[Thorgrim] perché dans un arbre

Post Numéro : Premier
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Il avait fait beau ce jour la, pas une goutte de pluie n’était tombée, une journée sèche et aride. Thorgrim, drapé de son accoutrement marchait sous une chaleur de plomb. Un petit vent faisait danser les cheveux noirs ténèbres de l’adolescent et soulevait la poussière des routes cahoteuses. Thorgrim devait plisser les yeux pour ne pas recevoir de grains de sables. De part et d’autre du chantier, il y avait des arbres avec un feuillage touffu et au loin, des collines. Au loin, vraiment en arrière plan, on pouvait apercevoir les Montagnes Noires, comme un épais nuage de brume d’où sortait quelques pics. A l’opposé de cette sinistre montagne, il y avait, en arrière plan aussi, entre les arbres, la mer qui reflétait de milles feux l’astre du jour. On apercevait au loin des voiles blanches, qui semblait ne pas bougeait de leur terre bleue. La colline sur laquelle se trouvait Thorgrim offrait un panorama magnifique. Il s’assit sur une pierre ronde et plane, grise et brûlante du au soleil. Il s’assit la et se contenta du paysage qui s’offrait à lui. Seul, au milieu de deux choses complètements différentes, avec d’un côté le Chaos et l’esclavagisme avec les Orcs et de l’autre la liberté de voyager sur l’Océan.

Après de longues minutes de contemplation, Thorgrim se décida à repartir sur sa voie et se fit une promesse.

- Je jure de me libérer, de connaître enfin la paix avec moi-même et d’oublié mon ancien maître …

Suite a ces paroles, il se souvint de la douleur de son bras et se retint de pleurer, mais une larme s’échappa de son œil et coula le long de sa joue, avant d’être emporté par une brusque rafale de vent vers les Montagnes Noires. Il reprit sa route sur le chemin sinueux a travers les collines et les plaines, emmitouflé dans sa capuche.

C’est alors, qu’au loin, il entendit des cris, traversant le feuillage des arbres et s’intensifiant avec l’effet d’écho du vent. Il décida d’aller voir ce qui se passait là-bas, vers les Montagnes Maudites. Il grimpa alors dans un arbre, en s’aidant de sa chaîne pour y arriver. Au sommet, il ne vit rien et décida d’avancer parmi les arbres sans se faire remarquer. Il sauta alors de branches en branches, manquant de se ramasser par terre a trois reprises. C’est alors qu’il découvrit le spectacle ensanglanté qui s’offrait à lui. Une carriole de marchands se faisait attaquer par une bande de quelques bandits. Il y en avait 3 qui dérobait les biens des morts et deux autres qui faisaient les guets.

- S’il … S’il vous plaît, laisser-nous la vie sauve, lâcha une voix féminine très douce.

Thorgrim ne pouvait cependant pas attacher cette voix a un visage, car la femme qui avait prononcé ces paroles était cachée derrière la carriole et Thorgrim ne pouvait la voir. Un bandit s’approcha de la femme et l’adolescent entendit des cris horrifiés provenant de la même voix. L’enfant resta perplexe, attendant de voir ce qui se passait. Un des bandits commença à rire aux éclats. Puis, un bruit sourd retentit, soulevant un petit nuage de poussière. Thorgrim pu voir, car les roues de la carriole étaient grosses et elle était haute, une femme écroulée par terre, décapité, sa tête non loin de son corps avec une expression horrifié et les yeux écarquillés. C’est alors que Thorgrim pu voir le chef du groupuscule. Il était chauve, grand, bien bâtit avec des muscles saillant, une épée a double tranchant dans la main droite et une bourse dans la main gauche. Il était vêtu avec une chemise sans manche en laine, entrouverte, laissant apercevoir son ventre, des gants et des bottes de cuir avec un pantalon en toile, tout de couleur noire et doublée en laine, ce qui faisait une impression de grosseur sur le corps du bandit. Mais ce qui avait le plus marqué l’adolescent, c’était le tatouage tribal sur le crâne du géant, qui était sur le côté gauche, qui partait de son œil, allait sur sa joue, sur son oreille et sur le haut de sa tête. Cela lui donné vraiment un air de barbare. De plus, il avait un sourire machiavélique, ce qui intensifier la vision d’horreur qu’il donnait aux autres. Il scruta tous les bandits, et vit qu’ils avaient tout le même tatouage, au même endroit. Il pu remarquer également qu’il y avait 3 bandits a l’arme de corps a corps, deux a l’épée et un a la hache, un a l’arbalète et un autre a l’arc.

