Trag Irnanor

Prénom et/ou Nom : Trag Irnanor

Race : Humain

Métier : Druide

Savoir-faire : Enchanteur

Caractéristiques physiques : Haut de 1,72 mètres, Trag est plutôt maigre, sans muscles extraordinaires, ne menant pas un culte du corps. Il n’est pas particulièrement beau, ni fort, ni même résistant, mais surtout rapide. Il a de très longs cheveux noirs hirsutes, des yeux vert pâle, et son corps est couvert de tatouages, qui représentent des formules incantatoires druidiques censées apporter les bienfaits de la nature, et signifier un pacte signé par ses ancêtres des siècles auparavant. Il ne s’est pas rasé durant sa vie sauvage, et il porte donc une barbe de plusieurs jours, assez courtes pourtant. Il a gardé ses ongles d’une longueur de presque un centimètre, aux mains comme aux pieds et, grâce à un mélange étrange, composé d’eau, de poussière et d’autres ingrédients, il les a verni en noir (c’est d’ailleurs avec cette même matière qu’il s’est dessiné ses tatouages). Il porte aussi une ficelle à laquelle est accroché le croc d’un loup qu’il a vaincu, signe chez les siens qu’il a terminé son apprentissage.

Caractéristiques mentales : Par la voie du druide qui est la sienne, Trag n’a pas eu à privilégier le physique, mais surtout le mental. Ainsi, il est plutôt vif d’esprit. Il voue aux divinités de la nature un culte infini, et fidèle, ainsi qu’à une entité de sa famille nommée Fenrir. Plutôt sauvage, élevé dans la nature, en partie par les loups, il est suspicieux envers les hommes, qu’il voit comme des dangers potentiels, mais a plus de facilités à approcher les elfes, qui sont plus proches des forces naturelles du monde, tout comme lui. Il parle peux, préférant écouter pour se forger son avis. Il a une vision du monde assez sombre, tout en se disant que le seul moyen d’y survivre est d’honorer les puissances élémentaires qui nous gouvernent, en honorant les dieux naturels, de la vie, de la nature, et tout le panthéon de ces divinités souvent douces et pacifiques, mais aussi les dieux plus violents, des vents de tempête, de la mort,…bref, de tout ce qui relève de la nature. C’est pourquoi, chaque jour, il jette une petite partie de son repas dans le feu, afin que les fumées viennent nourrir ses dieux pour leur apporter la satisfaction qu’ils veulent, et il se bat en leur nom, pour leur honneur et leurs intérêts. Il est un druide fanatique, qui croit dur comme fer à ses principes.

Vêtements : Trag porte des vêtements assez rudimentaires, tous en peau et fourrure de loup gris : une culotte, des sortes de chaussures qui sont ouvertes vers le bout des pieds et montent jusqu’au début des mollets, et une peau qui lui enserre la poitrine, munie de fourrure sur les bords, ainsi que des sortes de brassards en fourrure autour de ses deux poignets.

Etat d'esprit : Trag a une fâcheuse tendance a considérer, comme les animaux, l’étranger comme un danger : tout ce qui lui est inconnu l’inquiète, en tant qu’ennemi potentiel. Il tend à s’éloigner de la civilisation, et préfère s’installer dans la nature sauvage, en compagnie des loups si chers à son cœur. Il est aussi un fervent adepte des religions druidiques, et croit profondément dans le bien-fondé de ses rites, persuadé que c’est là le seul moyen de bénéficier de l’aide des forces naturelles, qui gouvernent tout dans ce monde, et finissent toujours par rattraper les Hommes, quoi qu’ils fassent. Enfin, comme les loups, il ressent les liens de la « meute », c’est à dire ceux en qui il a confiance (très rares) et agit envers eux comme s’ils étaient des frères, ou des parents très proches.

Histoire : Jadis vivait un homme du nom de Glenukel. Âgé de 38 années, il avait une science des armes stupéfiante, et maniait aussi habilement de lourdes haches que des arcs puissants. Malgré la vieillesse, qui avait déjà entamé ses effets sur lui, il était magnifique, d’une beauté à couper le souffle. De plus, il était aussi fin tacticien, capable d’élaborer une stratégie parfaite dans la situation la plus critique. Mais cette homme était avide de pouvoir. Plus, toujours plus, il n’était jamais satisfait. Sa notoriété lui était montée à la tête, et il finit par s’intéresser au trône de son propre suzerain. Mais la perfection est dangereuse, et il fut bannit par les siens, pour Haute Trahison envers la Couronne. Alors, errant dans des terres désertes, maudissant son peuple qui l’avait traîné dans la boue, humilié jusqu’à lui faire tout perdre, titre, gloire et fortune. Plein de haine et de rancœur, ne désirant que la vengeance, il finit par s’exiler sur une île isolée, jurant de faire payer à ce peuple ce qu’il avait subit.

