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 Sur le chemin du Sud

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Agrath trak'Nard
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Agrath trak'Nard


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MessageSujet: Sur le chemin du Sud   Sur le chemin du Sud EmptyVen 9 Nov - 13:23

Agrath Trak'Nard
Post N° 87

Post précédent : Roc-Rétif - Le donjon : Déserteurs-pilleurs

Agrath et ses compagnons étaient de retour sur les chemins, et discutaient joyeusement en descendant vers le Sud. Ils passèrent sans encombre à Tristerive, où ils animèrent la taverne de leurs rires et de leur cris, en gagnant quelques paris et redistribuant leurs gains en tournées générales. Ils repartirent au bout de deux jours, et se dirigèrent vers Port-Pergas.

Trois jours plus tard, alors qu’ils cheminaient tranquillement, à quelques heures de Port-Pergas, conversant avec emphase des mérites comparés de la bière et du vin vieux dans la cuisson du ragoût, ils entendirent un bruit de cavalcade qui emplit peu à peu l’espace. Une troupe de 5 chevaliers arrivait ; l’homme de tête, rugissant « Place au Seigneur Sopralero », faillit écraser Elgor qui ne dut son salut qu’à son mouvement de recul prononcé. Aldus, de rage, saisit l’homme par la tunique et le jeta bas de son cheval avec fracas. L’homme s’ écrasa au sol en gémissant. Les chevaliers suivants sortirent leurs armes et l’un deux, un guerrier visiblement, à l’armure d’or fin et au cheval harnaché de pourpre, se dressa et hurla :

Manant ! Comment oses-tu porter la main sur un homme d’armes du Seigneur Sopralero ! Sais-tu qui je suis ? Je suis sa Mugnificience le Seigneur Sopralero, Maître des Villages d’Ornad et Gronditer, Vainqueur du démon d’Arkol ! Chien, tu as osé porter la main sur un de mes serviteurs, comment oses-tu ?

Aldus lui répliqua froidement : seigneur de machin chose ou pas, les routes ne t’appartiennent pas, et je déteste les gens qui pètent plus haut que leur cul, petit tyran insignifiant !

Le Seigneur Sopralero, rouge de colère et bégayant sous l’offense : C… Co… Comment O…. Oses tu ? TU… Tu vas payer !

Il leva son arme, prêt à frapper, mais Agrath s’interposa :

Ton comportement est indign’. J’m’ f’rai un plaisir de t’fair’ rentrer ton arroganc’ dans la gorg’. J’ te propos’ un combat. Un combat à mort. Le vainqueur verra justification de sa pensée.

Tu te crois à la hauteur, paysan ? Je suis le plus fin bretteur des contrées de l’Est, et je vais te montrer !

L’homme descendit de son cheval, tirant son épée, tandis que les chevaliers et les hommes d’Agrath faisaient cercle autour d’eux.

Agrath et Sopralero se jaugeaient du regard, tournant l’un autour de l’autre comme des tigres dans une cage. Soudain, le seigneur se fendit et tenta de blesser Agrath, qui se jeta de côté et lança sa hache vers son adversaire. Celui-ci se recula précipitamment, puis après quelques pas-chassés contre-attaqua en donnant de vigoureux coups d’épée, que Agrath contra du manche de sa fidèle hache princière. Il était heureux à cet instant de cette arme offerte par le Comte de Port-Pergas, d’une résistance à toute épreuve. Il ne savait comment arrêter cette déferlante ; l’homme n’était pas un excellent bretteur, et plus vantard que malin, mais Agrath n’avait pas l’habitude de ces duels très statiques. Il pensa jeter ses fioles d’huile de feu au visage de son ennemi afin d’abréger le combat, mais il voulait gagner honorablement le combat pour l’humilier, et aussi pour que ses chevaliers n’aient pas un prétexte pour lui sauter dessus. Après un coup plus puissant qui le déstabilisa, il se pencha et roula sur le côté, avant d’enfoncer sa hache dans le pied de son ennemi… qui se recula et se fit trancher le petit orteil.

Avec un hurlement, il se dégagea, avant de porter un coup de haut en bas qui s’enfonça dans le bras d’Agrath. Celui-ci hurla alors : T’kass’têt’ ! et lança son arme de sa main valide contre celle de Sopralero, qui jaillit dans les airs avant de se planter dans l sol en vibrant un peu plus loin. Puis il jaugea du regard son adversaire :

Bien. T’ voila à ma merci. Il m’sembl’ qu’j’ai gagné. D’mand’ merci ou je serai forcé d’te tuer, comm’ m’en donn’ le droit les lois du duel.

Sopralero tenta de se jeter en arrière pour aller récupérer son épée, mais, handicapé par son pied blessé, Agrath put le rattraper malgré son bras blessé et coupa la main qui se tendait vers l’épée.

L’homme hurla de douleur, tandis que ses chevaliers, allaient se précipiter en avant. Mais Aldus leur rappela froidement : Déshonoreriez-vous votre maître en rompant les lois du duel ?

Ces hommes étant complètement stupides et guindés mais d’un sens des lois et de l’honneur irréprochable, ils s’arrêtèrent donc, indécis en l’absence du commandement de leur seigneur.

Alors, dit Agrath. Demand’ merci ou tu perdras la vie. Choisis.

M.. M’ci.

J’pas entendu. Tu disais quequ’ chos’ ?

Merci. Je demande votre merci.

Bien. La prochain’ fois, tu veill’ras à êtr’ plus aimabl’ envers les voyageurs. Et tu réfléchiras avant d’t’en prendr’ à un paysan comm’ tu dis, car ce paysan pourrait bien n’pas êtr’ c’que tu crois. Comm’ m’en donn’ le droit les lois du duel, tes arm’ et ton armur’ sont mienn’.

Non, par pitié, ces armes sont dans ma famille depuis des générations.

Peu m’import’. Tu as joué, tu as perdu. Tes arm’ sont désormais à moi. Je s’rai à Port-Pergas pour quelqu’ jours. Si tu survis à tes blessur’, tu pourras v’nir m’voir et nous négocierons l’rachat d’tes armoiries. (Sur ce, se tournant vers les chevaliers), Fait’ lui un garrot, avant qu’vot’ maîtr’ s’vid’ de son sang !

Sur ce, Agrath se retourna, prit l’arme de son ennemi. Il se dirigea vers ses compagnons. Mais tout se brouillait autour de lui, et tandis qu’Elgor se précipitait vers lui, il sombra dans l’inconscience…

[Merci de me rajouter les armes du Seigneur sopralero, minimum une arme et un armure de torse – à vous de choisir la qualité et s’il y a d’autres pièces d’armure]
[S : Il possèdait une épée bien forgée, Torse en cuir renforcé et des jambières en cuir renforcé
Rajoutées à l'inventaire]


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