[Amon] de nouveau au royaume des morts

POSTE N°109
<AMON>

[HRP: poste précédent]

Amon ouvrit ces yeux, et tout de suite, il comprit.

**Le Royaume des morts... pour la 3eme fois. Sa en deviens banal**

Il se releva et regarda autour de lui.

**Bon, il faut vite que je trouve le palais de Nethfer, je n'ai aucun intérêt à traîner dans cet endroit**

Il repéra vite l’immense bâtiment au dessus d’une colline au loin. Il commença sa marche dans la grande prairie qui le séparait du palais. Et, après quelques minutes, il croisa une autre âme… qui semblait bien mal en point. Elle tenait ses intestins à bout de bras.

**On analyse aussi les corps dans le monde des morts ?**
Il se rapprocha et vu les oreilles d’elfes qui dépassait de son visage.

**Mais… c’est un elfe qui est passé par ma salle**

Amon sourit à cette vision, il s’approcha rapidement de l’elfe qui avançait très lentement. Il traînait les pieds et regardait le sol quand Amon le bouscula.

_Faites attention ou vous allé, vous voyez pas que…

Il avait relevé son visage et avais aperçu Amon.

_Vous etes mort saleté de zombie, on va voir qui maîtrise l’autre maintenant.

Il lâcha son fardeau et se lança sur Amon, mais il s’empêtra les pieds dans ces intestins.

_Pitoyable, même en étant mort…

Tandis que l’elfe essayait de démêler son intestin en insultant Amon, ce dernier continuait son chemin.

POSTE N°110
<AMON>

Apres quelques minutes de marches, Amon se retrouva au pied de la colline sur laquelle tronait le palais de Nethfer.

**Bon, pas de temps à perdre, il faut que je rejoigne Agramand le plus vite possible**

Amon commenca l'ascencion de la bute et bientot, arriva devant les portes monumentales du palais. Celle-ci s'ouvrirent d'elle meme à l'approche d'Amon. Un petit etre difforme arriva et fit signe à Amon de le suivre. Il emprata un tas de couloir, portes et escalier pour arriver enfin devant une porte richement décorée avec une clinche en or. Le bonhomme ouvrit la porte et fit mine à Amon d'entrer, ce qu'il fait sans réchigner.

L'intendant de Nethfer était assis sur son siège, les yeux fixés sur Amon.

- Bien, je vois que tu as réussi à venir ici, Amon... Serviteur du nécromancien Agramand. Ton coeur est noir comme la mort, je te donnerai les épreuves qui vont avec...

L'intendant se leva, et fit apparaitre un parchemin écrit en une langue incompréhensible.

- Voici l'épreuve : Pour retrouver la cruauté, la bonté tu utiliseras puis la traitrise tu feras, bonne chance

Le temple disparu, mais une grande forêt apparue, sous les yeux d'Amon

POSTE N°111
<AMON>

**Bon, revoyons donc cette épreuve : Pour retrouver la cruauté, la bonté tu utiliseras puis la traîtrise tu feras, bonne chance
…
Avançons déjà pour voir**

Il réfléchit tout en avançant, lorsqu’il entendit les pleurs d’une petite fille. Il s’approcha de l’origine de bruit et vut une jeune fille couché à terre et qui pleurait.

** « la bonté tu utiliseras »**

Amon cacha sa chair en putréfaction et s’approcha de la fille. Il prit sa voie la plus belle qu’il pouvait.

_Veuillez m’excuser jeune fille, mais pourquoi pleurez-vous ?

_Je me suis foulé la cheville et je ne peux plus rentré chez moi et il va faire nuit…

_Si vous le souhaitez, je peux vous aider à rentrer chez vous

_Oh oui, ce serait très gentil.

Amon aida la jeune fille à se relever et la soutena en marchant. Bientôt, ils arrivèrent en vue de la maison.

_Je vous remercie de m’avoir accompagné jusqu’ici, mais pourquoi ne resteriez-vous pas pour manger ?

_Pourquoi pas ? Mais il faudrait d’abord voir si vos parents son d’accord.

_Mon père est mort dans une partie de chasse il y a 3 ans… mais mère est très bonne, elle acceptera sûrement.

En effet, à peine furent-ils arrivé sur le seuil de la porte que la mère rappliqua.

