[AMON] Les avant-postes d'HauteSylve

POSTE N°116
<AMON>

[HRP: Post précédent]

La petite armée se dirigea vers Haute Sylve et ces avants postes. Amon engagea la conversation avec l’orc.

_Les avant-postes sont encore loin, peut être connaît tu un endroit ou l’on pourrait recruter des bêtes pour Agramand ?

_Y a une grotte de gob à mi-chemin entre la Tanière et Haute sylve.

_Bien, nous passerons par la alors, tu sais parler le langage de gobelin ?

_Tu me prend pour un débile le mort ?

**A peine…**

Apres quelques minutes de marche forcée, ils arrivèrent en vue de la grotte.

_On déploie les troupes autour de la grotte pour impressionner, tu traduiras ma parole et la leur.

_Puis quoi encore ? Tu me crois pas capable de convaincre des gobs ?

_La n’est pas le problème, mais je préfère éviter tout accro. Nous ne travaillons pas pour notre compte, mais pour Agramand je te rappelle.

L’armée se disposa autour de la grotte comme convenu, Amon et Grunf sortirent du rang. Les gobelins, effrayé par toutes cette agitation, se replièrent dans le fond de la grotte.

_Bon, sa commence déjà bien, ils nous craignent.

Les 2 lieutenants entrèrent dans la grotte.

_Dis leur sa : Nous venons pour vous proposez un marcher.

_Krug balcharg mark narug

Un gobelin s’avança dans la lumière, probablement le chef.

_Arog murgar trog ?

_Il demande ce qu’on lui veut.

_Nous souhaiterions vous recrutez pour le compte d’Agramand. En échange vous aurez beaucoup de nourriture.

_Muarg grogn sheurg Agramand frog kaljaeg pred mourg befd meak

_Meak ? refouf meak !

_Il veut de la viande

_Avec Agramand, tu auras beaucoup de viande elfique.

_Raerk troumf Agramand fpok meak sylvag

_Kiljaedek

_Il accepte

_Bien.

Amon, Grunf suivit du chef gobelin sortit. Ce dernier dis quelque chose à ces congénères dans la grotte. 8 autres gobelins sortirent.

_Senet, ramene les gobelins à Agramand et reviens vite ici.

_Bien, Amon

L’elfe, en compagnie des 9 gobelins, revinrent en courant à la Taniere, puis se présenta devant Agramand.

_Seigneur Agramand, Amon m’a envoyé ici vous ramener
ces 9 gobelins qu’il a trouvé sur le chemin.

[Récit d'Agramand]

Agramand restait sur son trône, impatient que son plan se réalise.
Sernet l'elfe entra enfin, il avait une campagnie de neuf gobelins.

- C'est pour ?

- Le général Amon a trouvé ces neuf gobelins en chemin, il a trouvé necessaire de les recruter dans votre armée.

- Très bien, mettez les au camp d'entrainement et veillez à leur bien être, une fois entrainé. Mettez les dans les quartiers de Nosh.

Une goule entra et executa l'ordre d'Agramand.

- Tien, Sernet, voilà pour Amon.

Il jeta une bourse dans la main de Sernet, d'environ 45 Or et Sernet repartit en courant, aussi vite que le vent.

Hrp : Merci d'ajouter 45 Or à Amon
[S : Fait]

POSTE N°117
<AMON>

Une demi-heure plus tard, Sernet était revenu. Pendant ce temps, Amon avait discuté de la stratégie avec l’orc. Celui-ci privilégiait évidemment une attaque de front, tous dans la mêlée et on verra après.

**Heureusement que c’est pas lui qui commande la majorité de l’armée.**

_Seigneur Amon voici 45 pièces d’or qu’Agramand m’a donné pour le recrutement des gobelins.

Amon prit la bourse et sortit 5po

_Tien, 5 po pour l’interprétation

L’orc les pris en grommelant, Amon s’éloigna un peu avec Sernet

_C’est pas la grande entente entre vous 2

_Il est juste orgueilleux de sa force, il souhaite prendre la position dominante, c’est tout. Agramand n’a pas donné d’instruction ?

_Non

_Ok, on commencera alors par l’avant-poste de l’est. Bon allons-y

Apres quelques dizaines de minutes marche vers l’est, ils furent en vue de l’avant-poste. C’était un bâtiment entouré d’une palissade d’épieux.

_Si on les attaque dans leur camp, nous serons désavantagé, il fait les attirer dehors.

_Et pourquoi pas simplement foncer dans le tas, en profitant de l’effet de surprise.

_Parce qu’on perdra trop de soldats dans ce genre de coup.

_Et comment tu veut les attirer dehors ?

_On va envoyer 3 goules près de leur camp, simulant un espionnage. Les archers qui se trouve sur les tours essayeront des les tuer. Mais elles s’enfuiront, Ils avertiront les autres qui les courseront. Ils ne restent plus qu’à trouver un moyen de camoufler nos troupes… La mousse, réunissez de la mousse et camouflé vous ici.

Les troupes commencèrent à aller chercher toutes la mousses des arbres et des pierres, et 1 heure après, ils en avaient assez.

_Bien, vous vous placez pour former une cuvette, les zombies en 1ere ligne, suivi des goules, squelettes, orc et gobelins. Les démons mineurs, à l’extrémité. Grunf et Horifast, vous vous cachez derrière des arbres.

Amon sélectionna ensuite les 3 goules qui joueront les appâts.

_Vous essayez de faire sa discrètement pour que le piège ne soit pas trop voyants, mais faites vous un peu voir pour les alerté. Tout le monde en place, Sernet, avec moi.

Amon et Sernet allèrent se cacher aussi derrière des arbres. Tandis que les 3 goules si dirigeait vers l’avant poste. Les elfes avaient coupé tous les arbres autour pour éviter les attaques surprises. Les goules restèrent à l’orée et se déplacèrent discrètement, quand un archer du haut de la palissade les vues. Il essaya de les tuer, mais les arbres gênaient sa trajectoire.

_DES MORT-VIVANTS ! Ce sont plusieurs goules, à l’est !

Tout de suite après, la porte s’ouvrit et fit place à 5 cavaliers, 5 soldats, 4 archers et 1 mages qui prenait le commandement. Les goules s’enfuirent en direction de la cachette de la petite armée.

_Vite, il faut les rattraper. Elles ont peut être découvert des choses importantes.

Les goules laissaient les elfes prendre du terrain, et quand ils arrivèrent la où se trouvait Amon et les autres, l’une fit semblant de trébucher.

_On en tien une !

Un soldat s’apprêtait à la tuer quand un petit projectile explosa entre les 2. Puis toute l’armée d’Amon sortit de leur cachette. Les elfes furent stupéfaits 2 secondes, mais ils reprirent vite leur esprit. Le mage lance une boule de feu sur un squelette, qui mourut directement, enflammé. Mais bien vite l’étau se referma et les elfes étaient pris entre 2 feux. Amon envoya une image de lui dans l’esprit du mage. Il se retourna et le vis.