De ce qu’il fit dans ces terres perdues, on n’en a aucun souvenir. Toujours est-il que, d’une manière que nous ne savons pas, il avait signé un pacte sombre, et possédait à présent une force inimaginable, telle qu’aucun homme au monde n’en eut jamais. Accompagné d’une armée de loups, il parcourait l’île pour raser les villages, et détruire les habitants qui s’y trouvaient. Grâce à cette puissance, il s’attaqua à des navires qui approchaient ses côtes, asservissants les hommes, et se créant petit à petit une troupe de guerriers fidèles, non pas par admiration, mais par peur du sort qui les attendait s’ils le trahissaient. Puis, lorsqu’il jugea il s’embarqua, menant ses deux armées, humains et loups mêlés, pour s’attaquer à ceux qu’il haïssait tant. Mais alors même qu’il s’apprêtait à s’embarquer, un vieillard vint à sa rencontre. C’était un émissaire de Nethfer sur le monde qui, attiré par la haine de l’homme, avait signé un pacte avec lui : le vieillard lui procurait de la puissance et l’aide des loups, contre le sang d’une centaine d’hommes. Mais Glenukel, ne faisant pas attention, ne le reconnut pas et le rejeta, trop pressé d’accomplir sa vengeance. Alors, le vieillard, regardant s’éloigner la flotte, lança une malédiction sur lui, et toute sa descendance, jurant que jamais aucun être, quel qu’il soit, ne le reconnaîtrait, et que partout où il irait, ce ne serait que pour être chassé comme un animal.

Durant la traversée, Glenukel fut soudainement frappé de folie, qui ne se fit sentir qu’au début de sa campagne, lorsqu’il manipula ses troupes d’une manière complètement inconsidérée, enchaînant défaite sur défaite. Voyant qu’ils couraient vers une mort certaine, ses hommes l’abandonnèrent une nuit, et le chevalier déchu, resté seul avec ses loups, s’exila dans des lieux inhabités, où il vécu seul avec les bêtes sauvages. Puis, un jour, le vieillard reparut, afin d’achever sa punition. Lorsqu’il reprit ses esprits, et réalisa ses actes, il se suicida, préférant mourir que de voir les êtres infâmes qui naîtraient de cette union contre nature. Et ils naquirent, en effet. C’était des enfants normaux, de la même apparence que les Hommes, mais au caractère d’un loup, sauvages, craintifs. Ils furent élevés par la meute qui les avait vu naître, et par le responsable de la malédiction qui allait les frapper un jour. Les loups leurs apprirent l’art de la chasse, du combat aux crocs, et ils découvrirent rapidement qu’ils pouvaient parfois ressembler à ces bêtes, pas toujours volontairement. Le vieillard, quant à lui, leur enseigna les mystères de leur terre, les langages courants, les sciences de la nature, il leur raconta la création du monde, et leur appris les rites qu’il fallait observer chaque jour, auprès chacune des divinités qui en était à la source. Ils développèrent une religion complexe, pleine de rituels en tous genres, honorant chaque fait de Mère Nature, vivant dans les forêts pour fuir les hommes. Ils vécurent tout d’abord dans la forêt de jade, mais, lorsque les elfes vinrent s’y installer, chassés de leurs terres, ils combattirent ces êtres qu’ils ne connaissaient pas et les obligèrent à s’exiler de leur retraite, accompagné par les loups. Ainsi, ce nouveau peuple vécut en nomade, allant d’un lieu à l’autre, toujours rejetés par les habitants des régions où ils s’installaient.

Un jour, naquit Trag, un jeune homme, fils de deux druides, les gardiens de la foi dans leur société. Il fut dès son plus jeune âge initié aux rites basiques, puis aux coutumes plus complexes, appliquées seulement par les maîtres religieux. Mais plus il grandissait, plus il se demandait pourquoi les siens devaient toujours fuir les Hommes, pourquoi ils étaient chassés partout où ils allaient. Véritable fanatique de sa religion, il finit par se dire que son rôle, en tant que druide, était de mettre fin à ces voyages incessants, et décida de partir, seul, pour prêcher sa paroles aux peuples déjà en place, et tailler une place pour sa « race », afin qu’ils puissent eux aussi siéger parmi les grandes puissances, même s’il devait pour cela recourir à la violence.

Objets : Des gants en fourrure de loup blanc, munis de lames d’acier imitant des griffes, qu’il porte aux mains.

Techniques :
Communion sauvage : Trag peut communiquer avec un animal en calquant son esprit sur le sien, afin de lui poser des questions, plus ou moins développées selon l’intelligence de l’animal. Mais comme il prend la manière de penser de l’animal en question, son comportement peut être altérer pendant une ou deux heures (un tic, ou un trait de caractère).

Fils de Fenrir : Descendant des hommes et des loups, Trag peut prendre parfois des attributs de ces bêtes (des crocs, des griffes, plus de vitesse, du flaire,…), pour 30 secondes. Mais il ressemble alors à un loups-garou, et peut être vu comme tel par les spectateurs. De plus, cela peut se déclarer sans qu’il le désire, le rendant agressif et sanguinaire.

