[Validé] Krablo Sohal

Nom : Sohal Prénom : Krablo

Race : Humain

Âge : 47 ans

Métier : Chercheur de trésor.

Savoir-faire : Alchimiste

Caractéristiques physiques : Krablo Sohal ressemble de loin à un clown décoloré. De grandes bottes, un énorme manteau et une taille très impressionnante de 2.01 mètres (6.6 pieds), il ne passe pas inaperçu. En effet, il n’a plus rien avoir avec le petit garçon qu’il était avant. Même s’il est en forme, il compte aujourd’hui quarante-sept bonnes années, dont il a oublié la plupart. Krablo est maladroit arme en main. Il tremble à chaque fois qu’il tient une épée ou une hache et fini par l’échapper. Malgré sa taille, il ne dispose pas d’une force physique très importante. Une nutrition difficile l’a même rendu gringalet. Bref, c'est un grand mais pauvre vieux monsieur au dos recourbé par la misère et qui ne sait même pas ce qu’il fait là.

Caractéristiques mentales : Côté mental aussi Krablo a des problèmes ! Il s’est prit un coup sur la tête et a oublié depuis une époque tôt de sa vie ! … Malgré cela, il est psychologiquement très stable. Sa philosophie est qu’il faut avoir un bon équilibre entre ce qu’il appel les quatre points cardinaux : Le physique, le mental, les émotions et la spiritualité. Son physique va bien, il a un bon cœur et même s’il est vieux ne sens pas la mort près de lui. Le mental est obscurci, mais monsieur Sohal sait qu’il a une passion, sauf qu’il ne sait pas encore laquelle. Les émotions sont ce qui le préoccupe le moins. Il n’est pas un sans cœur ni un grand sentimental, même si certaine chose peuvent le toucher profondément. Le spirituel n’est pas un problème non plus. Krabol croit qu’il fait parti d’un monde qui est un univers où chaque chose a une influence et où les Dieux ne sont que des êtres comme nous, avec plus de pouvoir seulement. C'est son hypothèse.

Vêtements : Un grand manteau brun avec plein de poches. Une lunette sur le front avec des petits bouts de parchemins.

Etat d'esprit : Un peu perdu mais ça va.

Histoire :
Les yeux de Krablo s’ouvrirent avec un mal de tête affreux. Il regarda autour de lui et vît une route terreuse couvert par les arbres automnale de la forêt. L’homme est alors saisi par une migraine du tonnerre. Il porte sa main sur son crâne dégarni et vît qu’il saignait un peu. Aurait-il été assommé ? Il ne peut dire… il ne s’en souvient pas. Ce n’est pas qu’une migraine, Krablo le comprend. Et pourtant, sa mémoire lui a laissé quelques souvenirs. Perdu au milieu des bois, il se met à raconter son propre récit, histoire de faire le point.

-Je me nomme Krablo Sahol…
Comme toute les histoires… la mienne commença dans la simplicité. J’étais un garçon gringalet, né d’une famille qui vivait d’un champ de blé et de maïs… Ma famille était bien vue dans le village où chacun vaquait calmement à son quotident. C’était la belle vie… Étant le deuxième fils d’une famille de huit enfants, j’étais bien élevé. Un enfant qui avait appris les politesses…

Krablo parlait avec grande lenteur. Ses souvenirs remontaient peu à peu dans sa mémoire. Encouragé, il continua.

-La journée j’aidais mon père dans les champs, le dimanche j’allais confesser des pêchés que j’inventais et la semaine quand je n’étais pas dans les champs je m’amusait avec… ma sœur… Avec les autres enfants du voisinage, on jouait partout sur la montagne. C’était des moments de pur bonheur…

C’est alors que des souvenirs plus sombres vinrent à son esprit. Le visage assombri, Krablo continua.

-La destiné du garçon que j’étais prit un grand tournant lorsque mon père m’emmena chez le forgeron pour réparer un piège à loup. En entrant dans l’atelier pour la première fois, je fusse complètement dérouté par l’étonnante collection d’épées suspendues au mur. Quand mon père eu le dos tournée, j’en dégageas lentement une et je me mit à jouer avec. Puis, poussé par une merveilleuse inspiration d’enfant, je décrivis un large cercle en faisant volte-face. Cri d’horreur… bruit de lacération… je venais d’ouvrir le ventre d’un homme tout juste arrivé. Nouveau cri d’horreur venant de mon père, chnock, bruit métallique, mon père venait de poser la main sur le piège à loup. Ce geste convulsif lui coûta son bras qui fût sectionné. Je m’épris de terreur, je m’emballe, je sanglote, je tumulte, je m’évanouis.