_Tu es l’homme recherché par Port-Pergas !

Et sans attendre de réponse, il lança un très de glace sur Amon, mais celui-ci évita le coup. Dans la mêlée, les diablotins faisaient des ravages, les elfes, voyant leurs effectifs diminués rapidement, perd ire confiance en eux et se battait de plus en plus maladroitement. Les archers se trouvant au cœur de la mêlée étaient tout à fait inefficaces. Ils essayaient de lutter à main nue, mais les orcs ont vite fait de leur envoyé leurs haches dans leurs têtes. Les cavaliers lançaient des ruades, mais ils avaient peur de blesser leurs compagnons qui étaient assez proches, les gobelins eus tôt fait de les mettre hors d’état de nuire, leurs petites tailles leurs permettaient de se glisser en dessous du cheval et de couper les tendons d’Achille. Amon luttait contre le mage, l’un avec son bâton, l’autre avec son fouet, mais il n’était pas bien familiarisé avec cette nouvelle arme et commettait des imprécisions qui lui valait quelques coups de bâton. Mais Sernet arriva par l’arrière et posa son poignard contre le cou du mage. Le combat était fini, ils avaient tué tous les elfes sauf le mage, 2 cavaliers et 3 soldats. Ils les attachèrent à un arbre, Amon rejoigna Grunf

_J’ai perdu 3 zombies et 2 squelettes, et de ton coté ?

_1 Gob, il a pas été assez agile, il s’est fait écraser par un cheval…

_Ce n’est rien, nous avons minimisé les pertes. Une attaque de front aurait été suicidaire... Détacher le mage et amenez-le moi !

Deux squelettes arrivèrent avec le mage.

_Combien d’elfe reste-t’il à l’intérieur ?

Il ne répondit pas.

_Amenez-moi un soldat.

Quand il fut la, il le plaqua à terre.

_Tu es sur de ne pas vouloir répondre ?

L’elfe ne répondit toujours pas. Amon sortit sa dague et commença par crevé l’œil gauche du soldat, puis l’oreille gauche et enfin, très lentement les 5 doigts de la main gauche. L’elfe hurla de douleur, il se débattait mais 2 goules vinrent pour l’immobilise. Le soldat commença à supplier la mage de lui répondre. Le sourcil de ce dernier commençait à trembler. Amon approcha sa dague de l’autre œil.

_Il y a 20 ouvriers, 4 archers, 5 soldats et un autre mage.

_Beh voila, c’était pas si compliqué.

Amon transperca l’œil et coupa l’oreille du soldats.

_Pour faire plus symétrique dit-il en souriant à l’elfe Ratachez-le moi maintenant. Bon revenons à vous, mon cher mage. Pourquoi avoir envoyer tant d'homme à la poursuite de 3 goules?

_Nous avons ordre de tuer tous les mort-vivants que nous croisons, aucun ne dois pouvoir rentrer dans la Taniere pour transmettre ces observations. Je préfere assurer la mort de vos espions par une grande troupe.

_Sa se tient... malheureusement, sa ne vous a pas été profitable cette fois-ci

[HRP: enlever 5 or, 3 zombies et 2 squelettes]
[S : Fait]

POSTE N°118
<AMON>

Amon revient près de Grunf

_Bon, il ne nous reste plus qu’a tuer ceux qu’y reste. Mais il faut arriver à rentrer dedans

_Les arbres autour de l’avant-poste sont très grand, on peut essayer d’en couper un pour le faire tomber sur la palissade.

_Bien, on va faire comme sa.

Les orcs et Grunf utilisèrent leurs haches pour couper un arbre particulièrement grand. Les archers qui surveillaient sur la palissade regardèrent en direction du bruit. Ils n’osèrent pas tirer, ne sachant pas si c’est un ennemi ou un ami. (HRP : je rappelle que ceux-la ne savent toujours pas ce que sont devenu leurs compatriotes)

_C’est bon, on peut le faire tomber.

Dans le camp elfe, les archers commencèrent à s’agiter.

_On devrait allé voir ce qu’y se passe.

_Mais si c’est une diversion pour nous éloigner, on aura l’air bien.

_Attendons pour voir, mais tendez vos arcs en direction de l’arbre.

Les 2 orcs commencèrent à pousser le tronc vers la palissade et celui-ci, en quelques secondes tomba dessus et écrasa 2 archers par la même occasion.

_Détruisez-moi cet avant-poste!

L’armée courut à travers la petite clairière et s’engouffra dans la brèche faites par l’arbre. Les elfes, un peu sonné par ce coup, essayèrent tant bien que mal de ce défendre, mais à 22 contre 7, le combat était perdu d’avance. Les habitants s’étaient calfeutrés dans la bâtisse avec le mage. Les 2 archers et les 5 derniers soldats furent sans pouvoir opposer une vraie riposte.

_Encerclez-moi ce bâtiment. Grunf, demande à ton gobelin de prendre son arc et d’enflammer une de ces flèches. Qu’il l’envoi sur le toit.

Grunf lui dit l’ordre dans sa langue et le gobelin exécuta. Bientôt, le toit en chaume s’enflamma et on entendit des gens commencez à tousser, quelques secondes, plus tard, les portent s’ouvrirent et tout les habitants elfes sortirent, les larmes au yeux à cause de la fumée et toussant violemment.

_Capturez-les et attachez bien le mage.

La bâtisse fut totalement calcinée, il ne restait plus à l’intérieur qu’une trappe. Amon la souleva et découvra une petite pièce avec un laboratoire d’alchimie. Il y a avait aussi une mère avec ces 2 enfants.

_Je suppose que vous êtes la femme du mage… Sortez rejoindre les autres, vous nous serez utile pour le prochain…

La femme, apeurés, sortit en poussant ces enfants.

**Bon, voyons ce qu’y a d’intéressant ici**

[HRP: quelle sont les plantes que je découvre dans ce petit labo et combien de fiole?]

POSTE N°119
<AMON>

Amon sortit en courant du laboratoire, il fut pris de vomissement, mais ne vomit rien, n’ayant rien mangé depuis des jours.

_Eloignez-vous d’ici !

Mais déjà, ceux qui se trouvaient le plus prêt furent contaminés, heureusement, la plupart s’éloignèrent à temps. Il s’approcha du mage, haineux.

_Même dans la défaite, vous lancez des coups bas. Vous allez voir comment les morts-vivants riposte.

Il apostropha les goules les plus en forme.

_Emmenez les prisonniers dans ma salle, et si il y en a un seul qui ose manger l’un d’eux, il recevras une douche d’eau bénite ! Mais laissez les ouvriers ici, j’ai d’autre projet pour eux… Aussi, demandez à Nosh une potion pour rendre cette terre pourrie

Amon était entré dans une folle fureur et ne souhaitait que montrer aux elfes ce qui les attendaient. Tous les prisonniers, frappé par les goules, commencèrent à courir en direction de la Tanière.

