[Golgoth] Une journée bien mal payée...

Post N°1 de <Golgoth>

Ce matin, Golgoth était d'humeur bien maussade et il était encore plus irritable qu'à son habitude. Et tout ça depuis plusieurs semaines qu'il était à Roc-Rétif en tant que forgeron. Ah... Quand il était arrivé, il s'enthousiasmait de devenir habitant de la ville la plus célèbre pour ses forgerons et d'installer sa propre forge...Et certes il y avait réussi, mais après combien d'obstacles ! Et en plus pour quel résultat ! Ses ennuis avaient commencé le premier jour. On lui avait d'abord demandé un prix exhorbitant pour pouvoir rester de manière définitive en ville, et ensuite, il lui avait fallu acheter une forge, et là aussi il avait payé le prix fort. Résultat des courses, toutes ses économies étaient passées. Enfin ça, il s'y attendait encore, mais il n'avait pas imaginé que les forgerons de Roc-Rétif puissent lui faire conccurence. Et il avait eu bien tort. Pour les habitants de la ville, tout Pergasien était un ennemi. Et bien qu'il réussisse tant bien que mal à gagner sa vie en fabriquant des outils de base, il devait pratiquer les plus bas prix de la ville pour gagner sa vie. A dire vrai, ses gains équivalaient à ses dépenses. C'est à dire qu'il gagnait moins bien sa vie qu'un véritable forgeron qui généralement, en raison de la difficulté de son travail, a un statut privilégié... Cependant, il devait rendre hommage aux forgerons de Roc-Rétif, ils lui avaient montré ses limites dans le métier. Il est vrai que ses armes qui convenaient à sa clientèle de Port-Pergas n'étaient pas toujours de la meilleure qualité. Il avait même songé à devenir compagnon pour un autre commerçant mais, là encore, l'antipathie des habitants envers les pergasiens l'avait obligé à bannir cette idée de son esprit...
** Enfin, tout ça n' m'empêch'ra pas d'aller savourer ma pause d'midi. Allons prendre une bière, mon gars ! Ou ptete deux, ou plus encore! hahaha! Mais faut qu't'restes efficace pour ton boulot quand même ! **

Sur ce, le forgeron ferma sa boutique à clé. Et retourna la pancarte "OUVERT" sur la position "FERMé". Puis il prit la direction de la 'Taverne de l'Orc sans tête', ruminant toujours de sombres pensées, mais réjoui tout de même à l'idée d'un rafraîchissement alcoolisé.

{{{Action suivante : "Roc-Rétif" —> "Quartier des habitations" —> 'Golgoth au grand cœur !'}}}

Post N°5 de <Golgoth>
{{{Action précédente: Roc-Rétif —> Les quartiers Marchands —> Achat de matières premières}}}

//!\Note\ J'ai fait un “long” post pour palier à la qualité de la première partie qui est un peu bof (Pas que ça soit si nul que ça, hein ! mais la partie forge est un peu laborieuse...)



