[Le Sabot Rouge] Ou l'art de s'attirer des problèmes.

Post N°4:

La croisade des blés

Un bourdonnement, deux bourdonnements, trois bourdonnements, quatr... Nestor ouvrit les yeux, une jeune prêtresse de Kegoh avait ses mains poser sur le ventre du saboteur. Il tata son corps pour voir si rien ne lui manquait. Ou suis-je? demanda-t'il à la jeune prêtresse de Kegoh, mettant en avant son collier, pour montrer qu'il était "dévot" lui aussi. Il lui fit un clin d'œil, la jeune femme sourit. Le révolutionnaire était enchanté oubliant les horreurs qu'il venait de voir. Elle était d'une blondeure solaire, un regard perçant qui pouvait scruter les âmes les plus damnés. Son charme faisait perdre la raison au saboteur, comme dansant sur un lac dans une brume d'insouciance un matin de prière. L'ange solaire chuchota mélodiquement:

Pretresse de Kegoh- Vous allez mieux?

Nestor- De mieux en mieux hein! Votre visage m'a revitalisé.

Une voix grave à coté- Tant mieux!

Il se fit prendre par le bras, une personne assez forte le releva brutalement, c'était un militaire comme on en faisant plus. Moustache, cicatrice, galon, le regard autoritaire. Le saboteur fut enchanté que le moustachu fasse fuir sa belle prêtresse. Il regarda l'endroit où il était, une chapelle ardente, les blessés circulaient dans la pièce. Il se retourna vers le militaire, le bougre tenait son sac dans la mains, il scruta l'intérieur... Il le regarda en souriant.

Le soldat- Mon gars tu vas venir avec moi!

Il le prit par le bras, Nestor était réticent mais sa force le surpassa et se fit entrainer en dehors de l'hôpital de fortune. Passer la porte il fit un petit "Adieu" de la mains a sa belle prêtresse. Le soldat le fit traverser tout le camp, il y avait des soldats de roc-retif qui le saluait.Ce n'était pas ses amis et il n'avait pas quitté son "fief" pour se faire chopé à hautesylve. Il fit un sourire crispé. Arrivé à une tente, le soldat poussa le saboteur face à un gradé. L'homme était de grande taille, de la force même de le regard, une aura d'intransigeance surpassait l'agitation qui était en dehors de la tente. Il fit le salut militaire à son supérieur, l'autre répondait quittant des yeux de sa carte pour quelques secondes.

Le soldat- Chef ! Nous avons trouver un artificier inconscient dans la forêt, il s'est rétablis. Il n'a pas d'uniforme, surement un mercenaire.

Le gradé- Bien... Nous manquons d'artificier...

[Mdj:Avez-vous une mission pour moi?]

L'officier regarda autour de lui.
- Qu'on m'améne cinq gardes et deux archers. Une petite mission s'impose pour notre ami ! Alors... On raconte qu'il y a une nouvelle patrouille en ville, une petite composée de 4 Goules et 3 Zombies lanciers. Nos espions nous ont rapporté que leur chemin passait par deux veilles maisons anciennes. Va là-bas, retiens la patrouille et une fois que tu pourras faire peter les deux maisons, qui ne tiennent plus fort bien, je pense grâce à une vieille poutre en bois chacune, tu retires tes troupes et tu reviens. Ca nous enlevera un poid. Si tu as besoin de plus de bombes, j'pense que nos gars en ont deux sur eux.
L'officier se retourna, laissant l'artificier faire sa mission.

Hrp : Deux bombes, 5 Gardes et 2 Archers ajouté, ta mission est dans mon post.

Post N°5:

Nestor n'en revenait pas à pas, il avait des hommes sous ses ordres. Il allait leur mené la vie dure, suivre de façon aussi absurde les ordres d'un artificier. Enfin bref, il devait exécuté les ordres sinon ce serait lui qui le serait... Exécuté. Nestor sortit de la tente suivit de ses p'tits chienchien. Qu'il promenait, à l'écart du camp, il se dirigea vers un parterre de fleur pas encore souillé par la marche militaire. Il se retourna vers ses subordonnés et dit d'un ton autoritaire:

Nestor- Bon les gars vous allez cueillir ces violettes, et les manger cela fortifie l'esprit et le corps.
Garde- Mais... heu... bon okey.

