurs y est accrochée indirectement.

Etat d'esprit : Cherche à créer sa propre compagnie, prêt à tous pour y parvenir. Ni bon ni mal, on pourrait le considérer comme neutre comme tous mercenaire se doit d'être, aussi difficile voir impossible cela est.

Objets : Épée médiocre !

Techniques :

-Manipulateur avéré : Permet de s'immiscer dans le cerveau d'autrui pour une durée restreinte de seulement 20 secondes dans le but d'influencer la décision d'un protagoniste qui vous fait face. Vous n'aurez en général qu'une faible résistance mais si ce dernier vous remarque dans son esprit, alors il vous repoussera facilement et risquera de ne pas apprécier. Soyez subtil, perfide et prudent !

-Déstabilisation psychique : Vous devez préparez au préalable cette technique. Vous envoyez une vague psychique qui peut ébranler votre adversaire et vous permet de l'attaquer dans son dos ce qui aggrave considérablement les dégâts. Recharge lente et fatigue après coup donc quelque faiblesses physique.

-Télékinésie : Vous pouvez déplacer divers objets jusqu'à un poids maximum de 5 Kg et une durée limite de 20 secondes à la vitesse de 1 mètre par seconde. Plus le poids est léger, plus la facilité et la rapidité est accru. En contre partis, vous ne pouvez rien faire lorsque vous executez cette technique.

Que pouvez-vous apporter au forum ? : Dynamisme de part mon inscription et j'espère aussi de part mon activité. Pour le moment, c'est tout ce que je peux faire !

Comment avez vous connu ce forum : Je me suis inscrit sur un autre forum lorsque j'ai vue celui-ci comme étant premier sur un site du genre tour de jeu alors j'ai voulu jeter un oeil et dès que j'ai vue la petite vidéo, j'ai adhéré et ai commencé à lire les règles !! Au passage, énorme la vidéo ! Vraiment super !


Dernière édition par le Dim 3 Fév - 13:31, édité 5 fois
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Moach

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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptyDim 3 Fév - 1:04

Hj/désolé mais j'ai atteint la limite du post autorisé../hj

Histoire :

Qui ne connaît pas la compagnie noire ? La compagnie franche qui fut incontournable pour toute armées désirant gagner une guerre sans trop de difficultés. Réputée pour son parcours militaire exemplaire, aucune bafouilles, aucune mésententes entre les employeurs et les employés, elle restera la seule à n'avoir rompu aucun contrat tant que ce-dernier n'était pas accompli. Jamais vous ne verrez quelqu'un cracher sur l'efficacité de cette troupe de mercenaire. Non, jamais. En revanche, nombre vous diront que cruelle et froide, elle se préoccupait uniquement d'elle. Mais n'est-ce pas normal pour une compagnie de telle envergure d'assurer son avenir ? Si et je puis vous assurer qu'elle n'était en aucun cas différentes d'une armée quelconque si ce n'est ces méthodes peux orthodoxes pour ce battre. Elle pillait, elle violait, elle massacrait et alors ? Ceci est monnaie courante lors d'une guerre et tout ceux qui l'ignorent ne sont pas digne de juger cette prestigieuse assemblé de guerriers redoutables. À l'époque de son apogée, elle ne compta jamais plus de 500 membres en son sein, ce qui était déjà beaucoup. Mais en temps normal, environ 200 irréductibles la garnissaient et assuraient son prestige avec bravoure. Combien de fois une guerre semblait perdu d'avance ? Combien de fois une bataille s'engageait en défaveur d'une armée ? Et combien de fois la compagnie noire parvint à se jouer du destin en inversant la tendance et en réussissant toujours à se sortir de situations extrêmement délicates et durs à gérer. Non, vous ne pouvez ignorer ses faits et gestes et bien qu'à présent réduit à l'état d'effigie vantant les défauts de cette compagnie elle restera gravée dans les récits tel que les mieux, relatant au mieux sa vrai histoire, celles ou elle gagna des guerres et perdit des hommes seulement pour la cupidité d'un seul homme, celles ou elle fut contrainte à prendre part à des conflits mineurs et sans intérêts et enfin celles de sa déchéance..