Arrivé devant chez lui, Golgoth déposa les caisses de minerais sur le pas de la porte, puis héla un gamin et lui confia la charge de ramener la brouette chez son propriétaire pour une pièce d'or. Le gamin avait failli s'enfuir en voyant le forgeron trapu lui crier dessus, mais il avait finalement compris de quoi il en retirait et avait accepté de bon cœur ce moyen de gagner un peu d'argent. Quant à Golgoth, une fois l'enfant parti, il remarqua que le fait d'avoir entassé les caisses devant sa porte l'empêchait d'atteindre la serrure... Il jura, marmonna, grommela, ronchonna, râla et caetera, mais se résigna à déplacer à nouveau les caisses, pour pouvoir accéder enfin à sa porte, qu'il mit du temps à ouvrir, car son esprit était trop occupé à pester, ce qui l'importuna davantage... Mais enfin, il rentra chez lui et transporta les caisses dans son atelier de forge. On était déjà en milieu d'après midi et il était en retard sur son emploi du temps mais il pensait bien pouvoir forger une première arme avant le lendemain. Après tout, ses marteaux "médiocres" ne demandaient pas un grande habileté pour être forgés ! Il commença donc par boire de l'eau car il allait avoir chaud dans les heures à venir... puis il revint dans son atelier et entrepris de faire chauffer le four à bonne température pour commencer l'épuration du fer, qui était ceci dit déjà de bonne qualité. Puis, Golgoth chargea dans le four une partie du minerai acheté, en fait ce qu'il fallait pour une masse en fer. Au fur et à mesure que le four chauffait, la température de la pièce montait. Et tandis que le monoxyde de carbone commençait son travail d'épuration du fer, le forgeron s'occupait de préparer les moules. Son four n'avait pas les capacités de faire totalement fondre le fer mais il le chauffait assez pour en faire une subastance maléable, mais très chaude. Puis il actionna le puissant martinet qui marchait grâce au réseau hydraulique qui parcourait tout le quartier des forgerons. Ceci fini, le forgeron se retrouva avec six barres en fer à peu près épurées. Cette action était simple mais prenait beaucoup de temps, maintenant le plus gros du travail allait venir. Ah... Il n'y avait que dans une forge que l'on se sentait bien... Mais il était maintenant temps de forger ses masses. Il avait choisi des moules standard, même s'il était plus à l'aise avec les marteaux de guerre, mais il pensait qu'elles se vendraient mieux ainsi. Ensuite, il fit chauffer les barres ensemble puis les fit couler dans le moule. Bien sûr cette opération demande plus de temps et de travail que ce qu'il peut sembler dans la manière dont elle est résumée et la nuit était déjà tombé quand la masse fut prête à être emmanché. Golgoth sortit donc le manche en bois et l'installa dans le trou laissé à cet effet. Puis commença un long travail de cloutage. Mais finalement, après de longues heures de dur labeur depuis qu'il avait commencé son travail, il se retrouva avec une masse d'arme pas trop mal forgé dans ses mains.

La masse dans ses mains, Golgoth alla la tester contre un mannequin dans l'arrière-cour. A peine eut-il ouvert la porte sur l'extérieur qu'une masse de plume entra soudain. C'était Tourse, son autour, qui rentrait pour la nuit après être resté toute la journée en dehors de la ville. Le forgeron décida de l'ignorer et commença les test sur le mannequin. Il en conclut que l'arme était bien équilibré sur le poids, mais il doutait qu'elle tienne toute une vie dans des combats violents. Ça c'était sûr. Enfin, il était satisfait quand même et décida de l'accrocher dans sa boutique. Il devait encore passer quelques enduits sur l'arme mais il était temps de se coucher. Il ferait ça le lendemain...

----------------'RrrOon...sss...RrrOon... ... zzz'------------------

Il fut réveillé le lendemain par son autour qui volait dans la pièce où il dormait. Sale piaf ! Un jour il faudrait qu'il songe à trouver un moyen pour que Tourse puisse sortir et entrer tout seul, avant qu'il ne décide de faire ses besoin ailleurs que dans sa volière improvisée de préférence ! Enfin bon, l'animal avait quand même l'avantage de continuer à lui apporter à manger chaque jour, ce qui lui permettait d'avoir de la viande gratuitement. Un avantage utile en ces temps difficiles pour lui. Enfin, donc, il fit sortir l'oiseau, puis laissa son esprit se désembrumer, et profita des quelques minutes qui lui restaient avant l'aube pour s'occuper d'imperméabiliser du mieux qu'il pouvait la masse contre la rouille et autres dangers des intempéries. Ceci fini, il prit sa matinée pour forger une nouvelle masse, prenant à nouveau le même moule mais le manche était cette fois ci plus clair que le précédent. Cette fois, en début d'après midi, il avait achevé l'arme, terminé les test basiques de solidité et d'efficacité, et l'arme obtenue était en tout point semblable à la première dans ses qualités et défauts. Il l'accrocha à côté de la première. Maintenant, il s'agissait que quelqu'un l'achète...

