[Agrath, Grorf et Gahn] L'assaut des portes.

Post n°78
<Gahn>

Action précédente dans les Quartiers marchands, recrutement.


Le contingent était maintenant partit pour les portes de Port-Pergas depuis dix minutes. Gahn regardait avec appréhension sa troupe, des soldats de métiers, des boulangers, des maçons... Il espérait que leurs courage seraient à la hauteur de la tâche qui leur incombait.

-Bataillon ! Formez les tortues ! Hurla l'enseigne.
Le bataillon du sergent se mit en branle et les six tortue furent mises en ordres. En première ligne deux tortues occupaient la gauche et la droite de la rue, au centre, deux paravents protégéeaient les trois échelles les plus hautes qui devaient permettre de faire monter les hommes au rempart. Devant les échelles, les deux chariots explosifs trônaient comme des engins de mort prêt à s'abattre, deux artificiers maintenait d'autres paravents afin d'en protéger la précieuse cargaison.

La chance, ou plutôt le hasard de la situation, faisait que la grande rue qui descendait jusqu'au porte était descendante, assez pour jeter les chariots et d'en profiter pour l'attaque.

Agrath fit un geste de main et son bataillon s'abrita sous d'autres portes tandis que ses archers et arbalétriers montaient aux toits.

-Messieurs, écoutez moi quelques instants, dit Gahn d'une voie qu'il tentait de maitriser. Nous voici ici, dans cette petite rue, les uns sur les autres, prêts à bondir sur l'assaillant. Vous êtes la fierté de votre ville, vous êtes notre fierté. Que le chaos gagne aujourd'hui, et votre vie n'aura servit à rien, vous gagnez aujourd'hui, pour que triomphe la justice et la loi des hommes.

Gahn sentait une petite étincelle de respect dans le regards des hommes, il se demandait s'il était bon commandant, tout en sachant qu'il ne l'était pas. Il priait aussi ardamment que possible son Dieu pour la victoire. Rien n'importait plus que cette victoire à cet instant.

-Soldats ! Vous tenez votre avenir entre vos mains !

Gahn essuya ses mains moite de sueur sur son kilt, et hurla de colère :
-A l'attaque ! Que ces chiens ne foulent plus jamais le sol de votre ville !
Un cri d'accord rugit dans le dos du nain, ce qu'il le surpris. Agrath lui souriait de bon coeur, et lui fit un clin d'oeil. Gahn leva alors sa hache et donna le signal du départ.

L'attaque avait commencée...

Post N° 48
Action précédente : Prt-Pergas les Quartiers marchands : recrutement

L'attaque était lancée ... Malgré le fait qu'ils avaient été un peu bousculés sur la fin, le plan était minutieusement préparé ... Les 18 archers utilisèrent 4 échelles pour monter sur les toits des dernières maisons avant la porte ...

Pendant ce temps, les chariots furent dépassés par les paravents sur roues derrière lesquels 12 gardes armés de frondes et de bombes incendiaires, et les 9 arbalétriers se cachaient, prêts à passer à l'action...

Les paravents normaux suivaient avec le reste de l'armée, protégeant les chariots emplis d'explosifs, devant lesquels le chemin était prêt à être dégagé...

En face d'eux, 50 ennemis déterminés derrière une palissade de 1,8 mètres de haut constituée de bric-à-brac mais procurant un avantage non négligeable...

Agrath hurla :
En avaaaaaaaant !

Les archers tirèrent une salve drue, incitant les ennemis qui conservaient leurs flèches, n'ayant pas de cible évidente, pour le moment à rentrer la tête...

Agrath et Gahn allumèrent le le ballot de laine bien calé, qui exploserait lorsque les chariots briseraient les fioles d'explosifs en s'écrasant contre le mur...) Ils piquèrent violamment la croupe des quatre plus stupides chevaux que la création ait jamais portée, après que les paravents aient été ôtés devant eux... Les chariots et les animaux carapaçonnés de cuir se jetèrent en avant vers la palissade, dans une fuite éperdue et aveugle...

