[Alydus] A la recherche d'explications

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Post n°116
<[Alydus]>

Action précédente la taverne

Le soleil était encore bas dans le ciel. Le lutin se réveilla doucement tnaids qu'Alydus surveillait les alentours, les hommes ne semblaient pas être en vue. Seul quelques personnes étaients présentes, pas toutes réveillées. C'était l'heure d'aller au travail.
Alors qu'est-ce qui c'est passé hier soir ?
Je t'expliquerais ça dans un endroit calme, ici les murs ont des oreilles.
Bien mais j'oublierais pas à quel point c'était désagréable.
A qui le dis-tu...
A chaque coin de rue Alydus fesait attention. Il avait mit la capuche que sa nouvelle tenue offrait. La capuche prévoyait aussi un masque pour la bouche et le nez. Seuls les yeux d'Alydus étaients visibles et n'importe qui, qui aurait vu Alydus dans les yeux saurait le reconnaitre. Il devait rester ici encore une journée pour savoir si Rogor viendrait avec lui. Il profiterait de cette journée pour enquêter sur ce qui s'était passé hier soir.
**Et moi qui pensais ne rien avoir à faire aujourd'hui !**
La seule explication plausible qu'il restait à Alydus était le fait que le marchand soit un ami de Phineas, peut-être même fesait-il parti de la coopération. Mais dans ce cas, se rendre à Sryam ne servirait à rien. Oui, il devait faire chanter le marchand. De toute façon la réaction du marchand suffirait amplement comme réponse. La seule chose qui confortait Alydus était le fait que le marchand ne l'avait pas arnaqué sur la tenue de combat. Alydus se dirigeait vers l'endroit où il avait acheté ses vêtements. Malheuresement il ne savait pas où il était, les petits dédales de rues ne l'aidaient en rien dans sa recherche. Il s'approcha d'un vieillard courbé sur une vieille canne de bois.
Bonjour, pourriez vous m'indiquer la direction du souk s'il vous plait.
Heh, qu'eque qui m'veut l'gamin ?
Le vieillard n'avait plus toutes ses dents, ce qui n'aidait pas la compréhension d'Alydus.
Le souk..
D'la soupe ? Mais c'té pas encore l'heure..
Alydus cria dans les oreilles du vieillard, tout le monde aux alentours se retourna stupéfait.
Le souk !
Une femme s'approcha d'Alydus avec un regard sévère, elle pointa son doigt dans une direction.
Merci.
Le vieux ne bougeait plus. Alydus partit dans la direction indiquée par la jeune femme et tout le monde reprit le cours normal de la vie. Alydus ne tarda pas à voir les étalages et les marchands qui crient. Le mage s'approcha de l'étalage du marchand de vêtements.

[HRP : Quelle est la réaction du marchand, sachant qu'elle soit normale, s'il est pas dans le coup de l'attentat d'Alydus, soit il s'enfuit, où reste bouche bée en voyant Alydus s'il est dans le coup]

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Le marchand se retourna et fixa lentement, bouche bée.
"Vous... Vous n'êtes pas mort ?"
Le marchand recula, il fallait maintenant pour lui déguerpir... Un poignard à la main, il s'arrêta contre un mur...