------------------ Presque 1 mois plus tard -----------------

Cela faisait bien un mois maintenant que Golgoth subsistait dans la routine, gagnant son train de vie par la vente d'outils mais sans faire de grand bénéfice. Il n'y avait qu'avec ses masses qu'il espérait pouvoir faire un bénéfice appréciable, mais il n'avait plus d'argent pour les matières premières et de toute façon, celles qu'il avait entreposé dans sa boutique n'étaient pas parti... Enfin, ce jour là, un client pas comme les autres entra dans l'antre du forgeron. En fait, c'était un vrai colosse pour tout dire, au moins 1m90 à l'œil nu, et côté force brute, il était bien fourni, surement autant que Golgoth mais ce dernier avait la force d'un forgeron tandis que celui là avait la force d'un guerrier. Et le forgeron eut d'abord peur qu'il casse quelquechose, il n'avait pas l'air très délicat en plus, mais il devait faire un effort car il ne cassa rien dans la boutique. Golgoth fut le premier à entamer la discussion, il le devait bien face à un client potentiel:

- Hola ! Puis-je vous aider dans vot'choix, le colosse ?

Le colosse-client-potentiel éclata du même rire tonitruant que l'on aurait pu imaginer de la part de quelqu'un de cette carrure et répondit sur un d'une voix tout aussi... colossale avec un étrange accent haut-sylvestre:

- Ha! ha! Non, j'a d'jà fait mon choix, je prends les dê masses là bas, c'est exactêment c'qu'il m'fô. J'n'a plus d'armes du tout ! ha! ha! ha! Et il m'en fô' des nouvelles !!!
** Enfin ! **

- Haha ! ... Humph, eh bien, z'avez l'œil ! Ces deux masses sont à vous contre 99 pièces d'or ! Vous avez l'argent j'espère ?

- Haha, bien sûr qu'j'a l'argent, fôrgeron, j'suis riche(dididididi)!! J'a vendu mon bouclier pour l'même prix qu'ces masses hier! Tout pile ! Hahahaha ! C'est qu'il était bô mon bouclier, tout bardé de fer ! Mais j'aime pas les boucliers au combat et l'était un peu usé çui là !

Et tandis qu'il palabrait, le colosse sortit la somme dont il parlait et la donna à Golgoth, qui l'accepta, la compta, puis satisfait alla chercher les deux masses :

- Si vous l'voulez, vous pouvez aussi v'z'entraîner à leur maniement dans l'arrière cour, j'peux vous y am'ner, héhé.

- Bein, ça s'rait pas d'rêfus non !

Et sur ce, Golgoth conduisit le colosse dans l'arrière-cour, et ce dernier s'empressa de choisir un mannequin comme victime. Tandis qu'il enchainait quelques passes, Golgoth observait le spectacle. Le guerrier n'avait pas une technique très approfondie, mais à un moment, il fit un tour très rapide sur lui même, bras tendu, et il cassa le mannequin.
** Armf ! **

- Oups ! Désolé !

- Bah, n'y prêtez pas attention, c'est fait pour ça !

- Ouf ! Tant miê' ! Mais dites, c'est bien gentil, les mann'quins mais ça riposte pas ! Ça vous dirait pas d'vous battre cont' moi ?

A ces mots, un sourire carnassier vint éclairer le visage du forgeron, et il répondit :

- Haha ! Eh bien... Si tu es prêt à mordre la poussière, j'accepte. Mais pas avec ces armes, je ne voudrais pas avoir un mort sur mes bras. Arhum ! Enfin, y a des masses en bois léger dans le coin, va t'servir ! Et après, interdiction de se battre autrement qu'avec les armes

- Mwahaha ! Ça m'fait plaisir ! J't'aime bien forg'ron ! M'enfin, j'n's'rais pas si sûr du résultat. J'suis guerrier moi ! ... Mais t'es sûr que tu veux pas qu'on ait droit aux pieds pour s'battre ? ... Bon, tant pis ! Prêt à prouver ses dires ? Moi, Klaus Menethil, je t'en empêch'rais ! Retiens bien mon nom !