_Coupez les mains et les pieds des ouvriers, puis ceux qui veulent manger, qu’ils se servent.

Il fut pris d’une violente toux, causé par le contenu de la marmite. Quand la sentence fut appliquée, les ouvriers secouaient leurs moignons comme des poissons dans une flaque d’eau asséchée.

Une heure plus tard, les goules, en compagnie des prisonniers, arrivèrent à la Tanière. Ils les entassèrent tous dans les cellules, puis allèrent voir Nosh.

_Seigneur Nosh ? Le lieutenant Amon aurait besoin d’une potion pour rendre la terre d’un avant poste elfe pourrie.

[HRP: réaction de Nosh stp erga ^^]

[Récit de Nosh, la lyche]

Les goules venaient de mettre les prisonniers en cellule, ils criaient de toute leur force...

* Ces cris m'énerve...*

Puis une goule se présenta et demanda cette fameuse potion.

- Laissez moi la chercher, j'en ai surement un vieille dans mon placard...

Nosh chercha dans ses pacards pendant une bonne dizaine de minutes, puis se retourna avec une petite fiole verte.

- Tien, et va t'en avant que je te tue, bête puante.

POSTE N°120
<AMON>

Le lendemain, les goules étaient revenues, avec la fiole. Entre temps, Amon avait empalé chaque elfes et lacéré leur visage pour qu'il ne sois plus reconnaissable. Il s'empara rapidement de a fiole et versa son contenu sur le sol.

_Que cet terre garde à tous jamais la cicatrice mort-vivante.

Doucement, la terre ou le liquide était tombé commenca à noircir. L'herbe pourrissait à vue d'oeil et bientot, tout l'avant poste était pourris de la meme facon.

_Bruler les dernieres palissades. Je veut qu'il ne reste plus qu'une terre pourrie ét fumante des cendres.

Les squelettes allumerent vite des foyer et toute la palissade prit feu. Grunf observait ce que faisait Amon depuis un moment, puis s'approcha.

_Je ne te voyait pas du tout comme sa.

_Il faut parfois savoir faire la part des choses. Et ce mage m'a particuliérement énervé avec sa mixture.

Les mort-vivants qui avaient été contaminés par les vapeurs du chaudron se soignerent plus rapidement grace à la terre putride qui leur redonnait de l'énergie.

_Bon, que chaque soldats prennent un arcs avec des fleches elfes... On attaque l'avant poste du nord maintenant !

Toute la troupe se diriga vers l'avant poste suivant, laissant derriere eux un champ macabre rempli d'elfe empalé.

POSTE N°121
<AMON>

Ils arrivèrent enfin près du second avant poste, celui du nord. Il était en tout point semblable à celui de l’est, à l’exception qu’il y avait en son centre un grand arbre. Une palissade d’épieux en bois l’entourait, ou patrouillait des archers. Il n’y avait qu’une seule porte pour sortir.

_On fait comme la dernière fois ?

_Non, on va plutôt tenter une attaque direct cette fois-ci. On encercle l’avant poste, et on essaye de tuer le plus d’archer possible, à mon signal, vous sortirez en même temps du bois. Le signal sera une petite explosion dans le ciel. Mettez vous tous en place, et n’ayez pas peur de vous sacrifier, en emportant en même temps la vie d’un mi-elfe. Quand tous les archers seront morts, vous revenez vite ici.

Tous les morts-vivants et les peaux vertes se mirent en place ; bandant leurs arcs.

**On dirait que tout le monde est en place**

Amon sortit un bout de métal et l’envoya haut dans le ciel, il éclata quelques secondes plus tard. Toute la petite armée sortit en même temps et lâcha une pluie de flèche. Ils étaient peu habitués à manier cette arme, mais certaines flèches arrivèrent soit dans leur but, soit de l’autre coté de la palissade et avec un peu de chance, touchait un soldat qui se trouvait malencontreusement sur la trajectoire. La 1ere vague tua 3 archers sur les 8, mais les 5 derniers ripostèrent lors de la 2eme vague, tuant quelques mort-vivants. Mais le poids du nombre fut plus efficace et bientôt, il ne restait plus un seul archer. L’armée d’Amon revint au point de rendez-vous.

_Les zombies en 1ere ligne, suivis des squelettes qui gardent leurs arcs, puis les démons mineurs. Les orcs et le gobelin avec les goules sur les cotés !

En quelques secondes, la position fut adoptée et ils s’avancèrent vers l’avant poste, prêt à repousser la riposte des gardes.

_Les squelettes, enflammés vos flèches et visé l’arbre.

Tandis qu’a l’intérieur du camp, on entendait des ordres fusé, les squelettes décochèrent leurs flèches, la plupart arrivant sur l’arbre. Celui-ci s’enflamma rapidement et bientôt, on entendit des cris. Des branches enflammées tombaient sur des hommes et l’une d’elle tomba sur le bâtiment. Son toit commença à brûler. Les ordres pour rétablir le calme furent mêlés à des cris de douleur. L’arbre finit par s’écrouler, calciné, soulevant une masse de cendres. La caserne continua a brulé et finit par à son tour tomber. Il ne restait plus du camp que sa palissade et la porte

POSTE N°122
<AMON>

Bientot, les portes s'ouvrirent, laissant place à la garnison mi-elfe qui était assez diminué du au raid de l'armée d'Amon. En 1ere ligne se trouvaient les cavaliers qui portaient de grand bouclier, derriere eux les soldats, puis un mage.

**Ou est l'autre mage?**

_Abandonné vos arcs et prenez vos épées!

L'ordre fut rapidement éxécuté, tandis que la garnison avancait lentement. Mais elle s'arreta mystérieusement à une dizaine de metres. Elle resta la sans bouger pendant quelques secondes, mais Amon compris rapidement ce qu'ils faisaient.

_Dispersez-vous vite!

Ne réfléchissant pas, ils s'écarterent tous, au moment au la garnison mi-elfe se scinda en 2 pour laisser place au mage, qui envoya une grosse boule de feu. Heureusement, aucun morts-vivants ne fut touché.

_Attaquez-les!

Les goules, squelettes et autres créatures putréfié se jeterrent sur les mi-helfes. Ceux-ci combaturent ardament, avec l'aide de leur mage qui lancait des boules de feu.

_Sernet, viens, on va s'occuper du mage.

