[Validé] Anton Tabheim

Bonsoir, étranger... Cela fait longtemps que personne ne s’est intéresser à moi, pauvre diable parcourant les routes pour le compte de mon culte... Mais j’en oublie mes bonnes manières: assied-toi, prend de quoi boire et manger et écoutes donc, puisque tu le désires, les détails de ma courte vie...

Prénom et/ou Nom : Anton Tabheim.

Race : Humain

Âge : 34 ans

Métier : Chasseur de Déviants

Savoir-faire : Tanneur-Couturier

Caractéristiques physiques : Les rares personnes qui prêtent attention à Anton n’ont que rarement un bon sentiment à son propos. L’homme est relativement bien bâtit, sa taille dépassant le mètre quatre-vingt cinq pour un poid de quatre-vingt dix kilos. Ses muscles sont surmontés d’une fine couche de gras récente, tandis que sa peau est d’un ton qui doit être celui des habitants du Sud de Norgod.
Son visage est bien plus lugubre que son apparence relativement rassurante. Son visage est mal rasé, portant quelques coupures au niveau du menton et de l’oreille droite. Ses yeux sont marrons, s’accordant avec le ton châtin de ses cheveux et de son bouc. Généralement sales, ses cheveux son détachés la plupart du temps, dévoilant une coupe au carré lui tombant sur les épaules. Son nez, brisé en son milieu, n’est plus aussi gracieux qu’autrefois, lui donnant maintenant un air bourru.
Le reste de son corps est le plus banal possible. Sa démarche est très légèrement boitillante, le faisant s’appuyer sur sa jambe gauche plutôt que la droite. Sous ses vêtements, de nombreuses cicatrices le parcourent, tout particulièrement sur son dos, où les marques d’un fouet l’on marqués à vie. Ses mains sont noueuses et dure en raison de la corne qui la parcoure, tout comme ses pieds. Le haut de sa chemise dévoile de plus un duvet brun recouvrant son torse.
Enfin, caché à la vue de tous, de nombreux tatouages le recouvrent. Sur son avant-bras, il porte un crâne ailé, signe de sa caste dans le culte de Polixis, tandis que le Sablier du Temps se situe sur son flanc gauche. Pour finir, son flanc droit est tatoué de son serment, le Repentir, des vieilles inscriptions jurant sa loyauté devant Polixis.

Caractéristiques mentales : Anton Tabheim fut autrefois d’une intelligence relativement élevée qui l’avait amené à travailler comme apprenti auprès d’un mage. Il était joyeux, réflechis et exceptionnellement doué pour la philosophie et les débats d’opinions politique. Ceci changea lorsqu’Anton devint ce qu’il est aujourd’hui. Il est devenu froid, amer et humble devant la puissance infinie de son Dieu: Polixis.
Auparavant joyeux, Anton est devenu calculateur. De bavard, il est devenu silencieux, et de téméraire, il est devenu observateur. La simple vue de ce personnage sinistre inspire un malaise relatif tant sa personalitée transpire de son regard vide et sans expression.

Vêtements : Anton est habillé de la façon la plus utilitaire possible. Ses pieds sont chaussés de solides bottes de voyage pouvant endurés de longues marches. Il porte des pantalons marrons la plupart du temps d’une toile doublée pour le froid, retenu par une ceinture de cuir miteuse, ne servant à riend d’autre qu’à retenir un pantalon.
Son torse est couvert de chemise de lin, pourpre ou blanche et sales la plupart du temps. Pour une meilleure mobilité, il en retrousse les manches et rentre les franges de ses habits à l’intérieur de sa ceinture. Il porte enfin un surcôt de cuir s’arrêtant à ses épaules: il est de mauvaise facture et ne le protège de rien d’autre que du froid. Pour finir, il porte un foulard pourpre autour de son cou.

Etat d'esprit : Anton est une personne calme et réfléchie, mais exceptionnellement sombre, voir sinistre. Les fondations de son esprit se sont éffrondrées il y a bien longtemps lors des innombrables scéances de tortures qu’il a subit. Depuis, il est devenu obéissant, pour sincèrement devenir un zélote du culte de Polixis. De tout les Déviants qui incombe aux siens, son ancien maître est le seul qu’Anton veux occir plus que tout.