-------------------------------------------------------------------------------------

[Aux MJs : ouf ! Utilisation de tous les clous et tous les manches et de 12 minerais de fer ! Gain de 99 pièces d'or !]
[S : Fait]


{{{ Bientôt, Klaus Menethil contre Golgoth le Neuvième ! }}}

Post N°6 de <Golgoth>

- Klaus Menethil ? Ça fait un peu elfique, mais t'as plus l'air d'un ogre ! hahaha ! Moi, c'est Golgoth le Neuvième, forgeron !

Klaus Menethil fit un geste de la tête, il se concentrait déjà sur le combat à venir et apparemment n'avait plus l'envie de discuter. Le forgeron décida de l'imiter, et s'arma d'une sorte de long maillet en bois et d'un bouclier fait d'un fond de tonneau. Leurs armes, en plus d'être en bois, étaient entourés par des chiffons pour amortir un peu les chocs mais le poids correspondait à peu près aux originales, même si elles restaient quand même plus maniables. Le combat risquait de ne pas avoir de vainqueur dans le sens où on l'entend, car les armes ne pouvaient pas faire de blessures graves. Mais il permettrait aux deux adversaires de se dérouiller...

- C'est parti..., annonça le forgeron dans un souffle.

Sur ce, les combattants se jaugèrent quelques instant puis commençèrent à tourner en cercle, selon le rite habituel qui régit les duels. Le colosse était fort, mais le forgeron aussi. Cependant, Klaus était plus souple et sa taille lui conférait aussi un avantage non négligeable. De plus, il était habitué aux vrais combats, tandis que son adversaire avait plus été habitué aux combats de taverne, et même s'il s'exerçait régulièrement, Klaus aussi. Le seul avantage qu'il avait vraiment était qu'il avait plus ou moins observé la maière de se battre du colosse, mais que ce dernier ne l'avait jamais vu combattre. Mais ce n'était qu'un léger avantage, et le dénouement de ce duel était plus que douteux pour lui. Enfin bon, Golgoth n'avait pas pour habitude de s'attarder sur ce genre de détails et il était prêt à foncer dans le tas s'il le fallait !

Finalement, ce fut Klaus qui rompit le silence :

- Attaque, forgeron ! 'Suis prêt.

Le guerrier voulait certainement tester la force de adversaire... Eh bien, Golgoth ne se fit pas prier. Il décida d'attaquer de front puisque le colosse l'y invitait. Et c'est ainsi qu'il fit la première action du combat en se jetant violemment contre son adversaire, l'arme haute, et quand il fut assez prêt, il abattit son maillet avec force. Klaus para en croisant ses deux armes devant lui. Golgoth voulut alors en profiter pour lui donner un coup de bouclier, mais le colosse esquiva d'un bon en arrière. Les combattants se reculèrent alors pour préparer leur deuxième assaut... Cette fois-ci, ce fut Klaus qui attaqua, assez rapidement. Le colosse fonça sur son adversaire et abattit violemment ses deux armes sur... le bouclier de Golgoth ! Le choc vibra jusque dans le bras du forgeron, mais ce n'était pas ça qui allait lui faire peur. Cependant, Golgoth soupçonnait que le but du colosse n'était autre que de tester sa force, sinon il n'aurait pas user d'une technique si facile à parer, les deux armes sur un même point au même moment ! Non... Le colosse jaugeait ainsi la puissance de son adversaire. Mais Golgoth comptait bien lui apprendre à ne pas le sous-estimer. Le combat s'annonçait long... Et comme le forgeron pouvait s'y attendre maintenant, les assaut qui suivirent allèrent dans le même sens. Mais au bout de quelques passes, Klaus dut se sentir satisfait car ses assauts contre Golgoth, qui jouait sur un style plus défensif, s'intensifièrent. Le véritable combat pouvait commencer.

