[Saega-Jonque-Galathiel] Enfin sauvés ?

Post n°48
Saega

Action précédente : Les routes de Norgod - [Jonque-Saega-Galathiel] Les sentiers de la haine

Anhiya dormait paisiblement, mais la fillette à côté d’elle était très agitée et la réveillait fréquemment. Elle ne savait l’heure qu’il était, mais il allait faire jour dans peu de temps, lorsqu’elle entendit la petite fille gémir et vit une larme perler le long de sa joue. Un sentiment qu’elle n’avait jamais expérimenté auparavant fit son apparition, de la compassion à l’égard de l’enfant. Elle qui n’avait jamais été aimée telle qu’elle l’espérait avait envie que Galathiel, dont elle ignorait toujours le nom, ait l’amour qu’elle mérite. Avec un geste fluide et très affectueux, elle sécha la larme avec un des ces doigts fins.

Saega se réveilla une demi-heure après cet évènement, au moment où des hommes attaquaient le chariot. Il vit que Jonque aidé du coureur parvint après de nombreux efforts à se débarrasser de leurs agresseurs. Pendant ces quelques minutes durant le chariot avait failli être démantelé, Saega n’avait pas desserré les dents de rage car il était impuissant et se pouvait aider ses compagnons. Il avait envie de taper du poing, mais se rappela que son bras n’était pas encore remis.

Le groupe se trouvait enfin aux portes de la ville, mais un nouveau problème allait vite se présenter. Saega était recherché pour meurtre, mais Anhiya aussi car elle avait été enlevée et était la fille de la grand mage Idraya. Puis, Anhiya sentit quelqu’un les observer. Par réflexe, elle se plaça devant la frêle petite fille pour la protéger. Puis, elle se rendit qu’il n’y avait personne d’autre dans le chariot, enfin aucun intrus, puis elle ressentit qu’un grand pouvoir se focalisait sur elle et le groupe l’accompagnant. Son visage prit une teinte proche de celle des cadavres exsangues lorsqu’elle reconnut ce pouvoir, celui de sa mère.

Saega vit rapidement que quelque chose clochait avec Anhiya. Ces soupçons furent confirmés lorsqu’elle se rapprocha de lui et se mit à lui murmurer quelque chose à l’oreille.

Saega, il y a un gros problème. Il faut absolument que nous quittions Norgod, pour aller sur Djel’Fa. J’ai senti que quelqu’un me cherchait et qu’il a fini par déterminer ma position. Le seul moyen de lui échapper est de quitter ce continent. Il aura beaucoup plus de difficultés à nous atteindre si nous sommes le plus loin possible d’ici.

Elle avait parlé avec une voix chevrotante, et ces yeux ne pouvaient pas s’empêcher de se déplacer continuellement. Elle avait pourtant bien insister sur le fait que la personne la cherchant était un homme, ceci afin de brouiller un peu les pistes. Saega qui ne savait pas vraiment de quoi il en retournait, essaya de la calmer de son mieux.

Il n’y a pas de problème, Jonque avait l’intention d’aller à Djel’Fa de toute façon. Mais, qui te cherche, et comment cette personne a pu te retrouver ?

Saega se posait des questions, surtout qui pouvait avoir retrouver Anhiya, comment il avait fait, ainsi que pourquoi il la cherchait. Mais, il n’avait même pas le début d’un indice.

Ce n’est pas le problème, il faut absolument quitter le continent avant que tout le monde soit au courant de ma présence ici. Il faut que tu presses Jonque de trouver un bateau qui nous emmènera à Hek’Adir.

Saega savait qu’il n’obtiendrait pas plus de détails, donc il s’abstint de poser des questions supplémentaires qui lui seraient revenues non répondues. Il se faufila comme il pouvait dans le chariot en faisant attention au chargement du vieil homme et s’approcha discrètement de Jonque.

Excuse-moi de te déranger, j’apprécierai grandement que nous nous mettions rapidement en quête d’un bateau en partance pour Djel’Fa. D’après certaines informations que j’ai pu glaner, nous ne sommes pas en sécurité ici.

