[Helzeb + Johbiro] Toujours en fuite !

Helzeb Kan Hazan
Post n°45

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Un péril était franchi qu’un autre se dressait. Maintenant qu’il avait quitté ce quartier de nobliaux, Helzeb se retrouvait dans un quartier marchand. Qui plus est, celui-ci n’était pas très organisé et prospère. Ce fait étant dû à de nombreuses guerres internes et externes qui avaient ralenti l’essor économie de la ville. Mais cessons ce cours d’histoire. Car le point positif de ce quartier pour des fugitifs est justement le désordre. Si Helzeb trouvait une solution pour s’accaparer ce privilège, sa fuite deviendrait plus plausible.

Après avoir traversé la porte enflammé, il était atterri sur une roulade sur le côté pour taire cet aléa. Si tôt fait, il se releva promptement et… Un être joyeux lui sauta dans le dos, s’agrippant à son cou. Qui était-il pour s’accrocher à lui ? Inconsciemment, son premier geste fut de le rejeter. Ce qu’il fit. Les deux humanoïdes se retrouvèrent ainsi face à face. Helzeb ne bougea pas, bien que ses ennemis arriveraient en masse. Quelque chose lui disait que cet être elfique n’était pas à tuer, à frapper peut-être mais non à tuer.

« Qui es-tu ? Et pourquoi as-tu l’air si joyeux dans cet enfer ? »

…

[Ce qu’il se trouve entre ses crochets serait se qui se passerait dans nos prochains posts. Puis, choses faites, nous repartirions sur la suite de mon post. Car je ne me vois pas refaire tout mon post et supprimer ce qui a déjà été créé. Surtout que j’ai demandé quelque chose aux Mdjs. Bref… Postons normalement et reprenons notre épopée…]

…

Tout d’abord personne ne voulut interrompre un demi-orc au visage effrayant de convictions, de douleur et de rage. Puis, quand ils remarquèrent la fumée, ils hurlèrent « Par ici ! » ou « A mort ! » ou bien d’autres dérivés. Des étals recouvraient les rues comme de nombreux tapis tout plus différent les uns que les autres. Tous hurlaient pour la perte de leurs victuailles et richesses qui étaient foulés sans grand intérêt premiers par des jambes vert-gris.

Les nobles et leurs serviteurs criaient à la populace de faire place et de mettre en fonction tous les hommes armés ainsi que ceux qui savaient se battre. Certains s’emparèrent de couteaux, d’autres de lances ou bien de pots, tous ce qui passait à hauteur de leurs mains. A ce rassemblement s’ajoutèrent les commerçants, les acheteurs, les touristes et les vagabonds. Que pouvait bien faire ces derniers ? Certains se poseraient cette question. Et bien on leur répondrait qu’ils firent foule, qu’ils génèrent les assaillants et que sait-on d’autres.

Une délicieuse odeur de pain s’empara du sens olfactif de la peau verte. Puis une odeur de viande rôtissant à petits feux dans la rue, sûrement un cochon bien dodu, bien gras. A cela pourrait s’ajouter de délicieuses pommes de terre à la peau jaune-or, croquantes à l’extérieur et douce au goûter à l’intérieur. Une multitude de saveurs titilla les papilles d’Helzeb. Ses mains s’emparèrent donc de certaines victuailles qu’ils pourraient manger plus tard si les conditions le permettaient.

« Il est ici ! »
« A mort la peau verte ! »
« Sus au meurtrier ! »

Le temps n’était point au festoiement, il était à la fuite. De nouveaux étals furent mis en déroute. De tierces personnes maugréent. Un amalgame de sentiments régnaient en ces bas lieux : la colère, la peur, pour ne citer que ces deux là. Les deux plus importants… La peur était un excellent moyen de pression sur la populace, elle permettait de soumettre n’importe qui à ses règles, à ses convictions, ses humeurs… Helzeb devait utiliser ce stratagème et il avait déjà son idée sur la question. Il en avait même plusieurs…

[Mdjs : Pourriez-vous m’ajouter quelques victuailles ? Et pourriez-vous me dire si un Mdj serait libre pour jeter un œil sur ma montée de niveau. Merci.]
[S : Tu as attrapé 2 pains ronds, 2 bas morceau de viande et 3 légumes. Je te les rajoute.]

