[Alurio&Gaëllas] Premiers contacts avec la civilisation.

Alurio Ikyo
POST N°1




Alurio qui venait du nord de sa forêt qui rappelons le est en dessous d'Adjir, cherchait de quoi se refaire une vie. Comment ? Il n'en avait pas la moindre idée et ce fut la page blanche de suggestions internes chez lui. C'est donc dans le néant de l'ignorance qu'il se jetait dans la civilisation qu'il n'avait jamais connut.


Le jeune semi-druide marchait de longues heures vers le nord. Il n'y avait rien. Que de moyennes herbes qui lui arrivaient aux mollets et qui s'entortillaient à ses pieds. La sensation était désagréable car la rosée s'était déposée sur chaque brin de cette immense océan vert. C'est dans l'humidité pédestre la plus totale qu'il continuait son chemin vers le nord.

Au bout d'un long moment de marche, il sentit son carquois, moisit et rongé par les mythes s'alléger. Il se retourna et s'aperçut qu'il s'agissait de ses flèches qui étaient tombées par terre. Il ôta son sac en cuir déstiné a les acceullir et vit qu'il était totalement troué. Il le lâcha sur le sol et reprit sa route, flèches en main. Il fallait trouver un marchand et vite. Il connaissait ce genre de personne. Des gens de son village lui avaient raconter qu'il fallait débourser de l'argent pour recevoir des objets en échange. Dans la communauté ou il vivait, tout était gratuit et les hommes étaient en entente parfaite. Bine qu'il n'ai pas une seul idée de se que provoquait l'avarisme, il pensait déjà:

** Ce moyen de vivre ne doit pas être facile pour tout le monde. C'est "l'or" qui doit déterminer la classe **

Il porta la main a son menta et se le frotta en lever légérement les yeux.

**...Et pas le courage et la bravoure comme au pays de mon enfance.**

Il continua sa route et put apercevoir au loin la sillouhette de ce qu'on lui avait décrit comme étant une ville. En fait, c'était l'éclat de la façade qui lui avait attirer l'oeuil. Il s'approcha assez pour pouvoir distinguer les grand murs de cette bâtisse. Une grande porte se dressait a ses yeux. elle comportait un grande herse. Gardée par deux gardes équipés de lourdes armures et de grandes hallebardes a sa droite et a sa gauche, elle avait l'air infranchissable.

L'un était grand et on pouvait voir un panache de blond sortir de son heame témoigant de sa chevelure longue. Une arbalète de très bonne qualité a vue d'oeuil était accrochée a son dos. L'autre était plus trappu et n'avait qu'une hallebarde.

Il s'avança et leur fit signe de paix comme le font les messager pour son village et ceux-ci le regardèrent d'un air bizarre. Légérement mal a l'aise il continua son chemin ...

( Esperant être un bon premier post ^^)

Achat et ... Rencontre ?

Gaëllas
Post n°1




Après avoir repris confiance en lui je jeune sorcier décida de revenir dans son pays natal (adjir). Un pays ou les hivers son plutôt rude mais les étés assez plaisant.

Il était donc la assis à la porte de la ville, une jambe tendu et l’autre repliée sur lui. Il admirait le paysage, et attendant dans un silence que seul le sifflement du vent dans ces oreilles perturbait. Gaëllas aurai plus rester planté la pendant des heures et des heures, perdu dans ses pensée, ses souvenir. Le jeune attendait un déclique, un évènement, un cri…Mais rien de tout cela apparut seul le silence répondait a son appelle invisible.
Il ce retourna et vue qu’il n’était plus seul une patrouille de valeureux garde était la, ils avaient sûrement pris leur tour de garde. Gaëllas leva les yeux pour deviné l’heure, mais ses yeux c’était habitués a de voir que sa robe noir ou l’herbe vert et lorsqu’il regarda le soleil la chaleur emplit c’est yeux ce qui l’obligea a baisser la tête.

Il regarda les gardes de nouveau, ils avaient un air familier. Les gardes devaient avoir son age, ils étaient plutôt bien bâtis, assez robuste. Au bout d’une vingtaine de minute, Gaëllas senti un odeur, une senteur très spécial un parfum que l’on oublie jamais, c’était un code autrefois quand le sorcier n’avais que 10-15 ans les enfant et lui avaient inventés un code. Ils avaient pris une plante à la senteur très forte (mais pas forcément désagréable), cela leur permettait de ce reconnaître si ils ce croisaient. Mais pourquoi cette odeur ici et maintenant ? Quand le garde ce mis a parler, c’est la qu’il comprit tout de suite cette voie c’était celle d’un camarde de classe un très vielleux camarade de classe. Quand il compris il ne bougea même pas le petit doigt, il se dit qu’il ne valait peut être dire qu’il était revenu. On lui avait dit qu’après son départ et la mort de son père, il avait eu une forte tension entre tout les paysan du village pour savoir qui pourrait avoir les nombreux champs de ses parent et on lui appris aussi que certaine famille les plus lier était devenu les pires ennemies.

** la jalousie des hommes est une chose que je ne comprendrait jamais, ils avaient juste a partage les champs en part égale mais il a toujours eu des mécontent**





voila mon premier post