_Ne me dites rien, ma fille c’est foulée la cheville et vous l’avez aidé à revenir ? Je vous remercie beaucoup, pourquoi ne resteriez-vous pas pour le souper ?

_Votre fille me l’avait proposé et c’est avec joie que j’accepte.

Elles installèrent Amon à la table et lui servirent un ragoût. Ils ne parlèrent pas en mangeant, mais après, la mère lui proposé :

_Il se fait tard… et la nuit va bientôt tomber. Pourquoi ne resteriez vous pas dormir ? Nous avons une chambre qui n’est pas occupé.

_Sa m’arrangerais beaucoup et je vous en serais gré.

_Alors venez, je vais vous la montrez.

Ils se levèrent et montèrent à l’étage. La femme lui montra une pièce.

_Voila c’est ici, je vous laisse, si vous avez besoin de moi, je suis à coté. Bonne nuit.

_Merci à vous, je vous le rendrais.

_Oh non, vous nous avez assez aidé en aidant ma fille. Bon, A Demain.

_A Demain.

Amon entra dans la chambre et referma la porte. En face du lit, sur le mur, se trouvait une image d’un homme avec 2 haches attachées et croisées en dessous.

** Ils me font totalement confiance. « Puis la traîtrise tu feras »**

Amon resta a observé la chambre 2 heures, le temps que madame et sa fille s’endorme, puis il s’empara d’une des haches et sortit discrètement. Il alla dans la chambre à coté de la sienne. La mère dormait la, il ne passa pas par 4 chemin, il lui trancha directement le crane.

** « Pour retrouver la cruauté » plus que la fille**

Mais il entendit des bruits de pas à coté, puis vit la fille devant la porte, regardant le crane de sa mere éclaté par la hache.

_Mais… mais…

Sans plus rien dire, elle hurla et tomba à genou.

_Ta douleur va bientôt cessé petite, ne t’inquiète pas.

Amon détacha la hache du crane de la femme et doucement, s'approcha de la fille, et, comme pour la mere, il la lui enfonca dans le crane, sans qu'elle aye bouger.

Amon s'écroula à terre, comme si une forte pression le retenait. La hache, la fille et le décor disparu. Le temple réaparu et l'intendant avait un parchemin en main. Amon se releva péniblement et l'intendant parla :

- Aucun remord, très bien, tu peux donc continuer ta montée dans la cruauté humaine... Voici l'épreuve : Le raisonnement tu retrouveras mais par la vue tu analyseras.

La salle disparue mais la tanière apparue sous les yeux d'Amon

POSTE N°112
<AMON>

**Bon, faisons la même démarche que tantôt, avançons.**

Amon s’engagea dans la Tanière, Rien n’as changé, mais après avoir fait quelques pas, il aperçu un elfe, puis tout un groupe.

**Des elfes ? Ici ? Agramand serait donc tombé ?**

Il se cacha vite derrière un mur, le groupe d’elfe passa à coté de lui en courant, ils portaient leurs armes. Amon attendu le temps que les elfes soit hors de vue, puis continua. Il passa à coté de salle remplie d’elfe en arme.

**Pourquoi occuperait-il s’est endroit si ils ont chassé Mon maître et les autres ? Un lieu comme celui-ci n’est pas fait pour les elfes.**

Soudain, quelqu’un lui tappa sur l’épaule.

_Alors Amon ? Enfin ressuscité ? Va vite voir Agramand, il veut te parler.

**Qu’est-ce que sa veut dire ? Depuis quand les elfes font ami ami avec les morts-vivants ?**

Amon se dirigea vers la salle d’Agramand tout en réfléchissant à ce que cela voulait dire. Quand il arriva enfin, il fut tétanisé en voyant Agramand : C’est un vieil elfe.
Il hésita un peu, puis se résigna à entrer.

_Ah, te revoilà Amon, je t’attendais pour lancer l’assaut contre les morts-vivants et Hautesylve.

**Bon, on dirait simplement que les elfes et les morts-vivants et autres créatures démoniaques ont échangé leur rôle, mais je suis resté un zombie…donc, sa doit être sa…**

_C’est un plaisir pour moi de vous retrouvez cher…Agramand

Amon sortit sa dague et s’approcha.

