[validé] Aspar Fendor

Nom : Aspar Fendor

Race : Demi Nain

Métier : Chasseur, Apprivoise les animaux sauvages

Savoir-faire : Tanneur-couturier

Caractéristiques physiques :

Bien que né de père Nain, Aspar Fendor est de taille moyenne (1 mètre 50). Son mode de vie lui permet d’entretenir une musculature saillante, à fleur d’une peau mate, tannée par le soleil et le grand air. En mouvement, malgré de larges épaules et des jambes courtes aux cuisses massives, il n’en demeure pas moins vif et élancé.

Seul son visage trahit ses origines.

Des arcades proéminentes, ébouriffées de sourcils en bataille, assombrissent quelque peu l’éclat de ses yeux verts. Un nez d’aigle, quoiqu’un peu fort, aux narines palpitantes surplombent de puissantes moustaches. Ses lèvres minces disparaissent sous le poil d’une barbe qui déferle en mèches sauvages sur sa large poitrine. Il n’est pas rare qu’Aspar Fendor prenne le temps de domestiquer tout ce poil en tresses liées par des fils d’étain, à la manière des Guerriers des Clans de Garadgar. Une chevelure épaisse, rousse, presque une crinière, descend jusqu’entre ses omoplates. Par superstition, Aspar Fendor frémit à la seule idée de fréquenter l’échoppe d’un barbier : il a fait vœux de conserver son poil intact jusqu’au jour où il aura conquis le privilège de ceindre le casque de Guerrier.

Son apparence et ses attitudes lui donnent un air résolument farouche qui disparaît comme un mauvais souvenir lorsqu’il sourit : à ce moment là, on peut dire qu’Aspar Fendor dégage un certain charme.

Si quelqu’un venait à le surprendre à la baignade, - Aspar Fendor aime s’ébattre dans les eaux froides des rivières et des torrents -, il pourrait distinguer, perdues dans une toison laineuse, de vilaines cicatrices : deux au dessus du sein droit, profondes et trop roses pour être vraiment anciennes, et une troisième, fine, serpentant du sternum jusqu’à la taille. Aspar Fendor arbore dans le dos, entre la racine du cou et une ligne joignant l’attache des deux épaules, un tatouage aux dominantes rouge et bleue : un serpent étreignant un glaive.

Ses mains épaisses aux ongles taillés et peints de noir semblent deux êtres indépendants du reste de son corps, volubiles, lorsqu’il discute ou lorsqu’il conte une histoire ; il ne reprend leur total contrôle que lorsque la tension l’envahit, ou avant le combat.

Aspar Fendor parle d’une voix grave, profonde et chaude. Où qu’il aille, Aspar Fendor passe difficilement inaperçu.

Caractéristiques mentales :

Aspar Fendor est un solitaire. Il n’aime rien de plus que la compagnie des animaux. Discret, calme et volontiers distant, il ne recherche guère le commerce de ses contemporains. Par nécessité, il sait néanmoins se fondre dans toute société, tel le caméléon, et apparaît alors comme un convive agréable, chaleureux et disert. Il aime rire, boire et chanter, mais ne s’y complaît pas plus longtemps qu’une soirée. Méfiant, il est devenu calculateur par la force des choses : il prend tout le recul possible et se donne toujours le temps de la réflexion. Pour ceux qui l’ont côtoyé, Aspar Fendor passe pour un lettré, au verbe franc et direct, facilement ironique. Mais le conteur infatigable nourrit une véritable mélancolie qui passe parfois sur son visage comme des nuages un soir d’orage. Dans ces noirs moments, Fendor serre les mâchoires, comme en proie à une sourde souffrance. Colérique, il peut perdre très facilement son contrôle. Mais toujours, il regrette ses débordements et ne considère pas comme un déshonneur de présenter ses excuses à ceux qu’il a put blesser ou offenser. Mais lorsqu’il est offensé, Aspar Fendor ne pardonne jamais : son sens de l’honneur et de la parole donnée se mêlent étroitement à une rancune tenace et immortelle. Fendor dissimule aisément ses sentiments, et il peut mentir ou feindre pour rester maître de la situation. Vif, il assimile vite. Têtu, il peut s’enferrer dans ses erreurs. Rusé, la fureur peut malheureusement le pousser à la précipitation. S’il savait faire confiance aux autres, il aurait un véritable sens de l’amitié. Fendor aime la compagnie des jolies femmes, avec une prédilection pour les femmes brunes. Il nourrit une haine tenace à l’égard des orcs, des elfes, et des gobelins qu’il considère comme des rebuts.