Le forgeron sentit quand le guerrier passa à la vitesse supérieure car ses coups commencèrent à arriver décalés, ne visant jamais le même endroit. Et Golgoth décida de s'y mettre lui aussi. Dans un nième assaut, il lança son maillet à l'horizontale vers les côtes du colosse mais ce dernier, à nouveau, esquiva, puis riposta en chargeant le forgeron, frappant de sa masse droite de haut en bas, puis avec sa masse gauche, de l'extérieur vers l'intérieur. Golgoth bloqua le premier coup avec son 'fond de tonneau' puis para le second de justesse avec sa masse. Enfin, il recula pour mieux attaquer. Et de la même manière qu'au début il chercha à abattre son maillet sur l'ennemi. Cependant, tandis que le colosse s'apprêtait à dévier l'attaque avec son arme, Golgoth pivota sur lui même, et ce fut son bouclier que la masse de Klaus rencontra. Puis, saisissant cette ouverture, il se remit en position, tout en lançant son maillet vers son ennemi et en bloquant avec son bouclier l'autre masse du colosse. Golgoth avait porté le premier coup, mais emballé par sa réussite, il n'eut pas le temps d'éviter une riposte rapide de son adversaire qui malgré la douleur ne perdait en aucun cas ses facultés, mais il put quand même limiter les dégâts.

Cependant le guerrier avait plus d'un tour dans son sac et ne comptait pas laisser une victoire si facile au forgeron. Ainsi, dans les assauts qui suivirent, ce dernier ne put presque porter aucune attaque, tandis que le guerrier réussit à le toucher deux fois. Maintenant, c'était lui qui avait la victoire, et les côtes de Golgoth l'élançaient fortement. Il décida finalement de tenter le tout pour le tout et il sentit son cœur battre plus fort et ses réflexes devenir plus intense (<Rage controlée>) et il poussa son <cri de guerre> mais ce dernier ne perturba en aucun cas le guerrier. Il attaqua, plus puissant et rapide, mais cependant, son adversaire sentit le changement et adapta son style de combat. Au bout de quelques minutes, les deux combattants, épuisés, Golgoth par sa technique et Klaus pour avoir du la parer, se reposèrent. Et tandis que le combat était à son point mort, Klaus prit une pause que Golgoth reconnut comme étant celle qu'il avait utilisé avant de détruire le mannequin d'entrainement. Et à peine avait-il pensé ça, que le colosse attaqua, à grande vitesse, en utilisant sa technique particulière. Le forgeron ne put pas éviter et réussit de justesse à bloquer les coups avec son bouclier. Mais conséquence de ça, le 'fond de tonneau', déjà fortement éprouvé, éclata en plusieurs morceaux(Arg), ce qui obligea le combat à s'arrêter. Golgoth dut alors reconnaître que son adversaire avait gagné, mais il avait la prétention de ne pas s'être si mal débrouillé face à un guerrier expérimenté. Le combat n'avait prit en fait qu'une heure, à l'étonnement du forgeron qui l'avait imaginé bien plus long, dans l'action.

- Hahaha ! J'a gagnéé ! M'enfin, ça pouvait pas être autrement, hihihi ! ... Mais c'était quand même un beau combat ! Tu m'plais encore plus Golgoth le Neuvième !!!

- Mouais... *grmbll* Bah... T'as gagné, faut l'avouer, mais pas la peine de trop s'vanter ! hein ! M'enfin ! Bravo quand même ! Ça m'a donné bien soif tout ça !

- Pardi ! A moi aussi ! Mais dis, forgeron... Ça t'dit pas d'r'joindre mon groupe d'chasseur de primes ? Ç'gagne bien tu sais, et on a la gloire de s'débarasser des bandits qui pillent ces terres ! Alors ? Ça t'dis pas ? Tous mes aut' camarades sont morts dans la dernière mission, alors j'ai b'soin d'nouveaux compagnons !

- Armf ! Mouais, vu comme tu l'présente, le colosse, compte pas sur moi, j'tiens à ma vie. Et puis j'ai pas d'expérience dans tout ça, et j'dois m'occuper d'ma forge !

- Bah, tu verrais, c'est agréable d'être sur les routes à la recherche de l'aventure ! Mais bon, tant pis, si tu veux pas, tu veux pas ! Et moi je dois partir demain, histoire de rendre compte à ma guilde d'mes avancées alors j'ai pô le temps d'chercher à t'convaincre. Mais pour l'instant, j'veux bien te payer un repas, il est temps de déjeuner.

- Moui. Bah d'accord pour le repas, allons-y !


{{{Action suivante à la taverne de Roc-Rétif : 'Une amitié entre deux bières'}}}