Aide de la meute : Par son ascendance, Trag peut faire appel aux loups pour l’aider. Avec cette technique, il fait venir à lui les loups dans 500 mètres à la ronde (s’ils le peuvent physiquement bien entendu). Mais s’ils ne sont pas ceux de sa tribut, ils peuvent attendre de lui qu’il les aide à son tour dans le futur, sous peine de se faire des ennemis dangereux.


Que pouvez-vous apporter au forum ? :
Bah, je ne sais pas vraiment…Je pense que je peux au moins faire preuve d’une certaine présence, du moins pendant les périodes de vacances, et apporter un peu de ma propre expérience de jeux de rôles (qui est fortement limitée, soit dit en passant). En fait, non, je sais pas vraiment ce que je peux vous apporter…Je tient tout de même à préciser qu’étant interne, il ne faut pas trop compter sur moi pendant les semaines scolaires.

Comment avez vous connu ce forum (où ET par qui) :
Par un ami d’un autre forum de rpg qui m’a fait un p’tit coup de pub, suite de quoi j’ai décidé de m’inscrire, qui est Johbiro.

Avez-vous un parrain (facultatif) :

Respect des règles du forum :

Lues et approuvées

Trag Irnanor a écrit:

Race : Fenressian (littéralement, « les fils de Fenrir », des hommes-loups)

Tu dois etre minimum moitier humain ou humain 100%

De plus, seul les demi-nain, demi-elf (y'en a beaucoup...), demi-orc sont autorise ^^

en gros, c'est un demi-loup, mais je peux le rajouter, si c'est nécessaire (c'est pour ça que je l'ai précisé entre parenthèses)

Tu ne peux pas faire demi-loup ^^

dans ce cas, un humain, alors (et j'ai modifié quelques trucs dans l'histoire, très légers, pour faire un peu concorder)

Trag Irnanor a écrit:

Puis, une fois ce cataclysme passé, ils vécurent des siècles durant dans la forêt de Jade, seuls au départ, puis en communion avec les elfes lorsque ceux-ci les rejoignirent. En effet, ils avaient pressentit que ces êtres-là n’étaient pas comme les humains.

oula

ils vont pas aimer les elfes ^^

C'est une race qui vit toute seule dans la foret de Jade et qui tue tout ce qui rentre dedant (meme les demi-elfs)

Tes loups se seraient fait massacre ^^

(d'ailleur, il faut que je finisse leur histoire... ^^)

ok ^^, j'ai édité, je pense qu'au niveau des elfes, ce doit être bon

Va voir les Dieux qui existent ici, ce sont les seuls dieux de ce monde, donc si Fenrir n'a pas laissé son nom à la prospérité, c'est tout simplement qu'il n'a pas existé. Donc, il va te falloir revoir complètement ton histoire.

Fenrir peut être un humain considéré comme une divinité, mais il ne peut en aucun cas être un Dieu.

Citation :

Communion sauvage : Trag peut créer un lien avec les animaux sauvages qui l’entoure, afin de leur soutirer des informations, la question étant plus ou moins développé selon l’intelligence propre de l’animal. En revanche, l’information peut être mal comprise, et donc erronée. De plus, cette technique ne permet pas de contrôler l’animal, qui peut toujours mentir ou attaquer.

C'est la question ou la réponse qui peut être plus ou moins développée selon l'intelligence ?
Il te manque le contrecoup.

Citation :

Fils de Fenrir : Grâce à cette technique qui lui provient de ses ascendances, Trag peut devenir mi-homme mi-loup : des crocs lui poussent, ainsi que des griffes, il devient plus rapide, et son odorat se développe. En revanche, il devient alors un animal, et peut être plus sauvage, moins réfléchit, et pense moins à ses actes que dans son état normal.

IL te faut une limite de temps.
Il faut aussi que tu rajoutes un contrecoup.

Citation :

Aide de la meute : Par son ascendance, Trag a des affinités avec les loups, et peut tenter de faire appel à eux pour l’aider dans les cas difficiles. Avec cette techniques, les loups dans les 3 kilomètres à la ronde viennent lui prêter main forte. Mais, ils considèrent qu'il a une dette envers eux, et devra par exemple les aider plus tard à son tour.

Il te manque le contrecoup.
Il faut aussi que tu précises que les loups peuvent ne pas venir à ton aide pour des raisons qui leurs sont propres.

Voilà, j'ai édité, je suis vraiment désolé de réagir si tard, mais je travaillait toute la semaine, et hier, bah...j'ai pas eu le temps. Donc, voilà, j'ai refait l'histoire, j'espère que cela vous conviendra.

Pour ton histoire de demi-loup
pourquoi ne pas faire lycanthrope ?

parce que toute la malédiction réside dans le fait qu'ils sont pris pour des lycanthropes alors qu'ils n'en sont pas

Fiche Refusée. Durée de réponse trop longue.