Vêtements :une tunique et des chausses en toile de couleur vert sombre ; une pèlerine à large capuche, renforcée par des spallières de cuir râpé ; des bottes et une ceinture de cuir.

Etat d’esprit : Chassé, traqué, laissé pour mort, Aspar Fendor ne poursuit plus qu’un seul but : revenir chez son Père auréolé de gloire et arborant son propre étendard. Pour cela, dans le respect de la Règle du Guerrier, Fendor est prêt à tout. Comme il est paré à toutes extrémités pour assouvir sa vengeance.

(suite)


Histoire :

La fraîcheur de la nuit l’avait tiré de son plus profond sommeil. Le temps d’un battement de cœur, une folle panique l’avait submergé, et dans un sursaut, il avait voulu se dresser sur sa couche. Mais la douleur l’avait terrassé. Sur le dos, ruisselant d’une mauvaise sueur, il était parti à la découverte de son corps d’une main tremblante, dans l’obscurité la plus totale. Il avait palpé les bandages enserrant sa poitrine. Ses doigts avaient rencontré une poisseuse humidité, s’infiltrant dans les fibres de la toile. Un élancement au dessus du sein droit lui avait arraché un cri à peine étouffé. Et il avait perdu connaissance. Sans comprendre où il se trouvait, et comment il en était arrivé là…

Au petit matin, la vieille s’était penchée sur ses pansements. Et l’avait morigéné comme un vulgaire galopin. Assistée par une fille à fichu à l’air trop maussade pour paraître séduisante, la vieille avait découpé les bandes souillées par le sang coagulé, et s’était appliquée, d’un geste aussi sûr et efficace que sa carcasse semblait chétive et chancelante, à rapprocher avec du fil et une aiguille de tanneur les lèvres blafardes de deux plaies profondes. Par fierté, il avait serré des dents, mais n’avait pu dissimuler bien longtemps les larmes qui coulaient sous ses paupières closes. Dans l’accès de fièvre qui l’avait terrassé après que la vieille et son aide aient tourné les talons, les souvenirs avaient jailli, comme un cadavre refait surface dans les eaux troubles et vaseuses d’un marécage, dans des volutes effilochées et denses.

Son père l’avait surpris en surgissant dans sa chambre, essoufflé, claudiquant sur sa jambe de fer. Aspar Fendor, - c’est cela : Aspar Fendor était bien son nom ! Il sonnait bien dans son esprit, et il le prononça à haute voix pour se rassurer -, barbe courte et crâne rasé comme tout Fils de Chef de Clan qui se respecte, ajustait sa cuirasse de maille, s’apprêtant à entamer sa dernière ronde avant l’aurore. Colindil l’avait empoigné par le bras, l’œil sombre.

- Il te faut partir, Aspar. Sans te retourner ! Maintenant, Fils, si tu veux conserver ta vie sauve !

Le Nain jetait des regards inquiets derrière lui, par la porte entrouverte. Aspar avait voulu protester, mais déjà son père le tirait à l’extérieur de la chambre.

- Ne t’embarrasse pas de cela ! – le Nain avait saisi les sangles de peau qui retenaient la cuirasse et les avait tranchées d’un coup de poignard, net, à ras des mailles -, Tu vas devoir voyager léger, Fils. Et chevaucher vers l’ouest, aussi vite que tu pourras.

- Père ? Par tous les Dieux ! Que se passe-t-il ? Pourquoi devrais-je partir comme un vulgaire voleur ?

Aspar se rappelait avoir résisté. Du moins, avait-il tenté de le faire. Colindil, bien que bancal depuis un raid des Orcs en l’année 746, jouissait de la force d’un buffle des Marais du Sud. Colindil avait baissé les yeux, et dans un éclat de rage, il avait craché par terre, s’essuyant la bouche d’un revers de manche. Puis, campant sur ses appuis, les mains sur les hanches, il avait fixé ce fils qui le toisait de plus d’une tête, l’air mauvais.