Naissance :

Moi, Münjar jal théasul naquis un beau matin de printemps dans une contrée éloignée et froide, dans le fin fond du Norgod ou plus précisément sur le sommet d'une des innombrables montagnes peuplant cette chaîne couramment appelée les monts du nord. Je fus le résultat d'une union tout à fait légitime entre Horst jal théasul, chef incontesté de la compagnie noire et de sa compagne -privilège que seul les très hauts gradés(c'est à dire seulement mon père) pouvaient se permettre- nommé Élizabeth de Montageaise. Malheureusement pour elle, dès lors que je vis le monde, la mort vint faucher sa vie comme l'on fauche du blé pour l'emmener avec elle dans son antre glacial, placide et froide, lieu de représailles si tes péchés ne pouvaient plus se compter sur les doigts de la main. Selon les rumeurs, mon père l'aurait fait enterrer sur le plus haut sommet accessible et y aurait placé une stèle digne d'un rois ou plutôt d'une reine. Mais ce ne sont que de vulgaires cancans qui se plaisent à raconter tout à son contraire. C'est pourquoi, tant que je ne l'aurais pas vu de mes propres yeux, je ne pourrais y croire.
Mais soit passons. Je n'ai pas connu ma mère et alors ? Faut-il ressentir cette amour maternel pour vivre ? Peut être mais cela ne m'a pas empêché de survivre dans ce monde d'homme. Étant l'unique fils de ce chef redoutable, j'avais une chance, certes minimes que l'on ne m'abandonne pas aux loups comme l'auraient fait tout mercenaire tâchant de le rester. Un mercenaire ne peut avoir une vie de famille. Il doit rester sans scrupules jusqu'à la fin de son mandat et jamais il ne doit douter dans les fondements même de son labeur. Sinon, il court tout bonnement à sa perte. Cependant, la compagnie avait un code qui interdisait l'accès au femmes. On jouissait de leur corps lorsque l'on passait dans tel ou tel village, mais aucune ne devaient intégrer nos rangs. Cela distrayait nos hommes et le capitaine ne le souhaitait nullement. Bref, ne perdons pas de temps avec ce code d'honneur long et horripilant. Et puis, à présent, il n'est guère plus qu'un symbole encré dans un parchemin craquelé. Personne ne viendra vérifier si oui ou non vos actions sont anticonstitutionnel.
Après plusieurs jours mouvementés ou l'on tergiversait avec hargne sur l'avenir de l'enfant, on décida finalement de ne pas m'écarter et ainsi, ma vie débuta dans un confort tout à fait acceptable, sachant que je faisais parti à présent de cette compagnie, que je le veuille ou non.

L'enfance (0-7ans):

Je crois que le seul avantage d'être née au sein d'une telle association est de pouvoir voir des paysages sublimes et romantiques. Jamais un bambin de cinq ans n'aurait parcouru autant de kilomètre que moi. Bien que n'ayant pas de mère, j'avais beaucoup de frère, tous des frères d'armes et des futurs compagnons.

*Bientôt je combattrais à tes côtés*

Me disais-je à chaque fois qu'un gars venait me voir. Mais j'étais petit encore et bien insouciant de la vie. Cloîtré dans la tente de mon père, je ne prenais part aux batailles qu'à travers les divers récits qui étaient relatés après être rentré du champs de bataille, victorieux le plus souvent. J'étais certes plus mature que la normal et peut être était-ce du au niveau social dans lequel j'évoluais mais bien vite je prendrais compte de la réalité et de tous ses affres. Mais pour le moment, je restais puérile et peu m'importait de savoir qui gagnait et qui perdait de savoir qui était le méchant, qui était le gentil. Je ne vivais que pour et par la compagnie, bercé dans des illusions de gloire utopique. Mon père quand à lui ne fit rien pour contredire cette mégalomanie grandissante au contraire il la jugeait à son goût car souvent il discutait avec moi du métier de chef et embellissait les privilèges et le gloire que l'on pouvait tirer d'une telle place. Par ailleurs, mon rêve de toujours naquit de cet instant à l'âge de mes sept ans, lorsque je fis mon voeu..