Les paravents avancèrent lentement, tandis que les archers pilonnaient la palissade, usant leurs flèches, visant en priorité les arbalétrier ennemis qui osaient sortir la tête...

(MDJ, dites nous si les salves d'archers font des dégats ; dites nous ce que deviennent les chariots, et les dégats qu'ils font ....)

Post n°79
<Gahn>

Gahn regarda, médusé, le chariot se stoppé si près de la barricade. La colère montait en lui comme le feu dans la forge. Ces traitres avaient dû mettre les guerriers noirs au courant. Il ne pouvait en être autrement.

-Enseigne, mettez les tortues en marche.
-Quelle cadence? demanda le jeune soldat.
-Pas lents, je n'ai pas dit mon dernier mot.

L'enseigne sonne du clairon et tonna de sa voix :
-Tortues !! Eeeeeeen marche !

Gahn courrut vers le sergent qui prenait place dans la tortue de tête. il chantait un chant guerrier, le sourire aux lèvres, jurant comme un charetier sur le destin qui attendait ces hommes en noirs.
-Sergent !! Veillez sur vos vies, je ne voudrais pas qu'il vous arrive malheurs, dit Gahn en souriant amicalement au sergent.
-Bien monsieur ! Rugit le sergent, toujours aussi prêt à en découdre. Ne nous laissez pas tomber monsieur !

Sur quoi le sergent entra dans sa tortue et commenca à avancer.

Gahn courrut alors en arrière et attrapa Agrath qui jurait, lui, pire qu'un démon quand le jeune nain arriva.
-Agrath, nous devons nous dépêcher, j'ai une idée. Mets tes fioles explosives dans des frondes et arrose moi la barricade depuis les toits, je vais te couvrir. Une dizaine d'hommes m'accompagneront dans les bâtiments occupés, on les en délogera pendant que vous détruirez cette barricade. Cela te convient?

Post N° 49

(HRP : voici les forces ennemies : 30 Gardes, 12 archers, 5 arbalétriers et 3 chefs (Guerriers nv 4). )

Les arbalétriers ennemis s'étaient concentrés sur le premier chariot, aussi le second arriva presque sans encombre devant la barricade ... Il se retourna deux mètres avant, et explosa en un déluge de feu qui se propagea et engloba tout un pan de la barricade... Les alliés étaient bien contents d'être loin et protégés derrière leurs paravents ...

**On a p'têt' un peu forcé la dos'** pensa Agrath...

Gahn lui dit :

Agrath, nous devons nous dépêcher, j'ai une idée. Mets tes fioles explosives dans des frondes et arrose moi la barricade depuis les toits, je vais te couvrir. Une dizaine d'hommes m'accompagneront dans les bâtiments occupés, on les en délogera pendant que vous détruirez cette barricade. Cela te convient?

Non Gahn, l'toits sont à p'rtée d'archers, pas d'frond' ; faudra s'appr'cher un peu. Nos frondeurs s'planqu'ront derrièr' l'par'vents...

On avanc' ! Hurla-t-il ...

En ordr' de combat tous ! L'arbal'triers prêts à tirer ! archers g'rdez vos dernièr' flèch' pour l's arb'létriers enn'mis ! Frondeurs prêts !

Les paravents furent déplacés par deux robustes gardes tandis que toute la troupe s'avançait petit à petit, les arbalétriers et les archers sur l qui-vive, prêts à descendre tout arbalétrier ennemi qui daignerait sortir la tête, protégés des archers par leurs paravents... Boentôt, les frondeurs seraient à portée ...

(MDJ : merci de me dire quels dégâts a fait le second chariot : tués, blessés hors-combat et si il a fait un trou dans la palissade ; merci aussi de quantifier les blessés incapables de combattre suite à la pemière explosion)

Post n°80
<Gahn>

Les hommes d'Agrath avancaient, bientôt prêt à bombarder la barricade. Gahn enrageait de son inaction et décida sur un coup de tête de rattraper la tortue de tête pour y prendre place.

Il attacha solidement sa hache à sa ceinture et mis son bouclier devant lui pour avancer. Il risquait sa vie dans une entreprise pareille, il en avait conscience.