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Post n°117
<[Alydus]>

Je le savais raclure !
Alydus enjamba l'étalage du marchand, malgré l'extrême rapidité d'Alydus, le marchand eut le temps de s'enfuir. Alydus le poursuivait. L'homme n'était pas très grand et ne courrait pas très vite ce qui le désavantageait face à Alydus. Tout à coup Alydus réflechit à ce qu'il ferait une fois qu'il l'aurait rattrapé. La garde se jeterait sûrement sur lui et il serait jeter aux geôles.
Au voleur, arrêtez le voleur !
Le marchand parut surpris, Alydus avait appris cette technique depuis son adolescence. Sur un marché ou un souk peu importe la différence, ce que les gens détestaient le plus, c'étaient les voleurs à l'étalage. Il suffisait de crier "Au voleur" pour arrêter quiconque. La technique marcha immédiatement. Un homme d'au moins deux mètres s'interposa à la course du marchand. Alydus attrapa l'homme par les habits au niveau du cou.
Merci, brave homme.
De rien, je détèste les voleurs dans son genre.
Le marchand était ébahi. Il rétorqua.
Mais vous ne comprenez pas que c'est un menteur ?
Tais-toi sale voleur !
Alydus infligea une rouste au marchand.
Maintenant tu vas venir t'expliquer !
Ne soyez pas trop dur avec ce clochard, il fait ça pour sauver sa peau les temps sont durs...
Moi un clochard mais non je..
Le marchand ne finit pas sa phrase qu'Alydus lui infligea un deuxième coup dans la figure.
Vous m'excuserez mais mon père est mort à cause d'une de ces pourritures alors maintenant je veille au grain.
Oh je comprends votre sentiment.
L'homme donna un grand coup de pied dans les côtes du marchand.
Ca t'apprendra raclure !
Merci de votre coopération, vous serez récompensé pour ça !
Savoir que je vis dans un monde plus sain est ma seule récompense.
Si tout le monde était comme vous le monde serait meilleur. Bonne journée !
Bonne journée l'ami !
Alydus força le marchand à se relever puis le traina à travers les rues. Les passants jetaient des regards perplexes aux deux hommes mais voyant qu'il ne fuyaient, ils reprenaient leur vie comme si de rien n'était. Alydus arriva enfin là où il voulait emmener l'homme. La taverne. Il déposa l'homme et dégota des cordes pour attacher l'homme. Une odeur de chait en putréfaction émanait du premier étage. Alydus ne prêta pas attention aux nombreux vers qui jonchait les sols de la taverne. Il s'assit en face de l'homme et le regarda fixement. Il se leva et donna une autre rouste au marchand. L'homme se mit à crahcer du sang sur la table. Il ne semblait pas très entrainé pour la torture.
Tu vas peut-être pouvoir m'expliquer ce qui se passe.
Vous pouvez toujours courir !
Alydus frappa une nouvelle fois l'homme. Il se leva et mit à marcher derrière lui. Il lui attrapa la main droite.
As-tu peur de la mort ?
Vous bluffez, je suis trop essentiel à vos recherches pour que vous me tuiez.
En es-tu si sûr que ça ? Après tout je pourrais très bien vivre avec ce machin dans le bide, je m'y suis fait. Alors tu as le choix. Je vais te poser des questions. A chaque fois que tu me réonds mal je te coupe quelque chose. On va commencer par les doigts, puis les bras, puis on remontera petit à petit. Et tiens pour te montrer que je ne bluffe pas, on considère que tu as donné une mauvaise réponse.
Alydus trancha le petit doigt de l'homme qui se mit à crier de toutes ses forces, Alydus lui donna une nouvelle rouste pour le faire taire.
Tu es disposé à donner de meilleurs réponses ?
Enfoiré.
Et encore je suis pas le pire, où est Phineas ?
Là par contre j'ai pas menti, il est à Sryam, au port !
Y'a t'il un moyen d'enlever ce truc à l'intérieur de mon corps ?
Je sais pas..
Mauvaise réponse !
Non !
Alydus trancha le second doigt du marchand.
Il y'a un moyen, un seul.
Et tu le connais ?
L'homme ne répondit pas. Alydus frotta son épée contre son majeur et l'homme répondit rapidement.
Oui je sais.
L'homme marqua une pause.
Il faut...il faut vous planter une épée en plein coeur !
Hmmm pour que je meure ?
Non ce n'est pas tout.
Expliques toi.
Si on vous plantes une épée en plein coeur vous ne mourrerez pas. Enfin si vous mourrez mais, avec une technique spéciale, vous reviendrez à la vie. Il faut pour ça que ce soit une femme qui vous aime qui plante l'épée dans votre coeur. Puis il faut qu'elle vous donnes un baiser pour que vous reveniez.
En es-tu sûr ?
Je vous jures que c'est la vérité !
Fais tu parti de la coopération ?
Oui...
Alydus trancha la main entière de l'homme. Le marchand ne criait plus.
As-tu pris part à mon expérience ?
L'homme pleurait.
C'est de l'excellente qualité la tenue n'est-ce pas ?
Alydus gifla l'homme si fort qu'il s'en fit mal à la main. Il fulminait de rage tandis que l'homme sanglotait.
Putain tu vas répondre à mes questions ?
T'imagines que cet esprit bride tes pouvoirs ? Tu seras fort quand tu l'enlèveras.
Alydus gifla de nouveau l'homme puissament.
Oui j'ai pris part à ton expérience.
Alydus empala l'homme sur la table. Un long filet de sang jaillit de la bouche du marchand. Alydus n'avait pas voulu tuer le marchand mais sa main avait agit toute seule, sous le regard impuissant de son maitre. Il demanda au lutin qui tremblait.
Les rats ont-ils une bonne mémoire.
Assez bonne pourquoi ?
Dis lui d'aller voir la fille qui m'a embrassé près d'un étang et de lui rapporter toute la scène. Qu'il revienne ensuite.
D'accord.
Le lutin se mit à parler dans une langue bizarre. Il pluerait à moitié. Alydus rangea son épée. Il s'assit sur une chaise en face du marchand qui le fixait les yeux ouverts. Le rat descendit des vêtements d'Alydus et sortit.
Je vais tout t'expliquer pour que tu comprennes mieux.
Inutile, le rat l'a fait pour toi.