Puis, voyant qu’un soldat s’approchait du chariot et de Jonque et donc par conséquent de lui, il se dépêcha de retourner à l’arrière du chariot, espérant que les gardes ne trouvent rien de suspect et les laissent passer.

[A l'intention des MDJs, pouvez vous décrire la réaction des gardes, pour savoir si on nous reconnait, ou s'ils nous laissent passer.
Merci d'avance.]

Action suivante : Les Quais de Port-Pergas - [Gagas and Co] Sur le départ

Post n°33
<Nils Popperpot>

action précédente "Repos et marchandages"

Les gardes regardaient la carriole d’un air suspicieux. Au moment où celle–ci s’apprêtait à les franchir, les deux gardes rabaissèrent leurs lances afin de bloquer le passage.
Ils n’eurent pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’un chien surgit de nulle part leur passa entre les jambes, une saucisse entre les dents.
Ils n’eurent pas le temps non plus de comprendre la scène, que Nils vint se prendre une des lances rabaissée. Il se fit le coup de la corde à la linge et se retrouva rapidement à l’horizontal en l’air. Il s’écrasa par terre devant les gardes.
Rapidement, les cris du vendeur à qui appartenait la saucisse, retentirent dans le corps de garde.
Les gardes un peu surpris par la scène dévisagèrent Nils qui se tenait la tête au sol et en oublièrent la carriole.

Au voleur !!! criait le marchand, le chien m’a volé attrapé le !!!

Le marchand arriva tout essoufflé et, les mains sur les genoux, dit au gardes :

C’est lui….aaaaaAAAAHHHHFFFFffffffffffffoooooôô…c’est lui et son bâtard de chien… Il ruminait comme une vache.
aaaaafffffffoôôôô….ils m’ont volé de la saucisse.

Alors que la carriole s’était un peu éloigné, le garde saisit Nils au sol et le maîtrisa :

Bouge pas morveux, t’es fait comme un rat !

Non ! dit Nils c’est pas mon chien !! j’essayais juste de le rattraper, j’vous jure, j’ai rien à me reprocher !!
Un garde le tenait en joue avec sa lance, l’autre le tenait fermement par les épaules.

Fwaou s’était enfui et était déjà loin, ce qui était préférable pour Nils.
Pendant ce temps, la carriole de jonque avait franchie le barrage et entrait à présent dans la ville.

Post n°157 1/2
<Jonque Tirlau>

[Action précédente sur les Routes de Norgod, cf Les Sentiers de la Haine.]



Les réactions d'Anhiya et Saega paraissaient étranges à Jonque. Tout d'abord par leur arrivé dans le groupe, puis ensuite par leurs deux réactions aux portes de Port-Pergas. Et enfin, leur discussion les rendait encore plus suspect et les faisaient devenir aux yeux du mercenaires des criminels dangereux.
Il faudrait, pensait le mercenaire, les interroger sur leurs motivations et pourquoi l'ont-ils suivirent...

Le guerrier vit que les gardes firent passer le chariot, trop occupé par ce voleur... Et de son chien qui maintenant se trouvait loin.
Enfin pas trop...
"Bon, vous prenez le coffre et le tissus, mes affaires, les vôtres, et vous partez avec Motus, les loupiots et la louve. Vous prenez a peu près tout, vous vous dirigez vers les quais et vous trouvez un gars qui se nomme Archus et vous lui dites que vous venez avec Jonque Tirlau... Il vous laissera sûrement passer, et si il ne veut pas, montrez lui ceci..." dit Jonque en sortant un petit parchemin de sa poche.

"Toi, l'explorateur et ta copine, j'vous achètes des capuches... Et après, je voudrais des explications sur votre venue dans mon groupe... Bon, maintenant, allez-y vite, sinon les gardes vont vous prendrent..."
"C'est bien tout ça, mais qu'est qu'on fait de cette chose pouilleuse ?" demanda le Coureur de Neis en montrant le chien voleur de saucisses.

