[Blyme] Chez Agramand...

[Dernier post de BLYME: La rencontre en forêt]

Post N°8
<Blyme>


Blyme survolait la grande forêt, cherchant le repère d'Agramand. Il n'était pas difficile à trouver. Il y avait un concentré de goule et d'autres créatures maléfique près de celle-ci.

Il s'approcha doucement, craignant une attaque. Il planait au dessus de la tanière. Plusieurs goules le regardaient. Blyme descendit très vite et remonta. Personne ne bougeait.

Blyme en conclut que c'était hors de danger. Il s'engouffra dans la tanière...

Il y reingnait une odeur nauséabonde. Une odeur de mort dans le noir...

Blyme rasait le plafond.

-Toi, l'aigle... Suis moi!

Une goule lui avait parlé. Blyme se dit qu'elle la conduirait vers Agramand. Il la suivit...

Au bout de beaucoup de chemin, il se retrouva dans une salle, un peu plus éclairée que les autre, mais quand même assez sombre. Une, chose, se tenait au centre, discutant avec une goule.

L'accompagnateur dit:

-Cher maiiitre. Il est là...

La goule se retira assez vite, laissant Blyme posé sur le sol...

(Récit d'Agramand]

La goule avait fui presque en courant, un miracle, pour ces mort-vivants. Agramand n'avait pas posé son regard sur l'aigle, sachant pertinemment qui la goule avait annoncé. Agramand continuait à marcher de long en large autour de son trône, visiblement en train de contrôler à distance une multitude de créatures, et de donner une autre multitude d'ordres à d'autres.

-Blyme, si on m'avait annoncé que tu survivrais à cette condition, je t'aurais sûrement changé en lapin... En lapin ! Ha ha ha ha ha... Imagines tu ? Ha ha ha !!
Le rire du nécromant résonnait partout dans la caverne, puis il soupira et posa enfin le regard sur Blyme.
-Mais... la vérité, c'est que je suis heureux de te savoir en vie... Heureux de savoir que ta punition aura duré, hé hé... mais... heureux aussi de te revoir.... mon ancien ami...
D'une volte face plus que rapide, Agramand tournait maintenant le dos à Blyme
-Tu n'aurais pas dû revenir... Tu savais qu'à rôder par ici, j'aurais fini par sentir ta présence... Mais comme tu es ici, j'ai une question... Pourquoi avoir choisi cette druidesse, cette... Esmeralda, justement cette femme, comme compagnon de route ? A croire que les déchirures entre nous seraient toujours féminines... Ha ha ha.... Je t'écoute, vieux plumeau, ha ha...

D'une nouvelle volte face, Agramand regardait à nouveau Blyme. Son visage trainait entre l'apparence du zombie et de celle du squelette, mais les lambeaux de chair de ses joues qui resistaient glorieusement témoignaient un large sourire...

JE TIENS A DIRE QUE LA DISCUTIONS QUI SUIS N'EST EN AUCUN CAS CONNUS PAR VOTRE PERSONNAGE GLOIRE ET HONNEUR. MERCI D'EN TENIR COMPTE.



Post N°8
<Blyme>


-Agramand... Tu ne comprend donc rien. Tu es si aveugle que cela....

Blyme avait ri en disant cela. Il savait les risque qu'il encourait, rire devant une personne aussi puissante, dans Son domaine.

-Esmeralda, ce n'est p d'as mon compagnon de route, comme tu dis. Ce n'est qu'une rencontre parmi temps d'autre. Mais, ma compagne, elle est entrée dans ta forêt, elle a usée de sa magie. Mais, tu es trop aveuglé par ton pouvoir...

Blyme s'envola, faisant quelques tour autour de la salle.

-Mon compagnon va être très fort... Très fort Agramand.

Il réfléchit quelques instants:

-En passant, qu'as tu fait à Esmeralda? C'est pas ton...genre... de ne pas tuer tes victimes...

Dernier post : dans la forêt

Poste N°13
<Esmeralda>

On distinguait l'antre d'Agramand dans la forêt futrékfiée. Deux goules gardaient la porte. Elle devinrent menaçante mais Esmeralda leur montra son signe sur la main, et elle la laissèrent passer sans un mot, mais un sourire au coin des lèvres. Esmerlda entra là où était Blyme et Agramand. Mais elle ne les entendait pas, ni plus personne. Elle essaya de bouger, mais elle s'heurta tout le temps au mur invisible. Elle esssaya de parler, en vain. Maintenant, elle ne pouvait plus voir ...

