Le colis

[RP solo]

Bordrim Ungkor
Post Numéro 3

Suite de "boire un petit coups, c'est doux !" dans la partie "la taverne"

Bordrim marchait en direction des quais. Il ne devait pas être loin de 8H, mais les entrepôts devait être encore ouvert, après tout, on était en été et les journées était longues. Soudain, le nain sentit une présence derrière lui. Il se retourna et perçu un bref mouvement au détour d'une rue. Autrement, il n'y avait rien. Continuant sa route, Bordrim sentit quand même qu'il était suivi. Se retournant, brusquement, le nain vit une silhouette emcapuchonée dans un coin d'ombre. Elle l'observat quelque seconde puis disparu. Le nain croyant avoir affaire a un petit vauriens comme il en court les rues, il ne s'en soucia pas. Se retournant une dernière fois, il remarqua grace au soleil qui était derrière lui que c'était un jeune homme, pas plus d'une vingtaine d'années. Bordrim n'eu pas le temps d'en voir plus, la silhouette, visiblement malhabile, se recacha dans un coin d'ombre.

*Si c'est un voleur, vu sa discrétion, il ne risque pas de me faire grand chose*Pensa Bordrim en souriant intérieurement.

Le nain arriva aux quais. C'était un endroit sympathique, l'odeur de la mer était omniprésente et des marins déchargeait des cargaisons de poissons appétissant ou d'étoffes soyeuse. S'adressant à l'un d'eux, Bordrim demanda:

-Salut mon pote ! Peut-tu m'dire où sont les entrepôts ?

Bordrim n'eut comme toute réponse qu'un doigts pointé vers des bâtiments. Cela lui sufisait amplement...

Le nabot se dirigea vers ces même bâtiments et demanda au gardien:

-Hey ! Mon vieux ! Y'a pas une caisse qui est arrivée pour la taverne ? Chuis chargé de la récupérer ! Bordrim lui montra le papier.

Le gardien aquieca et désigna une caisse.

La caisse n'était pas très grosse, c'était un gros cube d'aproximativement 1 mêtres d' arrète.

Elle devait peser une dizaine de kilos, ce qui n'était rien pour un nain ou même pour un semi-nain.

Bodrim remercia le marin, mit la caisse sur son épaule et reparti.
Sur le croisement, il sentit une présence très forte derrière lui. Il posa en vitesse la caisse, sortit sa hache et se retourna. Qui-vit-il ? Le vauriens qui foncait vers lui !

[MDJs, pouvez-vous me dire si le vaurien va attaquer Bordrim ?]
[LL : oui, il attaque mais trébuche à quelque mètre de Bodrim et perd sa dague. Il se relève immédiatement et te fonce dessus à nouveau, à mains nus. Une fois à portée, il tente un crochet du gauche. Son bras n'est pas bien gros.]

Bordrim Ungkor
Post N°4

Le voyou fonça sur Bordrim Ungkor la dague en l'air. Ce boulet trébucha, se ramassa et la fit tomber. Se relevant bien vite, il couru vers le nain le poing en l'air. Le jeune idiot avait l'air bien frêle, ce qui ne l'empechait pas de foncer tête baissé.

Bordrim posa sa hache au sol, poussa la caisse a sa droite et se mis en boule. Ce qui eu pour effet de faire trébucher et tomber le vaurien sans que le nain ne ressente la moindre douleur. Se relevant, il attrapa la caisse et s'assis sur le dos du voyou. Ce dernier eu un spasme et dit quelque chose, mais Bordrim, toujours une main sur la caisse, le coupa avant qu'il n'ai pu terminer:

-Écoute-moi bien, jeune con. Je vais te dire quelque chose, que tu seras pas prêt d'oublier ! tu ne t'en prends pas a plus faible que toi. C'est bien. Mais regarde ce que ça donne de t'en prendre a plus fort que toi...

Sur ces mots, il attrapa la tête du jeune imprudent par les cheveux, la leva a une dizaine de centimètre au dessus du sol, et la claqua violemment contre ce dernier. Un hurlement glauque sorti alors de la bouche du jeune homme.

C'est bon, tu vas pas en crever, mais ca te feras réfléchir, tafiole ! Lui répondit Bordrim.

[i]A ce moment là, ce dernier senti la caisse bouger. Il saisi sa hache qui était au sol, se leva, et la pointa vers un autre voyou qui voulait la voler.

Très bien. Des complices. T'a ptetre une dague, moi j'ai une hache !!! Regarde c'que j'ai fais de ton pote ! Dit Bordrim en pointant l'adolescent qui gémissait et qui pleurait par terre, le nez en sang.
Le voyou lui jeta un regard mauvais et détala sans demander son reste.

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