* Hum … Un groupe bien formé, avec des personnes qui comblent le point faible de ses autres camarades. * pensa l’enfant.

Il regardait agir les bandits, qui croyaient être tout seuls, mais qui était espionner par un enfant. Le chef ouvrit une grosse mâle en bois avec un coup de pied, mais il cria suite a ce qu’il avait trouvé. Thorgrim ne voyait pas ce qu’elle contenait, perché la haut, a plus de 10 mètres du sol. Mais il se rendit bien vite compte que c’était des vêtements, car le chef les jetés en l’air par-dessus son épaule en criant à pleins poumons :

- Ce n’est pas possible ! Argh ! On nous a roulés ! On nous roule pas comme sa !!!
- Chef, ce n’est peut-être pas dans cet mâle la, heu, je pense … Dit une voix apeurée, provenant d’un bandit
- Peut-être … avoua le chef.

* Hahaha ! Pas très futés les bandits * pensa Thorgrim en esquissant un petit sourire malin.

Le chef pénétra dans la petite carriole, et il jeta tous ce qu’il avait trouver par les portes cassées. C’est à dire 2 autres mâles et un panier en osier.
Mais c’est à ce moment, que Thorgrim voulant se mettre accroupi sur la branche, glissa et se rattrapa de justesse pour ne pas s’éclater la face par terre. La branche bougea quelques feuilles tombèrent. Tous les bandits dirigèrent leurs regards vers cette fameuse branche.

[ MDJ : Est-ce que les bandits on vu Thorgrim ? Si oui l’attaque t-il ? Si non se méfient-ils et pour quoi le prennent-il ? Merci ]
Erg : Ils envoient un millicien (Niv 0) vérifier ce qu'il se passe. Les autres continuent leur route.

Post Numéro : Second
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Le chef le premier leva les yeux vivement vers l’arbre mouvant. Puis, dans un élan de colère, continua de fouiller sa carriole en criant d’une voix rude et forte :

- Siker, va voir c’qui s’passe là-haut !

L’homme décida de bouger après quelques secondes que son chef lui est parlé. C’était le bandit arbalétrier qui bougea, donc Thorgrim en conclut que c’était lui Siker. L’homme plaça une flèche sur son arbalète avec une finesse renversante, pendant ce temps, Thorgrim se mit à plat ventre sur sa branche pour ne pas se faire repérer. Tout doucement, le bandit visa approximativement l’endroit ou avait bouger la branche, puis décocha une flèche en toute certitude. Elle siffla, coupant l’air a vive allure, et Thorgrim ne la vît pas partir, mais heureusement pour lui, elle allât se planter dans le tronc de l’arbre à côté de l’adolescent.

* Ouf, je l’ai échappé belle celle la ! J’espère qui recommencera plus, l’imbécile. * Pensa Thorgrim apeuré.

Et, dans un vacarme assourdissant, le chef prit une malle et la jeta de toutes ses forces contre le sol, qui sembla trembler sous le poids de cette attaque, et dans un cri de fureur, il prit la seconde qui allât s’écraser non loin de la première. Les mâles s’ouvrirent et laissèrent échappé des bibelots et des objets de petite valeur, comme des vases, quelques bijoux et beaucoup d’habits.

- Siker ! J’ai dit d’aller voir, pas d’tirer d’dans comme un dératé imbécile ! Monte à l’arbre ! Cria le chef bandit.
- Mais, c’est que j’sais pas monter à l’arbre moi … dit timidement le responsable.
- Mais qu’est-ce que j’fous avec des incapables pareil moi ? Puis après une courte pause ou il reprit lentement son souffle, il continua. Qui sait monter à l’arbre ici ?

Thorgrim se rassura et se dit qu’il ne recommencera plus et que si personne ne montait dans l’arbre, il s’en tirerait bien.

- Heu, moi j’peux montait aux arbres, mais j’garantis rien, il est haut c’ui la. Bredouilla une voix venue de nulle part.
- Bas vas-y qu’est-ce t’attends ? Mon cou d’pied au cul pour t’aider et t’faire monter en 4^e vitesse ?

