[Amon] le quartien et les Faiparte

POSTE N°173
<AMON>

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Amon entra en compagnie de l’homme, la maison était richement meublée, quelques peintures de paysage décoraient les murs, des bûches brûlaient dans un foyer.

_ Tu es déjà rentré Fernand ?

Une femme apparut, elle portait une belle robe à fleur. Sa longue chevelure dorée reflétait les rayons du Soleil. Amon devait être tombé sur la famille parfaite, il ne manquait plus que les enfants studieux et sage pour compléter ce décor.

_Ah, je vois que tu as ramené quelqu’un. Un grand sourire illumina son visage, Amon sentait le dégoût pour cette famille montée en lui. Bienvenu chez nous, allégez-vous donc, mettez votre cape sur le porte manteau.

_Je vous remercie de votre hospitalité. Mais je préfère garder ma cape sur moi, je pourrais vous expliquer plus en détail la raison de ma réticence à table ?

_Bien sur. Elle se tourna vers son mari. Tu as ramené des baies d’Aubépine ?

_Je n’en ai pas eu le temps, dés que j’ai vu cet homme sur la route, je l’ai directement ramené.

_Oh, je manque à tous mes devoirs, vous m’accueillez généreusement chez vous et je ne me présente même pas. Je me nomme Amon, je suis alchimiste.

_Ce n’est pas grave, je suis Ferdinand et ma femme s’appelle Marie, nous sommes la famille Faiparte.

_ C’est un plaisir que de vous rencontrer, vous avez dit que vous aviez besoin de baie ? Je pense que j’en ai quelques unes dans ma sacoche. Vous les donnez ne remplirais certainement pas la dette que j’ai envers vous, mais ce serait un plaisir pour moi que d’apporter mon aide.

Amon chercha des baies d’Aubépine dans son sac d’herboriste, il en tendit cinq à Marie.

_Cinq ! Juste ce qu’il nous fallait pour terminer la soupe, merci beaucoup.

Elle repartit dans une autre pièce tandis que Fernand l’invita à table. Marie revint avec une soupière en porcelaine. Elle servit la soupe dans des assiettes profondes puis s’assit à son tour.

_Alors comme sa vous êtes alchimiste ? Vous devez venir de loin ?

_Je travaillais pour HauteSylve avant de partir pour TristeRive, je préparais quelques médicaments, mais je suis surtout spécialisé dans les potions offensives. C’est justement à cause de cela que je suis obligé de cacher mon visage, plus précisément à cause d’une solution d’acide organique que j’ai mal pondéré. On a du me placer un masque de bronze sur le visage, mais j’ai encore beaucoup de mal à l’accepté donc je le garde cacher. Je préférais éviter d’entrer dans les détails pour ne pas choquer madame.

_Je vois, vous avez du assister à des choses affreuses.

_En effet, les conditions de guerres et les horreurs d’Agramand sont effroyables. Le camp dans lequel je travaillais a été assiégé par cette saleté d’Amon. Heureusement pour moi, j’ai du repartir à HauteSylve quelques jours avant. De temps en temps, les morts-vivants lançaient des attaques juste pour diminuer le morale des troupes, sans compter les ours ou autres bêtes sauvages.

_Ca doit être très éprouvant

_Vous dites que vous êtes alchimiste ? Fernand fit mine de réfléchir. TristeRive recherche actuellement un alchimiste. Si vous le souhaitez, je peux vous introduire auprès du bourgmestre ?

_ Se serait avec plaisir.

_ Hé bien vous voila déjà bien intégrer ! Pourquoi ne passeriez-vous pas quelques nuits chez nous ? Sa nous ferait vraiment plaisir, et vous pourrez nous raconter quelques histoires de la Sombreforêt.

_ Je vous remercie vraiment, je ne sais pas ce que j’aurais fait sans vous.

_Allé, venez, je vais vous montrer votre chambre.

Marie se leva et emprunta un escalier, Amon la suivit. Le premier étage de ma maison était aussi magnifique que le rez-de-chaussée. Elle lui ouvrit la porte d’une petite chambre avec un bureau et un lit et, comme le reste de la maison, richement décoré.

_Voici votre chambre, dormez bien.

Elle ferma la porte derrière lui.

** êtres infâmes. Ils me dégoûtent, si je n’avais pas ce foutu corps, je n’aurais jamais du m’abaisser à supplier ce médiocre, il est temps pour moi de m'en détacher. Mais pensons d’abord à notre mission, premier contact demain, il va falloir trouver au moins un domestique qui n’est pas la depuis longtemps.**

Le mort-vivant passa la nuit entière à penser et repenser son plan dans les moindres détails. La seul inconnue est la confiance qu’on lui accorderas… ou la méfiance.

