Le Choix Des Ombres

Post 8


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Nabaroth s'approchât près d'un garde qui surveillait les environs de l'hôtel de police. Surement un petit jeune qui venait de commencer en faisant la gardes de nuit. Le saluant de la main, le mage détourna le regard du garde sur les passants pour se concentrer vers Nabaroth.

_Bonsoir ! Je .... il ne devait pas dévoiler son identité, il n'est pas bien aimé par ici ... Je suis vagabond, je suis de passage. Je me baladais au niveau des habitions quand j'ai vue une bête noire sortir d'un maison. J'ai frappé à la porte mais personne ne repondit cependant la porte était ouverte, je cherchais les propriétaires, je ne les ais pas trouver ...

Dit-il en sachant qu'il ne pouvait pas tout dire vue qu'il les avais enterrés et cela dévoilerais son identité.

_Je vais chercher mes supérieurs. Ne bougez pas ! Disait en s'éloignant peu à peu. Dit le garde d'un air montrant son incompétence en s'éloignant peu à peu vers l'hôtel.

_C'est que je dois continuer ma route moi !

Le garde ne l'entendit pas. Cela lui attirerait des ennuis si il devait accompagner la police sur les lieux du crime; il devait partir vite.
Cependant le fait de désobéir à ses ordres le rendrait encore plus suspect.
Il y avait de l'agitation à l'intérieur de l'hôtel.
La tension montant de plus en plus. Nabaroth s'assagit sur une pierre pris son livre et le lit en attendant que la garde se décide à sortir.

//Le Choix des Ombres Chapitre I : La faille
Parti II

Ce lieu où aucunes lois réels n'existent est soumise à d'autre lois physique et magique.
Les sentiments et les passions y sont décuplés comme leurs absence.
Le temps à aucun emprise sur ces terres.
Il n'y a que du sable de couleur noir comme le ciel.
Le noir y est tellement pure que la visibilité pourrait y être réduite cependant on y voit comme un plein jour.
Cette absence de couleur parait vivante et physique.
Les sons y sont étouffés et lourds...

Nabaroth n'eut le temps de finir que la porte de l'hôtel de police s'ouvrit.
Trois gardes plus le premier garde se dirigeaient vers Nabaroth d'un pas sûre.

[Mdj: Que vont me dire les gardes ? Merci]

Les Gardes se dirigèrent vers nabaroth et l'encerclèrent :

Une bête noire dis-tu ? J'espère que tu te fous pas de nous, parce qu'avec Agramand qui s'agite, faut pas rire de ces choses-la. Bon, montre-nous la maison, nous allons voir sur place.

Nabaroth, serré par les trois gardes (nv 2), ne pouvait faire autrement que de les suivre et de leur expliquer ce qu'il avait vu...

(HRP : pour des PNJs secondaires, quand il ne s'agit pas de prendre une grande décision, vous pouvez les jouer vous-même (pour le faire inspecter la maison par exemple) ; en tou cas précisez où vous voulez en venir en HRP, qu'on ait pas à lire les 20 derniers posts pour comprendre )

Post N°9

Se levant brusquement, Nabaroth vit les trois gardes arriver vers lui, l'air agacé de les avoirs déranger. Le plus robuste d'entre eux s'exclamât.
_Une bête noire dis-tu ? J'espère que tu te fous pas de nous, parce qu'avec Agramand qui s'agite, faut pas rire de ces choses-la. Bon, montre-nous la maison, nous allons voir sur place.

Pris par le mouvement des trois gardes, Nabaroth ne pouvait que les accompagner. Puis il ajouta des informations suivante :

_C'est une boule de poile pas plus grande qu'un demi-homme avec deux appendices sortant de la forme noire. Elle c'était enfui par la fenêtre.

_Et pourquoi ne t'as t'elle pas attaquer ?!

_Parce que je pense qu'elle ne m'a pas vue.

_Vue ton accoutrement sombre tu devrais aimer ce genre de bête.
Tu n'es pas sorcier par hasard ?!

_Comme je l'ai dis a votre subalterne, je suis un vagabond je prend les vêtements que je trouve.

Arrivant près de la maison, le mage montra l'endroit puis les gardes sortirent leurs armes tout en se dirigeant vers la maison. Il y avait encore du mouvement. La bête était encore là. Elle apparut à l'entrer de la maison puis s'enfuit. Les gardes la pourchassaient.

_Ne reste pas ici! Cela peut être dangereux!

Ils s'enfoncèrent dans un bosquet avec la bête.

Nabaroth ne devait pas rester là, cela lui attirerait des ennuis. Il décida de quitter la ville, elle était trop dangereuse et lui rappelait de trop mauvais souvenir. Il se dirigea vers une maison abandonner où il y apercevait des guerriers discutant en pointant du doigt l'endroit.

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