Jonque lui prit d'une main experte la dernière saucisse, et le chien se mità suivre le mercenaire.
"Je vais aider l'gars là-bas... Galathiel, tu me suit s'il te plaît ? Je vais t'acheter des affaires..."

Tandis que le groupe dirigeait par Saega se préparait pour partir aux quais, Jonque, suivit de Barbare et Galathiel, ainsi que du chien puant, guidait le chariot avec l'équipement restant pour aller sauver ce boulet...
"Holà gardes ! N'arrêtait point cet homme ; certes, il ment, mais je peux vous dédommagez de toutes les saucisses manquantes !"

Les gardes furent quelque peu étonnés, tandis que le vendeur ouvrit la bouche et commença à émettre des mots...
Pourquoi un mercenaire prendrait t-il la défense de cet homme ? La cupidité est peut-être un mal, pour Jonque ça permet d'avoir de l'équipement...
Bonne perspective pour Jonque, surtout qu'un nouveau gas alllait renforcer l'équipe...

Le marchand, encore plus cupide que Jonque, continuait son discours...



[MDJ : Réponse du vendeur]
[Transmettre tout mon équipement à Saega sauf : Mes armes ; Bouteille d'eau bénite (moitié) x 1 ; Bombe x2 ; Briquet x 1; Grande peau non tannée x 1 ; Lapin x 2 ; Rat x 2 ; Poussière de squelette grossière ; Epine d'argent x 4 ; Bave de Gobelin x1 ] (L L : Fait)
Merci ]

Post N°18 de Golgoth
{{{Action précédente sur les routes de Norgod}}}


La première fois que Golgoth reprit connaissance, on le montait dans un chariot. Il voulut protester mais un coup violent le fit retomber à nouveau dans les pommes.

- Hé ! 'Tention ! S'agit pas d'trop l'abîmer non plus !

La seconde fois qu'il reprit connaissance, il était dans un sac et il sentait sous lui l'avancement du chariot. Puis, il voulut se tater un peu la tête, qui était fortement douloureuse, mais il sentit tout à coup une épée de l'autre côté de la toile du sac. Alors, une voix lui somma de se tenir tranquille. Puis comme Golgoth manquait d'air, il s'endormit naturellement pour l'économiser.

Finalement, la troisième fois, ce furent des voix qui le réveillèrent. L'épée frottait encore plus contre le cuir du sac. Quant à Golgoth, il souffrait de crampes :

- Halte là, manant ! Qu'as-tu à déclarer pour ton entrée à Port-Pergas ?

- J'viens ven' mes patates au marché !

- Mouais... bah paye la taxe d'abord, et va vite. La ville est perturbée en ce moment avec des lycans par ci, des criminels recherchés par là... On a pas d'temps à perdre avec des vendeurs de patates

- Peuh...l'taxes, on gagne plus sa vie après... T'nez le garde !

Arf ! Ouais, lui aussi s'en souvenait des taxes de Port-Pergas mais il avait d'autres problèmes plus urgents... Ainsi les bandits avaient déjà atteint Port-Pergas. Ils comptaient sûrement le donner aux autorités contre cette fichue récompense !

- Mais au fait, Patron. Y a quelque chose qui m'turlupine... Pourquoi z'avez t'y pas dit la vérité pour le prisonnier ? On aurait pu tout simplement le livrer et on aurait eu la récompense plus vite, non ?
** Tiens c'est vrai ça, j'avais pas noté, armf ! **

- Haha ! Si Narsse. Mais je sais ce que je fais... et puis c'est toujours aussi agréable de constater avec quelle faciliter on peut berner ces imbéciles de miliciens... Sur ce, Narsse prends ma bourse, et payez vous une tournée... Prenez... Golgoth avec vous, mais ne vous faites pas repérer, je compte sur toi. J'ai des affaires à régler, qui rapporteront gros... (Ces imbéciles, je vais les vendre comme les complices du Golgoth, j'aurai une belle prime, c'est sûr !)