*Je désire devenir chef à l'image de mon père et diriger une organisation telle que la compagnie noire !! *

Je ne savais pas encore que ce voeu me mènerai à la frontière du bien et du mal tant dans le futur je serais obstiné et opiniâtre.

L'adolescence (7-16 ans) :

Dès lors je ne vécu plus que pour ça, tout mes centres d'intérêts tournaient autour de ça et je crois que cela commençait à inquiéter mon père qui bien que vieillissant doutait de la crédibilité de mon amour pour les études. Il sentait que peu à peu je deviendrais plus influent parmi la troupe et plus fort et craignait que je ne tente quelque chose à son encontre. Montrais-je alors une aussi piètre image de moi-même ? Mon fétichisme pour le combat et l'art de la stratégie était telle que personnes ne pouvaient passer au travers. Chacun tâchaient de feindre l'ignorance mais aujourd'hui je me rend compte de cet hypocrisie gérée avec difficulté. Mais tout chef qui se respecte se doit d'être craint et respecté par ses hommes. Or, à l'époque, j'avais l'appréhension que l'on me craignait et que l'on me respectait. Mais j'étais considéré un étranger à la compagnie, un ennemie près à tout pour parvenir à ses fins. Cependant, perdu dans mes rêves de grandeur je ne m'étais même pas aperçu de ce détail majeur qui aurait pu me valoir la victoire. Mais ceci sera conter plus tard...
Mon apprentissage débuta dès que ma septième année s'engagea. J'appelle apprentissage le vrai entraînement. Fini mes analyses psychologiques, fini de rester abruti dans la tente qui m'est propre, fini de fuir toute scène d'action. À présent, je me trouvais au pied du mur et devrai faire face au rudes concepts que tentera de m'inculper mon précepteur qui ne fut autre que mon père. Je le soupçonne d'avoir voulu garder un oeil sur moi et mes talents. Connaissez-vous meilleur arme que de connaître à la perfection son adversaire ? Quoiqu'il en soit je n'avais pas le choix et arpentai donc cette voix avec prudence et nonchalance, bien que j'étais terriblement excité à l'idée de devenir homme, de gagner indépendance et de ne plus dépendre à part entière d'un autre, qu'il soit proche ou non. Le matin, j'avais droit à des cours plus d'ordre tactique, j'apprenais à lire et à écrire et j'apprenais surtout l'art de la stratégie avec plus d'insistance que lors de mes première années. L'après-midi venait les exercices physique et tous leur désobligeance. La nuit, j'aurais cru pouvoir me reposer pleinement, Que nenni ! À la place, je devais écouter les racontars des différents vétérans au coin du feu, afin de mieux cerner notre histoire et notre fonctionnement. Indépendamment de sa volonté, mon père m'éduquait avec zèle et sa phobie de me voir accéder au trône n'était en rien un obstacle pour moi qui profitait de tous ces instants pour m'instruire et retenir tous ce dont je pouvais. À l'évidence, mon père cherchait à m'accabler de travail afin de rendre ma vie monotone et ainsi parvenir à effacer tout instinct de rébellion et mâter cette conscience rebelle qui s'opposait à son pouvoir. Hélas, cela ne suffisait pas pour amoindrir cette passion. Seule la mort pourra m'ôter cette idée de la tête et elle n'était pas près de venir me chercher. Combien de nuit mon père à dû se haïr de ne pas m'avoir laissé 14 ans plus tôt dans la montagne. Combien de fois a-t-il cru réussir à dénouer l'étau qui l'étouffait peu à peu. Il se tuait à petit feu sans que je n'y soit pour quelque chose. Mon existence seule semblait l'horripiler. Mais je continuai mon entraînement avec zèle, ne me préoccupant que de mon rêve qui devenait à présent plus un projet qu'autre chose. Un plan s'échafaudait dans ma tête et je rassemblais les idées telle un immense puzzle...
L'anniversaire de mes seize ans était arrivé et mon avènement en tant que homme était là devant moi. Je participais à présent aux diverses missions et contrats que l'on nous donnait et mon père m'avait même confié un de ses régiments. Mais cela ne me suffira pas et ma soif intarissable de pouvoir ne pourra être assouvie que lorsque je serais chef de ma propre compagnie et pour ce faire, le projet que j'avais créé il y a plusieurs année n'en était plus un. À présent, c'était une réalité un véritable plan que j'avais peaufiné au fil des ans. Il ne manquait plus que la catalyseur, et je sentais qu'il était proche, très proche....
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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptyDim 3 Fév - 1:04