(Récit d'Agramand)

-Hé hé, merci pour cette information, Blyme, concernant ta... compagne, je savourerai sa mort, quand elle aura la folie de croiser ma route, ha ha ha...
Puis, il a jouta, sur le ton faussement d'une confidence
-Je pourrais la tranformer, elle aussi, si elle devient si forte que tu le dis, cela pourrait être amusant... mmm voyons... en moustique ? Haaa ha ha ha haaa...
Le rire du nécromant avait tout de la folie, ce qui tranchait d'autant plus, face à son apparence putréfiée.
Alongeant ses bras en croix, Agramand reprit.
-Regarde moi, Blyme, regarde moi... Je suis toujours un être vivant, Je ne suis pas devenu ce que je contrôle, pourtant, les apparence sont trompeuses...
Agramand avait repris sa marche pensive. Les mouvements de sa longue cape traînante donnait un aspect miséricordieux, malgrès la force qui émanait du nécromant.
-Vois-tu... je sens.... Je sens ma vie me quitter un peu plus chaque jour, Blyme... Te souviens tu de cette femme ? Nous la suivimes jusqu'à ce refuge pour brigands. Tu ne l'a peut être pas reconnu, mais nous y sommes, en ce moment même... Hé hé... Pour ta défense, je dois admettre que cette nuit là fût pleine de ... comment pourrais-je qualifier cela ? D'émotion ?
Son rire caverneux retenit une fois de plus sur la roche humide recouvrant les paroies de la Taverne, tandis que des gerbes de lumière et de couleurs émanaient d'Agramand, modifiant tout ce qui les entouraient.
Blyme fut ramené au sol brusquement.
Des éclaboussures de lumière recouvrait l'oiseau qui se transformait peu à peu, reprenant une forme humaine.
Agramand, le jeune, se tenait auprès de lui.
Les alentours étaient boisés, il faisait nuit. Devant eux une forme humaine marchait, recouvert d'une cape noire et tenant à bout de bras une lanterne, seule source de lumière.
La personne se retourna, dévoilant son visage magnifique. C'était une femme. Sa peau était ambrée, ses yeux en amande, couleur de jeai. Ses cheveux étaient tout aussi noirs, tombant en cascade sur sa poitrine.
-Nous y somme bientôt.
Les Jeune Agramand dévorait du regard cette sompteuse créature, alors qu'elle, s'attardait à regarder Blyme, sous sa forme humaine.

Quelques minutes plus tard, une hutte lugubre se dessina peu à peu dans le paysage nocturne. Quand la porte s'ouvrit devant eux, un vacarme d'une taverne les enveloppa. C'était un repaire de brigands.
A peine entrés, le jolie femme saisit la main de Blyme, l'antrainant d'une démarche chaloupée vers l'étage, laissant Agramand seul parmis les hommes peuplant la taverne...
Les deux hommes s'éloignaient, pas à pas... Et le charme se dissipait, redonnant l'aspect d'aigle à Blyme, et celui décharné à Agramand.

-Elle t'avait préféré à moi... Ne le nie pas, je le sais. La colère qui m'a envahit ce jour là, mes plans d'invasion, ils viennent d'elle et de son choix mal avisé. Ma vengeance à ton égard vient de cela aussi. J'aurais surement agit différemment, si tu ne l'avais pas suivi. J'aurais peut-être... Enfin... Je t'en prie, Blyme, ne me dis pas que tu n'avais pas douté que tout ceci en était la cause... J'avais déjà tué avant, et de façon bien atroce, je te l'accorde, mais cette nuit là, la partie qu'il y avait encore en vie en moi s'est éteinte, et tous les brigands, et cette femme avec. Toi, tu ne dois ton salut qu'à deux choses; A ta propre force, et à la mémoire de ce que nous avions vécu.

Agramand fixait le sol, perdu dans ses pensées pendant un court moment de silence, puis se ressaisit effectuant un geste de la main, comme pour chasser toutes ces choses.

-Mais assez parlé du passé... Esmeralda, ne crois pas que je vais t'ouvrir mon esprit comme j'aurais pu le faire quand nous étions amis. Tout ce que tu peux savoir, si ça peut te rassurer, c'est que c'est vivante, qu'elle me sera utile, et que j'ai en ma possession des informations qui pourraient lui être d'une grande utilité. Et je ne lui ai rien fait. L'homme qui était charger de la récupérer était un Shaman guerrier de Djel Fa. C'est lui qui l'avait repéré. Ses talents n'ont fait que faire ressurgir ce qui était déjà en elle. Je ne te dirai rien de plus à ce sujet, à moins que tu ne tienne pas à sortir d'ici vivant, mon... vieil ami... Ha ha ha...

(Récit d'Agramand)

Agramand c'était déplacé. Il avait fait le tour de la salle. Sa longue cape noire trainant par terre. Il tourna la tête vers l'oiseau

-Cette époque est révolue! Elle est finie pour moi!!
Sa voie glaciale retentit dans toute la caverne.
-Je suis bien mieux maintenant qu'avant Blyme. En ta compagnie... Nous n'aurions rien pu faire! Les Autre nous en empêché! Et maintenant, tu vas voir ce que le "monstre" ,comme tu dis, peux faire...
Agramand s'approcha d'une porte. Une goule en sortit...
-Qu...qu'y a t-il Ô grand maitre...
-Tiens! Prend cette fiolle et va la renverser près de Roc-Rétif. Il faut exterminer toute la vermine humaine... Ha ha ha ha ha ha.
Le rire caverneux retentit une fois de plus dans la caverne.

Il reprit la parole sur un ton amical mais toujours aussi froid...
-Maintenant Blyme, je vais te laiser partir. Reviens me voir quand tu veux. Ha ha ha ha ha....