[Valrek] Un spectacle désolant.

[Post n°24]
Valrek Dagharn

[Arrivant des Portes de la ville, Valrek se retrouva dans les quartiers marchands .]

Depuis qu'il avait quitté les portes, Valrek déambulait dans les rues, constatant, horrifié, les nombreux dégâts qu'avait causé le coup d'état. Il arriva enfin dans les quartiers marchands, centre de l'activité commerciale dans la grande ville de Port-Pergas.
Ceux-ci n'avaient surement pas été au centre de l'attaque car, ici, les dégâts étaient moindre. Seul quelques cadavres trainaient dans des coins, entassés, abandonnés aux corbeaux qui venaient déjà partticiper au festin.
C'est alors qu'un hurlement retenti, proche du chasseur de primes, dans l'une des maison qui bordait la route principale des quartiers marchands.
Les gardes ne mirent pas lontemps à accourir, craignant qu'un ennemi soit encore caché dans la maison, attendant de pouvoir s'échapper.
Valrek aurait voulu se rendre utile, aller voir ce qui se passait, mais malheureusement, son état ne le lui permettait pas. En cas de combat, il n'aurait été qu'un mort de plus, sur la longue liste déjà établie, un cadavre de plus dont les charognards auraient pu se repaitre.
Alors, patientant, devant la maison il observa ce qui se passait. Il comprit alors quand une personne ressortie de la maison, entourée par 2 gardes. La jeune femme pleurait, elle tenait dans ses bras, le petit corps d'un enfant, sans vie, livide, signe d'une mort contre laquelle on ne pouvait rien.
Au grand étonnement du chasseur de primes, des larmes coulaient sur ses joues à la vue d'un spectacle si désolant, si horrible que seul un monstre pourrait rester insensible.
*Quelle horreur ! pourquoi ? Pourquoi les civils sont-ils toujours plus touchés que les soldats ? Comment peut-on s'entretuer pour le pouvoir ? Pourquoi les enfants sont-ils aussi des cibles ?*

Détournant la tête et essuyant, d'un geste vif du revers de la main, les larmes qui coulaient toujours de son oeil unique, valrek se mit à la recherche d'un apothicaire, alchimiste ou tout autre marchand qui pourrait lui fournir de quoi soigner ses multiples blessures.
Après il se dirigerais vers la citadelle pour prendre connaissance des derniers avis de recherches.
Une fois ceci fait, il retournerait sur les routes, il irait traqué ces immondes bêtes, avides de sang, de pouvoir et d'argent qui volent ou pillent les villageois et les marchands !

[Valrek vit alors une échoppe d'alchimiste et décida de rentrer dedans.]