Les 2 hommes, qui étaient resté un peu en retrait pour observer contournerent la melée et arriverent pres du mage. Ce dernier créa vite une boule de feu et l'envoya sur eux, mais dans sa précipitation, il n'eut pas le temps de viser correctement et les manqua. Il s'appretait à en refaire une autre quand Amon lui donna un coup de fouet sur la main. Sernet sortit sa dague et commenca à lutter. Le mage ne pouvait plus faire de boule de feu, Sernet étant trop proches. De l'autre coté du combat, les morts-vivants n'eurent peu de mal à en finir avec le reste de la garnison et quand il n'en resta plus 1, ils se jeterent tous sur le mage, déchirant la chair et arrachant les os. La ou se trouvait il y a quelques secondes le mage, il ne restait plus qu'une tete et quelques bouts de chairs. Amon fut rapidement le bilan des pertes, 4 zombies, 2 goules et 1 squelette étaient tombé lors du combat.

[HRP: enlevez moi 4 zombies, 2 goules et 1 squelette]
Erg : Fait

POSTE N°123
<AMON>

Quelques minutes plus tard, à peine fut-il entré dans l’avant poste, qu’une petite troupe de goule armée de lance arriva, suivie d’une fille d’humain enchaîné et de gobelins. L’une des goules s’approcha d’Amon.

_Seigneur Amon ? Nous venons ici sur ordre d’Agramand. Il demande à ce que vous construisez des avant-postes sur ceux des elfes. Il vous envoi pour ce faire 25 prisonniers humains, 5 goules lanciers (dont moi), 1 maître de chantier et les 7 gobelins que vous avez capturés et qui ont fini leurs entraînements.

_Bien, on va commencer tout de suite. Abattez moi tous les arbres autour du camp sur un rayon de 50 mètres. Qu’une troupe parte à la recherche d’une carrière de pierre, d’une mine de fer et d’argile.

Rapidement, tout le monde se mit au travaille. Pendant ce temps, Amon dessinait sur la terre le plan du futur avant poste.

Quelques heures plus tard, tout le monde avait fini sa tache, les troncs d’arbres avait été empilé et les mines avaient été repéré.

_Il y a une carrière de pierre à 1 km au nord, une mine d’argile à 1.5 km à l’est et une mine avec quelques filons de fer pas loin d’ici, à 500 m au nord-est.

_Envoyez 10 ouvriers récolté m’argile et 10 autres la pierre. On s’occupera du fer plus tard. Les autres ouvriers, commencez à faire la palissade, la base…1m50 de pierre, puis des épieux en bois, tout cela en forme de cercle avec un rayon de 75 mètres.

Les ouvriers sans dire un mots commencèrent leur travaille. Grunf vint près d’Amon, un peu ralleur.

_Alors on me laisse en dehors de tout sa ?

_Non, je t’avais un peu oublié, à force de réfléchir. Bon voila ce que je propose : 1 caserne au milieu, 1 prêt de la porte et 1 dernier à l’opposée, un entrepôt près de la caserne du centre, une armurerie à l’est, un camp d’entraînement à l’ouest, et un laboratoire à coté de la caserne et de l’entrepôt. Dedans, on mettra la geôle. Tout sa entouré d’une palissade, suivie d’un fossé, avec 5 tours de gardes et un tour de garde au milieu

Pendant qu’il parlait, il dessinait le plan à terre. Sa donna plus ou moins cela :





_Oui sa devrait allé.

Pendant qu’il discutait sur le camp, les ouvriers construisait vite, tandis qu’un convoi continu venait les approvisionner en ressources.

[HRP: Ajoutez 25 prisonniers humains (ouvriers), 5 goules lanciers, 1 maître de chantier et les 7 gobelins ]

[L L : fait ^^]

[Action précédente à Hautesylve : La Mairie]

Post N° 4
[Cylia Aërindir]

Plusieurs heures plus tard, Cylia et Marek avaient pénétré au coeur de la forêt, en direction des avant-postes de Hautesylve. Ils étaient auparavant passés par chez la demi-elfe, qui ne pouvait pas se permettre de partir les mains vides pour cette aventure. Là bas, elle avait récupéré une vieille cape grise élimée par le temps ainsi qu'une sacoche qu'elle avait mise en bandoulière et dans laquelle elle avait placé quelques morceaux de pains pour la route.

Son objectif n'était guère éloigné, mais une bataille pouvait être très longue, tout comme excessivement rapide. Durant le trajet, son comparse n'avait rien dit, sans doute trop perdu dans ses sombres pensées. Il ne voulait manifestement pas se battre, du moins risquer sa peau, mais il tenait encore moins à voir la belle se faire tuer par une troupe de gobelins en colère.

Au bout d'un petit moment de marche, ils entendirent enfin du bruit, un grand vacarme qui était sans nul doute celui de l'armée conduite par Amon. Cylia sentit l'adrénaline parcourir son corps. Enfin, elle allait avoir l'occasion de prouver sa valeur ! Mais avant qu'elle n'ait pu foncer tête baissée dans la mêlée, Marek l'avait attrapée par le bras et intimé le silence d'un geste avant de murmurer :

"Réfléchis bien, il est toujours temps de faire demi-tour..."

C'était tout réfléchi. Elle se battrait et ramènerait la tête d'Amon quoi qu'il lui en coûte. Elle s'approcha de Marek et chuchota à son oreille :

"Je sais ce que je fais, ne t'en fais pas. Couvre moi, c'est tout. Protège mes arrières..."

Et la jeune femme d'ordinaire plutôt réfléchie s'avança à découvert en direction de ses ennemis, comme si elle voulait à tous prix être remarquée. Pour elle, il valait mieux se faire prendre directement, au moins elle serait plus proche d'Amon que si elle devait pénétrer en cachette sous sa tente...

Le jeune homme quand à lui se cacha entre les arbres, du moins ceux qui restaient au loin et s'arma de patience.


Erg: Tu es niveau 0 Un zombie rivalise avec toi, n'oublie pas que les démons mineurs et cie te tue sans gros problème, j'aurai attendu un peu plus moi

[Edit : Je sais, mais je vais bien voir ce que ça donne. On est pas obligés de se taper dessus de suite... ^^ Qui sait, il pourrait penser qu'en tant que mage de Hautesylve je pourrais lui être plus utile en vie que morte.*A espoir* ^^]

POSTE N°124
<AMON>

La palissade était enfin finie, les épieux de bois s'élevait à 4 metres de haut avec un petit chemin de ronde , les douves créusées, 3 metres de larges et remplies d'un liquide verdatre qui dégagait une odeur suspecte

_Bien, maintenant les casernes comme indiquer sur le plan et qu'une partie s'occupe de construire les tours de guets et la porte.

Les ouvriers, sans avoir la possibilité de se reposer, ce remire tout de suite au travail, séparé en 2 groupes, l'un pour les tours, l'autre pour les casernes. Les 3 casernes devaient etre construitent en priorité pour pouvoir acceuillir les troupes et parré un éventuelle assaut d'HauteSylve. Quelques minutes plus tard, il remarqua une personne qui s'avancait dans le camp, c'était une demi-elfe. Déja 3 goules l'entoura, les ouvriers rentrerent se réfugié dans le camp, sous l'ordre du contremaitre. Les goules et s'appretait à lui sauter dessus quand Amon leur cria:

_Attendez!