- Hein ? Bien, patron. Merci, patron.

Après ça, Golgoth entendit le poids d'un corps sautant à terre. Au même moment, l'homme qui pointait son épée sur Golgoth dut changer de position car l'épée se retira quelques instant pour revenir aussitôt après.

Alors Golgoth qui se retenait depuis un petit bout de temps fut prix d'un forte quinte de toux. Instantanément, il entendit le bandit lui donner l'ordre de se taire, peut être un peu fort.

Malheureusement pour lui, les gardes n'avaient pas entendu le forgeron. Peut être cet homme là bas, pensa un des bandits. Mais il devait être trop occupé à aider ce jeune homme là à payer ses saucisses et à tenter de faire des affaires.

Cependant, pour couronner le tout, le bandit vit soudain fondre du ciel un oiseau, le même qu'ils avaient vu avec leur prisonnier. Et ainsi Tourse se dirigea vers le sac qui contenait Golgoth et commença à lui donner des coups de bec. Le forgeron, qui ne comprenait pas ce qui se passait prit peur et s'écria :

- Au sec *houmf*

Un des voyous lui avait plaqué la main sur la bouche avant qu'il n'attire trop de monde. Tandis qu'un autre chassait l'autour. :

- Va t'en sale piaf !(Puis à voix plus basse aux autres:)Bon... Allez, on s'attarde pas ici !

Les bandits firent alors accélérer les montures du chariot, espérant qu'on ne les avait pas remarqué.





{{{Action suivante : Port Pergas —> Les Quais —> 'Sur le Départ'}}}

Post n° 34
<Nils Popperpot>

Nils était encore à moitié K.O debout.
Le rentron qu’il s’était mit en se mangeant la lance du garde l’avait quelque peu déstabilisé, mais, il faut le reconnaître, l’avait bien aidé à comprendre le terme « arrestation » au sens propre comme au figuré.
Il regardait Jonque étonné, en se tenant la tête.
Il ne connaissait pas cet homme, mais celui ci était venu l’aider, négociant le prix des saucisses que Fwaou avait avalé.
Il se tourna vers le chien qui le fixait depuis quelques minutes. Celui ci se mit à secouer sa queue tordu avec un regard d’admiration bouleversant.

Puis il se tourna vers la foule, il se rendit compte que le coup qu’il avait prit le mettait dans un état second et le bruit de la ville, les négociations de Jonque avec le commerçant, les gardes et tout le reste semblait loin de ses oreilles.
Il secoua la tête, puis se tint immobile….
Il secoua de nouveau la tête en se curant l’oreille droite comme à la sortie du bain…
Mais rien…
Tout ce qu’il entendait était encore flou. Il avait l’impression d’être au fond d’une caverne et qu’une foire au boudin se tenait à l’entrée. Un des gardes qui le regardait attentivement, lui adressa la parole :

Qu’est ce qu’il t’arrive ? t’as l’air tout vaseux ?

Nils le regarda en fronçant les sourcils :

NON MAIS C’EST PAS MOI QU’AI VOLE LES SAUCISSES dit-il en hurlant.

Fwaaaaaâââououo….fit le chien qui n’aimait visiblement pas que son maître hurle.
Le garde sursauta un peu, et lui dit :

Oui c’est bon, c’est bon !!! cet homme est en train de régler l’affaire. dit-il en montra Jonque de la tête. Non, je voulais savoir si tout allait bien pour toi ?

Nils écarquilla les yeux. Il n’avait rien comprit au propos du garde.

D’ACCORD !! MAIS JE SAIS PAS COMBIEN CA FAIT EN POIDS !!! Nils essayait tant bien que mal de paraître arrangeant tout en feignant son état second.

Fwaâââoôôô refit le chien en secouant sa queue.

Le garde le fixa longuement avec des yeux ronds.
Il se demandait sûrement s’il devait éviter de lui parler au vu de son état psychologique ou s’il se foutait ouvertement de sa gueule.