- Je veux que tu partes, Aspar Fendor ! Que tu débarrasses le plancher de la Tour Orientale pour ne jamais y revenir ! Tu n’es plus le bienvenu ici !

Aspar avait chancelé, ses jambes se dérobant sous lui. Il avait questionné son père du regard, mais l’autre le poussait sans pitié dans l’escalier de chêne, comme poursuivi par milles démons enragés, ne prenant pas même le temps de recouvrer son souffle.

- Fous le camp, Aspar ! Disparais ! Avait crié le Nain, parvenant mal à cacher l’émotion qui lui étreignait la gorge. Pars tout droit vers l’ouest ! Double Garadgar par la côte septentrionale et à trois lieues, tu trouveras des bateaux qui ont chargé du bois dans les saignées de la Forêt de Jade. Embarque ! Et disparais !

Un cheval baie attendait dans la cour, tenu par la bride par un Garde arborant le tabard du Clan : Soleil d’or levant sur fond azur. Aspar l’avait enfourché d’un bond. La bête était énorme et disproportionnée pour un Nain. Mais le sang de sa mère lui avait donné l’avantage de pouvoir chevaucher pareille monture. Tirant sur les rennes tout en affermissant son assiette, Aspar fit tournoyer l’animal, énervé par la tension ambiante. Colindil lui posa sa main sur sa botte, comme pour le retenir. Le Nain fouilla sous sa cuirasse bosselée et exhiba une petite bourse de cuir.

- Vingt pièces d’or, Aspar ! Mises de côté une à une par ta Mère ! Elles sont pour toi !

Il lança la bourse qu’Aspar attrapa au vol en maîtrisant son cheval trop espiègle. Colindil tira sa dague de son fourreau et la tendit par le manche à son fils.

- Prends ça aussi, Fils et que les Dieux soient avec toi !

Aspar avait à peine eu le temps de passer l’arme dans sa ceinture que son Père frappa la croupe du cheval qui partit au grand galop. Aspar laissa la bête filer jusqu’à ce qu’elle retrouve son calme. Lorsque d’elle-même la monture reprit le pas, il se retourna sur sa selle pour contempler une dernière fois la Tour Orientale, plantée dans le soleil levant, surveillant les cimes des Montagnes Noires au loin…

Les bûcherons d’Ajdir s’en retournaient à Sipahan. Une fois l’année, ils venaient se perdre tout au nord, tirant parfois jusqu’à Garadgar pour troquer des essences rares contre de bonnes lames. Puis, après deux à trois semaines d’abattage intensif, les grumes chargées, ils repartaient, longeant la côte par l’ouest jusqu’au plus grand port d’Amresia. Leurs barges à fond plat, animées par deux rangées de rames, ne les autorisaient qu’à un prudent cabotage. Le voyage s’éternisait toujours. Mais le jeu en valait la chandelle : les clairières de l’est regorgeaient d’arbres plusieurs fois centenaires, aux fûts élancés, sans nœuds, de toutes les espèces recherchées par menuisiers et maîtres ébénistes dans le monde entier. Aspar Fendor embarqua avec un chargement de noyers, de noisetiers et de chênes mauves aux fragrances alcoolisées. Il paya son passage de son cheval et gagna sa nourriture en prêtant ses bras aux rameurs. Combien de temps resta-t-il à bord ? Il ne s’en souvenait plus. Seule l’odeur de la résine brûlant dans le cuivre des lampes hantait encore sa mémoire…

Sipahan. Sa jetée et les vagues qui roulaient sur la pierre des quais. Les navires. Plus grands que plusieurs des plus grandes maisons de Garadgar réunies, et hauts comme une colline. Le lascar perché sur les cageots de la criée du marché aux poissons lui avait lancé un mauvais regard. Aspar avait alors pris conscience que sa vêture, bien que mise à mal par un trop long périple, trahissait des origines nobiliaires qu’il n’était pas opportun de revendiquer dans les ruelles glauques de la ville. De son équipement, il ne conserva que la ceinture et les bottes, cadeaux de sa mère. Il troqua le reste contre une bonne tunique de toile, des chausses et une pèlerine de chasseur. Puis s’en alla s’asseoir dans une des nombreuses tavernes le long des embarcadères. Le « Fol Vent du Sud » appareillait le soir même…