Fin d'une ère, début d'une histoire(16-20 ans(aujourd'hui))

Essayons de situer la compagnie noire dans l'histoire, chose que je n'ai que trop peu fait jusqu'à présent. Cette-dernière traversait une période sombre, une période de crise et elle acceptait toute les missions possible. Mais même avec tous les gains empochés, elle restait en déficit et l'on craignait sa déchéance prochaine. Aux abois donc, elle était prête à tout pour sortir la tête de l'eau, même à se risquer dans des missions plus compliquées que d'habitude. Cela était une aubaine pour certains et personnellement, je les approuvai totalement. Je jubilais, mon plan ce mit en marche dès que mon père, le chef, signa toute la paperasse nécessaire et apposa le sceau universel de la compagnie noire, ne sachant pas que d'ici peux, ce ne sera que ombre et poussière du passé.
Cette quête consistait tout simplement à se battre contre un faction adversaire, en l'occurrence il s'agissait d'un clan rival avec celui de notre employeur. Mais le jeu de la politique est trop exigent, trop compliqué à mon goût. Occupons nous donc de la bataille qui se profilait. Les hommes étaient confiant et sûr d'eux. Après toutes ces années à ne rien faire ou presque, après tout ce temps sans une victoire à mettre à notre actif. Trop c'est trop. Le sang bouillonnait dans le coeur de certains, les jambes tremblaient pour d'autre mais aucun n'avaient peur. bref, l'excitation semblait général. Faisant partis de l'état major, je pus donc participer aux différentes réunions qui eurent lieu afin de peaufiner notre stratégie. Nous étions inférieur en nombre mais ce n'était pas la première fois. De plus, nous avons le désavantage du terrain. Mais cela n'empêcherait en rien à notre victoire prochaine. C'était inéluctable et nos ennemis nous craignaient beaucoup je dois dire, rien qu'en entendant le nom de leur adversaire. Mais, aussi fourbe sois-je, je représentais leur seule chance je comptais bien m'en servir. Le tout étant de discréditer mon père, de lui infliger une lourde défaite. peut être par la suite la compagnie s'en trouvera moindre comparé à sa splendeur passé, mais je la redresserai et la façonnerai à ma manière. j'en étais sûr, je pouvais le faire.
Étant dans les confidences des chefs principeaux de la compagnie, prenant part aux réunion d'ordres purement stratégique je savais quels étaient nos plans et je comptais bien le communiquer à nos ennemis. Informés de cela, ils ne pourront perdre et auront la victoire pendant devant eux. Avec au bout mon rêve, ce rêve que j'avais tant désiré