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Post n°118
<[Alydus]>

Alydus fouilla le cadavre du marchand puis sortit de l'auberge. L'air ne semblait pas être pareil dehors. Alydus marchait tranquillement quand les deux hommes de la nuit précédente fîrent leur apparition au coin de la rue. Au début Alydus crut que ce n'atait que le fruit de son imagination mais après quelques secondes il se rendit compte qu'ils étaients bien là. Mais qu'allaient t'ils faire ? Il y avait du monde partout. Alydus leur cria.
Si vous cherchez votre employeur il est à la taverne.
A la suite de ces mots Alydus s'enfuit à travers les rues.
Pourquoi coures tu tout le temps ?
Si je ne coures pas je suis mort.
Alydus grimpa rapidement à une corde pour se hisser sur le toit. Une fois fait, il inspecta le sol, il repéra rapidement les deux hommes, il sauta du toit où il se tenait et coupa le bras d'un homme, il avait mal visé. Il aurait dû retomber sur la tête de l'homme mais peu importe, il était au sol avec un bras en moins. Alydus était bien décidé à en finir maintenant et assez rapidement. Il se mit en position combat. Les deux épées à la main. L'homme pas encore touché fonça sur Alydus tandis que l'autre tentait de se relever. Alydus parvint à parer le premier coup, il tenta d'infliger des dégats à son adversaire mais l'homme était agile et esquiva rapidement. Les épées s'entrechoquaient violemment mais toujours rapidement. Les combattants ne jouaient pas à viser des points faibles mais attendaient que l'ennemi fasse une erreur. Car dans un combat comme celui-ci le premier à faire une erreur était mort. Alydus avait pigé le truc. Il feignit de faire une erreur et intercepta le coup de l'ennemi. Il s'apprêta à répliquer mais un sourire heureux se dessina sur les lèvres de l'ennemi. L'adversaire d'Alydus avait vu clair dans le jeu du mage. Il frappa Alydus dans la poitrine. Même s'il le fit avec le plat de l'épée ce qui ne blessa pas Alydus le choc fut violent et projeta Alydus à quelques centimètres. Alydus jura silencieusement, son adversaire était bougrement intelligent. A ce train-là ils enchaineraient les feintes pour en finir au même constat, celui qui croirait que c'est la fin aurait perdu. Non Alydus devait faire quelque chose. L'autre homme était toujours à terre gémissant. Quelques passants s'étaients arrêtés pour regarder le combat. Alydus n'entendait pas leurs voix, ce n'était qu'un bourdonnement pour lui. Les parades s'enchainaient de plus en plus rapidement. Les passants semblaient autant ébahis de par le fait qu'il y ait un combat en plein coeur d'Hek'Adir que le fait que le combat soit aussi rapide. Soudain un choc violent fit tomber Alydus. Le mage se rendit compte que l'homme l'avait fait trébuché avec un simple croche-pied. Alydus n'avait jamais surveillé ses pieds. Il n'avait pas pensé à frapper ceux de son adversaire non plus et ça avait causé sa perte. Alydus répliqua rapidement rapidement un coup de pied dans les jambes de l'assassin ce qui le fit tomber. Les deux hommes se relevèrent et le combat reprit comme avant sauf que des coups de pieds trainaient par ci par là dans le combat. Alydus croyait que le combat ne finirait jamais, les deux hommes étaients à peu près du même niveau. Cela devait faire aproximativement une dizaine de minutes qu'ils combattaient. Le troupeau encerclant les deux hommes s'était agrandit. Alydus tenta la fausse fuite. Il courut en direction de la corde créant une brèche dans le troupeau humain. Il s'accrcha à la corde et feignit de grimper mais il répliqua en donnant un grand coup de pied dans le visage de l'homme qui tentait d'aggriper la corde.
Ca fait deux fois !
Oh c'était déja toi.
Le temps qu'Alydus arrive, l'homme eut le temps de se relever. Le combat repartit, dans sa monotonie. Des fois un des deux hommes trouvait une brèche mais elle était aussitôt comblé par le défenseur. Le deuxième homme se rapporhcait, s'il intervenait la balance pencherait du coté des assassins et tout ça n'aurait servi à rien. Non ! Il ne pouvait se résigner à mourir, il se ressaisit et une force nouvelle l'envahit. Ses yeux virèrent au jaune, mais ils n'étaient pas normaux, ils brillaient d'une lueur étrange. L'équilibre était parfait dans le corps d'Alydus, il avait déja eu cette sensation dans le royaume des morts, la maitrise du bien et du mal dans un combat était un atout majeur. On n'avait pas trop de pitié, on n'était pas trop intrépide. Juste ce qu'il fallait. Le second homme s'était rapporché, il tenta de lever sa main. Alydus s'écarta et donna un grand coup de pied dans son ventre ce qui le fit retomber, l'autre homme fut distrait par son compagnon. Cela laissait quelques précieuses secondes à Alydus pour effectuer sa manoeuvre. Alydus se concentra sur cette faille. Elle n'était pas grande et en plus l'autre homme s'était aperçu de son erreur. Il s'apprêtait à bloquer mais il était déja trop tard la pointe de l'épée d'Alydus s'enfonça dans la poitrine de l'assassin. Mais l'homme répliqua, Alydus para le coup rapide, il s'accrocha à l'épée et donna un coup de pied sauté en tournant l'épée dans la poitrine de l'homme. Les passants étaient stupéfaits. Alydus sortit l'épée et donna un grand coup dans les jambes de l'homme qui tomba aussitôt, il n'eut pas le temps de répliquer, dans la seconde d'après l'épée d'Alydus était planté dans le crâne de l'assassin. Alydus aperçut quelques hommes qui s'étaient mit à vomir dans la rue. Son arrivée avait provoquée beaucoup de choses dans cette petite bourgade. Le second homme se leva fulminant de rage à la vue de son compagnon mort.
Tu vas payer pour cet affront !
Ca m'ferait mal !
Les deux hommes chargèrent l'un face à l'autre, quelques secondes plus tard Alydus ne savait pas trop pourquoi, il se retrouvait avec une épée dans le ventre et l'autre dans l'épaule. Son adversaire avait subi le même sort, sauf qu'une épée d'Alydus était planté en plein coeur de l'homme, du sang dégoulinait de la bouche de l'homme. Alydus s'écarta de l'homme en retirant ses épées. Il s'approcha de la foule qui reculait sous pas. Il s'effondra en levant la main vers l'un des hommes. Il eut juste le temps d'entendre.
Soignez-le !
Avant de s'évanouir.