La traversée ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices : bourrasques, mer agitée, ciel de plomb. Rallier Port-Pergas pouvait prendre deux jours comme cinq par gros temps. Et l’expérience sur les barges des bûcherons d’Ajdir avait laissé pour un temps à Aspar Fendor un estomac fragile. Il s’embarqua néanmoins, comme le fret et près d’une cinquantaine de passagers, presque tous des commerçants partageant leur vie entre Sipahan et Port-Pergas. A sa grande surprise, et à sa totale satisfaction, il constata qu’il dormirait seul dans sa carrée. Il grimpa tant bien que mal dans son hamac et se laissa couler dans le plus profond sommeil. A son réveil, gagnant le pont, toute trace de la terre avait disparu. Aussi loin que son regard pouvait porter, Aspar Fendor n’embrassait que l’immensité d’encre d’une nuit guettant la tempête. Il ferma les yeux et aspira à grands poumons la bise marine chargée d’embruns.

Lorsqu’il se retourna, ils étaient là tous les trois.

- Fendor ? Demanda le premier, un homme corpulent à la barbe sale.

D’un geste lent, Aspar laissa sa main glisser jusqu’à la poignée de la dague paternelle. Il prit l’air le plus innocent et le plus surpris que les circonstances le permettaient.

- Je ne vois pas de qui tu veux parler, bonhomme… Gronda-t-il.

- Ne nous prend pas pour des imbéciles, Fendor ! Tu es bien le demi nabot qui se promène par le monde avec un contrat sur la tête ! Ricana le second, svelte et élancé, armé d’un bâton renforcé aux extrémités par des plaques d’acier roulées.

C’est le troisième, le plus petit et le plus insignifiant qui frappa le premier, visant le cœur. Aspar recula d’un bond mais la lame déchira sa tunique au niveau du sternum, et entama sa chair jusqu’à la hanche. Il dégaina son poignard mais déjà le plus mince le frappait sur le crâne avec son bâton. Il tomba, sonné, les tempes bourdonnantes, aveugle. Pendant que le gros faisait le gué, le petit lui planta sa lame dans la poitrine, par deux fois, plus rapide qu’un scorpion. Aspar Fendor sentit sa vie l’abandonner pendant que les trois hommes le jetaient par-dessus le bastingage, après l'avoir délesté de son arme et de son or. Il perdit conscience avant même d’atteindre la surface de l’eau…

Des pêcheurs avaient recueilli le Demi Nain, ainsi qu’un autre bougre, plus abîmé celui là, avec un mauvais arc et un carquois en peau de chèvre en bandoulière. Ils l’avaient laissé pour mort, mais respectueux de l’humain, comme tous les gens de mer, ils avaient décidé de transporter le corps jusqu’à la terre, pour lui donner une sépulture décente. Quand le fossoyeur avait lancé la première pelle de terre sur le cadavre, il avait clairement perçu un gémissement. Les marins étaient descendus dans la fosse. Le Demi Nain vivait encore. Ils l’avaient porté à la Guérisseuse, prenant garde de restituer au blessé tous ses biens terrestres,comme ceux de son compagnon de noyade. Peut-être que la Vieille pourrait quelque chose pour lui, s’il avaiy encore quelques gouttes de sang dans les veines, et l’âme chevillée au corps…

Objets : un arc de chasse de médiocre facture ramassé sur un cadavre, et un carquois en peau de chèvre.

Techniques :

1 – Camouflage : Aspar Fendor peut se fondre dans la nature, dans une parfaite immobilité pendant 30 secondes, ne faisant qu’un avec son environnement. Cette technique n’est pas utilisable en milieu urbanisé, dans le désert ou en haute montagne : la présence d’une végétation est absolument nécessaire pour parvenir au meilleur degré de furtivité. Au moindre mouvement, Aspar Fendor redevient visible, et, les muscles engourdis, victime de fourmillements, ne retrouve une parfaite mobilité qu'après une dizaine de minutes.

