[Bargidd] en route vers le petit cimetière

[Bargidd]
Post no.4 Arrive au marché 2-3

Bargidd qui marchais sur la petite route qui menaient vers le cimetière regardaient les petites bestioles qui couraient et qui volaient. Des petits oiseaux, des petites araignées, des souris, des fourmis, des moustiques. etc. Il ce demandait où Dieu avais pècher toutes ces idées qui forme ce monde. Et aussi la question ultime. Pourquoi avait il créé le mal qui régnaient sur ce monde, les gobelins. Voulais t’il notre destruction à nous tous où pour s’amuser à regardé ces batailles entre le bien et le mal. Mais peut-être aussi que pour lui, ce sont les gobelins les gentils et nous les méchants.
**C’est à cause d’eux que mes parents sont morts.**

Bargidd serra le bouquet de fleur qui est entre ses mains et arrêtas un instant pour ce replacer les idées. Puis il continua son chemin jusqu’au petit cimetière. Il contempla la tombe de son père, Fargos Maindacier, sa mère, Silvas Maindacier et de son grand-père, Hishkur Maindacier. Il déposa quelques fleurs sur chaques tombes tout en versant une larme de tristesse.
-Un jour, nous serons réunis... pour toujours

Bargidd s’essuya rapidement les yeux pour que personne ne le voient. Il soupira profondément avant de retourner et de faire un pas vers la sortie du cimetière. Il avait le cœur en boule il décida alors d’allé se coucher car il se faisait tard et la nuit allait bientôt tomber. Sur le chemin du retour il croisa des enfants jouant dans la rue avec leurs mères qui leur criaient de rentré pour les border. Mais il rencontra aussi une étrange femme vêtue d’une étrange robe noire qui marchait très rapidement et qui se dirigeait vers les quais avec un panier de roseaux dans les mains. Il semblait avoir quelque chose de vivant dans le panier mais Bargidd ne peut l’identifier car le soleil était maintenant coucher et en plus, il était très fatigué. Il décida quand même de suivre cette mystérieuse femme jusqu’au quais. Arriver au quai, Bargidd se cachait pour l'espionner.

Se sera au MDJ de décider de ce que la femme faisait, Merci d'avance! Vous faites un travail extraordinaire! Et s.v.p. enlevez le bouquet de fleur de mon inventaire.
[S : Fait.]

Suite no.5 Mais lisez en bas avant^^

Naëlis avait eu une mauvaise journée, tout avait commencé lorsqu'elle avait annoncé la nouvelle à sa mère. Elle avait déjà vu sa mère en colère, mais jamais entrer dans une rage telle que celle-ci. Ça s'apparentait plus à une folie destructrice. Elle ne pensait pas que sa mère réagirait de cette manière, elle qui se faisait une joie de lui apprendre la nouvelle et qui jubilait rien qu'en pensant au plaisir que sa mère éprouverait. Mais elle avait eu tord, et en plus son père ne disait rien et restait neutre. Elle se demandait comment il pouvait rester impassible devant de tels évènements.

Elle sortit de ces sombres pensées lorsqu'elle arriva à destination avec son panier. On lui avait dit de s'adresser au vieux Polias pour ce genre de cas. Le ton que la personne avait employé pour parler de ceci indiquait que Polias faisait ça très fréquemment. C'est donc avec appréhension qu'elle pénétra dans le vieux bâtiment délabré.

Euh... y'a quelqu'un ?, demanda-t-elle avec une voix à peine audible.

Une personne surgit d'on ne sait où devant elle, ce qui la fit sursauter et pousser un cri d'effroi.

Je suis Polias, pour vous servir. Dites moi ce qui vous amène ma petite dame ?
Je suis venu pour ceci., fit elle en tendant le panier. On m'a dit que vous pourriez vous en occuper.
Pas de problème. Laissez moi voir.

Polias prit le panier des bras de la jeune femme et souleva la petite couverture. Il vit ce qu'il s'attendait à y voir, une truffe noire, des oreilles brunes tombantes et des yeux marrons suppliant. Il s'agissait d'un chiot.

Pas de problème, vous pouvez me le laisser, enfin la, car c'est une femelle. Vous n'avez rien à craindre, elle sera bien traitée avec moi. Elle ne devrait pas se sentir trop seule avec les dizaines d'autres animaux dont je m'occupe.
Merci beaucoup. Merci pour tout.

Naëlis fouilla dans sa bourse et tendit quelques pièces au vieil homme puis patit le coeur léger. Elle était heureuse de savoir de la chienne serait bien traitée.