Chapitre I ; Une rencontre fabuleuse.

[ Post Premier ]

( Aërandir )

Le Soleil frappait fort, la chaleur se faisait sentir. Une tâche jaune et éblouissante pimenté la monotonie d'un ciel bleu et sans nuages. Le Soleil avait dépasser péniblement son zénith, et allait se coucher, derrière l'épaisse touffe de la Sombreforêt. Le chemin était sinueux, emplis de rocs et de petits amas de pierres. Il était également sec, et a chaque pas, un nuage de poussière se levait, puis reflétait le Soleil et ressemblait a milles petits cristaux. Puis, le vent capricieux les balayent d'une petite bourrasque. Et ce petit spectacle se perpétuait, a chaques pas, cela ne semblait avoir aucune fin.

Au milieu du chemin de terre, un jeune homme habillé d'une longue robe blanche marchait avec lassitude et peine, s'appuyant sur sa Crosse pour s'aider a franchir les obstacles qui se présentait a lui. Aërandir avait son imposant livre dans une petite giberne, juste de la bonne taille pour l’accueillir accroché a sa ceinture. Son visage grimaçait de lassitude et d’efforts, sa bouche crachait des soupirs pour évacuer le stress. Le jeune Prêtre avait très chaud, et quelques gouttes de sueur longeait ses tempes. Le bas de sa robe était un tantinet salit dû a la poussière qui parsemait le sentier. Ses mains, moites, glissait sur le bois de sa Crosse qui supportait son poids depuis le début du voyage. L'objectif du jeune homme était d'atteindre Port-Pergas avant demain soir.
Au fur et a mesure qu'il avançait, plusieurs nuages faisaient leur apparition, et le Soleil descendait plus bas, chaque minutes. Aërandir pensa a trouver un abris, quel qu'il soit, il devrait passer la nuit a couvert. De préférence, il aurait rêver d'un bon lit douillet a souhait et d'un feu qui le réchaufferait. Il marcha donc droit devant lui, ou ses pieds l'emmenaient, ou le chemin le conduisait. Il marcha ainsi de longues minutes, scrutant l'horizon a la recherche d'un petit abris pour la nuit. Ses yeux de cessait de faire des aller-retour de droite vers la gauche, de gauche vers la droite. Ses pupilles s'agitaient et cogitaient dans le blanc de ses yeux. Sa tête accompagné le mouvement de ses yeux en se balançant également de droite a gauche. Ainsi, en épiant chaque recoins de son horizon et du paysage qu'il voyait, il remarqua une petite grotte, un trou noir qui s'enfonçait dans une immense pierre, un gigantesque cailloux qui mesurait au moins dix fois la taille d'un homme. L'entrée, quant a elle, était beaucoup plus petite, mais assez grande pour laisser passer une demi dizaine d'hommes. Il rentra donc a l'intérieur de la grotte. Il faisait terriblement noir, et Aërandir n'avait rien qui puisse éclairer ses pas, a part sa foi inébranlable. Il se mît donc a prier Kegöh, que celui-ci le prévienne du danger et illumine son âme et son regard. Il prier tout en fermant les yeux, pour une meilleure immersion. Il avançait a taton, le bras droit frôlant la pierre, le bras gauche tenant fermement la Crosse. Il se servait de la Crosse comme d'une sonde, il la tapait un peu partout devant lui, mais cela ne l’empêcha pas de trébucher plusieurs fois. Tout en marmonnant ses Prières, il avançait dans la pénombre des ténèbres. Puis, une lumière vive lui fît ouvrir les yeux. Il était tombé de l'autre côté de la grotte, en fait, c'était un grand tunnel. Il sortit de la grotte mécontent, n'ayant trouvé aucun endroit pour passer la nuit. Il ne pouvait pas rester au milieu de la grotte, cela représentait trop de dangers, et il était en lieux inconnus et avec des paramètres inconnus.
Il sortit donc du tunnel d'un pas plus rassuré mais un visage qui dessinait une moue de mécontentement. C'est alors qu'il remarqua que le paysage était différent. Cela ressemblait a une forêt. Il sortit son grimoire pour se situer. Il retraça son chemin avec le doigt de la main, et en conclût que cela n'était qu'une mini-forêt. Il se décida donc a aller de l’avant. Il rangea son livre dans l’endroit approprié, puis il se mit en route, la Crosse dans sa main gauche. Le Soleil menaçait de tombé d’un moment a l’autre. Plusieurs nuages noirs faisait leurs apparition. Cela n’annonçait rien de bon, sûrement un gros orage, violent et sourd. Aërandir accéléra le pas et traversait la petite forêt, esquivant un arbre, puis l’autre, il zigzaguait entre les immenses tronc d’arbres. Il remarqua plusieurs oiseaux se retiraient dans leurs nids. Ah ! Si seulement Aërandir avait son nid, pour se protéger de l’imminent orage. Puis, tout a coup, un violent bruit sourd déchira le silence morbide de la forêt. Le bruit résonna dans le corps d’Aërandir, s’amplifia puis s’éteint comme il était venu. Cela fît réagir le jeune homme d’accéléré encore plus le pas. Quelques gouttes tombèrent du ciel, et les ombres s’agrandissait rapidement. Aërandir leva la tête et constata que le Soleil se cachait derrière un épais manteau de nuages. Il scruta alors l’horizon. Sans succès. Il ne trouvait rien qui pouvait le réjouir. C’est alors qu’il remarqua un épais tronc d’arbre, avec un gros trou au milieu.
Il décida donc de s’installer dans l’arbre, mais avant, il remarqua un petit talus d’herbe. Une épaisse couche qui s’élevait a peine a quelques centimètres du sol. Plusieurs pois violets se démarquait de la couleur verte foncé de l’arbuste. Après sa cueillette, un éclair bleu déchira littéralement le ciel en deux parties distinctes. L’éclair semblait naître du point le plus haut du ciel et rejoignait la terre en une fraction de secondes. Sa forme était irrégulière, parsemaient de petits coins disposés ici et là. Puis, un énorme craquement se fît entendre dans le tumulte de l’orage. Un arbre venait de tombé, coupé par la foudre. Il brûlait tout en gisant par terre. Les flammes dansait sur lui, comme pour prouver leur victoire, prouver au monde que le feu peut être destructeur. Aërandir en conclût que le tronc d’arbre était un très mauvaise idée et continua sa route. Une averse vint pimenter le tout. Les longues gouttes d’eau accompagnaient les bruits sourd et les nombreux éclairs. Mouillé jusqu’aux os, Aërandir ne s’avouait pas pour autant vaincu. Il marchait et marchait, a la recherche d’un abris pour la nuit.