Il sortit du camp et s'approcha de la femme.

_Une demi-elfe, apparement peu fortes... Fouillé les environs, elle ne devait pas etre seul.

Quelques squelettes partirent dans les bois.

_Alors petite, tu n'es pas au courant qu'ici, c'est désormais territoire mort-vivants? lui dit-il avec un sourir protecteur.

Quelques secondes apres, un homme cria dans la foret.

_Lachez-moi!

2 squelettes accompagné d'un autre demi-elfe sortirent d'un fourré. Il ne semblait pas plus fort que la dame.

_Qu'est-ce qui vous amene ici?

Poste N° 5
[Cylia Aërindir]

Voilà, son plan fonctionnait à la perfection. Marek était caché, et plusieurs goules semblaient sur le point de lui tomber dessus. Bien sûr, elle avait pleinement conscience de ne pas être assez forte pour les battre mais elle comptait sur sa bonne étoile pour survivre, d'une manière ou d'une autre. Sa bonne étoile qui lui sourit sous la forme du chef de l'armée, Amon lui-même. d'un mot, il venait de faire avoter l'assaut des goules. Voilà la chance qui souriait à la demoiselle, de son point de vue, bien sûr.

Cependant, elle sourit beaucoup moins lorsqu'Amon envoya ses hommes chercher dans la forêt une quelconque aide pour la jeune femme.
Le territoire des morts-vivants, hein ? Elle lui sourit bien moqueusement et répliqua d'un ton sûr d'elle :

"Jusqu'à preuve du contraire, nous sommes toujours sur les terres appartenant à Hautesylve. Ce n'est pas une petite armée de rien du tout et quelques avants-postes détruits qui prouveront le contraire."

Elle était bien téméraire et savait pertinament que son audace risquait de lui coûter la vie. Pourtant, elle avait osé. Elle savait que, même de moindre importance, elle pouvait être utile à Amon, et que pour cette unique raison il serait assez intelligent pour la garder en vie, du moins un moment.

Son assurance diminua toutefois en entendant un homme crier dans la forêt, bien qu'elle ne le montrât pas.

"Lâchez-moi !"

Marek. Cet idiot s'était fait prendre comme un benêt. Elle ne pouvait décidément compter que sur elle-même... Amon lui demanda alors ce qu'ils faisaient là. Et bien, elle n'y alla pas par quatre chemins et lui dit la stricte vérité.

"Votre tête est mise à prix, à Hautesylve. Je suis venue pour vous tuer."

Pas tout à fait exact, mais assez proche de la vérité pour que cela puisse paraître plausible. Disons que sa tête n'était pas vraiment mise à prix, mais une récompense attendait celui ou celle qui pourait arrêter l'armée des morts-vivants d'Amon avant la ville...

Il va sans dire qu'à cette réplique les morts-vivants autour partirent d'un grand éclat de rire. Le tuer ? Quelle sotte idée. Pourtant, à son visage et ses sourcils froncés, à son léger sourire moqueur, on devinait qu'elle disait la vérité. Pratique, nul besoin de la torturer pour lui faire avouer le but de sa venue, de cette manière.

POSTE N°125
<AMON>

**Elle ose venir me défier, sur mon nouveau territoire? elle est completement folle**

_Vous ne doutez de rien ma chere, oser venir ici pour essayer de me tuer? avec ce médiocre qui ne sait que crier.

Il regarda l'homme qui accompagnait la demi-elfe, puis il remarqua que plus personne ne travaillait, mais qu'il observait ce qui se passait.

_Reprenez le travail, on n'a pas de temps à perdre avec ce genre de fantaisie... Ma tete est mise à prix, vous ne m'apprenez pas grand chose, par contre si vous etes ici, c'est que HauteSylve est désormais au courant que 2 avant-postes sont tombés... En tout cas, vous ne serez pas venu pour rien. Amenez l'homme ici

Les squelettes pousserent le demi-elfe pres d'Amon.

_Je vous offre un petit apercu de ce qui arriveras a votre ami si vous ne répondez pas. Etant donné que vous avez l'air d'etre le chef de ce petit commando suicide, je ne vais pas vous abimez pour l'instant. Et au moins... Hum, qu'elle est votre nom?

_Ma...Marek

_Bien Marek, vous avez désormais l'occasion de montrez que vous etes un homme et non pas un peureux.

Il regarda la femme

Voici la question : Est-ce qu'HauteSylve a prévu une attaque pour reprendre son avant-poste? Mais attendez avant de répondre, je vais m'assurez que vous et votre ami ayez bien compris dans qu'elle situation vous vous trouvez

Il sortit sa dague et l'approcha lentement de l'oeil gauche de Marek pour qu'il voit bien la lame pénétré dans son oeil et le crever.

Poste N° 6
[Cylia Aërindir]

Cylia serra les dents et détourna le regard alors que la dague approchait dangereusement de l'oeil de Marek, qui se mit à hurler de terreur. Personne ne lui avait dit qu'en accompagnant la demi-elfe ici il allait être le premier à y passer. Alors que la dague allait s'enfoncer dans son oeil comme un couteau dans du beurre, il cria, hurla, tenta vainement de se débattre (au péril de sa vue) et finit par lâcher :

"Je ne sais pas ! J'en sais rien, pitié, laissez-moi partir ! Je vous en supplie..."

**Quel couard !**

Voilà, il avait réussi à dégoûter Cylia. La jeune femme ouvrit les yeux et le fusilla du regard. Un regard qui voulait tout dire. Le dégoût qu'il lui inspirait, notament, un dégoût profond. Il était donc si pleutre, qu'il rempait ainsi devant plus fort que lui ? Mais, loin de s'arrêter là, Marek poursuivit à toute vitesse :

"Je sais pas du tout ce qui est prévu, je l'ai juste accompagnée parce qu'elle me l'a demandé ! J'ai pas lu le parchemin sur lequel étaient écrites les instructions, je vous le jure !"

"La ferme !"

Cylia venait de crier contre son compagnon d'armes. Elle ne l'avait jamais vraiment porté dans son coeur, c'était vrai, mais là il dépassait carrément les bornes. D'accord, c'était son idée à elle, mais il n'avait jamais refusé de la suivre. Elle ne lui avait pas mis un couteau sous la gorge pour qu'il l'accompagne. Soudain, elle eut envie de le tuer de ses propres mains. Pourtant, elle ne dit mot. Marek semblait tétanisé. La lame de la dague semblait comme en suspens, et le pauvre homme tremblait tellement que ses dents s'entrechoquaient. Cylia, elle, ne quittait plus la scène du regard.