Histoire : Fils du milicien Simon Tabheim et de sa femme, Alera, Anton naquit pendant une après-midi d’Automne dans un petit village non loin d’Hautesylves.
En ces temps troublés, le père d’Anton combattait souvent avec la milice du village contre les suppôts d’Agramand. Ce dernier était loin d’être un officier, combattant en première ligne avec les hommes du village à la force de leurs hallebardes et arbalètes pour écarter toutes menaces sur leurs enfants. Des horreurs que Simon a vu, Anton ne sut rien. Aucune mention aux démons, aux goules anthropophages, aux zombies silencieux... Le garçon ne pouvait s’en porter que mieux. Aussi loin qu’Anton s’en souvienne, l’amour de ses parents était inconditionnel. Cela aurait put s’expliquer par le fait qu’Alera n’avait jamais réussi à avoir d’enfant, l’arrivée d’Anton fut donc considérée comme une bénédiction céleste.

Les premières années de la vie d’Anton furent calmes et pleines d’amour. Lorsque son père ne devait pas combattre, il s’occupait de la tannerie du village, apprenant à son fils comment rendre le cuir aussi résistant que possible. L’odeur éffroyable de la tannerie ne plaisait guère au jeune garçon, mais voyant le bonheur de son père lorsqu’ils partageaient du temps ensemble, il se tut, lui laissant ce plaisir simple. Cependant, les capacités d’Anton se révélèrent assez tôt: ce garçon était intelligent, assez pour qu’un mage d’Hautesylves, l'archimage Dalan Forheaume, le remarque lors d’un de ses voyages. Il demanda à prendre Anton sous son aile, afin de lui apprendre les rudiments de la magie et d’en faire ainsi son apprenti. Il gagnerait bien sa vie et pourrait ainsi aider sa famille. La mort dans l’âme, les pauvres parents durent se résoudre à dire aurevoir à leur fils, alors âgés de dix-huit ans.

Le jeune homme prit donc la route pour Hautesylves où sa nouvelle fonction s’engagea bien. Son travail plaisait à Dalan qui ne tarissait pas d’éloge sur les prouesses modestes d’Anton. Ce dernier montra quelques aptitudes rudimentaires pour la magie, arrachant des cris de surprise amusés au puissant mage. Ces aptitudes étaient celle d’un enfant de six ans raisonnablement doué, mais étrangement, Dalan semblait penser que le fils de milicien était promis à un avenir de mage entre ces murs. Connaissant ses aptitudes, Anton ne le prit pas au sérieux et continua ses tâches, et ce, pendant dix longues années.

Ses aptitudes ne s’améliorèrent pas, comme on pouvait s’y attendre. Sa paye aidait considérablement ses parents, ce qui finalement fit dire à Anton que son choix était le bon. Cependant, Dalan s’absentait de plus en plus, des jours, puis des semaines et même des mois, : une situation qui laissait son pauvre apprenti dans l’embarras. Par un soir d’Automne, alors que la pluie tombait drue sur Hautesylves, Dalan revint finalement, défonçant la porte d’un coup d’épaule. Anton l’acceuillit, mais il vit immédiatement que son maître avait changé.

-Fait bouillir de l’eau, cracha-t-il, sa voix étant plus aigue que d’habitude.

L’apprenti s’éxécuta, et le voilà entrain de faire bouillir de l’eau lorsque Dalan commença à délirer et à blasphémer. Il parlait d’Agramand, de sa grandeur, de sa puissance, et de la ridicule résistance qu’Idraya opposait. Cette garce devait mourir, selon lui, pour que la toute-puissance du Seigneur des Morts s’installe sur la forêt, puis sur Norgod, et même le monde. Cela faisait quelques années que Dalan délirait à ce sujet, demandant à son jeune apprenti ce qu’il pensait d’Idraya et d’Agramand, mais jamais il n’était aller aussi loin.

-Allons maître, reposez-vous, votre voyage vous fait blasphémer.
-Ne me touche pas, fils de catin !! Mon maître me l’a interdit !

Dalan n’était véritablement pas dans son état normal. Ce puissant mage avait en fait été corrompu par les puissances obscures d’Agramand, faisant craindre le plus au pauvre ignorant en la matière qu’était Anton.
L’instant d’après, la porte de la tour de Dalan explosa, laissant entrer trois silhouettes. Ces trois hommes portaient tous de larges chapeaux, le visage masqués par des foulards pourpres, tenant une arbalète à main dans le poing gauche et une épée dans le droit. Dalan hurla instantannement, des ailes de chauve-souris sortant de son dos, tandis que deux cornes perforaient la peaux de son crâne.