Tu te moques de moi ? lui dit-il.

COMPLETEMENT !!, MAIS JE CHERCHE PLUTOT UN STYLE DE PATATE !! dit Nils persuadé que le garde lui parlait de ses recherches.

AAôôôôôFFFFFFFFFFFFFFFwaou fit Fwaou en sautillant autour de Nils en lui mordillant les bas de chausses.

Le garde bondit furieusement vers Nils et son collègue le retint.
Nils fut effrayé l’espace d’un instant. Il n’avait jamais connu quelqu’un d’aussi sensible à la patate.

NON MAIS NE VOUS INQUIETEZ PAS !!!!C’EST POUR LA BONNE CAUSE !!! dit-il afin de revaloriser ses recherches pendant que Fwaou s’acharnait à lui tirer le bas de son pantalon.
Sur ce les gardes repartirent se mettre en position, persuadés de la folie douce du voleur de saucisses et de son chien.
Nils remarqua la carriole d’où venait Jonque et il repéra celle qu’un autour avait l’air de prendre pour cible.

Il se tourna vers Jonque qui discutait avec le marchand de saucisses.
Un sentiment d’incompréhension le narguait.Il refit le scène trois fois depuis le début et ne comprenait toujours pas comment il s’en était sortit.
Pas fataliste, Nils reprit la route en direction des quais avec le sourire.
C’est con, il n'entendait toujours rien…

Post n°7
<Lokian Hên>
post précédent:En route pour Port-Pergas

Lokian arriva enfin aux portes de la ville. Il remarqua que la ville était en effervescence. Il y avait de l'agitation. Lokian se demanda se qu'il se passait. Bientôt il fut arrêté par un garde.

-Eh! toi avec tes habits verts! Que fais-tu ici? Pourquoi viens-tu à Port-Pergas?

-Euh... Je viens me restaurer, j'ai fait un long voyage et j'ai besoin d'acheter des provisions.

-Encore un voyageur! Ca va c'est bon circule! Tu as l'air d'un étranger ne connaissant pas la ville!

-Excusez-moi! Mais pourquoi y-at'il autant de monde? Que s'est-il passé?

-Une histoire de brigands et de lycans.

-Des lycans?qu'est ce que c'est?

Le garde se mit à rire
-Tu te fous de moi ? tu ne sais pas ce que c'est qu'un lycan. C'est un homme qui se transforme en bête assoiffé de sang à chaque pleine lune. Un conseil évite d'en coiser. je te dis ca c'est pour ta sécurité!

Post n°158
<[Jonque Tirlau]>




Jonque discuta sur le prix du chariot et des bœufs avec le marchand, pendant que Nil Popperpot hurlait sans raison au garde, tout en disant n'importe quoi...
Les négociations sur le prix du chariot étaient dures ; cinq cents or pour un bœuf et quatre cents pour le chariot selon le marchand, tandis que sept cents or pour un bœuf et quatre cents et demi pour le chariot selon le mercenaire.
Finalement, ils trouvèrent un accord la moitié du prix, tout en enlevant de la nourriture, du sel et des boissons dans le prix total.
Jonque avait réussi à vendre son chariot et les bœufs, tandis qu'ils recevaient de la nourriture pour son groupe et de l'or pour la veuve de Ganak.
Il avait maintenant vingt légumes, trente fruits, deux tonnelets de bière, huit pains complets, six beau-morceaux de viande salés, ainsi que quatre pavés de viande tendres et une quarantaine de bonbons pour Galathiel.
Il récupérait aussi énormément d'argent avec les bourses d'or que le marchand avait donné.

Puis, en revenant à la case départ, après une dizaine de minutes de négociations, le guerrier fit à son loup :
"Retrouves ce boulet et ramènes-le... Il me doit de l'argent et en plus, il est sonné... Ça deviendrait catastrophique pour lui."
Le loup, dès lors, se mit à courir vers les quais, reniflant l'odeur de ce gnou.