Les soldats étaient un peu mal à l'aise d'exécuter un ordre aussi stupide que celui-ci. Puis il re-rentra dans le camp passa devant les soldats de Roc-Retif avec un sourire moqueur. A la sortit du camp, il y avait un carrefour de maison, ils tournèrent à ga... heu non a droite... C'est en face qu'il faut aller monsieur. Il regarda d'un air faussement hostile le lancier qui l'avait remis à sa place, il fit un "mouai" qui confirmait son manque d'expérience en matière de commandement et d'autorité.
Après plusieurs directions hasardement pris, ils entendirent des bruits de pas provenant du tournant de la maison droite de l'allée. Il se plaça dans le coin de la maison, vit la petite escouade. Il fit signe aux soldats de faire le tour rapidement pour les prendre dans leurs sens. Ils marchaient rapidement au pas léger. Arriver juste avant le tournant de la rue empreinte par la patrouille Nestor chuchota au garde devant lui: Faites une barricade avec la charrette, mettez les archers en arrière feu à volonté, une tête qui dépasse doit tomber dans la seconde qui suit. Fais moi la courte échelle et passe moi tes deux bombes.

Le garde lui passa les deux et lui fit la courte échelle, il passa dans la vieille maison. Les gardes firent face aux morts vivant, les archers armèrent leurs arcs. Les autres bloquèrent la rue avec la charrette, ils la mettaient à l'horizontal, 3 gardes maintenaient la charrette en place et les autres empêchaient les zombies de grimper sur la barricade de fortune. Nestor posa sa sape modifié sur la poutre qui maintenait le mur. Le dispositif était en place, maintenant il devait de l'autre coté. Il monta sur la fenêtre qui donnait sur la petite ruelle. Il jeta un œil sur les morts vivants, il n'était pas repéré et ses soldats se débrouillait bien. Il sauta de la fenêtre pour atterrir dans l'autre maison, il posa une bombe sur l'autre poutrelle. L'alluma, se mit sur la fenêtre et sauta dans la ruelle juste derrière les zombies,. Les morts vivants se retournèrent et pourchassèrent de 3 mètres Nestor.Arriver au bout, il amorça un saut en avant et il utilisa sa technique , il dirigea ses ondes magnétiques en direction de la première maison,fit explosé sa sappe. Il sauta en avant, il n'était plus dans la ruelle quand la deuxieme maison s'écroula.
Nestor était à terre, il se leva essaya de regarder si tout les morts vivants étaient morts mais il avait trop de poussière que cela devenait impossible.

[Mdj: Il y a t'il des monstres survivants? J'les ais tous tués? Il y a t'il des morts de notre coté?Sinon retiré Sape(Modif') et rajouter une bombe (2-1=1)]
Erg : Deux goules arrivent à éviter l'explosion et sont de ton côté, les archers zombies sont de l'autre côté du barrage mais savent toucher tes troupes comme tu sais les toucher.

Post N°6

La poussière retombait et Nestor regardait au loin, pour être percevrait-il quelques silhouettes qui lui était familière. La sol était jonché de gravats, il s'approcha lentement en jambé les restes de ce qui étaient les maisons. Il avait remplis sa mission, il voulait partir au plus vite car se n'était pas sa guerre même si le nom d'Agramand le faisait froid dans le dos. Ce n'était pas à lui de faire ce boulot. Comprenne qui veut, il voulait pas mourir sous les ordres de ceux qu'il répugne. Il y avait du mouvement en face, au loin on pouvait distingué des appelles. Il avait compris, les gardes n'étaient pas devant lui.

Quand il distingua les formes hideuses qui se tenait face à lui. Son sang ne fit qu'un tour, son pou fit des bonds et son cerveau tombait en arrière comme après une cuite d'hydromel fait maison. Il reculait, l'envie de progressé dans la poussière s'estompa. Il s'est accroupis sous un morceau de mur diagonal supporté par des poutres arrachées.
Les goules passèrent à coté de lui. Il ne savait pas se battre, encore moins sans armes, pire contre des mort-vivants.

La poussière s'estompa, il passa la tête à droite de sa couverture, il distingua son groupe qui était à sa recherche. Les archers regardaient dans sa direction, il se révéla, fit des grands signes. Quel chance, il a été vu par les soldats mais par les goules aussi. Les deux carnivores tenta de griffé le révolutionnaire tandis que les archers armèrent leurs arcs. Les flèches voltigèrent sur les cotés du combat. Le meilleur des deux tireurs toucha une goule. Cela ne fit rien, elle avait l'épaule transpercé mais était toujours aussi agile, elle ne prêta même attention à sa blessure et griffa le saboteur à la jambe. Il était de moins en moins mobile fatigué et blessé.