POSTE N°126
<AMON>

Amon regarda la femme crié sur Marek

**Aucune cohésion dans le groupe, c'est encore plus divertissant.**

Il lui souria:

_Laissez le libre arbitre a votre ami s'il vous plait, il n'est pas venu de son plein grés, il ne manque plus que vous lui interdisiez de parler. Néanmoins, que vous ayez tant remué ma profondément ennuyé... Malheureusement, mon laboratoire n'est pas encore construit et je n'ai pas beaucoup de matériel... a part ma dague et mon fouet...bah tant pis, on va faire avec se qu'on a. Qu'on aye chercher des épieux en bois et qu'on le cloue au sol!

Des goules se présserent, elles allerent chercher quelques épieux trop petits qu'on avait pas utilisé pour la palissade et elles les planterent dans les bras de Marek, qui hurlait de peur et de douleur.

_Heureusement que les épieux n'étaient pas trop grand, sinon coupé votre bras serait revenu au meme mais bon... j'ai déja vu des gens qui remuait leur moignon apres, c'était pitoyable...Bon j'en reviens à vous

Amon s'accroupit devant Marek.

_Je n'ai pas su vous percez un oeil tantot, vous m'en devez donc 1 plus celui de maintenant. Vous auriez été plus sage a ne pas vous débattre, vous auriez encore le sens de la vue à l'heure qu'il est.

Il perca rapidement un oeil, puis plus lentement l'autre. Marek criait toujours, a n'en plus finir. On devait surement l'entendre d'HauteSylve. Amon attendit que c'est cris diminue un peu et s'approcha de la femme.

_Tien, Vous ne m'avez toujours pas dit votre nom.

Poste N° 7
[Cylia Aërindir]

Amon, au grand désespoir de Marek, sembla disposé à non seulement lui creuver loeil, mais en plus le torturer longuement. D'abord, Cylia lui avait crié dessus, comme si elle s'était royalement moquée qu'il risque sa vie pour elle. En plus, il avait failli se faire creuver un oeil, et voilà maintenant que ce monstre d'Amon prévoyait de le clouer au sol ! C'en était trop pour lui. Des larmes coulèrent sur ses joues, larmes de peur, une peur incommensurable venue du plus profond de ses entrailles, peur qui augmenta encore à la vue des pieux de bois. Il n'allait quand même pas...

Bientôt, il fut à terre. Les monstres au service de cet immondice d'Amon lui enfoncèrent sans ménagement les épieux dans les bras, le faisant hurler de douleur. Cylia ferma les yeux mais ne put se voucher les oreilles, étant maintenue par deux squelettes. Elle entendit ce hurlement et su qu'il la hanterait toute sa vie. tout comme ceux qui suivirent lorsqu'Amon prit un malin plaisir à aveugler son compagnon. Marek hurla un moment puis finit par se taire. C'est à cet instant que Cylia risqua un coup d'oeil vers lui, et ce qu'elle vit lui donna la nausée. Tout ce sang... Elle n'y était pas habituée... elle ne put se retenir et vomit, à moitié sur ses pieds, d'ailleurs, tandis que les squelettes ne bronchaient même pas.

Puis Amon s'approcha d'elle et lui demanda, dans un sourire, comment elle s'appelait. La demi-elfe lui lança un regard plein de haine avant de lui répondre, comme si elle lui crachait les mots à la figure :

"Monstre... C'est tout ce que vous êtes..."

L'un des squelettes la frappa au ventre, elle se plia en deux de douleur, bien qu'il ne l'ai pas vraiment blessée. Elle avait compris.

"Cylia. Je m'appelle... Cylia."

Une inspiration, puis un nouveau regard, plus inquiet, cette fois, vers Marek. Il respirait faiblement, elle pouvait le voir à sa poitrine qui se soulevait par instant, avec irrégularité.

**Marek, je te vengerai, promis !**

POSTE N°127
<AMON>

_Si seulement vous étiez plus docile, on aurais pas a utiliser la violence...enfin...

Amon s'approcha de Marek, il l'examina brievement.

_On ne tireras plus rien de toi, je pourrais etre cruel et te laisser mourrir la, mais mes goules ont fain et la chair fraiche est tellement bonne.Il s'adressa aux goules. Vous pouvez le manger

Il revenu pres de Cylia, pendant que les goules s'acharnait sur le corps de Marek, arrachant les chairs.

_Venez, nous allons entrer dans le camp.

Les squelettes lacherent Cylia qui suivit Amon, ils passerent devant le corps de Marek, qui avant déja perdu ces jambes

_Vous etes encore fragile face à ce genre d'évenement n'est-ce pas? J'étais comme vous avant, jusqu'a ce que je perde mon humanité, il me semble meme que j'étais gentil... moi, bon, vous imaginez-vous?

Il rit un peu

_A Port-Pergas, c'est la que j'ai perdu les 1er liens qui m'unissait au vivant, lors du coup d'état... Quelques jours apres cet évenement seulement, j'examinais des corps de demi-elfe ou d'humain, sans aucun probleme. Vous trouvez cela surement abominable, pourtant, je ne faisais pas cela avec pour but de voir souffrir la personne qu'il y avait devant moi, mais pour connaitre l'anatomie humaine... un but scientifique. Je ne dis pas que cela ne me procurais pas un certain plaisir de voir ces gens hurler de douleur, mais ce n'étais pas le but 1er. Comprenez-vous?

Ils passerent au dessus des douves. Amon s'arreta un peu pour regarder le liquide verdatre qu'il y avait dedans.

_Bizarre hein? Je ne sais meme pas moi meme ce que c'est... un truc de goule.

Dans le camp, la construction des casernes avancaient vite, les bases étaient finies.

Poste N° 8
[Cylia Aërindir]

Après qu'elle lui eut dit son nom, Amon s'approcha de Marek et, après lui avoir adressé quelques mots qu'il ne dut même pas entendre tant il semblait agonisant, laissa à ses goules le soin de le débarrasser du mage, de la plus horrible manière qui soit. Cylia se retint de vomir de nouveau en voyant ces infâmes créatures se jeter goulûment sur le corps du pauvre homme pour le dévorer.

Elle pensait y passer à son tour, mais contre toute attente Amon l'invita à le suivre. Les squelettes la lachèrent et elle emboita donc le pas du supôt d'Agramand. A sa grande surprise, il se mit même à lui parler de lui, à lui expliquer ce qui l'avait poussé, au début, à agir aussi cruellement. Pourquoi ? Dans quel but lui racontait-il tout ça ? C'était évident, il ne comptait pas la laisser filer. Sans doute voulait-il éclairer sa lanterne avant de la jeter aux goules, elle aussi. Mais si elle avait peur, elle ne tremblait pas. C'était ça, sa force.

Ils passèrent au-dessus du pont-levis sans qu'elle eut prononcé un mot de plus, elle se contentait d'observer, de prendre ses repères pour pouvoir s'échapper quand elle en aurait l'occasion. Lorsqu'Amon lui désigna le liquide verdâtre et limite visqueux dans les douves, elle ne put retenir un frisson de dégoût. Qu'était-ce exactement ? De la bile de goule ? Ou une autre chose encore plus répugnante dont elle ne voulait même pas connaître la provenance ?