2 – Tir au but : Lorsqu'il souhaite atteindre une cible à la limite de portée de son arme, cela lui permet de réaliser un tir plus précis qu'en temps normal. Néanmoins, l'efficacité du tir repose sur un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après au minimum trois minutes pleines de calme et d’isolement. Plus la durée de la concentration est longue, plus le tir a des chances d'être réussi. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant quelques minutes.

3 – Colère Noire : Au cours d'un combat, lorsqu'il sent qu'il n'aura pas le dessus sur son adversaire, Aspar Fendor entre dans un état de rage incontrôlée pendant 20 secondes. Sa force et sa rapidité s'en trouvent considérablement accrûes. Toutefois, les attaques d'Aspar Fendor perdent en précision, et, aveuglé par la fureur, ce dernier n'est plus capable de différencier son ennemi d'un éventuel allié. La crise passée,Aspar Fendor ayant épuisé ses dernières forces dans la mêlée peut difficilement soutenir les attaques de son adversaire.

Que pouvez-vous apporter au forum ? : J’aime écrire et raconter des histoires. Même avec un thème imposé. Alors, je peux apporter ma passion.

Comment avez vous connu ce forum (où ET par qui) : Tout à fait par hasard, en cherchant des forums Rp sur Google.

Avez-vous un parrain (facultatif) : Non.

Respect des règles du forum :

J'ai bien lu les règles du forum ; en postant ma fiche de création de perso, je m'engage à les avoir lues, à les respecter et cela me lie par un contrat moral non négociable

J'ai plusieurs fois 13 ans, et je m'engage à être présent régulièrement et prévenir de mes absences ; en cas d'absence de + d'un mois sans motif évoqué avant, mon compte sera supprimé...

lu et approuvé

Citation :

Objets : un arc de chasse de bonne facture ramassé sur un cadavre, et un carquois en peau de chèvre.

Ce sera un arc médiocre.

Citation :

1 – Camouflage : Aspar Fendor peut se fondre dans la nature, dans une parfaite immobilité pendant une poignée d’heure, ne faisant qu’un avec son environnement. Cette technique n’est pas utilisable en milieu urbanisé, dans le désert ou en haute montagne : la présence d’une végétation est absolument nécessaire pour parvenir au meilleur degré de furtivité. Au moindre mouvement, Aspar Fendor redevient visible.

Il te manque un contrecoup. Il faudrait aussi réduire le temps à une heure.

Citation :

2 – Tir au but : lorsqu’il se sert de son arc, - même à bout de portée de l’arme -, Aspar Fendor est capable de faire mouche avec une parfaite précision, - une pointe de flèche dans un anneau. Néanmoins, cette technique nécessite un brin de concentration : un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après trois minutes pleines de calme et d’isolement.

Faire mouche avec une parfaite précision, même en devant te concentrer 3 minutes, c'est trop. Mets plutôt que ton tir est très précis ou beaucoup plus précis. Car il ne faut pas oublier que tu n'es pas infaillible. Il te manque un contrecoup.

Citation :

3 – Ruade : puissant, Aspar Fendor peut décocher à la vitesse de l’éclair un coup de poing qui laisse son adversaire dans un état d’hébètement de vingt secondes. De quoi préparer une seconde attaque, malheureusement moins puissante. Cette technique n'est valable qu'une seule fois par combat.

La partie soulignée est une règle concernant les techniques donc elle est inutile. Il te manque aussi un contrecoup.
A la place de la partie en gras, je te conseille de mettre : "qui peut laisser son adversaire dans un état d'hébétement pendant quelques secondes.". C'est surtout parce que le temps dépend de la personne attaquée et que 20 secondes était un temps trop important.

Un contrecoup, c'est un effet négatif qui t'arrive pendant ou après avoir utilisé une technique. Par exemple, tu peux être très fatigué, être ralenti, perdre la vue pendant un moment, ou même mourir (mais là, c'est con ^^).

Merci Saega !

J'ai édité les modifications suivantes :

- modification de la qualité de l'arme ;

- camouflage : durée maximum d'efficacité de la technique ramenée à 1 heure ; comme contrecoup : une mobilité réduite pendant 10 minutes, résultant de l'engourdissement des muscles.