Il dépassa Agrath en courant, lui fit un clin d'oeil d'encouragement et courut vers la tortue du sergent.
-Sergent, j'ai besoin d'une ouverture, je vous accompagne !
-Vous avez entendu tas d'fainéants ! Tortue à terre !
La porte latérale s'écarta vers l'arrière pour permettre à Gahn d'entrer. Entre temps, deux flèches s'étaient plantée dans le bouclier du nain.

L'obscuritée était omniprésente dans la tortue. Seule une petite ouverture sur le devant permettait de voir. Gahn cassa rapidement les flèches plantées dans son bouclier sans en enlevés les pointe. Maintenant, tout reposait sur Agrath et sur la destruction de la barricade...

Post N° 50

Les paravents étaient à portée de tir ...

agrath donna ses ordres ...

Les arbalétriers sortirent les premiers, pour sécuriser la zone, prêts à larder toute arbalète ou archer qui sortirait la tête. Les archers sur les toits tirèrent sur les quelques éléments de support que l'ennemi avait pu ramener à la va-vite, cachés derrière des caisses qu'ils avaient disposés cotnre certains bâtiments. Ils préparèrent leurs dernières flèches, tandis que 5 lanciers, 7 gardes et 3 miliciens sortaient à découvert pour rejoindre et détruire ces éléments isolés. Les miliciens armés de frondes préparèrent leurs projectiles qu'ils allumèrent rapidement ...

Le tout avait été fait en moins d'une demi-minute, car le plan était bien préparé et parfaitement exécuté...

12 projectiles enflammés vinrent s'abattre sur le haut et derrière la palissade, explosant en un déluge de feu néanmoins moins puissant que le rpécédent, mais beaucoup plus précis. Les arbalétriers, l'arme chargée, étaient prêts à tirer sur tou archer ou arbalétrier surtout qui sortirait la tête, et les troupes qui se dirigeaient vers les bâtiments, couverts par els archers sur les toits, étaient bientôt arrivés au bâtiments en question ...


[Amis MDj, dites moi combien de renforts ennemis sont cachés dans les bâtiments, sachant le peu de temps que l'ennemi avait pou prévoir et le fait qu'il ait morcelé ses troupes avant l'attaque pour els envoyer ailleurs ; dites moi combien de dégats font les 12 bombes et les archers et les arbalétriers ; n'oubliez pas les dégats des posts précédents ]

[Les bombes ont faits 11 morts ; le charriot et les arbalétriers neuf morts et 9 blessés. Soit 29 personnes neutralisés.]

Post n°81
<Gahn>

Les tortues avancaient toujours, le pas aussi lent que possible pour permettre à Agrath de sécuriser la barricade.
Bon nombre de flèches se plantaient dans les portes, sans toutefois faire plus de dégats.

-Alors, ça vous plait les tortue cap'taine? cria un soldat dans le fond de la tortue de Gahn.
-Il y a plus confortable. Comme le lit en plume d'oie que je vous promet si vous prenez ces portes et que vous en sortez vivant !
Un grand rire s'installa dans les deux tortues de têtes, ceux qui avaient entendu relayant la boutade vers l'arrière.

Soudain, Gahn entendit le déluge de feu que produisit Agrath.
*Brave garçon*
-Sergent ! Quel est l'état de la palissade !
-Trop de fumée pour vous l'dire cap'taine, mais vu le boucan que ça produit, on devrait passer !
-Bien, alors halte en attendant que la visibilitée soit meilleure !

Derechef, les 6 tortues s'arretèrent chacune à leurs tours. Des flèches tirées au hasard depuis les toits ou d'un peu plus loin touchaient parfois les tortues, sans plus d'effet, la peur des arbalétriers de Port-Pergas et la protection des tortues les rendant sans effet.
*Aller, saleté de fumée, dissipe toi !*

[Post 12]

[Action précédente dans Les Portes de la ville]

Erganum arriva sur le mur et s'asseya a côté du chef qui dirigeait les opérations et écouta le plan.