Johbiro
Post n°20
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« Qui es-tu ? Et pourquoi as-tu l’air si joyeux dans cet enfer ? »

Quelle question! Pourquoi donc ne le reconnaissait-il pas? Ils avaient été compagnon, puis serviteur ensemble. Johbiro avait même essayé de lui sauver la mise une ou deux fois. Cette question ne pouvait signifier qu’une seule chose: un nouveau jeux! A lui maintenant de trouver les règles. Peut-être le jeu de l’amnésie ou celui des questions bêtes? Il ne savait, alors, dans le doute, il inclue les deux règles et ce mit à jouer.

« Je ne sais pas qui je suis ni pourquoi ou comment je suis. Et toi? Qui tu es, comment pourquoi? Hihihihi! Ohohoho »

Ce petit défi allait être vraiment intéressant et marrant. Le demi-orc semblait avoir pas mal d’idée incongrue pour s’amuser. Cela plaisait vraiment au semi-elfe, vraiment beaucoup beaucoup ahahaha. Il sauta alors dans le dos d’Helzeb, s’accrochant à son cou.

« A dada sur mon demi-ooooooorc,
Que je tripoooooooooote,
Parce qu’on est pooooooooote,
Et que tout sa vaut de l’oooooooooor … »

Soudain, il s’interrompit. A quelques mètres de là, il venait d’apercevoir un objet d’une grande beauté. Une lance, son arme de prédilection. Il se dirigea vers le petit étale et se mit à marchander avec un petit vendeur au visage rubicond:

« - Très bon choix… Elle est parfaitement équilibrée et sa résistance est à toutes épreuves. Vous pourriez même déboucher les oreilles d’un troll avec.
- Peu m’importe votre blabla. Je sais encore reconnaître une bonne lance quand j’en voie une (son ton était devenue cassant, quand on marchande on ne plaisante pas). Combien?
- Mhmmm… Vous être un connaisseur donc j’imagine que vous en prendrez grands soins. Je pense pouvoir vous la faire à 110or.
- Vraiment? Une petite ristourne ne serait pas possible?
- Monsieur, avec tout le respect que je vous doit, je vis du commerce et si j’accordait « une petite ristourne » à toutes les personnes qui m’en demande, je serais à la rue.
- Cependant, je ne vois personne dans votre boutique, votre emplacement n’est pas des plus approprié pour vendre des armes et le tas de bouteille d’alcool derrière votre porte semble indiquer que les affaires ne vont pas fort. Écoutez moi donc: voici ma lance, elle est je vous l’accorde, d’une qualité inférieur à la votre, mais j’ai aussi ces trois petits couteaux de lancer. Je vous vends ses quatre objets puis je vous achète votre lance avec la petite ristourne. De cette manière, vous gagnez peu sur la lance que vous me vendez mais ensuite vous pouvez revendre mes armes. Quand dites vous?
- Je ne sais pas trop … .
- Moi, je sais. A combien m’achetez-vous ceci?
- 80or non négociable.
- Ça me va parfaitement. Maintenant, à combien me vendez-vous votre lance?
- J’imagine que je peux baisser le prix de 10or, maximum. Ne m’en demandez pas plus, ou sinon partez d’ici.
- Voyons mon ami. Vos prix me semblent tout à fait raisonnable à présent. Voici mes équipements et 20or.
- Partez maintenant, je ne veux plus vous revoir. »

Une fois n’étant pas coutume, Johbiro obéit et s’en alla, en direction du demi-orc qui ne semblait pas avoir bougé. Il remonta dans son dos et se remit à chanter:

« A dada sur mon demi-ooooooorc … »


[MDJ: Merci de m‘enlever ma lance médiocre, mes couteaux de lancer médiocre, 20or et de me rajouter, Lance bien forgé.]