- tir au but : tir nettement plus précis avec une probabilité de tir au but de 1/10 ; comme contrecoup : lorsque Fendor a fait mouche, incapacité d'utiliser son arc pendant une demie heure.

- ruade : j'ai tenu compte de tes deux remarques ; contrecoup : lorsque Fendor a sonné son adversaire, il n'a plus d'autre alternative que de fuir.

A bientôt j'espère !

Citation :

1 – Camouflage : Aspar Fendor peut se fondre dans la nature, dans une parfaite immobilité pendant au plus une heure, ne faisant qu’un avec son environnement. Cette technique n’est pas utilisable en milieu urbanisé, dans le désert ou en haute montagne : la présence d’une végétation est absolument nécessaire pour parvenir au meilleur degré de furtivité. Au moindre mouvement, Aspar Fendor redevient visible, et, les muscles engourdis, victime de fourmillements, ne retrouve une parfaite mobilité qu'après une dizaine de minutes.

OK

Citation :

2 – Tir au but : lorsqu’il se sert de son arc, - même à bout de portée de l’arme -, le tir d'Aspar Fendor est nettement plus précis, - une chance sur dix de faire mouche, une pointe de flèche dans un anneau. Néanmoins, cette technique nécessite un brin de concentration : un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après trois minutes pleines de calme et d’isolement. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant une demie heure.

1 chance sur 10 de faire mouche, c'est précis pour toi ? ^^ De toute façon, l'usage de chiffre pour les chances de toucher est déconseillé car il y a beaucoup de facteur à prendre en compte. Le fait que ton soit nettement plus précis est suffisant.
Je trouve aussi que le fait que tu ne puisses pas utiliser ton arc pendant 30 minutes peut être trop handicapant pour toi, réduis à quelques minutes. Ca ne sert à rien d'être trop précis avec les chiffres ^^

Citation :

3 – Ruade : puissant, Aspar Fendor peut décocher à la vitesse de l’éclair un coup de poing qui peut laisser son adversaire dans un état d’hébètement pendant quelques secondes. Lorsqu'il a effectivement sonné l'adversaire, Aspar Fendor n'a plus d'autre alternative que d'abandonner le champ de bataille, trop épuisé pour continuer le combat.

OK

Merci Saega ! La rapidité de ta réponse m'a totalement bluffée

J'ai donc édité les modifications suivantes :

- Tir au but : suppression de la probabilité de réussite ET renonciation pure et dure à l'auto-mortification d'une arme inutilisable pendant une demie heure (j'ai repris l'option des quelques minutes)

A plus !

Citation :

1 – Camouflage : Aspar Fendor peut se fondre dans la nature, dans une parfaite immobilité pendant au plus une heure, ne faisant qu’un avec son environnement. Cette technique n’est pas utilisable en milieu urbanisé, dans le désert ou en haute montagne : la présence d’une végétation est absolument nécessaire pour parvenir au meilleur degré de furtivité. Au moindre mouvement, Aspar Fendor redevient visible, et, les muscles engourdis, victime de fourmillements, ne retrouve une parfaite mobilité qu'après une dizaine de minutes.

OK (très bien tourné en +)

Citation :

2 – Tir au but : lorsqu’il se sert de son arc, - même à bout de portée de l’arme -, le tir d'Aspar Fendor est nettement plus précis. Néanmoins, cette technique nécessite un brin de concentration : un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après trois minutes pleines de calme et d’isolement. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant quelques minutes.

La ça me gêne ; le but d'un tir en soi est d'être un minimum précis, être plus précis encore signifierait ne jamais rater son but. Tu devrais peut-être modifier ta technique en précisant qu'elle sert dans le cadre de tirs lointains en tir paraboliques (en cloche) ; car dans ce cas les tirs sont beaucoup moins précis et tu peux donc réaliser une technique qui améliore la précision

Citation :

3 – Ruade : puissant, Aspar Fendor peut décocher à la vitesse de l’éclair un coup de poing qui peut laisser son adversaire dans un état d’hébètement pendant quelques secondes. Lorsqu'il a effectivement sonné l'adversaire, Aspar Fendor n'a plus d'autre alternative que d'abandonner le champ de bataille, trop épuisé pour continuer le combat.