Elle finit pas lever les yeux vers son geôlier alors qu'ils arrivaient dans le camp à proprement parler. Un sourire narquois sur son visage, elle lança à Amon :

"Je n'ai jamais porté Marek dans mon coeur, et s'il est mort c'est par son unique faute. Je ne lui ai jamais demandé de me suivre."

Son sourire disparut au profit d'un air décidé, et une lueur meurtrière apparut dans son regard.

"Cependant, sachez que je le vengerai. Soyez-en sûr."

Tant de détermination, tant de volonté... Sans doute aurait-elle été une excellente recrue, pour le sombre Agramand, si elle avait été de son côté. Hélas, elle était du côté, semblait
-il, des plus faibles...

[MDJs, Pouvez-vous supprimer Marek de mes troupes ? Il s'est fait dévorer... Merci. ^^]
[S : Fait et que son âme puisse reposer en paix ^^]

POSTE N°128
<AMON>

**Elle ne se rend pas compte de ce qui lui arrive**

Amon la regarda intensément.

_Mon laboratoire n'est pas encore construit, je ne peut encore examiner votre corps. Vous allez devoir patientez.

Il s'adressa à 2 goules.

_Attachez la dans le camp, et vieillez à ce qu'elle ne puisse pas s'enfuir... sans la mutiler.

Amon se désinteressa de la fille, il réunit un petit groupes de squelettes.

_Vous allez faire des rondes autour du camp, je ne veut plus que ce genre d'incident puisse arriver...

Les squelettes partirent en courant dans le bois, tandis qu'Amon sortit du camp et s'approcha de Sernet

_Bizarre cette fille.

_Elle ne se rend pas encore compte dans quelles situations elle se trouve. Quand elle se rendras compte qu'elle ne pourras plus s'enfuir, son comportement changeras radicalement, crois-moi.

_A part ces 2 déments, aucune réaction de la part d'HauteSylve.

_Attends un peu, ils doivent se décidé entre envoyé une armée nous attaqué ou renforcer les 2 derniers avant-postes. Et vu que ma tete est mise à prix, on va surement voir d'autre suicidaire venir essayé de me tuer.

_Ne craignez-vous pas qu'un jour, ils vous tuent?

_Par 3 fois je suis déja mort, crois-tu qu'une 4eme fois m'effraie?

_En effet...La construction avance bien

_oui, dés que les tours de guets seront finies, on commenceras mon laboratoire et l'armurie.

_On ne devrais pas tuer 1 ouvrier pour les stimuler?

_Non, les humains travaillent mieux quand ils ont espoir de survivre. Bon, va voir comment notre hote se comporte, si elle se débat trop, coupe lui les tendonds d'Achille, sa la calmeras

_Bien

Sernet rentra dans le camp.

Poste N° 9
[Cylia Aërindir]

Ainsi c'était donc ça. Amon venait de lui dire le sort qu'il lui réservait. La disséquer. Quelle idée morbide. c'était bien ce qu'il comptait faire, pourtant. N'avait-il pas employé le mot "examiner" en parlant du corps de Cylia ? Etant donné qu'elle n'était pas plus malade qu'il n'était médecin, on pouvait tout naturellement en déduire que ses macabres envies de dissection allaient être subies par la demi-elfe.

Elle ne répondit rien à cela mais crut bien sa dernière heure arrivée lorsqu'il ordonna à ses goules de la ligoter. Elle allait donc finir en pâtée pour goules ? Quelle fin atroce... Mais sa frayeur fut de courte durée car il ajouta aussitôt de ne pas la mutiler. Il voulait donc la garder entière. Bien, c'était bon signe.

**Enfin, je crois...**

Puis Amon était sorti du camp, la laissant seule avec les immondes créatures qui salivaient rien qu'à l'idée de toucher de la chair fraîche. L'une des goules voulut désobéir aux ordres et croquer un tout petit bout de la demoiselle, mais alors qu'elle s'approchait de l'épaule de Cylia, cette dernière, d'un ton qui se voulait sûr d'elle malgré sa peur viscérale qui lui vrillait les boyaux, lui lança :

"Si j'étais toi, j'éviterais de désobéir à Amon..."

La goule, plutôt stupide, hésita un moment, sa bave dégoûtante dégoulinant sur le haut de la robe de la mage, avant de reculer bien sagement.

**Ouf, je l'ai échapé belle...**

Elle fut ensuite attachée solidement à un poteau au milieu du camp, debout, sans doute pour que tous puissent contempler la suicidaire de Hautesylve. Pas grave, au moins elle avait une vue d'ensemble sur les installations... Elle ne se débattait pas, à quoi cela aurait-il servi ? A lui faire couper les jambes, tout au plus. Une chose qu'elle préférait éviter. Alors qu'elle laissait son regard vaguer autour d'elle, quelqu'un approcha d'elle, il semblait assez haut gradé. Gardant une certaine contenance face à lui comme elle l'aurait fait face à n'importe qui ici, Amon comprit, elle le regarda dans les yeux alors qu'il approchait.

POSTE N°129
<AMON>

Sernet s’approcha de la prisonnière, il la dévisagea avec un profond dégoût. Lui, qui était un elfe corrompu condamnait les actions de autres elfes ou demi elfes.

_Tu aurais du dés ta naissance rejoindre les rangs d’Agramand, mais en plus de cela, tu viens pour tuer Amon ? Tu me dégoûtes.

Il cracha sur Cylia et la frappa pour bien lui faire comprendre.

Dehors, Amon supervisait les ouvriers. Ils avaient coupé tous les arbres autour du camp dans un rayon de 70 mètres, aucune attaque surprise n’était possible. Soudain, alors qu’il donnait un ordre, il entendu un miaulement derrière lui : s’était Gribouille. Quand il le vit, ce qui restait de son humanité se réveilla, il se précipita sur lui et le pris dans ces bras.

_Enfin tu nous as retrouvé !

Il tapota son ventre

_Et tu n’as pas maigri, je vais te montrer notre nouvelle base.

Tout en avançant, il caressait son chat qui ronronnait. Ils entrèrent dans le camp, les ouvriers avaient bien avancé dans la construction des casernes. Ils avaient tout d’abord battit la charpente avec les bois de la foret, ils avaient ensuite fais une base d’un mètre de haut en pierre mêlé d’argile, puis 2 mètres de bois, d’argile et de pierre plus petite. Il ne restait plus que le toit à faire, avec des feuilles mortes, de l’argile et des morceaux de roches. Du coté des tours de guets, 2 sur les 5 étaient finies, il ne restait plus aussi que pour celle-ci le toit, fait avec des rondins de bois. L’un des ouvriers s’avança près d’Amon, visiblement en colère.

_Nous travaillons sur un rythme épouvantable et nous avons faim, nous ne pouvons plus continuer ainsi !