_Vous semblez essoufflé, vous avez sûrement du trop travailler ces jours-ci. Pourquoi ne pas reprendre son souffle un jour ou 2 ?

Il arriva au pied du trône.

_Non sa iras, je te remercie de te préoccuper de ma santé, mais nous ne pouvons nous permettre de perdre une journée… mais que fait-tu ?

Amon se tenait juste devant lui, la dague pointée sur lui.

_Je vais ramener le juste équilibre dans cet endroit.

Et il enfonça la dague dans le cœur de l’elfe.

Agramand souffrait et décedait peu à peu. Des elfes arrivaient par masse pour vanger leur maître. La voix de l'intendant se fit entendre.

- Voici la dernière épreuve, bats tous les elfes et ton étincelle de vie sera dans le dernier à tuer.

Rien ne disparu mais les elfes arrivaient par vague

POSTE N°113
<AMON>

**Bon, réfléchir vite…le corps du chef elfe**

Amon le fouilla vite et trouva un étrange artefact. C’était un petit sceptre qui semblait avoir les mêmes propriétés que la bague maudite, celle de ressusciter les morts. Amon s’en empara et le tendit vers les elfes en se concentrant. Soudain, la terre semblait se craquer de partout, des mains squelettiques et en putréfaction sortirent. Étonné par cet vision, les elfes s’arrêtèrent, le temps que les mort-vivants soit tous sortit.

_Attaquez-moi ces elfes !

Tous les zombies se déplacèrent vers les elfes dans un total chaos, alors qu’eu adoptait un certain ordre, puis ce fut la grande melée. Les elfes, plus organiser, se défendait mieux que les mort-vivants qui était totalement désordonner, mais il ne ressentait aucune douleur, ce qui leurs permettaient de tenir plus longtemps. La balance s’équilibrait, les pertes était plus ou moins les même dans les camps quand un elfe sortit du combat et se dirigea vers Amon qui observait. Il se concentra et se souvenu d’une image de sa sale de torture et envoya cette image dans l’esprit de l’elfe. L’effet fut tout de suite observable, il s’arrêta net et il tremblait. Amon en profita pour sortir sa dague et s’approcher, mais l’elfe se ressaisit à temps et évita le poignard.

Du coté du combat, les elfes et les morts-vivants s’entretuaient et, bientôt, il n’en resta plus qu’une dizaine dans chaque camp et les combats se faisait plus violent encore. Amon, lui, s’empressa de sortir un morceau d’une matière spéciale et l’envoya vite près de l’elfe, elle explosa un peu derrière lui et il sursauta, surpris. Il en profita pour lui entailler la chaire de son bras droit. Furieux, l’elfe oublia rapidement l’image effroyable qu’il avait vue et se jeta sur Amon, l’épée pointée sur lui. Il lui trancha une partie de la chair de son abdomen. Il sentit une légère douleur, mais son état de zombie lui permettait une légère immunité face à la douleur. De l’autre coté, tous les elfes étaient morts, il ne restait plus qu’un squelette sans jambe qui se traînait à terre. Amon, discrètement, obligeait l’elfe à s’approcher du squelette estropié. Quand il fut assez près, Amon lui dit d’une voix sans intonation :

_Coupe lui le tendon d’Achille.

Le squelette pris le talon de l’elfe dans ses mains, enfonça ses os dans sa chair, et arracha le tendon. L’elfe sous le coup de la douleur et que l’un de ses pieds ne le soutenait plus, s’étala à terre. Le squelette s’apprêtait à l’achever quand Amon lui ordonna d’arrêter.

_C’est toi qui détient mon étincelle de vie, je tiens à te tuer proprement.

Amon prit les mains de l’elfe et les coupa.

_Tu seras plus sympathique comme sa, j’en suis sur.

Amon le plaqua au sol et commença à lui trancher minutieusement la poitrine autour du cœur. Quand il n’y eut plus que les cotes, il passa sa lame entre et transperça le coeur

[HRP: Post suivant]

Le décor disparu et une grande salle noire avait pris la place de la tanière, au milieu un puit, banal mais une immense lumière en sortit.

- Continue ton destin Amon, vis ta vie...

Amon fut ébloui, puis se réveilla, étendu près de la tanière, la vraie.