Le bandit s’exécuta alors vivement, rangeant son arme dans son fourreau, et commença à se diriger vers le tronc de l’arbre. Le premier bandit resta la tête basse, honte de ne pas savoir monter à l’arbre. Quant au chef, il ne savait plus quoi faire et s’assit par terre. Il prit sa tête entre ses deux grosses main, comme pour réfléchir, tandis que le bandit essayer de grimper a l’arbre. Il chercha dans sa besace quelques secondes, sous le regard inquiet du jeune homme plus haut, et trouva une ficelle a laquelle il y avait un grappin. Il la fit tourner et la lança le plus haut possible pour attraper une branche. Manque de chance, le grappin ne prît rien et il faillit se tuer avec car il tomba non loin de la tête du bandit et il du l’esquiver avec une grande habileté. Il réessaya, mais la, le grappin s’accrocha sur une branche. Oubliant de tirer sur la corde auparavant, le bandit commença son ascension, mais la branche, trop faible, céda sous le poids du bandit, et il finit par terre sur les fesses dans un craquement. La encore, il faillit se faire assommer par son grappin. Le chef bandit leva les yeux, et soupira. Dans un excès de fureur, il prit la toute première mâle, qui était encore intacte, et l’éclata contre la pierre ou il était assis. Elle se brisa en mille morceaux et, avec les bouts de bois éparpillés, des dizaines de pièces d’or s’envolèrent. Le chef content de lui, appela ses compagnons avec un grognement digne d’un ours. Heureusement pour Thorgrim, le bandit cessa sa tâche fastidieuse pour aller fêter cette trouvaille auprès de ses camarades. Il n’avait pas bien compris ce qui se passait jusqu'à ce qu’un bandit jeta les pièces en l’air. Alors, a ce moment, il vit que c’était des pièces d’or.

Le chef bandit ordonna de les ranger dans un grand sac qu’il avait jeter par terre. Ses esclaves s’exécutèrent, et après quelques minutes, le sac était dûment rempli et bien redondant. Mais, quelques choses d’imprévue se passa. Un des bandits accusa un autre de ses congénères d’avoir volé une pièce d’or, et cela partit en bataille générale. Le chef n’y pouvant rien, il prit le sac et s’en allât en courant. Les bandits, en train de s’entre-tuer, réalisèrent la supercherie, et commencèrent à courser leur chef. Bien que deux bandits étaient rester à terre, gravement blessés, leurs compatriotes semblaient vraiment s’intéresser à l’or plutôt qu’a leur vie. Thorgrim en profita alors. Il descendit de son arbre tranquillement et se dirigea vers les deux bandits handicapés. Un était déjà debout se tenant le ventre, tandis que l’autre rester par terre a se tenir son bras et sa tête. Le bandit debout vît approcher le jeune homme et laissa échapper un soupir de colère. Le deuxième bandit impuissant, se mordait les lèvres de ne pas pouvoir se battre.

[ MDJ : Est-ce que le bandit debout est en état de combattre ? Est-ce que l’autre bandit se relèvera ? Merci ]

Erg : Le bandit débout tombe à terre sous la douleur tandis que l'autre se relève.

Post Numéro : Troisième
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Thorgrim regarda furieusement son adversaire. Du sang était appliqué sur sa main, qui appuyait fort sur sa plaie au ventre pour empêcher l’hémorragie de se répandre et de se vider de son sang. Thorgrim comprit qu’il ne ferait pas long feu, et décida d’en finir rapidement.

- Hum … C’est ça, le mal. Pas de bons copains hein ? Richesse vaut mieux qu’amitié ? Dit Thorgrim d’un ton de défiance.
- Ta gueu … Gueule le mioche … On t’a pas sonné … Arhg ! Prononça lentement le bandit debout.

Thorgrim ferma les yeux et se concentra quelques secondes, écoutant attentivement son environnement. Puis, a travers de ses habits, son tatouage brilla furieusement, laissant échappé un grand flash doré continu, et, dans un cri de rage, la chaîne de l’enfant apparut enroulé autour de son bras. Le bandit debout tomba dans les pommes, suite a sa douloureuse blessures. Thorgrim laissa échappé un soupir de lassement, comme pour montrer que les bandits étaient des incapables. Mais a ce même moment, le bandit par terre se releva brusquement, empoignant la première épée venue et se dirigea en charge contre Thorgrim. Le garçon, trop lent pour esquiver totalement le coup, eut une petite taillade sur l’épaule gauche. Il comprit que le combat était lancé.