Amon déposa Gribouille à terre, qui s’étira.

_Je comprend tout à fait ta situation, mais…

Il tira rapidement sa dague et lui trancha la gorge.

_Mais vous n’étés plus que des objets ici.

Il s’adressa aux autres.

_Celui-ci à eu la chance de mourir immédiatement, si un seul d’entre vous prend la même initiative, je ferais durer son supplice le plus longtemps possible ! Vous 2…

Il désigna 2 ouvriers.

_...Foutez moi ce cadavre puant dehors.

Poste N° 10
[Cylia Aërindir]

L'homme s'était approché de Cylia avec un air de dégoût profond. Qui était-il ? Sans doute l'homme de main préféré de cette sale engeance d'Amon... Il était elfe, à ce qu'elle pouvait voir. Un elfe corrompu, la pire des choses qu'il lui eut été donné de rencontrer. Il lui signifia son dégoût avant de cracher sur elle, sans doute pour appuyer ses dires, puis il porta la main sur elle. Elle rit, bien que le coup lui ait entaillé la lèvre inférieure. D'un ton ironique, elle lui lança :

"Faut-il donc que tu sois faible à ce point, pour frapper une femme... Une femme ligotée, qui plus est. L'honneur des elfes n'est plus ce qu'il était."

Son regard pétillait là où on aurait dû y voir la peur. Agramand lui faisait peur, Amon aussi, même si elle n'osait pas l'avouer. Mais lui... Elle avait pitié de lui. Oui, c'était le mot. De la pitié... D'ailleurs, ça pouvait se lire dans ses yeux, elle ne le cachait pas. Qu'il la batte, elle s'en moquait. Que dirait Amon en sachant ça ? Il le châtierait comme il se devrait. Elle en était certaine. Son sourire disparut et son ton se fit des plus sérieux.

"Les rangs d'Agramands seront bientôt défaits par mon peuple, sois-en sûr. Hautesylve ne tombera jamais aux mains du Mal..."

Elle tourna la tête, ses cheveux lui venant maintenant dans la figure. Pour elle, la discussion était close. Amon, bien que le supérieur maléfique de cette... Créature - elle refusait de l'appeler "elfe" - était de bien meilleure compagnie...

"Je préfère parler à ton chef, traître."

Voilà comment elle considérait l'individu face à elle. Un renégat n'était autre qu'un traître à ses yeux. Un lâche, une ordure de la pire espèce. De la pitié, elle était passé au mépris. Encore pis, de son point de vue...

POSTE N°130
<AMON>

Le Soleil descendait doucement derrière la forêt, sa lumière allait encore s’éteindre pour revenir quelques heures plus tard. Amon le regardait, ses yeux étant mort, il ne risquait plus de se les brûler. Soudain, il craint une attaque elfe de nuit, les casernes n’étaient pas tout à fait finies et ils viendraient facilement à bout du camp. Il pris la décision qui lui semblait la plus approprié. Il appela trois zombies et cinq squelettes.

_Allez allumé des torches tout autour du camp jusqu'à la lisière, elles devront éclairé la plus petite zone d’ombre jusqu’au retour du Soleil.

La troupe se mit immédiatement au travail, les elfes risquaient d’attaquer à n’importe quelles moments. Elles récupérèrent les épieux trop courts, elles les plantèrent partout autour du camp et les allumèrent, donnant une claire lueur. Pendant ce temps la, tous les ouvriers étaient rentrés dans le camp et attaché. Bientôt, les goules et squelettes rentrèrent, leur besogne accomplie.

_Fermez les portes !

Deux squelettes fermèrent les portes et placèrent une poutre entre elles. Ceci fait, Amon ordonna que des morts-vivants se placent sur les remparts avec des arcs et organisent une ronde. La sévérité dans sa voix montrait bien à ses hommes qu'il ne souhaitait pas les voir désobéir, ils connaissaient le châtiment encouru pour un tel acte. Rapidement, ils se postèrent et commencèrent à scruter la forêt, à la recherche de tout mouvement insolite. Amon se plaça lui-même sur les remparts, regardant en direction d’HauteSylve.

Deux heures s’étaient écoulé depuis le couché du Soleil et toujours aucun mouvement, les ouvriers, sur leurs gardes, eurent du mal à fermer l’œil, mais la fatigue l’emporta. Les morts-vivants, eux, n’avaient pas besoin de sommeil, un corps mort animé par une âme n’avait pas besoin de repos. Le seul vivant à être debout était Grunf. Soudain, un cor résonna dans la forêt, deux autres lui répondirent. Amon sauta des remparts et alla vers Grunf.

_Réunis tes hommes, prend mes sept gobelins et les cinq goules. Prépare toi à faire une sortie, on va d’abord voir à qui on a à faire.

Les morts-vivants sur la palissade tendirent leurs arcs en direction des bruits : ils devaient tuer quiconque entraient dans la clairière. Seul celle-ci était éclairée, le camp était plongé dans le noir, empêchant les probables archers ennemis de viser correctement. Tout le dispositif étant prêt, Amon remonta sur la palissade, Gribouille en bras, ils regardaient la forêt. Brusquement, le chat feula en direction d’un point bien précis de la forêt, et tout aussi soudainement, une sphère de feu sortit des bois et s’élança vers le ciel, éclairant tout le camp. Grunf et son équipe sortirent directement du camp, en même temps que trois hommes avec des hachettes et accompagné de trois tigres se montrerent, suivit de deux autres hommes dans de longue robe violette et tenant des bâtons. L’un d’eux aperçu Amon et tendit son bâton vers lui, une sphère de flammes en sortit et s’élança vers Amon, il dut sauté à terre en s’écroulant pour l’évité.

_Sernet, avec moi !

Il sortit du camp, suivit de Sernet. Dehors, la troupe de Grunf était entré en mêlée avec les trois hommes et leurs tigres, même en sous nombre, il se défendait parfaitement, tuant les morts-vivants avec leurs hachettes. Un peu surpris, la garnison se ressaisit vite et contre-attaqua avec toute la violence possible, les goules, assez agile, sautèrent sur les ennemis et arrachèrent leurs chairs. Les tigres, avec autant de férocité, déchirait et lacerait les chairs. Mais Amon ne se souciait pas de se combat, il allât directement devant les mages, il plaqua sa main contre le sol et gela la surface du sol ou les mages se trouve, un peu déstabilisé, ceux-ci hésiterent à sa déplacer, tombé leur serait fatale. Amon profita de ce désagrament pour utiliser son sort d'effroi sur un mage, espérant qu'il serait suffisement déconcentré pour succomber à sa magie. il envoya donc l'image de son corps, étalé sur le sol, putréfié et entammé par les mouches et vers, le crane à moitier défoncé, la cervelle sortant et les organes digestif à l'air libre.


[MDJ: est-ce que le mage est éprouvé par cet image?]
Erg : Il est envahi de peur, il a du mal à se battre