Le temps s'écoula rapidement et l'heure de vérité était proche. J'étais nerveux, à bouts de nerfs. Énormément de « et si » s'intercalèrent entre mes pensées d'ordre personnels et mes idées rationnelles. Je parvins quelques heures avant la bataille à faire le vide, mais cela n'empêchait en rien cette incommensurable excitation monter en moi telle une vague échouant sur les récifs aiguisés. J'étais pressé de voir le dénouement, pressé de prendre part active au futur de cette compagnie.
Les cors sonnèrent, les deux armés se mirent en branle. J'étais à la tête de mon régiment, je ne peux donc pas décrire précisément cette bataille si ce n'est le bruit de l'acier et l'odeur de mort qui planait sur nos têtes. Sa frappaient, sa tuaient, sa assommaient, sa piétinaient mais je ne pouvais me concentrer sur l'issu. Non, j'étais bien trop occupé à assurer ma propre survie. Un coup par ci, un coup par là, un mort par ci, un mort par là. Je répétai cette action nombres de fois et je sentis mon épaules s'ankyloser. Peu à peu, je sentais notre armé reculer, ce qui était un bon présage en soi...
Je ne comptais plus les heurs ni les minutes mais une chose était sûr, la défaite semblait assurée. Cela aurait pu se passer comme cela si mon père n'avait pas été un peu poins méfiant. Il avait garder son ultime carte maîtresse, les lanceurs de sorts. Lorsqu'ils entrèrent dans la partie, combien furent les ennemies à prendre leur jambes à leur cou. Malgré les fouets des contre maître, certains parvenaient à s'échapper de ce carnage et à tailler le plus loin possible, courant avec encore les traces des illusions lancés par nos enchanteurs. Puis, mon père, malin qu'il était fit sonner un cor et un régiment apparu au sommet d'une colline. Ce n'était pas un régiment ordinaire, non, c'était un régiment de cavaliers dévalant une pentes. Il s'enfonceront dans le flan de l'armé adverse, causant de lourdes pertes. Je rageai intérieurement. Ce vieux grincheux avait prévu une quelconque trahison de ma part. tant pis, rien n'était perdu encore tant que tout ne sera pas terminé.
La bataille se prolongea longtemps encore et j'avais mal partout. Mon corps était couvert d'estafilades sanguinolentes. Comment tenais-je encore debout ? De la chance ? Non, assurément non, mais comment parvenais-je à aligner autant d'énergie, autant de combativité ? Était-ce ce fameux instinct de survie ? Peut être. néanmoins et malgré cette charge héroïque de notre cavalerie
je sentais que l'on cédait encore du terrain et que peux à peux, on reculait. parfait pensais-je. Maintenant, voici venir l'échec de mon père et l'avènement de Moach(ce surnom lui fut donné à ses seize ans, comme tous membres de la compagnie noire, personnes ne doit connaître ton vrai nom.). Hélas, nos adversaires ou mes alliés, étaient bien plus fourbe que je ne l'aurais cru. Lorsqu'il ne restait plus qu'une poignée d'hommes de chaque côtés et qu'ils avaient à présent un avantage certains, ils ne respectèrent pas notre accord. Ils auraient du nous laisser nous en aller à condition que le chef soit exécuté. Mais non, ils avaient décidés d'en finir. Ils se rapprochèrent de nous et moi, éberlué, je les contemplais s'approcher à pas feutrés. J'avais été si stupide, si ignorant ; si prétentieux. Mon père avait eu raison de moi et il ne me restait plus qu'une seule solution, la fuite. La compagnie avait certes accomplis son contrat qui était de stopper, de détruire l'armée adversaire et en vue des maigres troupes restantes, on pouvait la considérer comme réussite mais à quel prix !? Aveugler par la rage de mon échec je pris mon courage et mon épée à deux mains et m'élançai vers mes opposant. Je crois que à cet instant je me suis époumoné à crier « traitre ! » ou quelque chose dans ce genre, mais sur le coup, je ne me rappelais plus. Tout ce que je savais c'est que nos ennemies n'avaient pas eu le temps de réagir correctement et profitant de leur désarrois, je me tailladai un passage vers la liberté. Ce ne fut pas long et lorsque je vis le bout du tunnel, je ne pris même pas la peine d'exprimer ma joie de ne pas être mort et couru du mieux que je pus, cherchant à semer mes opposants. Ceux-ci furent rappeler à l'ordre par leur chef qui leur ordonnait sûrement de rester en rang et de mater une bonne fois pour toute, d'éradiquer cette compagnie franche de la carte une bonne fois pour toute. Lorsque je me savais hors d'atteinte, je fis une pause et lorsque je me retournai pour contempler le lieu de ma fuite, j'entendis des long râles d'agonie et je crus entendre un cris différent, un cris de rage, de tristesse, un cris qui aurait pu briser mon coeur, mais présent, je me trouvais renforcer et je ne commettrais plus les erreurs du passé. Non, je repartais à zéro et à présent, je devrais pouvoir créer moi-même ma compagnie. Sauf que je comptais bien ne pas l'appeler compagnie, mais armé. Sur ce, je partis pour un nouveau départ. Une page de l'histoire de l'humanité se tourne, c'est la fin d'une ère, le début de ma vrai histoire.....
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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptyDim 3 Fév - 2:00