La ça me convient pas ; il n'est pas logique d'être trop épuisé lorsque tu assommes ton adversaire et pas épuisé quand tu ne l'assommes pas ; de plus un coup de poing en soi n'est pas une technique ; insiste un peu sur sa spécificité, la manère dont tu le fais ; fais-en un coup de poing spécial à la sauce Aspar quoi ^^ ; car la ta technique ne t'apporte rien de plus que ce qu'on peut faire en rp (à savoir donner des coups de poing ^^)

Merci Brisecous !

Pour ce qui concerne "Tir au but", l'idée de "spécialiser" la technique au tir à longue distance m'a bottée. J'ai aussi modifié le mode opératoire : la précision du tir est corrélée à la durée de la concentration. Plus Fendor aura travaillé sa concentration, plus il aura de chances d'atteindre sa cible.

Pour ce qui concerne "ruade", j'ai changé mon arc d'épaule, et par la même occasion, la dénomination de la technique qui devient "embuscade".

Merci pour vos suggestions si tout cela ne tient pas la route !

Salutations Aspar
Je tenais à te dire que ta fiche m'a bluffé au plus haut point, tant sur une histoire solide et qui tient la route que sur des descriptions physiques et mentales tout à fait convaincantes. Pour ce qui est des technique, je laisse mes amis MDJs te corriger s'il le faut, pour ma part, je te souhaite bon courage, et j'espère ardemment te recontrer durant tes voyages, sang de nain oblige

En espérant que tu sois validé, bon courage et à bientôt !

Citation :

2 – Tir au but : lorsqu’il souhaite atteindre une cible à longue distance, cette technique permet à Aspar Fendor de réaliser un tir avec une grande précision. Néanmoins, l'efficacité du tir repose sur un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après au minimum trois minutes pleines de calme et d’isolement. Plus la durée de la concentration est longue, plus le tir a des chances d'être réussi. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant quelques minutes.

Je te propose cette reformulation pour la partie en gras : "Lorsqu'il souhaite atteindre une cible à la limite de portée de son arme, cela lui permet de réaliser un tir plus précis qu'en temps normal." C'est surtout pour insister sur le fait que ta technique ne sert que pour les tirs à longue distance et peu précis.

Citation :

3 – Embuscade : Engageant le combat par surprise, Aspar Fendor charge violemment son adversaire qui, sous la violence du choc, peut être projeté au sol. La puissance délivrée par l'attaque peut priver Aspar Fendor de son équilibre après l'impact.

Ca ressemble plutôt à une action RP. Il faudrait que tu trouves quelque chose qui fasse qu'elle soit spéciale, unique. Parce que là, n'importe quel gugus peut foncer sur un adversaire pour le projeter ^^ De plus, le fait que tu puisses perdre ton équilibre n'est pas forcément un contrecoup de la technique, mais une réaction logique de ton action (surtout si ton adversaire fait 50 kilos de plus que toi ^^). Par exemple, tu peux dire que ça affaibli ces jambes, ou que ça l'étourdi, ou bien autre chose bien évidemment ^^

Merci Saega !

J'ai modifié la technique "Tir au but" en reprenant ta suggestion.

Pour ce qui concerne "Embuscade", il est vrai que la "prise" tenait plus de l'action de combat standard que d'une véritable technique. J'ai précisé qu'Aspar Fendor était d'un naturel colérique. Aussi ai-je exploité ce trait de caractère pour "pondre" une technique de corps à corps que mon Nain ne peut mettre en oeuvre que lorque son adversaire est plus fort que lui ou lorsque Aspar perd l'avantage dans la mêlée.

A plus !

Citation :

2 – Tir au but : Lorsqu'il souhaite atteindre une cible à la limite de portée de son arme, cela lui permet de réaliser un tir plus précis qu'en temps normal. Néanmoins, l'efficacité du tir repose sur un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après au minimum trois minutes pleines de calme et d’isolement. Plus la durée de la concentration est longue, plus le tir a des chances d'être réussi. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant quelques minutes.