Cela ne serait pas facile, malgré que le bandit soit légèrement blessé à la jambe, car un fin filet de sang coulé le long de son pantalon en l’assombrissant d’un tapis rouge foncé et commencer à une déchirure de celui-ci au niveau de la cuisse. Thorgrim savait que c’était la qu’il fallait viser, mais c’était un angle difficile a avoir. L’adolescent secoua son bras, et sa longue chaîne se déroula dans un fracas par terre soulevant un peu de poussière. Il fit avec sa chaîne deux tours de son bras, pour avoir un peu de mou a disposition et se décida à attaquer. Il leva le bras et le tourna au-dessus de sa tête très vite, la chaîne fendait l’air dans un souffle continu, mécanique. Thorgrim fît une feinte de lancer sa chaîne et le bandit recula. Il décida donc de partir à l’assaut. Il courut sur quelques mètres, toujours en tournoyant sa chaîne et la lança en direction du bandit, qui reçut un coup dans la main, mais très faiblement. L’homme mal rasé lâcha un grognement et chargea son adversaire. L’étau c’était refermé, Thorgrim l’avait emmené dans son piège. Il entrelaça rapidement une nouvelle fois sa chaîne autour de son bras, puis, dans un mouvement circulaire, la ramena vers lui tout en se déportant sur le côté. La chaîne, tel un serpent, lâcha premièrement une vague et partit en pourfendant l’air vers le bandit. Il n’eut pas le temps de comprendre le piège qu’il avait déjà la tête détachée de son corps. Elle montrait une attitude horrifiée sur un visage avec une moue particulière et des yeux écarquillés. Elle sauta dans une gerbe de sang du corps et valdingua à quelques mètres plus loin dans un roulement de tambour. Elle était dorénavant un peu sale, du a la terre du sol. Le bras de Thorgrim le lançait furieusement, et celui-ci serait les dents dans une grimace de douleur pour ne pas la montrée. Il ramassa l’épée du bandit, et allât voir le second. Il lui planta dans le dos, et celui-ci cracha du sang. Ses dents étaient rouges, ses yeux également, la douleur parcourait son corps, informé ses nerfs qui le faisait terriblement hurler. Mais quelques secondes plus tard, lui aussi eut la tête décrochée par un coup d’épée bien placé.

Thorgrim se reconcentra en fermant de nouveau ses yeux et son tatouage se remit à exploser, et sa chaîne disparut dans un nuage de fumée. Il fouilla les corps rapidement, peut-être avait-il oubliait des choses, mais qu’est ce que cela lui faisait ? Il rangea le tout dans son sac, laissant derrière lui ce qu’il ne pouvait mettre dedans. Il lâcha simplement une petite phrase mesquine, provocatrice a l’encontre des misérables pilleurs :

- Misérable ! C’est donc tout ce que vous savez faire ? Hé bien, cela ne vol pas haut.

Et, a la fin de ses paroles, il courut dans la direction empruntée des bandits fuyards, pour les rattraper. Il avait une mince chance de les revoir ses gaillards là, mais il s’entêta et accéléra sa course. Pendant sa course, son bras le faisait terriblement souffrir suite a son utilisation, mais Thorgrim, courageux, ne broncha pas et continua sa lancée vive évitant rapidement les branches par terre et en esquivant les troncs des arbres gigantesques. Par terre, il y avait un tapis de feuilles mortes et de mousse, et a chaque pas, les feuilles volaient de quelques mètres de leur emplacement.

[ MDJ : Qu’est-ce que Thorgrim a trouvé sur les cadavres des bandits, bien qu’il les aient fouiller rapidement. Sa blessure est-elle sérieuse ? Merci ]
[LL : La blessure est sérieuse oui. Thogrim perd beaucoup de sang et bientôt, il va avoir la tête qui tourne. S'il ne fait rien, il va tomber dans les pommes et si personne ne lui vient en aide, il mourra. Sur les cadavre, tu as trouvé une dague médiocre et une petite gemme brute.]