-Le meilleur moyen, c'est que on fasse bruler les maisons autours de cette armée, ils auront le réflexe de reculer, ca peut faire tourner le tour de la bataille! Mais... avec quoi donner l'ordre aux archers sur les toits de brûler ses maisons?

Erganum regarda autour de lui et vut que il y avait des morceaux de verre a terre, il lui vint une idée et dit au chef :

-Si je peux me permettre, il y a un bout de verre là bas, si vous l'utiliser pour envoyer des signaux de lumière et les archers comprendront !

-Très bonne idée, mais qui es-tu? ton visage m'est inconnu
-Erganum, je viens d'entrer dans l'armée en tant que soldat, je suis ajouter a votre section!

Le chef prit le morceau de verre, et fit des signaux de lumière aux archers, aussitôt les archers mirent leurs flèches et les mirent dans le feu et tirèrent sur les pailles des maisons autours.
Les maisons brulèrent peu à peu et il ne restait plus qu'a espéré que le plan marche...

Alors Erganum dit au chef:

-Bon, dit-il d'une voix basse, Si vos soldats enlevaient leurs casques et vos capes, qu'il les mettaient sur des supports en bois et lever les pour faire semblant que vous êtes prêt à lancer la charge finale, dès que les archers et arbalétrier ennemis auront tiré leur salves de flèches, vous ferez le plus vite possible pour tirez sur les archers, arbalétriers et ceux avec les frondes

-Bonne idée mais je la laisse pour un cas de grande aide, on ne sait jamais!

La poussière des bombes d'Agarath se dissipa :
Onze soldats ennemis reposés inanimés sur le sol. Cinq autres gémissaient de douleur et un mourait lentement.
les bombes avaient fait du dégât. ainsi que le chariot. A ceci s'ajouta les flèches qui avaient blessés trois soldats ennemis et en avait tuer deux. Un sergent cria :
"Vengez les nôtres ! tuez-les tous !"
Ce dernier fut abattu, mais trop tard : douze piquiers et dix archers étaient arrivé sur le terrain. Ils visèrent les tortues qui avançaient péniblement : quelques hommes tombèrent, mais ils continuaient leur progression.
Les archers reculèrent, mais continuèrent de tirer : six étaient déjà morts face aux arbalétriers ennemis.

Il y avait que cinq morts du côté de Gahn et Agrath, pour vingt morts et neuf blessés.
Les paravents des "fidèles" étaient très efficace. Mais un bruit de sabot commençait à se faire entendre... Des chevaliers !
"Capitaine, les chevaliers sont là !" cria un homme.

Post n°82
<Gahn>

La poussière se dissipa, révèlant un par-terre de cadavres et de bléssés, ainsi qu'une faille dans la barricade.
Gahn maudit sa sottise, il n'avait pas penser que le fait de faire passer les tortues de face sans lances risquerait de lui couter cher si les cavaliers enemis parvenaient au contact.

-J'ai besoin d'une ouverture à l'arrière.
Avec une petite fente dans l'arrière de la tortue, Gahn hurla :
-Agrath ! Couvre nous ! On ne peux pas se permettre de stopper la marche ! Faites avancer les échelles vous autre !

Après cela, les tortues continuèrent d'avancer dans le petit écart entre les portes et la palissade. Elles formèrent un rectangle plus imposant en se trouvant les unes les autres.
Quelques instants plus tard, les paravents étaient en place, et 4 échelles l'étaient également.
-Montez les échelles ! Dépechez vous !
Le bruit des sabots se faisaient plus pressant, venant de l'avant, de l'autre cotés de la porte.
*Ils ont probablement dépassé le gués, nous devons faire vite.*

Les tortues se brisèrent, les portes de devant tombèrent alors que les premier hommes, le bouclier au dessus de leurs têtes, montaient aux échelles sous le feux enemis. Malgré la peur, les archers en noirs tiraient juste, touchant le flanc de quelques hommes.