A: Fait

Helzeb Kan Hazan
Post n°46

Cette chose en face de lui était très étrange. Il n’étais pas très haut, avec des cheveux bleus et ne faisait que s’exclaffer. Qui était-il ? Ce qu’elle disait était étrange, était-ce énigme ou paroles immatures ? Helzeb n’eut le temps de lui poser la question car le petit être était parti marchander une lance. Une lance ! Mais oui, il savait qui elle était. C’était son compagnon Johbiro, le demi-elfe qui avait la capacité de changer d’apparence. Donc ceci en était une nouvelle, et bien soit. Pendant que son compagnon parlementait, le demi-orc observa les alentours. Ses assaillants étaient encore au loin. Les rues étaient remplies d’étals, les marchands se réchauffaient autour d’un bon feu, ils… Le feu ! Quelques minutes plus tard, il revint avec un nouvelle lance, plus solide que celle d’auparavant. Il s’agrippa sur le dos de la peau verte et recommença à s’exclaffer pour un rien, en chantant des musiques enfantines. Il ne chercha pas à l’enlever de son dos, il savait que ce serait peine perdue. Alors il se remit à courir.

« Johbiro. Que dirais-tu de jouer à un jeu sympa ? … Cela t’amuserait de mettre le feu à ce quartier ? Car il se trouve que ses occupants s’ennuient. Pourrais-tu les aider ? »

Si son compagnon à l’humeur joyeuse et enfantine accédait à sa demande, ou plutôt acceptait son jeu, il plongerait le quartier dans les flammes et une vague de frayeur l’envahirait. Il continua à courir, essayant de mettre du chemin entre ses bourreaux et lui. Heureusement pour lui, Johbiro ne pesait pas lourd sous cette forme. Il vola au passage quelques nourritures. La populace s’était levée, armé ou fuyante. La peur commençait à ronger les esprits des faibles. Le chaos ne tarderait pas à couvrir de son voile la populace.

« Pourrais-tu me prêter ta lance ? J’aimerais moi aussi m’amuser. Ah ah ah !!! »

Si son compagnon ne lui prêta pas sa lance, il se servit d’un de ses piètres poignards. Il se glissa derrière un inconnu, peu importait que ce soit un noble, un marchand, un inconnu ou un vagabond. Peu importait la race pour ce qu’il allait faire. De son arme, il trancha le cou de sa victime. Le sang sortit à flots et l’éclaboussa. Son rire s’ajouta aux cris. De sa main libre, il s’empara de la tête, rejetant le reste du corps comme un déchet. Ses jambes se remirent en action, la tête au bout de son gras tendu, sa capuche s’était baissée dans l’action, laissant afficher une expression de folie meurtrière sur le visage d’un de ses abjectes demi-orcs. Quelques mètres plus loin, il le lança dans la foule, libérant un nouveau flot de panique. Une majorité de la populace détala, horrifié. Une autre partie, appela les hommes armés, les nobles, tous ceux qui pourraient les défendre, tous ceux qui pourraient éliminer le Mal.

*Que la fête commence.*

Helzeb se remit à courir. Sa blessure au ventre l’élança. Elle ne tarderait pas à se rouvrir. Il lui fallait désormais trouver une idée pour se nouveau problème. Valait-il mieux trouver quelqu’un qui pourrait le soigner ? Mais personne ne l’aiderait dans ce quartier. Ou valait-il mieux trouver un havre de paix et prendre le temps de se reposer ? Mais dans ce cas aussi il ne pourrait, comment trouver un tel endroit dans ce qui serait bientôt une ville à feu et à cendres. Inconsciemment, il porta la main à son ventre et émit un petit son. Etait-ce de l’accablement ? Du désespoir ? De la souffrance ?

Johbiro
Post n°21

Mettre le feu? Sa pourrait être marrant. Après il pourrait ainsi voir comment ce comporte ces petits humains face à leur allié ancestral. Les hommes ont œuvré depuis le début du commencement avec le feu contre l’obscurité. Mais maintenant, qu’allaient-ils faire contre lui. Longtemps ils ont mis pour le maîtriser, de nos jours encore ils essayent de le dompter, de diminuer sa fureur ardente.