[ MDJs : Combien ais-je trouver de baies ? ]
[LL : Tu trouves 3 bais potables. Toutes les autres sont à moitié mangées ou pourries. Au passage, seul un alchimiste peut reconnaitre les plantes. Pour des baies, faut pas être un génie donc ça passe mais pour des plantes plus rares, ca ne passera pas ^^]

[ Post Deuxième ]

( Aërandir )

Le vent soufflait fort. La pluie tombait sans fin. La robe du Prêtre virevoltait en tout sens et elle était lourde, a cause de l’eau incrusté dans les fibres du tissu. Il marchait sous la pluie, encapuchonné sous sa capuche blanche. Les arbres résistaient a la tempête, tandis que les herbes se couchaient et plissaient sous le poids du vent. Un cri se fît entendre au loin. Mais pas un cris d’humain, non, une bête. Un bruit lourd, qui inspire la peur et la crainte. Puis, on entendit quelques voix d’hommes distinctes.

" - Attaque le ! Abruti ! "

Le vent poussait les voix vers le Prêtre. Aërandir se rapprocha le plus possible. Il reconnût deux hommes, dans la fleur de l’âge, frôlant la quarantaine. Ils avaient tout deux un bandana qui faisait office de couvre-chef. Il s’arrêtait en dessous du nez et deux trous avait était perçait pour laisser les yeux faire leur travail. Ils étaient habillaient de vives couleurs, alliant le jaune ocre, salît par le temps avec un rouge, un rouge cramoisi, parfois noir. Leur vêtement étaient rapièces et troué de toutes parts, on pouvait distingué les coutures de chaque pièce rajouté pour combler un trous. Ils avaient une grande cape noir orné d’un symbole doré, que Aërandir méconnaissait. Il en conclût donc que cela devait être un guilde de bandits. Ils avaient quelques bourses a la ceinture, mais le plus inquiétant, c’est qu’ils tenaient tout les deux une épée et un bouclier. Aërandir ne comprenait vraiment pas ce qui se passait. Il faisait face a une ombre. Puis, d’un coup, un rugissement s’entendît. Les deux hommes sursautèrent de peur. Une immense créature, debout. Elle était plus grande qu’eux, elle faisait prêt de deux mètres, en effet, elle les atteignait facilement. Un pelage roux qui flirtait avec le brun, plutôt roux très sombre, sans doutes a cause de la pluie. Une gueule béante, emplis de plusieurs crocs sûrement acérés. Deux bras, couvert de poils, au bout cinq griffes de quelques centimètres de long. Un éclair traversa le ciel et Aërandir pût reconnaître un Ours. Qu’est-ce que deux bandits voulaient a un Ours. Sûrement sa peau, cela doit se revendre très bien.