OK, cette fois c'est bon sauf si le chef repasse par là ^^

Citation :

3 – Colère Noire : Au cours d'un combat, lorsqu'il sent qu'il n'aura pas le dessus sur son adversaire, Aspar Fendor entre dans un état de rage incontrôlée. Sa force et sa rapidité s'en trouvent accrues pendant 20 secondes. Compte tenu de la menace que cette technique génère, son adversaire peut avoir de grandes difficultés à atteindre le Demi Nain. Toutefois, les attaques d'Aspar Fendor perdent en précision, et, aveuglé par la fureur, ce dernier n'est plus capable de différencier son ennemi d'un éventuel allié. La crise passée, Aspar Fendor ayant épuisé ses dernières forces dans la mêlée peut difficilement soutenir les attaques de son adversaire.

Je trouve que la partie soulignée rend la technique trop dangereuse et trop puissante. Déjà que tu tapes plus fort et plus vite, si ton adversaire voit ces chances de te toucher réduites, il n'a presque aucune chance de s'en sortir. Je te conseille donc de l'enlever.

J'ai lu un post sur les délais de MJtage : 72 ou 48 heures était la question posée. Mais je pourrai témoigner que les MJ peuvent MJter en 48 secondes ! Merci Saega pour toutes ces interventions supersoniques

J'ai supprimé la partie "litigieuse".

Citation :

1 – Camouflage : Aspar Fendor peut se fondre dans la nature, dans une parfaite immobilité pendant au plus une heure, ne faisant qu’un avec son environnement. Cette technique n’est pas utilisable en milieu urbanisé, dans le désert ou en haute montagne : la présence d’une végétation est absolument nécessaire pour parvenir au meilleur degré de furtivité. Au moindre mouvement, Aspar Fendor redevient visible, et, les muscles engourdis, victime de fourmillements, ne retrouve une parfaite mobilité qu'après une dizaine de minutes.

Parfait sauf la durée : une technique n'est pas le fait de se planquer dans la végétation, mais de s'y planquer de manière très réussie ; bref, cela pendant un temps limité ; 30 sec est le max. pour une technique
Donc acceptable pour 30 sec de durée !

Citation :

2 – Tir au but : Lorsqu'il souhaite atteindre une cible à la limite de portée de son arme, cela lui permet de réaliser un tir plus précis qu'en temps normal. Néanmoins, l'efficacité du tir repose sur un état de paix intérieure qu’Aspar Fendor ne peut atteindre qu’après au minimum trois minutes pleines de calme et d’isolement. Plus la durée de la concentration est longue, plus le tir a des chances d'être réussi. Sa flèche décochée, Aspar Fendor, en proie à une tension nerveuse certaine, ne peut plus utiliser son arc pendant quelques minutes.

OK

Citation :

3 – Colère Noire : Au cours d'un combat, lorsqu'il sent qu'il n'aura pas le dessus sur son adversaire, Aspar Fendor entre dans un état de rage incontrôlée. Sa force et sa rapidité s'en trouvent considérablement accrûes. Toutefois, les attaques d'Aspar Fendor perdent en précision, et, aveuglé par la fureur, ce dernier n'est plus capable de différencier son ennemi d'un éventuel allié. La crise passée,Aspar Fendor ayant épuisé ses dernières forces dans la mêlée peut difficilement soutenir les attaques de son adversaire.

OK, mais de même indique une durée (20 sec est pas mal)

a part ça je crois que le reste est bon

Merci Chef pour ton intervention malgré ton emploi du temps chargé.

J'ai ajouté les durées : 30 secondes pour le Camouflage et 20 secondes pour la Rage Noire (souligné dans le corps du texte nouvellement édité).

A bientôt IG.

Validé

35 écus en bonus (135 en tout donc) et Niveau 1 validé

N'oublie pas de remplir les champs physique et mental de ton perso, et de passer au conclave pour bénéficier de tes bonus de savoir-faire

Bon rp et désolé de l'attente

Yaaaaaaa ! Je fonce RPer un coup

Juste un point de détail : dans l'inventaire, il manque le carquois en peau de chèvre qui accompagnait l'arc médiocre.

[O Grands Mjs, pourriez vous s'il vous plait, avoir l'amabilité de rajouter ce magnifique carquois, - j'y tiens -, qui jouera un rôle dans mon rp. D'avance, mille mercis ]

Je file le faire

Merci beaucoup Elizabeth