Ton histoire est bien, mais cela aurait bienvenue que tu la situes un peu dans le monde de G&H.

Citation :
-Manipulateur avéré : Permet de s'immiscer dans le cerveau d'autrui pour une durée restreinte de seulement 20 secondes dans le but d'influencer la décision d'un protagoniste qui vous fait face. Vous n'aurez en général qu'une faible résistance mais si ce dernier vous remarque dans son esprit, alors il vous repoussera facilement et risquera de ne pas apprécier. Soyez subtil, perfide et prudent !
Manipulateur avéré : Moach peut s'immiscer dans le cerveau d'autrui pendant un temps allant jusqu'à 20 secondes afin d'essayer de l'influencer. Seulement, si la personne se rend compte de sa présence et résiste à celui-ci, Moach souffrira d'une grosse migraine pendant quelques temps.

Citation :
-Déstabilisation psychique : Vous devez préparez au préalable cette technique. Vous envoyez une vague psychique qui peut ébranler votre adversaire et vous permet de l'attaquer dans son dos ce qui aggrave considérablement les dégâts. Recharge lente et fatigue après coup donc quelque faiblesses physique.
Destabilisation psychique : Après un temps de préparation de quelques secondes pour se concentrer, Moach peut envoyer une vague psychique vers une personne. Si ça l'atteint, la personne peut être étourdie et désorientée pendant quelques secondes. Mais, le fait de lancer cette technique fatigue grandement Moach.

Citation :
-Télékinésie : Vous pouvez déplacer divers objets jusqu'à un poids maximum de 5 Kg et une durée limite de 20 secondes à la vitesse de 1 mètre par seconde. Plus le poids est léger, plus la facilité et la rapidité est accru. En contre partis, vous ne pouvez rien faire lorsque vous executez cette technique.
Télékinésie : Moach en se concentrant peut déplacer des objets dont le poids peut aller jusqu'à un kilo pendant 30 secondes et cela à une vitesse maximale d'un mètre par seconde. Pendant l'exécution de la technique, Moach ne peut rien faire d'autre. Lorsqu'il arrête sa concentration, la fatigue commence à se faire sentir.

Moach, je me suis permis de réécrire tes techniques afin de réduire un peu leur puissance et de leur ajouter des effets secondaires. Si jamais cela ne te va pas, n'hésite pas à le faire remarquer.
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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptyDim 3 Fév - 11:43

Oui j'aurais voulu la situer dans ce monde mais j'avais peur de faire une bourde alors.. Me suis abstenu.. Sinon, en ce qui concerne les techniques, mouais, sa me semble correct... Wink
Seulement, pour la deuxième technique, j'envoie une attaque psy de cerveau à cerveau, et donc, je n'ai aucune chance de rater ma cible. Et autre chose, il faudrait que la fatigue arrive par la suite, car sinon, cela ne me servirai à rien, le but étant d'asséner un coup puissant sans que on adversaire ne puisse le voir arriver. Par la suite, la fatigue arrivera ainsi qu'un mal de tête horripilant..
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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach EmptyDim 3 Fév - 13:24

Tout est bon, on va pas faire trop de chichis sur une si belle fiche. Je pense que ton histoire est la meilleure de toute les fiches.

50 Or Bonus et Niveau 1 Offert, Une belle fiche doit être récompensée

Ta signature : Moach [Aucun] ~Mercenaire (Grade 1)~
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MessageSujet: Re: [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach   [Accepté] Münjar jal théasul ou Moach Empty

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