[Gahn] Une révélation... (récit terminé)

Post n°44
<Gahn>

[HRP : action précédente dans "Port-Pergas", cf "La taverne".]

Gahn traversa la ville vers les hautes tours du centre. La ville est organisée en deux pôles : le port et le donjon. Autour de cela, on pouvait voir une architecture en spirale, qui tournait au sens propre du terme autour de ces deux endroits.

Le jeune guerrier vit des choses interessante, notemment la mentalité de ces hommes portuaires pret à tout pour leurs honneur. Les relations avec le continent de Djer'Fa avait rendue la ville très riche en comparaison de leurs rivaux du nord, ce qui ne pouvait assurément déboucher que sur des tensions entre ces deux villes.

Gahn arriva finalement devant la herse du donjon, où il fut acceuillis par un grand rassemblement de troupes. Rien ne pouvait démentir la puissance militaire de la ville.

Le jeune guerrier demanda alors à une sentinelle d'apellé son supérieur.
-Sergent ! Y'a un sang-mélé qui demande à vous voir! Hurla la sentinelle.
Visiblement, cette requête ne semblait pas enchanté le sergent qui arriva en trainant le pas. Arrivé devant Gahn, le sergent demanda :
-C'est pour quoi?
-Hum, désolé de vous dérangez sergent. Mais j'ai içi des documents de Roc-Rétif m'indiquant les archives de votre donjon comme lieu de recherche, je voulait savoir si je pouvais consulter vos dossiers?
-Peuh, cracha le sergent, Ouais vous pouvez. Hirmann ! Va chercher le conservateur ! Beugla le sergent.

Après quelques minutes d'attente sous le regard des soldats, Gahn fut finalement reçus par le conservateur de Port-Pergas, un homme avec les cheveux long et grisonnant, un bouc ornant son menton.
-Bonjour monsieur ! Dit le conservateur d'un ton enjoué. Que puis-je faire pour vous?
-Eh bien, je m'apelle Gahn Bjoränn, je vient du Nord et...
-Sergent, retournez à vos affaires, dit le conservateur soudainemment très sec. Quand à vous, dit le conservateur en regardant Gahn, suivez moi...

*****

Malgré son grand âge, le conservateur marchait très vite, et Gahn devait presque courrir pour rester à son niveau.
-Un Bjoränn dites vous? Par la sainte lumière de Kegöh, en voila une nouvelle !
Le conservateur ouvrit une porte et fit entrer Gahn.
-Je reviens tout de suite, dit le conservateur, attendez moi ici.
Le jeune guerrier, n'ayant rien à redire, attendit quelques minutes lorsque la porte se rouvrit.
-Bien, j'ai vérifier ce que je pensais être juste, et j'avais raison. Vous êtes bien l'héritier des terres du clan Bjoränn dans le Nord?
-Hum, oui c'est cela, dit Gahn, embarassé...
-Eh bien monsieur, je puis vous dire aujourd'hui que vous êtes en droit de réclamer vos terres. Militairement bien sur, aussi je vous conseil de lever une armée avant de vous lancer à l'attaque de vos enemis. Cela sera juridiquement faisable et justifiable. J'ajoutes monsieur, que l'héritage de votre mère à été dilapider. Il n'y a plus une pièce d'or qui vous appartienne, cependant, il semblerait qu'une de ses consignes post-mortem ait été de caché les armes de la famille Bjoränn dans un endroit inconnu de tous.
-Expliquez vous... demanda Gahn, la gorge nouée.
-Vous n'êtes pas sans savoir que votre père et vos 6 frère mourrurent les premiers. Votre père, avant de partir combattre donna comme instruction de cacher la hache familiale ainsi que le casque de votre clan. Je ne m'y connais que peux en culture naine, cependant, je crois savoir que ces deux objets sont d'une importance capitale dans le règne d'un roi.
-C'est exact...
-Bien. Votre père s'est donc séparé de ces deux objets et les as confié selon les documents que j'ai lu à un de ses meilleurs amis, Lamnir Gunsson. Selon ces mêmes documents, il serait encore en vie, et vivrait en ermite près de Hautesylve, dans l'est. Vous devriez entammé vos recherches par là...

*****

Cela faisait 20 minutes que Gah avait quitter le donjon, encore troublé de ces révélations. Il pouvait reconquérir ses terres, mais uniquement par la force d'une armée. Et pour asseoir son pouvoir, il devait récupérer les armes de son père. Il savait désormais quelle était sa route, il savait désormais où ses pieds devaient le menés...

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