Action suivante La caserne

<Fouille du cadavre du marchand>

[ Khelv' : un petite boite en bronze comprenant 12 pieces d'or et un parchemin vierge enroulée et attachée avec une ficelle -> ajouté a ton inventaire ]
[ +40 xp combat et +20 xp RP avec mes felicitations, continue comme ça, je n'ai pas lu toute ton histoire mes ces quelques messages que je viens de lire mon captivé !

Invité

Post n°124
<[Alydus]>

Action précédente La caserne

Les gardes ne lâchaient pas Alydus, mais il n'avait pas à s'en faire car bientôt il rentrerait à Norgod. Puis il avait d'autres projets, une fois rentré. De plus il était presque sûr qu'il retrouverait Rogor une fois arrivé au port.
C'est encore loin le port ?
Non.
Les gardes étaient froids, visiblement ils n'étaient pas enchantés de devoir escorter Alydus. Quand à lui, la compagnie des gardes ne le confortait pas mais s'il y avait des assassins, ils lui serait utiles. Le port arriva enfin, après quelques bonnes minutes de marche.
Nous vous déponsons au port et après vous vous débrouiller.
Le marchand est là ?
Alydus connassait déja la réponse puisqu'à leur arrivée, un homme avec une charette les accueillit.
Le voilà, mission terminée, on rentre.
Les gardes partirent sans mot dire. Alydus était sur le point de partir quand quelqu'un cria son nom.
Alydus !
Rogor était finalement venu.
Nous allons embarquer, tu viens ?
Le demi-orc aquiesça. Les trois personnes montèrent sur le bateau.

Action suivante Détroit Pergassien