Jonque, lui continuait, ses achats : un marchand ambulant, chargé de peaux, matériels de couture, bizarreries et autres choses inutiles selon certains.
"Vous avez des armes ?"
"Des dagues, des fouets et quelques haches en bonne quantité m'sieur !"
Il déballa fièrement un assortiment de haches, dagues et fouets de qualité bien différentes, certains tombant en poussière d'autres alors que d'autres étaient parfaites.

"Je prendrais cette dague et ce fouet ! Et je vous échanges mon ancienne dague !" dit Jonque en brandissant sa vieille arme.
Le marchand l'examina soigneusement.
"Assez abîmé... Je vous vend les armes à cent vingt-cinq or."
Jonque réfléchit rapidement : et si il lui vendait en même temps les bestioles qu'il avait attrapé ?
"Je vous propose de baisser le prix... Je vous donnes en échange deux lapins et deux rats..."
Jonque les sortit, et le marchand se gratta le menton en voyant les bestiole.
"Mouais, j'vous les prend à quinze or..."
"Marché conclu !"

Les deux personnes échangèrent les biens, puis Jonque s’exclama :
"Qu’est que c’est ? "
"Des petites bombes lumineuses. C’est trèèès bien et en plus, ça fait beaucoup de la lumière… Pour six or à l'unité !"
"J’vous en achète quatre ! "
"D’accord… Quoi d’autre ? "
"Cette peluche !"
Le marchand tendis la peluche, et Jonque l’argent…
"J’pars avec Martin… Et merciii !"
"Martin ? "
"Ma charrette !"
Le Roc-Rétifien fit une drôle de tête, puis haussa les épaules.
L’homme continua sa vente, déambulant de partout… Jonque, quant à lui, alla voir Barbare, avec Galathiel…




[HRP :
* Rajouter dans mon inventaire : Dague bien forgé, Fouet médiocre (pour Saega...), Bourse d'or x5,Bombe lumineuse x4 Légumes x20, Fruits x26, Tonnelet de bière x2, Pain complet x8, Beau-morceaux de viande salés x6, Pavé de viande tendre x4.
* Déplacer l'argent de Galathiel dans ma bourse ^^
* M'enlevez : Dague médiocre, 149 or
* Donner à Galathiel : Fruits x4 Bonbon x33, Ourson en peluche x1.

Merci au MDJ courageux qui le fera]
Erg: Fait

Post n° 35
<Nils Popperpot>

Cela ne faisait pas vingt mètres que Nils marchait quand il fut retenu par quelque chose.
Il se retourna et marqua un temps d’arrêt. Il faisait face à un loup qui le tenait par la manche.
Fwaou se fit tout petit derrière Nils. Des groupes de passants se formaient en cercle autour de la scène. Tous le monde curieux de voir ce loup et curieux aussi de savoir s’il allait le bouffer.

Le loup le tira à deux reprises et Nils lui dit la voix grelotante :

Vou-a-la, tout doux il est mii-gnon…

Le loup le tira encore deux fois et Nils se dit :
* Bon voilà, petit père, t’es devant un loup…glups…bon, ce qu’il faut s’dire c’est que techniquement, il aurait déjà pu te bouffer…donc on va dire que c’est pas ce qu’il veut…*

Le loup le tira fortement vers lui.

Tu…tu veux que je te suive dit Nils un peu fortement.

Le loup le lâcha et repartit vers la porte. Nils et Fwaou se regardèrent et lui emboîtèrent le pas.

Nils arriva au niveau de l’homme qui parlait au garde juste après son arrestation. Il se dirigea vers lui. Le loup était allongé à ses pieds.

Jonque regardait Nils s’approchait et lui dit :

[A toi de jouer Jonque !]

Post n° 36
<Nils Popperpot>

Nils regarda Jonque d’un œil surpris.

JE SUIS VRAIMENT DESOLE, J’AI A PEINE ENTENDU CE QUE VOUS VENEZ DE ME DIRE MESSIRE dit Nils en hurlant.