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[HRP : est-ce que cet famille a des soupsons sur moi ? ]

Amon a écrit:

_Oh, je manque à tous mes devoirs, vous m’accueillez généreusement chez vous et je ne me présente même pas. Je me nomme Amon, je suis alchimiste.

_En effet, les conditions de guerres et les horreurs d’Agramand sont effroyables. Le camp dans lequel je travaillais a été assiégé par cette saleté d’Amon. Heureusement pour moi, j’ai du repartir à HauteSylve quelques jours avant. De temps en temps, les morts-vivants lançaient des attaques juste pour diminuer le morale des troupes, sans compter les ours ou autres bêtes sauvages.

La famille Faiparte avait tiqué lorsqu'Amon avait prononcé son nom. Il s'était de plus auto-cité. Le doute dans leur esprit était maintenant assez fort. Mêlé à ça sa volonté de se masquer le visage et son odeur dérangeante, il n'en fallait pas plus. Le couple feinta de finir la soirée convenablement et une fois qu'ils couchèrent leur hôte, la femme parti immédiatement chercher la garde pendant que Fernand attendait dehors le retour de sa bien aimé. Quelques minutes plus tard, Marie revenait, accompagnée de 4 soldats.

"Il est dans une chambre à l'étage. Suivez moi." Souffla Fernand.

Il emmena ensuite les 4 gardes dans sa maison et le guida jusque devant la porte de la chambre ou résidait Amon. Ils la défoncèrent violement et deux hommes pénétrèrent à l'interieur.

"Déclinez votre identité !" Beuglèrent-ils à destination du mort vivant.

[Les deux soldats entré sont lvl 2. ceux qui attendent à la porte sont lvl 2 et 3.]

POSTE N°177
<AMON>

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Amon rangea soigneusement la potion dans sa sacoche, il passa le reste de la journée à méditer face au mystérieux lac. De temps en temps, Gribouille brisait le calme en courant après un papillon.
La nuit finit par tomber, Sernet arriva prés d’Amon.

_Des changements au village ?

_Le service de garde a été allégé, les rondes sont plus espacées. Les gens commencent à penser que vous êtes retournés à la Tanière.

_Parfait, allons-y.

Ils se mirent en marche, TristeRive se trouvaient à peu prés dix minutes du lac des Songes. Juste avant d’entrer à l’intérieur, il expliqua le plan à Sernet.

_Tu utiliseras la fenêtre ouverte comme tu l’as expliqué et tu vas le tuer. Ce n’est qu’un civil, donc ça ne devrait pas être trop dur. Tu n’oublies surtout pas de lui couper la tête et de la prendre. Je serais devant chez lui pour bloquer les gardes quand il les appelleras. Tu t’enfuiras par une ruelle de l’est du quartier. Tu essayeras de me trouver là… Aussi, j’attendrais deux minutes, si je n’entends pas la cloche, je partirais. Vieille donc à la tuer rapidement.

Amon plaça sa capuche pour entrer dans le village. Quelques personnes sûrement peu recommandable parcouraient les rues. Ils arrivèrent à l’arrière de la maison du bourgmestre, des bruits de pas sur les pavés leurs firent comprendre que la garde venait de passer. Quelques minutes après, Amon fit un signe de tête à Sernet, ce dernier entra comme prévu dans la maison tandis que le mort-vivant allait sur la chaussée. Il utilisa sa technique <glace> pour geler toute la largeur de la rue devant la porte massive de la maison du bourgmestre. Il se plaça devant, prit l’hurlement de Nethfer et enleva sa capuche. Il ne restait plus qu’une minute pour Sernet. Sur la route, il n’y avait âme qui vive, les flammes de quelques braseros jouaient avec l’ombre d’Amon. Soudain, une cloche résonna, s’était le moment fatidique. Sept gardes arrivèrent en face du lieutenant, ils dégainèrent leur épée et beuglant des « sus à l’ennemi », ils se précipitèrent sur lui. Sur sa droite, la porte s’ouvrit. Sernet en sortit et sans prêter attention à Amon, il alla comme prévu dans la ruelle à l’est. Quand les gardes arrivèrent à quelques mètres d’Amon, il pointa la potion et enleva le bouchon. Une image lui vint subitement à l’esprit, le jour ou il avait sombré dans le mal, lors de sa trahison à Port-Pergas. Il avait déjà utilisé cette potion pour ralentir l’armée de libération. Mais aujourd’hui, le contexte était différent et ce n’était plus en tant qu’être humain qu’il le faisait, mais en tant que serviteur de la mort. Un cri inhumain résonna dans tout le village, les sept gardes furent éjectés en l’air par l’onde de choc, ils retombèrent lourdement sur la rue pavée dix mètres plus loin. Amon subit également la puissance de la potion en étant propulsé deux mètres en arrière. Sans perdre une seconde, il se releva et emprunt la même ruelle qu’avait pris Sernet quelques secondes avant lui. Une main l’agrippa par la manche alors qu’il empruntait une autre petite ruelle.