Post Numéro : Quatrième
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Thorgrim courait et courait encore, en se tenant l’épaule. Il avait vraiment mal. Il s’arrêta alors, pour voir sa blessure. Elle était plus sérieuse qu’elle en avait l’air. L’entaille était profonde, et on voyait la chair a vif a travers la peau. Le sang ne s’arrêtait pas de couleur, alors Thorgrim s’appuya contre un arbre. Il transpirait beaucoup, suffoquer tellement il avait chaud. Sa bave était pâteuse, et il ne voyait plus trop bien. Il continua tant bien que mal de marché en serrant fort son épaule pour stopper l’hémorragie. Son bras le faisait terriblement souffrir, sa chemise était rouge de sang … tout son bras était rouge de sang. Il se débrailla, ouvrant sa chemise du plus qu’il est pu, enlevant son turban, puis son bandeau, qui laissa sa chevelure volée au gré du vent. Il marchait, il avait fait quelques pas … deux mètres. Se raccrochant à chaque branche qu’il pouvait pour se maintenir debout. Ses jambes ne tenaient plus son corps, sa tête ne tenait plus son esprit, ses yeux ne tenaient plus sa vue, ses oreilles son ouïe, ses mains le toucher. Il vacillait, comme s’il était complètement saoul. Ses yeux devenaient laiteux, vitreux, il avait la tête qui tournait violemment.

Puis, il s’arrêta pour souffler. Il cracha du sang. Il soupira de fatigue et de lassitude. C’est quand il faillit s’endormir, qu’il entendit croisé le fer. Des grincements aigus qui parvenait à ses oreilles. Des cris de rage et de douleur. Il se releva alors péniblement, s’adossant contre le tronc gigantesque de l’arbre auquel il était. Il marcha lentement, en titubant, faillit tomber deux fois en raccrochant le bout de son pied dans une racine qui faisait surface. Il s’avança, se rapprochant indéniablement du combat. Il s’écroula de tout son long, dans un fracas de branches cassaient. Il rampa un peu, avec beaucoup de mal, puis, a l’aide de sa main, il écarta le feuillage pour voir ce qui se passait.

Il vît alors le chef des bandits se battre contre deux de ses acolytes. Les coups d’épées et de hache s’entrechoquant faisait de nombreuses étincelles. Deux contre un. Un avantage certains pour le couple, mais le chef des bandits se battait très bien. Il esquivait habilement et contre attaquer de toutes ses forces. Mais a deux contre un, il vint vite a s’essouffler. Il se débattait comme un animal, malgré les coups qu’il subissait. Sa main était en sang, il avait une entaille au niveau du torse, deux autres sur la jambe gauche, et une sur l’épaule droite. Bref, il était en mauvaise posture.

Il enchaînait les coups inutiles, tapant dans le vent. Malgré cela, il avait l’impression de force et d’intimidation. Il trancha tout de même la main d’un de ses assaillants, qui cria de douleur. Il n’eut pas le temps de comprendre que sa main était détachée, qu’il reçu un autre coup d’épée dans l’abdomen. C’était finit pour lui. Il se tordait de douleur par terre, se roulait en se tenant le ventre, ne savant plus quoi faire. Quelle douleur atroce devait-il subir ? . Le combat repris alors, mais cette fois-ci en un contre un.

Le chef prit les devants en essayant de faire un coup de haut en bas. Son compère pu esquiver le coup, car il était trop prévisible, mais il était déjà en garde après ce coup, que son subordonné ne pu attaquer. Et le combat s’enchaîna, chacun portait des coups terribles a l’autre, on voyait bien que chacun voulaient sortir vainqueur en tuant son adversaire, car la haine les animait, pas seulement la haine, le goût de l’argent, de l’or, car le combat était partit de la, pour une malheureuse pièce d’or soit disant volée. Alors, chacun essayait de trouver la faille, attendant qu’il fasse l’erreur fatale.
Mais personne ne la faisait. Il se contentait de rester la, a se fixer d’un regard noir, intimidant. C’était également une guerre des esprits. Qui flancherait le premier ? . Le chef avait un avantage la dessus, car il avait était son supérieur, mais le second était motivé par l’argent. Une bourse remplie de quelques dizaines de pièce d’or.

* Juste pour cela … Ils se font la guerre ? Décidément … * Pensa Thorgrim.

Et c’est la qu’il tomba dans les pommes. Sa vue commença à se troubler qu’il avait l’impression qu’il y avait un voile devant ses yeux. Sa tête le faisait terriblement souffrir, et son épaule le lançait. C’est dans cette douleur qu’il lâcha tout et tomba de sommeil, inerte, gisant la, au milieu du feuillage. Mais avant de s’évanouir, il vit une ombre derrière le feuillage a gauche de lui, s’apprêtant à attaquer.