-Chasseurs du culte de Polixis, vous arrivez trop tard et en nombre bien insuffisant !
-Silence, démon, la corruption d’Agramand ne quittera pas cette pièce. Dit l’un des chasseurs.

Un combat violent s’engagea entre Dalan et les trois chasseurs. Le vieux mages trancha l’un de ses assaillants en deux avant de profiter de la panique pour quitter la pièce, prenant soin d’incanter un sort de feu brûlant le visage d’un second. Anton était resté ébahi devant ce combat, aussi ne vit-il pas le coup de botte d’un extrême violence qui lui percuta le visage, le faisant s’évanouir pour de nombreux jours...
Il se réveilla finalement, les bras au dessus de la tête, retenues par des anneaux, son calvaire ne faisant que commencer...

[Je ferais un flash-back dans mes post pour raconter les années de captivitée d’Anton.]

Objets : Epée médiocre. Pendentif du culte de Polixis.

Techniques :

Nom de technique 1 : Sceau de l’arme Enflammée.
Après une incantation de cinq secondes, Anton ouvre l’un des sceaux sur son serment du Repentir, enflammant son arme. Les attaques portées par son arme deviennent donc enflammée pour une durée de trentes secondes ou simplement deux coups. En plus d’être vulnérable pendant son incantation et de consommer son énergie, cette technique laisse Anton le souffle court pendant une minute après utilisation.

Nom de technique 2 : Sceau de Recherche des Déviants.
Après une incantation de cinq second, Anton ouvre l’un des sceaux sur son serment du Repentir, faisant passé ses yeux dans un blanc laiteux. Pendant cinq minutes, il est alors capable de sentir la présence d’un Déviant (démon, sorcière, mage...) dans un rayon de cinq cent mètres. Il est vulnérable à toute attaques pendant ce laps de temps, en plus de le rendre aveugle et sourd pendant 1 minutes après utilisation.

Nom de technique 3 : Sceau de Déflagration.
Après une incantation de cinq second, Anton ouvre l’un des sceaux sur son serment du Repentir, rendant ses mains incandescentes. Il doit aposer ses mains sur une surface morte (bois mort, pierre...) pour la faire exploser, l’explosion détonant après cinq autres secondes (puissance d’une bombe, ne blesse pas les Humains Zombifiés). En plus d’être vulnérable pendant l’incantation, Anton risque de graves blessures dûes à l’explosion. De plus, cette technique laisse Anton dans un état second pendant deux minutes.

Que pouvez-vous apporter au forum ? : Rien de plus que Gahn.

Comment avez vous connu ce forum (où ET par qui) : Anton=Gahn

Avez-vous un parrain (facultatif) : Non

Respect des règles du forum :
J'ai bien lu les règles du forum ; en postant ma fiche de création de personnage, je m'engage à les avoir lues, à les respecter et cela me lie par un contrat moral non négociable.

J'ai plus de 13 ans, et je m'engage à être présent régulièrement, passer faire un petit coucou toutes les semaines et prévenir de mes absences ; en cas d'absence de plus d'un mois non prévenue, j'accepte la possibilité de voir mon compte supprimé...

Anton Tabheim, "lu et approuvé"

Bah tiens, je dirais que c'est validable hein ^^ Comme on peut s'y attendre de la part d'un Gahn ^^

Venez les Nêmdéjhis !

PS : Par contre, je suppose que tu as abandonné Grimzitz pour des raisons de RP de groupe qui te ralentissait (sale fou) ou autres. Je suis aussi à peu près sûr que tu as discuté de ce nouveau personnage avec un MDJ habilité. M'enfin, s'agit pas que tu abandonnes celui-là maintenant ^^

C'est certes bien, mais...
(Mais !)

Citation :

puissance d’une bombe, ne blesse pas les Humains Zombifiés

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Pour te repondre Malphasounet, ma technique fait exploser les choses mortes, donc je voulais dire que les zombies (corps morts) ne peuvent etre toucher par cette technique, sinon voila quoi, paye ta bombe ambulante, pas cool pour les Amon, Zurin et les PNJ.

Sinon, voui, j'abandonne Grimzitz, peu d'avenir rp (le fait que mes coupaings de la monarchie sanglante post peu n'a rien a voir). C'est surtout l'impasse de Grimzitz, d'un rp enfermer dans la servitude, la stupite et tout ca qui m'a fait arreter ce personnage.

Well well well.

Je te valide ^^. Lvl 1 et 40 gold en prime.

Bon RP.

Sinon, pour info, Lamatsu mettra un terme à l'existence de Grimitz incessamment sous peu .