Les archers réamorcèrent leurs armes, mais un des deux se prit une flèche dans le cou. La troupe se tourna alerté vers l'endroit du tireur , en effet, il y avait des archers zombie embusqué dans une maison non-loin. L'homme tomba à terre faisant filé un linceul de sang, l'autre archer le secourra vainement. Il ne fallait plus compter sur eux.
Le groupe se dirigea vers le maison passant de couverture à couverture pour esquiver les flèches qui pleuvaient de la fenêtre. La plupart entrèrent dans la maison. Quelques cris monstrueux et de bruit combat plus tard les archers zombies se firent défenestrer suivit d'un éclatement morbide sur le sol.

Les goules s'approchèrent lentement, Nestor trébucha sur un morceau de tuile. Il magnétisa une de ses bombes modifier, les goules commencèrent à avancer en trot rapide vers leur proie. Il lança la bombe sur une des goules, elle esquiva mais la bombe se colla quand même à la pointe de la flèche. Nestor roula sous le mur arraché pour évité d'être soufflé par l'explosion. La goule essaya d'arraché la bombe, elle réussit plutôt à arracher la flèche de son épaule, la bombe était dans ses mains il était trop tard. La bombe explosa démembra son porteur et éjectant la deuxième goule à deux mètres. Le sabot continua à rouler sur le coté pour ne pas se faire écraser par l'énorme reste de la maison. Il réussit mais son sac resta coincé en dessus du mur. Il était bloqué.

[Mdj: Donc archers zombies, une goule et une bombe modif en moins... L'autre goule est-elle tuée par la bombe?]
Erg : Un de ses bras s'arrache.

Post N°7

Nestor était bloqué étreint par son sac qui était sous les débits de mur. Il ne paniqua pas, croyant que la deuxième goule avait surement périt dans l'explosion elle aussi. Il cria de toute ses forces tout en essayant d'arraché son sac. Il avait assez crié, il se posa inconfortablement sur le dossier de morceau de maison.

Il entendit des pas, puis des marmonnements inhumains, sur une butte de débris, la goule réapparu sans son bras. Ses yeux était rouge de colère et de vengeance. Nestor se mit à paniqué, il ne pouvait pas se défère de son étreinte. Le sac était trop solide pour qu'il puisse le retiré, il essayé de glissé mais rien n'y faisait. La goule s'approcha armant ses griffes ensanglantées. Le sabot lui jeta des cailloux mais cela empira, elle était de plus en plus énervée. Soudain il eut une claire d'idée. Le coutelas ... dans mon plaid! Il fouilla mais ne trouva rien, il l'avait mis dans le sac aussi avant de rentrer dans la Sombreforêt. Il cria de toute ses forces. La goule était à quelques mètres de sa pitoyable victime. Il regarda autour de lui, il ne vit rien pour se défendre.

Rien? Non, il y avait une barre-à-mine planté dans un tas de cailloux, il tenta de l'attraper avec sa mains gauche. En vain, sa mains retomba en bas du tas de sable, la force qu'il avait mis pour étendre son bras relâcha subitement. Il tapa dans le tas, dans un énervement désespéré. Il se fit mal, il trouva quelque chose: Une chaine longue. Il tira dessus; elle était bloquée. La goule se rapprochait encore et encore renforçant la détermination de Nestor à ne pas se laisser faire. Il força et la chaine se débloqua. La goule vit que le Sabot n'alla pas se laisser faire, elle prit appuis sur ses jambes. Elle sauta sur sa proie.

Nestor fit une geste vif en arrière avec sa chaine, attrapa l'unique bras de la goule et fit un geste fort en arrière comme pour déstabiliser le monstre dans son assaut. Le bras mort-vivant était hors d'atteinte du corps de Nestor. Il arma son et fit un uppercut dans la tête de bête. Elle fut projetée en arrière mais resta attaché à la chaine. La bête se releva avec douleur, se fit encore projeté, tomba en avant par la violence de l'acte. La tête au pied du révolutionnaire, Nestor leva son jambe et tenta écrasa la tête de la goule sur la dalle de béton. Un raté... le cris monstrueux de la goule qui se faisait martelé la tête résonna dans tout le quartier... deux ratés, la crane commençait sérieusement à ne plus tenir... Dernier coup: *SPLORTCH*. Il y avait de la cervelle qui gicla partout. La troupe montra le bout de son nez. Ils précipitèrent pour secourir le chef des opérations en déblayant pour le libérer.