Ahaha ça serait vraiment drôle de voir leurs tronches déconfites par la terreur. Quant à prêter sa lance, c’était hors de question. Elle était à lui et il ne l’avait même pas encore essayé. Le privilège de l’utiliser en premier lui revenait de droit. De plus, si Helzeb en voulait une, il n’avait cas s’en acheter une. A vrai dire la remarque du demi-orc l’avait un peu refroidit et il répugnait maintenant à l’aider.

Oui! Il boudait! Et alors?! C’était son droit. Son compagnon avait manqué de tact et il le payait maintenant par l’attitude de son confrère. Toujours accroché dans son dos, Johbiro leva la tête avec dédains et ferma les yeux laissant seulement un son parvenir de sa gorge: Hum!

Le demi-orc fit donc sans, mais cela ne contraria point ses plans puisqu’il réussit tout de même à couper la tête d’un homme et à la balancer dans la foule, créant un élan de panique général. Panique… oui … mais aussi répulsion. Voyant que finalement cela pouvait servir ses propres intérêts par la même occasion, le semi-elfe noir fit un simple geste des doigts et déplaça la flemme d’une bougie d’une étale, contre laquelle les deux compères se tenaient, en direction du toit de chaume qui la composait. Celui-ci prit feu sans que personne n’ait remarqué son intervention. Ni la populace, ni le demi-orc. C’était beaucoup plus marrant ainsi. De cette manière il pourrait jouer la comédie du gars stupéfait et admirer la réaction des gens.

Ahaha, il allait vraiment bien s’amuser. Même si … au fond de lui … un peu de rencoeur envers Helzeb subsistait

Helzeb Kan Hazan
Post n°47

La course d’Helzeb se faisait moins rapide mais plus fastidieuse. Devoir courir à travers une masse de chairs chaudes affolés n’était point très plaisant. Il força tout de même le passage. Les femmes criaient et les enfants hurlaient dans son sillage. Il faut dire aussi qu’Helzeb faisait peur. Ses yeux étaient exorbités de plaisir, ses canines étaient à nues, et son visage et ses vêtements ensanglantés. De plus, il ne cessait de rire. Tout cela l’amusait à un plus haut point. Pourtant il s’arrêta. Un fou avait osé l’affronter, armé d’un bout de bois quelconque, il l’avait attaqué au ventre. Par pur réflexe, le demi-orc l’avait rejeté comme un moins que rien, se tenant le ventre de l’autre. Une sueur froide coulait de son front. Il ne fallait pas que ce qu’il redoute arrive, si cela devait arriver… Il repartit donc à vive allure, cherchant du regard un abri, une aide. Quelque chose qui pourrait l’aider. Il ne savait même plus ce qu’il cherchait… Une odeur. Qu’est-ce que cela sentait ? Un homme hurla quelque chose en pointant du doigt quelque chose qui se trouvait derrière lui. La tête de la peau se tourna plus que rapidement, lui arrachant un râle de douleur et de colère envers lui-même et sa phobie. Le toit de trois maisons brûlait. Le feu gagnait sans cesse du terrain et personne ne pouvait rien y faire, les bâtisses avaient un ou deux étages et le temps que les hommes fassent passer des seaux d’eau, une bonne partie de la ville seraient en proies aux flammes voraces, aux formes alléchantes et aux doux crépitements. Perplexe, il se retourna vers son ami, il était toujours là. Il n’avait pas bougé et pourtant le feu était présent. Etrange coïncidence. En tout cas, la peau verte se retrouvait contraint à bouger, à courir. Il ne pouvait en aucun cas s’arrêter.

« Mon ami ! La ville, devant. Nous aurons bientôt franchi une nouvelle épreuve ! Nous… Bwarf ! »

Du sang étouffa les palabres d’Helzeb. Sa blessure au ventre s’était rouverte. Une peur tétanisa ses muscles. Il ne survivrait pas. Sa blessure était dans un état critique. Donc il ne pourrait plus courir bien longtemps. Le feu assaillait la ville et des hommes armés l’assailleraient. On ne pouvait faire pire situation. Même son compagnon ne pourrait beaucoup l’aider. Il n’avait plus qu’une solution.