_Mission accomplie, voici la tête du bourgmestre.

Sernet lui montra le crâne, des gouttes de sangs coulaient de la section.

_Parfait, il ne nous reste plus qu’à rejoindre la Tanière. Les gardes seront suffisamment retardés pour nous laisser sortir.

Un homme plutôt âgé ouvrit brutalement la porte d’une vieille chaumière. Il fit face au mort-vivant. Ce dernier l’agrippa par le cou.

_Votre race est pitoyable, tu ne mérites même pas que je t’apporte la mort.

Il envoya le vieillard sur le sol et marcha dessus pour continuer son chemin.

[HRP: ajouter la tête du bourgmestre de TristeRive
retirer Hurlement de Nethfer]
[LL : Je m'en charge]

POSTE N°178
<AMON>

La porte arrière de la maison du vieillard aboutissait sur une petite ruelle encadrée par deux rangées de maisons, quelques cageots et caisses encombraient le déjà mince passage. L’agitation commençait à s’emparer du village derrière Amon et Sernet, la garde devait s’être organiser. Tandis qu’ils s’aventuraient dans l’étroit passage, la porte qu’ils avaient emprunté quelques secondes auparavant s’ouvrit brutalement. Trois gardes en sortirent, leurs jeunesses trahissaient leurs inexpériences. Le chef de la police devait avoir envoyé les troupes mieux entraînées aux alentours du village pour les empêcher de sortir, inutile donc de perdre son temps avec ces médiocres.

_IL EST ICI!

Ils sortirent leurs épées et s’avancèrent, tremblant.

_Je me serais bien occupé de vous, mais j’ai une mission à accomplir et je ne peux me permettre de la mettre en péril pour le plaisir de vous voir mourir… Sernet, les caisses.

Sernet ne réfléchis pas longtemps, tout en avançant, il faisait tomber un tas de caisses sur le passage, qui deviens bientôt impraticable. Ils arrivèrent à la limite du village, trois gardes surveillaient ardemment les environs, l’un d’eux partit vers le sud.

_Bien, inutile de tenter une percée, ma situation de zombie m’empêcherait d’aller assez vite. Il y a un archer et un épéiste, tu prendras l’archer.

Amon fouilla dans son sac, il plaça le flacon de parfum encore bien plein dans sa poche.

_Quand tu verras que l’épéiste est en sérieuse difficulté, tu abandonne l’archer et tu viens m’aider à l'achever . Si je meurs avant, tu pars immédiatement à la Tanière, tu sauras aisément les semer.

Ils se levèrent et sortirent de leur cachette, face aux deux gardes. L’archer les remarqua immédiatement, il banda son arc en direction d’Amon et lui somma de se rendre.

_Me rendre ? Ahahah. Peut être vous croyez-vous capable de nous arrêter ? Vous sous-estimez la puissance des morts-vivants.

Sans en entendre plus, l’archer décocha une flèche en faisant une belle et grande parabole dans le ciel, vers Amon. Ce dernier ne bougea pas, il leva son bras et plaça sa main gauche sur la trajectoire de la flèche. Celle-ci transperça la main et s’arrêta dedans. Tranquillement, il cassa le projectile en deux et l’enleva de ses chaires. Il jeta les morceaux à terre tout en regardant droit dans les yeux l’archer.

_Ce n’est pas avec ce genre d’arme que l’on bat un mort-vivant… Mais il est maintenant temps de récolter les fruits de votre provocation.

Amon dégaina une épée médiocre qu’il avait prise sur un soldat tué dans la Sombreforet et il s’avança vers l’épéiste qui n’avait encore rien fait. A son tour, ce dernier sortit son arme et la pointa vers Amon. S’en suivit une série de coup et de parade que le mort-vivant eu peine à suivre, peu familier avec l’épée. Vint un moment ou il sentait que le garde prenait le dessus, il évita volontairement maladroitement un coup d’épée qui se ficha dans son bras gauche. Il se retourna rapidement comme si il encaissa difficilement le coup et il en profita pour saisir rapidement le flacon de parfum puis il se retourna très rapidement comme si il allait faire tourner l’épée autour de lui pour riposter mais à la place, il envoya le flacon directement sur le visage du garde. Il ferma par réflexe ses paupières quand le verre s’éclata sur son visage, libérant le liquide qui se changea en vapeur, irritant les yeux. Sernet compris immédiatement que c’était le moment, il fit un habile croc en jambe à l’archer qui tomba sur le sol, puis il fonça sur l’épéiste encore sonné et gêné par l’attaque surprise d’Amon. Il chuta très violemment au sol, sans plus réagir, Sernet lui enfonça tout aussi vite son épée dans le cœur.

