MDJ (Brisecous) Maitre du Jeu
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| Sujet: [Saega] Anhiya Thilamène Sam 2 Fév - 17:23 | |
| Nom : Thilamène Prénom : Anhiya Âge : 17 ans Race : Humaine Métier : Fille d’Idraya Savoir-faire : Enchanteur
Description physique : Femme âgée d’environ d’une vingtaine d’années. Elle est assez grande, mesurant un peu moins d’un mètre quatre-vingt. Elles possèdent de longs cheveux roux bouclés arrivant au milieu de son dos. Sa peau est diaphane mais ces pommettes ont une légère coloration rosée. Ses yeux sont comme des émeraudes, purs et d’un vert ensorcelant. Elle est très jolie, elle tient sa beauté de sa mère. Elle est assez mince, mais elle est sportive et est plus endurante que sa musculature ne le laisse présager.
Description mentale : C’est une personne très autoritaire, elle ne supporte pas qu’on lui tienne tête. Elle fera tout pour parvenir à ces fins. Elle est très fière. Elle ne supporte les personnes mièvres et s’inquiétant en permanence de sa santé et de son bien être. Elle déteste être couvée et enfermée dans un cocon. Elle ne supporte pas d’avoir une vie complètement réglée et ne lui laissant aucun répit. Elle souhaite être libre, c’est la raison qui la poussée à aller jusqu’à Djel’Fa malgré le danger que cela présentait. En parlant de cela, le danger ne lui fait pas peur, mais elle n’est pas pour autant inconsciente. Ayant passé la grande majorité de sa vie à Hautesylve dans l’entourage de sa mère, elle s’est familiarisée avec la politique et les complots que cela pouvait engendrer. Son intelligence est assez affûtée mais elle n’aime pas avoir à y faire appel. Elle préfère agir, plutôt que de perdre du temps, mais elle n’hésitera pas à faire preuve de circonspection aux moments opportuns.
Etat d’esprit : Elle est encore un peu déboussolée par les événements qui l’ont conduite à Djel’Fa, mais elle apprécie toutefois la liberté dont elle jouit à présent qu’elle n’est plus à Hautesylve. Mais, elle s’inquiète un peu au sujet de sa mère.
Vêtements : Elle porte à présent des vêtements assez amples blanc crème la protégeant du soleil tout en la réchauffant suffisamment pendant les nuits froides.
Objets : Aucun, elle a tout perdu lors de l’épisode malheureux où elle tomba du bateau l’emmenant sur le continent Djel’Fa.
Histoire : Dès sa naissance, sa mère la laissa à la charge de son grand-oncle (l’oncle de sa mère). Sa mère était trop occupée par ses obligations, aussi ne la vit-elle que très rarement. Les rares fois où sa mère était présente furent cependant d’intenses moments de joie. Cela se passait généralement le soir, très peu de temps avant le coucher. Idraya venait s’asseoir sur le rebord du lit de sa fille et lui racontait des histoires le temps qu’Anhiya s’endorme paisiblement.
Son grand-oncle l’adorait, et ce sentiment était réciproque. C’est lui qui lui apprit à marcher, à parler, à lire, à écrire. Il essaya de lui transmettre son savoir et de lui inculquer l’intérêt de l’art qu’était la politique, mais bien qu’elle soit douée, elle n’en détestait pas moins ceci.
Elle était dans sa treizième année lorsque son grand-oncle rendit son dernier souffle et alla rejoindre Nethfer. Cela attrista beaucoup l’adolescente. Tout d’abord, parce qu’il s’était comporté comme un père et qu’il lui avait appris pleins de choses. Ensuite, car cela signifiait qu’elle allait devoir quitter le lieu où elle avait passé toute son enfance et devoir se séparer de tous ces amis. Et surtout car elle savait pertinemment qu’elle devrait à présent habiter dans la Mairie sans pour autant voir sa mère plus fréquemment.
Les quatre années qui suivirent se déroulèrent comme elle l’avait imaginé, sans intérêt. On la forçait à suivre le protocole à la lettre, à s’intéresser à la gestion de Hautesylve, à étudier la magie et à la maîtriser et à craindre la menace qu’Agramand représentait pour la ville. Elle avait perdu son libre-arbitre et sa liberté de mouvement en vivant tout cela. Mais parce qu’elle ne possédait pas la même force de caractère et la même volonté que sa mère, elle dut tout subir. Elle tenta à de nombreuses reprises de s’enfuir de la Mairie et de Hautesylve, mais les rares fois où ses entreprises étaient couronnées de succès, elle ne pouvait pas profiter de ce sentiment de liberté qu’elle recherchait tant plus d’une semaine. Cela aurait pu passer pour un appel au secours, mais la ligne la reliant à Idraya semblait coupée car sa mère était trop occupée. | |
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