" Attaque ! Dit le premier Bandit. Il faut qu’on le tue, sinon on passera pour de vrais nullards ! ! Allez, prends la gauche, j’attaque a droite ! ! Dépêche toi bon sang ! "

Le deuxième Bandit s’exécuta et attaqua directement le flanc gauche. L’ours pivota sur lui-même pour lui faire face et lui gifla un grand coup en visant le visage. Il para le coup avec son bouclier, mais l’ours fît de même avec son autre patte. Le bandit ne pût rien faire et se prit le coup de plein fouet. Il vola a terre dans un râle de douleur. Il gisait par terre. Son épée avait volée suite a l’impact du coup. Le premier bandit profita de ce moment d’inattention de l’ours pour lui planter son épée dans les cotes. L’ours hurla de douleur et se remît a quatre pattes. Il se rua sur le bandit a terre qui se tenait le visage tout en pleurant. Il l’écrasa littéralement sous son poids colossal. Mais le premier bandit n’eut aucun soupçon de chagrin. Il faisait face a l’ours avec une grande détermination. Il jeta l’épée en direction de l’ours qui se la prît dans l’épaule droite. Il fléchit sa patte avant et sa tête se pencha également. Le bandit n’en demandait pas plus, il sortit une petite dague de sa cheville puis il la planta dans la nuque de l’Ours. Le pauvre s’effondra dans un grand hurlement. Aërandir faisait face a un spectacle sanglant impuissant, ne pouvant rien faire. L’ours, dans un dernier élan lui mordit le mollet. Le bandit cria et l’ours en tirant un grand coup lui déchira la jambe. Le bandit tomba a terre. L’ours se releva péniblement, mais le bandit lui retira la lame de son épaule, ce qui fît souffrir admirablement l’ours. Puis, avec ses dernières forces, il lui planta dans son ventre et fît des va-et-vient vers l’avant et l’arrière. Le ventre de l’ours était découpé de tout son long. L’ours tomba sur le côté et tout en tombant, il craqua un bras du bandit. Celui-ci dût se résoudre a la couper a l’aide de son épée. Il grimaça et fît sortir toute sa douleur en criant un bon coup. L’ours respirait encore, avec peine et difficulté. C’est alors qu’Aërandir sortit de sa cachette. Il accourût vers l’ours. Il avait plusieurs déchirure qui emplissait son corps. Il assena un coup monumentale au bandit a terre. Il lâcha la poids de sa Crosse sur sa tête qui se fendit en tapant par terre. Il constata les dégâts qu’avait subit l’ours. Il se mît a genoux, puis il pria. Il pria Jesta, pour soigner l’ours. Le corps de l’ours s’enveloppa d’une aura blanchâtre. Il se détendit.

" - Détends toi. Laisse toi allez. Tout ira bien. Dit Aërandir avec une voix douce et paisible. "

Il ferma les yeux de l’ours avec ses mains, lâcha sa crosse, puis joignit les mains. Il fermât les yeux et se replia sur lui-même. Il voyait son énergie vitale. Au fur et a mesure que la prière se déroulait, son énergie le quittait, peu a peu. Le corps de l’Ours était tellement volumineux qui lui pompait une grande réserve d’énergie pour soigner ses nombreuses blessures. Cela dura une demi minute, puis, Aërandir ouvrît les yeux lentement. Il vît que l’ours dormait, cette sensation de réconfort l’avait plongé dans le monde du rêve. Aërandir, content de lui s’endormit un sourire aux lèvres sur le corps de l’ours, content de lui.

[ HRP: Oui, je c'est qu'il faut être Alchimiste, mais des baies ... ^^. ]

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