Helzeb
Désigné volontaire
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Date d'inscription : 16/04/2008
Inventaire
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 | | Sujet: Le jugement Lun 12 Mai - 12:36 | |
| Helzeb Kan HazanPost n°6Post n°4 à 5 -- Tristerive, prochaine étape Lorsque Helzeb se réveilla, ce fut dans un cachot. Un garde se trouvait là. A l’expression de son visage, il devait l’attendre depuis un sacré bout de temps. Le demi-orque avait du se reposer assez longtemps du fait qu’il avait utilisé deux techniques qui lui demandait de l’énergie. L’homme lui fit un signe pour lui dire de se lever. Helzeb se leva, remarqua que ses mains étaient liées, que son bâton n’arpentait plus son dos, et que ses écus avaient disparus. Le garde le prit hostilement par le bras, l’emmenant dans une salle où il serait jugé. Ils marchèrent vite. Ils devaient être pressés. Helzeb arriva dans une petite salle, s’il ne savait pas qu’il était jugé, il n’aurait jamais imaginé que cette pièce servait d’hôtel de police.« Quel est votre nom ? »« Helzeb Kan Hazan. »« Helzeb Kan Hazan. Vous êtes accusé d’agression envers cinq militaires de Tristerive. Heureusement pour vous, ils ne sont blessés que superficiellement. Le jugement annoncé est une remise de 50 écus et, si vous ne possédez pas cette somme d’argent d’une semaine de cachot. Monsieur, allez chercher les affaires personnelles d’Helzeb Kan Hazan. » *Diantre. Dans quelle merdaille me suis-je fourré.*« Bien entendu. Vous n’aurez le droit de vous servir de votre arme une fois remise. Si toutefois vous décidez de vous en servir. Sachez que la sentence sera la mise à mort. Et sachez également qu’il y a trois fois plus de gardes que vous avez combattu dans et autour de cette pièce. »Un garde revint. Il portait dans sa main droite le bâton et de l’autre la petite bourse. Le demi-orque remarquait quelque chose. Il ne possédait aucun bien. Simplement une arme et un peu d’argent. Mais pour un être comme lui, cela lui suffisait amplement. A la remise de ses rares biens, Helzeb ouvrit sa bourse, en tira 50 écus et les donna contre son gré à l’homme qui l’avait jugé. Il sortit. Personne ne l’arrêta. Après cette mésaventure, qui lui avait fait un peu de bien au passage, il décida de se trouver un endroit où dormir. Mais avait-il assez d’argent ?? Il ne lui restait que 10 écus. Il se devait de trouver une quête, remplir sa bourse. Et s’il ne trouvait de quête. Il n’aurait pas le choix. Il volerait…[Mdj, enlevez moi 50 écus.]
[ Eliz : Fait ]
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