Jonque écarquilla les yeux et il comprenait mieux pourquoi Nils le regardait si étrangement depuis le début. Sur ce, il expliqua en long, en large et en travers, à l’aide de signe entre autres sa proposition.
Nils regarda cet homme avec étonnement, sa carrure l’imposait à la scène et ses blessures faisait de lui un héros de guerre. Nul doute que cet homme fusse un fier guerrier et Nils était à peu prés charmé.

Cependant, Nils ne connaissait pas Jonque et il essayait tout en l’écoutant de souder le personnage. Il paraissait mystérieux et bien préoccupé.
A présent, la galère dans laquelle Nils était le faisait réfléchir quant aux pièces d’or gagnés sans trop de difficulté grâce à Jonque et en même temps il voulait en savoir un peu plus sur l’homme en question.
Depuis son départ des Monts du Nord, Nils avait eu de la chance, personne de malfaisant ne lui avait tendu de piège. Il savait qu’il avait eu de la chance.

JE SUIS INTERESSE PAR VOTRE OFFRE MAIS J’AIMERAIS EN SAVOIR PLUS dit-il.

Jonque en regardant à droite et à gauche dit à Nils

Bon pour commencer, vous n’êtes pas obligé de hurler à tout bout de champ.
Et puis que voudriez vous savoir ?

J’AIMERAIS BIen…pardon…connaître votre nom et savoir où voulez vous que je vous transporte ces bricoles ? dit Nils presque en chuchotant.

[à toi Jonque!]

Post n°159 2/2
<[Jonque Tirlau]>



"Je suis Jonque Tirlau, mercenaire, guerrier, escorteur, alchimiste, marchand, tueur de morts-vivants et plein encore d'autres choses... Je suis un cumulard dangereux pour ceux qui sont mes ennemis."
Jonque sourit au dénommé Nils Popperpot, puis continua d'une voix claire :
"J'ai besoin que vous m'aidiez à transporter des bricoles sur un bateau, qui se trouve sur les quais. Je dois passer chez le couturier et Algar... J'ai besoin de faire des achats. Et plus, après, je vous paie le voyage... Si vous en avez envie."

Le mercenaire semblait deviner que Nils était naïf, mais toute fois, il n'en abuserait pas. Ce n'était pas un escroc...
Toutefois, le fait qu'il le soit était un danger pour lui. Nombre d'âmes noires, malsaines ou corrompus pouvaient le voler, voire pire. Donc il valait mieux pour lui d'être en compagnie du mercenaire...
Le Roc-Rétifien en plus avait une idée... Une idée de groupe... Un clan de tueurs de nécromanciens...
Certes, il en était un, mais ne la pratiquait pas...

Une idée saugrenu ? Non, pas du tout ! Jonque était tout à fait sérieux avec lui et ne se mentait pas...
Délire ou non ?
Il n'était pas devenu fou...

Toutefois, pourchasser toutes ces mages noires, praticiens de rituels hideux et nécromanciens n'allaient pas être un jeu d'enfants, car il étaient aussi durs à trouver qu'une anguille* dans une meule de foin...
Mais Jonque en était capable, enfin, sur les plus petits nécromanciens...




* Ce qui reste plus dur...
[Action suivante chez Algar l'Achimiste, cf Dans la boutique...]

Post n°37 1/2
<Nils Popperpot>


Nils réfléchit un moment puis accepta la proposition de Jonque.
Il ne savait pas exactement ce qu’il allait se passer mais la présence rassurante d’autres voyageurs l’incitait à aller vers l’inconnu.

Nils commença par prendre des babioles, se chargea un maximum, accrocha quelques ustensiles sur Fwaou et se tint prêt pour le départ.

Nils, après avoir charger le matériel, se tourna vers Jonque.

Est ce que je peux être payé maintenant ? dit-il sous une montagne de babioles.

action suivante "chez algar"

[Jonque, je te suis maintenant]