« Ami Johbiro. Pars sans moi. Fuis et ne te retournes pas. Je ne survivrais pas mais toi si. Tu survivras. »

Joignant le geste à la parole, il le prit par la chemise et le poussa. L’obligeant à poursuivre sa route. Son autre main tentait désormais de retenir le fin filet de sang. Ce n’était plus qu’une question de temps avant que la blessure se rouvre et saigne abondamment. Déjà dans sa tête, il se voyait agenouillé en pleine rue, les épaules avachies, sa blessure déversant sa vie. Les flammes danseraient en toile de fond, et les hommes s’approcheraient très doucement, comme dans un cauchemar.

« Par ici ! »

Qui cela pouvait-il être ? Se pourrait-il qu’il y est quelqu’un qui les comprendrait ? Qui voudrait les aider à fuir ? Ou était-ce un ennemi qui souhaitait les entraîner dans un guet-apens. Helzeb releva les yeux, et essaya de voir son interlocuteur. Il vit tout d’abord une forme noir, quelques couleurs vinrent puis un calque flou se colla à sa rétine. Il allait bientôt tomber dans les limbes de Nethfer…

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[Amis MDJs : Qui est cette personne ? Que nous veut-elle ? Pouvez-vous écrire ce qu’elle va nous dire ?
Johbiro : Il faut que l’on change de sujet pour aller dans les rues et les habitations.]
[LL : C'est un membre d'une guilde de voleurs. Ils connaissent votre situation (grâce à un espion chez dame machin truc) et acceptent de vous aider et de vous soigner à condition que vous bossiez pour eux.]

Johbiro
Post n°22

Le demi-orc tentait de le sauver. L’envoyant vers l’avant de manière à lui sauver la vie, quitte à perdre la sienne. C’était … touchant. Ça éveillait en Johbiro de profond sentiment. Comment quelques secondes auparavant, pouvait-il bouder contre cet être de bonté et d’amour? Comment avait-il put ignorer les intentions pures de son compagnon? Alors qu’une horde d’homme se laissait à leurs poursuite -enfin, à poursuite d’Helzeb car lui n’avait rien fait et pouvait très bien jouer le rôle d’otage- il choisit de ce mettre entre eux. Son compagnon à terre, perdant son sang et des guerriers larges et fières. Il s’interposa entre les deux camps, tenant sa lance comme un enfant un bâton, tremblant, le visage apeuré mais le regard assuré. La collision n’allait pas tarder. Ils étaient au bout de la rue. Maintenant à sa moitié. Et …

« Par ici! »

Sauvé! Enfin… était-ce la voix d’un sauveur? Très certainement. De toute façon, il n’avait pas le choix. Johbiro se dirigea en direction de l’inconnu qui s’occupait déjà du demi-orc. Grâce à lui, ils trouvèrent une échappatoire, non pas sur ou sous le sol mais bien au dessus. En effet, dans cette partie de la ville, au plein cœur des habitations, la plupart d’entres elles sont relié par la voie des airs grâce à des « mini pont ». Ils avaient vraiment eut de la chance d’éviter la confrontation qui aurait sonnait leurs fins. Helzeb et Johbiro se dirigeait maintenant en direction du repère de la guilde des voleurs. En chemin, leurs sauveurs leurs résuma la situation passé, présente et avenir. Ils rebroussèrent ainsi chemin. Ils repassèrent par le quartier marchand dont le feu était en train d’être maîtrisé, puis par le quartier noble plus désert que les étendus d’Akranikas. Je vous épargnerais le jeu de cache qui se déroula tout le long de ce court, par la distance, mais long, par le temps, trajet.

Ils arrivèrent enfin en vue du château. Frôlant les murailles. Collé à l’une d’elle, une vieille église oublié de tous, à l’écart de la ville, dans la ville. C’était là que de nouvelles péripéties allaient se jouer.

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[HRP: Dodo...]