Amoureux transi et papa colérique...

Alors que notre héros arpente joyeusement les rues d'Adjir sous un soleil couchant serein, il est bousculé par un malandrin pressé puis par une demi-douzaine de miliciens - sûrement causes de l'empressement de jeune homme. Lorsqu'il prend à part l'un des gardes, ce dernier lui explique le pourquoi d'une telle traque.

"Ce coquin s'est mis en tête de faire cour à la p'tiote d'Son Eminence Hagald, prévôt de not' bonne Majesté. Rattrapez-le, et vous toucherez grande-rançon !"

Alors que les miliciens s'égaillaient plus loin, c'est au tour du jeune homme, qui était parvenu à se cacher et à revenir sur se spas, de prendre notre protagoniste à parti. Il semble vouloir plaider sa cause. Après vous avoir décri (plus ou moins sincèrerement) comme un sire inspirant confiance et semblant digne des plus grands honneurs, il vous supplie d'amener à sa douce et donner la missive qu'il vous tend, là bas, dans la demeure qu'elle occupe, avec sa fratrie et le seigneur son père, vous promettant de vous offrir toute sa gratitude. Il est vrai que le bougre n'a pas l'air très fortuné.


Quête : Au choix :
- Ramener l'amoureux et/ou la lettre aux miliciens
- Ramener l'amoureux et/ou la lettre au prévôt
- Amener la lettre à la jeune fille du soupirant.

Récompense : Les miliciens ont promis 50 pièces d'or contre le jeune homme, mais le prévôt pourrait se montrer plus généreux. - La jeune fille doit avoir un peu d'argent de poche, et en donnera plus que la Maréchaussée si elle est amoureuse, mais l'est-elle vraiment ?

Complément : Si ramener le garçon aux miliciens est la méthode la plus vile et la plus sûre, tenter d'amadouer le prévôt ou sa fille peut être plus profitable, quoique plus risqué.

(Proposée par Clane)