Nestor se releva, essuyant la mixture morbide qui était sur son plaid et attacha la chaine autour de sa taille.

Nestor- Bon rentrons maintenant, trouvons une sépulture descente pour notre camarade et trouvons le chef qu'on en finisse.

[Mdj: Ajoutez Chaine en fer (Fouet *Qualité?*) SVP]

Erg : Fait

Post N°8

Le groupe parti en direction de la mairie, trainant l'archer qui avait décédé en tentant de sauver la vie de Nestor. Il n'y avait pas de réjouissance quant à la mission qui venait d'être accompli. C'était la guerre point.
Mais le Sabot n'était pas un guerrier encore moins une personne insensible, il était prit de remords jusqu'à ce qu'autre vienne captiver son esprit. La marche funeste gagna le camp où était le chef des opérations. Il revit le soldat qui l'avait forcé à se battre.

Soldat- Alors?! Vous avez remplis votre mission?

Nestor- Pour vous oui mais pour moi non, j'ai laissé une âme derrière moi... Il montra du doigt le cadavre de l'archer.

Les regrets s'estompèrent peu à peu, pour laisser place à une infaillible haine envers la guerre et leurs artisans. Les prêtres emportèrent le cadavre pendant que le saboteur et le soldat rejoignit la tante du chef.
Le chef était en train de se raser. Il vit les deux personne dans la glace, fit un signe à ses soldats de prendre congé. Il referma l'ouverture de la tante, demanda au Sabot de s'assoir. Il termina sa toilette et posa ses instruments de coquetterie de gradé. Il ouvrit une chemise brunâtre, chercha une feuille, la prit et la garda dans la main.

Farkan- Je m'appelle Farkan... Je suis content de ce que vous avez accomplit. Comment vous appellez vous?!

Nestor- Je m'appelle Hases Mildred, je suis ingénieur à mon compte dans la bourgade de Tristerive.

Farkan- Très bien Hases... dites moi j'ai réçu une lettre d'un agent de port pergas me disant que j'aurais un saboteur aux cheveux rouges provenant de Roc-retif... Il est stipulé qu'il serait recherché par les autorités là bas et qu'il s'appellerait Nestor.

Le saboteur démasqué se leva subitement, sentant le danger venir. Le gradé leva la mains pour calmé le personnage.

Farkan- Calmez vous, nous vous voulons aucun mal, nous voulons juste que vous travaillez pour nous.

Nestor- Il en est hors de question! Je ne "travaille" pas, je lutte quoi que vous ayez a m'offrir! La liberté, elle, elle vaut cent fois plus!

Un soldat entra affolé dans la tente, il gigota de partout.

Soldat paniqué- Ils ont lancé l'attaque, nous passons à l'offensive!

Le chef enfila son armure en vitesse prit sa hache, il passa à coté de Nestor et dit "quel dommage... on a un ennemi en commun, c'est pour cette raison que je vous laisse libre..." le saboteur et le chef sortirent de la tente. Nestor esquiva le mouvement qui le menait droit à la bataille final, au lieu de ça il vit une jeune apprenti magicienne blessé à la jambe. Sa robe était déchiré, elle attendait des soins à la jambe. Elle était brune foncé, un visage fin et gracieux, des formes succubaires, une poitrine explosante. Il n'en fallait pas plus pour que Nestor prit une trousse médical sur la table de la tente pour l'accosté. Il se plaça devant elle, il la soulagea de l'attente. Il prit la cuisse pour l'examiner, l'analyser et en profiter un peu.

Nestor- Vilaine blessure que vous avez là?!

Apprentie- Han j'ai bien honte...'faite pendant une attaque de mort vivant avec mon groupe. Ben j'ai mal incanter un sort, la boule de feu m'a brulée légèrement...Rho *pffff* j'voulais continuer mais on m'a congédié.

Nestor- Ne vous inquiétez pas mademoiselle, les arcanes demandent de la patience. Je suis sur que même votre charme peut être une arme de choix pour combattre. Il lui fit un clin d'œil. La magicienne fit un rire de flatterie vide d'intelligence. Il appliqua le baume sur la brulure, il ne savait pas si cela ferait quelque chose à la blessure, d'ailleurs il s'en moquait.

Esclave de ses plusions?