Son compagnon, qui n’avait pas compris ce qui se passait, le voyait étalé sur le sol dans une flaque de sang. Amon observa avec délectation sa faiblesse spirituelle, il en profita pour lancer en même temps <effroi> :l’image de son propre corps torturés et putréfiés, les vers et autres macrophages dégustant ses chaires, et <torture spirituelle>. Sernet retira son épée du cadavre et se dirigea vers l'archer, sérieusement diminué spirituellement. Amon quant à lui resta à l'écart, ses blessures, bien que peu douloureuse, l'handicapait un peu et avec la perte d'une partie de son énergie à cause de sa technique, il risquerait plus de gêner Sernet qu'autre chose. L’archer tentait de garder son sang-froid, mais ces gestes étaient bien plus saccadés et hasardeux. Amon ramassa un caillou par terre et le chargea d’énergie spirituelle. Il sentait qu’il commençait à bien trop éparpillés son énergie et cette technique serait la dernière du combat, il comptait bien sur son efficacité pour permettre à Sernet d’achever le combat. Il envoya la pierre, quand il la lâcha, il se sentit comme tomber dans les pommes, mais il se ressaisit, encore quelques secondes et une partie de son énergie lui reviendrait. Le caillou disparu à coté de l’archer, il commença à tituber maladroitement. Sernet le frappa au visage avec le pommeau de l’épée, puis il l’acheva en fendant son crâne. L’énergie dégagée par le caillou atteint Amon, il se sentait de plus en plus partir. Quand le garde tomba mort, il se sentit un peu mieux, la partie envoyé avec <torture spirituelle> venait de revenir. Sernet remarqua le malaise qui s’emparait d’Amon, il vint immédiatement le supporter.

_Vous vous sentez mal, Seigneur Amon ?

_Non, ça va....Bien, les soldats sont morts, regagnons la Tanière maintenant, la vue de cet endroit plein de vie me ronge.

[HRP: enlever le flacon de parfum,
Amon est épuisé et légérement blessé]
[LL : Je te fait ça]

POSTE N°179 partie A
<AMON>

Amon vit la flèche transpercer la bras de Sernet et la douleur se marquer sur son visage, il n’était malheureusement pas insensible à ce genre de sensation comme les morts-vivants. Ils avancèrent le plus vite qu’ils pouvaient mais Amon traînait trop, il décida de quitter le sentier et de gagner la campagne pour profiter au mieux de la nuit, si il n’était pas capable de combattre tous les soldats qui les suivaient, il pouvait encore les manipuler.

_Tu t’occuperas du garde, tu l’éloigneras un peu des trois autres pendant que j’essayerais de les contrôler.

Amon obligea Sernet à s’arrêter pour reprendre leurs souffles, il se retourna et fit face aux gardes qui se rapprochaient de plus en plus. Cette petite pause permit à Amon de récupérer un peu de son énergie mais inutile de tenter de lancer une nouvelle attaque spirituelle, ç’est encore trop dangereux pour sa vie. Bientôt, ils arrivèrent prés d’eux, Sernet chargea vers le garde tandis qu’Amon s’approchaient tranquillement des miliciens. L’un d’eux fonça sur lui en faisant tourné maladroitement son épée au dessus de lui. C’est sans peine qu’il évita cette attaque plus humoristique qu’autre chose. Le milicien, emporté dans sa course, dépassa Amon sans savoir s’arrêter, ce dernier lui donna un coup d’épée dans la nuque. Le deuxième, un peu refroidit par la rapidité avec laquelle son compagnon s’était fait assommé, s’approcha plus lentement. Le corps à corps commença, bien que le maniement d’épée n’était pas le fort d’Amon, il sut relativement bien résister contre cet incompétent peureux. L’archer ne savait pas ou se placer, Sernet n’arrêtait pas de bouger pour tromper le garde et il risquait de se prendre un coup d’épée du milicien vu son adresse. Amon remarqua qu’il était très concentré sur ce qu’il faisait et ne faisait plus attention à rien d’autre. Alors que l’ennemi lançait un nouveau coup, Amon le parada et tenta un croc-en-jambe. Le milicien tomba sur le sol, plus secoué psychologiquement que physiquement, le mort-vivant en profita pour lui donner un coup avec la garde de l’épée sur son front. Il ne restait plus que l’archer.

_Bien, il est temps pour moi de s’occuper de toi… mais je t’avoue que je préférais ne pas perdre de temps sur un futur cadavre… alors je te laisse le choix : fuis et sauve ta vie ou meurt comme ces deux larves.

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[HRP: MDJ, est-ce que l'archer fuis? ]
Erg : Il court vers la ville mais va appeller d'autres renforts.