Krablo fît une pause. Il tremblait comme une feuille. Il avait envie de vomir. Ses souvenirs lui faisaient très mal. Il continua tout de même, ne voulant pas perdre son histoire.

-À mon réveil je suis dans ma chambre, c’est le soir. Larmoyant, je regarde autour de moi. Mes frères sont absents. Je me lève, fait grincer le plancher, descend au rez-de-chaussée. Ma famille s’y trouve. Tous ont le regard à terre. Ils lèvent leurs têtes pour me voir, leurs regards pleins de haine et de mépris m’heurtent. Mon cœur me fait mal, j’étire une grimace. Je rêve que c’est un cauchemar, mais retombe trop vite à la réalité. J’avance, j’entre dans la cuisine. Sur la table mon père est allongé et agité par la douleur. Un médecin lui scie ce qui lui reste de bras. Je m’évanouis de nouveau.

Krablo vomi, ces souvenirs lui font aussi mal que dans le temps où il était enfant. Les larmes aux yeux de croire qu’il est un vrai monstre, il continu quand même.

-Je me réveil à nouveau. C’est le matin, je suis revenu dans mon lit, mon père dort sur une chaise à mes côtés. J’hésite, puis le secoue. La manche gauche de son chandail laisse voir qu’il a belle et bien un bras manquant. Mon père ne sait quoi dire. Il reste là, muet jusqu’à ce que soudain on cogne à la porte. Mon père se lève et descend en bas. Je le rejoins. En bas, deux hommes à cheval engueulent mon père. Ce dernier menace les chevaliers. Phrase après phrase, je finit par comprend qu’ils sont venu pour moi, que l’homme que j’ai éventré est le fils d’un seigneur qui demande à ce que justice soit fait.

- Les chevaliers finissent par abandonner face au père, trop entêté. Anxieux, il demande à ma mère de le suivre et aux enfants de monter dans leurs chambres. J’y passe la journée. Tout le monde est inquiet, mais au moins la haine de mes frères et sœurs semble disparue. La nuit vint ainsi que le sommeil. Je dors parmi mes frères. C’est alors que je sens une main glacée me boucher violemment la gueule. Un inconnu m’attrape, sort par la fenêtre et descend du toi. Il y a trois autres hommes. Ils mettent le feu à la maison ! Mon père sort en courant et se fait couper net la tête par l’un des mercenaires. Je mord les doigts de l’inconnu puis me laisse tomber. Des cris d’horreurs sortent de la maison, puis s’effondre. Je suis frappé de terreur. L’inconnu m’assomme.

Krablo ne pleure plus. Il a les yeux grands ouverts, fixant le vide. Il n’est qu’à demi conscient quand il continu son histoire.

-À mon réveil, mes mains son attachés à un arbre, c’Est la nuit, les inconnus dorment sur la mousse de la forêts. Je grignote la corde jusqu’à ce quelle cède et m’en vais sans faire de bruit. Je passe les prochains jours à errer en faisant le très douloureux deuil de ma famille. Je n’oublierais jamais mon passé. Mieux aurait valu que je l’oublie…

Krablo fait une pause. Il lui reste encore quelques souvenirs, mais sent la fin approcher. Il hésite, puis continu.

- Après des jours de marche solitaires, j’arrive devant une petite colline au dessus laquelle est construite une grande demeure. J’y vais demander refuge. L’homme, un visage très austère, accepte. Je passe plusieurs semaines à effectuer un dur labeur pour le duc. Un soir, un voleur est attrapé dans le jardin. Aussitôt, mon maître lui coupe une main avec un hachoir, pour la justice, dit-il. Je me met à nourrir une haine insurmontable envers le duc qui me rappel le seigneur, bourreau de ma famille. La même nuit, alors que tout le monde dors, je me rend dans la chambre du duc avec un couteau et égorge d’un geste vif et précis le riche homme. Sa femme n,a pas le temps de s’horrifier que mon couteau est déjà dans son cœur. Je m’en vais sans m’attaquer à ses enfants.

Krablo cherche encore, mais ces souvenirs ne vont pas plus loin. Il se lève, lave du mieux qu’il le peut la plaie et continu la route. Il ne sait pas trop où il va, mais une chose est sur, il y va.

[ MDJ : Pouvez-vous me dire sur quel continent je suis et vers qu’elle ville, village, lieu… je vais ? Merci d’avance. ]

Objets : Un serpe médiocre

Chantino : Krablo peut augmenter très sensiblement mais de façon durable l'efficacité d'un produit qu'il concocte lui-même en murmurant une petite chanson magique lors de la fabrication. S'il se trompe de chanson, la technique ne fonctionne pas mais l'effet négatif est le même : un sérieux mal de gorge l'empêchant de parler durant 10 minutes.

Désolasjo : Krablo peut, en se concentrant, envoyé une énergie émotionnel négative à un individu, pouvant entrainer une légère déprime durant un temps variable, en sec. Réaction très dépendante de l'ennemi et de sa préparation émotionnel au combat. Par la suite, Krablo ne peut plus se concentrer correctement sur rien durant 40 sec.

Impresso : Krablo peut, en ce concentrant, envoyer une énergie mental qui donne d'ordinaire l'impression familière qu'un accident va ce produire. Réactions de l'individu dépendent de lui mais peut parfois déconcentrer brièvement. Ensuite, Krablo perd le sens de l'équilibre pour 40 sec.

Que pouvez-vous apporter au forum ? : Un sourire ? ... Je n'en sais trop rien ! Trouvez !

Comment avez vous connu ce forum : Par les mots "Top Forum RPG". Fantastique non ?

Avez-vous un parrain : Hum… qui veut un point gratis ?

Respect des règles du forum : Krablo Sohal, […] "lu et approuvé" .

Concernant ton histoire, comme tu as tué un seigneur, tu auras ta tête mise à prix et recherchée.

Citation :

[ MDJ : Pouvez-vous me dire sur quel continent je suis et vers qu’elle ville, village, lieu… je vais ? Merci d’avance. ]

Tu te trouves en Amresia et tu te diriges vers Sipahan.

Citation :

Objets : Un serpe médiocre

Ce sera considéré comme une dague médiocre (serpe).

Citation :

Chantino : Krablo peut augmenter très sensiblement l'efficacité d'un produit qu'il a lui-même fait en murmurant une petite chanson magique lors de la fabrication. S'il ce trompe de chanson, la technique ne fonctionne pas mais l'effet négatif est le même : un sérieux mal de gorge l'empêchant de parler durant 10 minutes.

Tu augmentes l'effet de ton produit lorsque tu le fabriques ou uniquement lorsque tu l'utilises ?

Citation :

Désolasjo : Krablo peut, en se concentrant, envoyé une énergie émotionnel négative à un individu, pouvant entrainer une légère déprime durant un temps variable, en sec. Réaction très dépendante de l'ennemi et de sa préparation émotionnel au combat. Par la suite, Krablo ne peut plus se concentrer correctement sur rien durant 40 sec.

OK

Citation :

Impresso : Krablo peut, en ce concentrant, envoyer une énergie mental qui donne d'ordinaire l'impression familière qu'un accident va ce produire. Réactions de l'individu dépendent de lui mais peut parfois déconcentrer brièvement. Ensuite, Krablo perd le sens de l'équilibre pour 40 sec.

OK

Citation :

Tu augmentes l'effet de ton produit lorsque tu le fabriques ou uniquement lorsque tu l'utilises ?

Quand je le fabrique si possible. Attend je refais plus clair :

Chantino : Krablo peut augmenter très sensiblement mais de façon durable l'efficacité d'un produit qu'il concocte lui-même en murmurant une petite chanson magique lors de la fabrication. S'il se trompe dans la chanson, la technique ne fonctionne pas mais l'effet négatif est le même : un sérieux mal de gorge l'empêchant de parler durant 10 minutes.

L'idée est que je compte un jour marchander mes propres produits et devenir un marchand ambulant, mais si la technique est refusé ce n'est pas plus grave j'en ferais une autre. ^^

Pour ce qui est de l'affiche de recherche... 'doit dater un peu... genre de 37 ans, pour fonctionner. Et la description ressemblerait à ça :

Le meurtrier est un enfant blanc de 10 ans répondant au prénom de Krablo. Il mesure 1 mètre 65 environ et a les cheveux et les yeux noirs. Son nez est un peu volumineux, ses oreilles sont décollé par le haut. L'enfant est plutôt maigre et ne parle pas beaucoup.

Je te valide. 140 Or et Niv 1 Offert.

Merci GRAND MDJ !