Gahn était le troisième de son échelle. Devant lui, le sergent montait, enthousiate comme jamais.
Il ne restait que quelques pas, que quelques pas, et le bruit des sabots qui approchait.
*Agrath, l'offensive repose sur toi !*

Post 51

Les 5 lanciers, 7 gardes et 3 miliciens arrivèrent enfin à la rencontre des éléments ennemis près des bâtiments. Les archers étaient descendus des toits avec le début d'incendie, et, arc bandé, couvraient désormais les hommes arrivés en renfort, arrosant les ennemis. Agrath ne se faisait pas de souci pour eux.

Ils étaient désormais arrivés à la barricade. Agrth entendit un bruit de cavalcade de l'autre côté de la porte. Des chevaliers arrivaient, loin encore, mais se rapprochant vite, ennemis sûrement. Il fallait faire vite. L'ennemi ne devait pas ouvrir les portes vers l'extérieur.

Encor' un' salv' ! Loin derrièr' !

Tandis que les hommes de Gahn commençaient à grimper sur les échelles, les miliciens balancèrent leurs bombes derrière, plus loin, désorganisant un peu plus l'ennemi ...

Les 9 arbalétriers se répartirent autour du périmère, prêts à larder de carreaux tout ennemi qui sortirait la tête ...

Les 12 gardes restants, en un cri de fureur, dressèrent les dernières échelles, commençant à monter rapidement sur la palissade qui, à moitié détruite, ne présentait plus un obstacle insurmontable.

Agrath, suivi des miliciens et de l'ingénieur, sortit sa hache et une épée. Il courut, rugissant, couvert des arbalétriers, prêt à se jeter lui aussi dans la bataille...

Post n°83
<Gahn>

Gahn était maintenant sur le rempart, mais il s'y sentait bien seul, en effet, un échelle était tombée, et une demi douzaine de ses hommes avaient une flèche dans les côtes.
Le sergent, un soldat et lui même devaient couvrir leurs camarades.

-Sergent ! Formation serrée, attentons nos hommes !

Petit à petit les hommes arrivaient, portant maintenant le nombres de soldats à 12 sur le rempart, l'escalade prenant plus de temps que prévu.
Les cavaliers approchaient toujours, Gahn se risqua à un coup d'oeil derrière le parapet, et vit une dizaine de chevaliers noirs, armées de long cimettere et de large bouclier.

-Soldats ! Prenez moi cette porte !
Les hommes sur le rempart et qui étaient à couvert sous leurs boucliers brisèrent alors la formation et se jetèrent sur les amas de soldats en noirs. En violent corps à corps s'engagea.
Gahn se dirigea avec le sergent et trois hommes vers la droite de la porte où 5 hommes en noirs le attendaient.

Le bouclier devant lui Gahn encaissa un premier coup avant d'en porter un avec sa hache. De son cotés Le sergent brassait rageusement l'air, tentant de trancher la tête à quelqu'un, allié ou enemis d'ailleurs. Les trois soldats quand à eux tentaient des attaques et des defenses, dans un combat "d'école".
*La bataille à belle et bien commencée*

[HRP : j'ai donc perdu 8 hommes + 2 blessés graves. J'aimerais la réaction des gardes face à la charge sur le remparts, le nombre de morts de chaque cotés, etc. Merci beaucoup ]

Post N°39

< Lynx Turen >

Lynx avait été en quelque sorte absent, il avait simplement suivit le groupe en silence, ne disant que peu de mots. La défense avait bel et bien été entamée, la bataille faisait rage. Lynx était debout en retrait, il monta sur un point élevé, en l'occurence un toit, ou plutôt un balcon. Il était donc perché, du haut de son balcon, les habitants ne dirent rien, car il comprirent que c'était pour la bonne cause. Lynx avait auparavant été se restaurer dans une boutique, les marchands lui donnèrent de quoi se soigner, et se nourrir dans les quartiers marchands, de leur plein gré. Le sang coulait encore, de plus en plus, les corps tombaient, de coups où de projectiles, les ennemis étaient expérimentés, et exploitaient leur potentiel au maximum. Lynx se devait de faire de même. Il était toujours en hauteur, quand une paire de mains lui saisit la gorge, par réflexe, Lynx saisit sa dague de mauvaise facture, pour asséner un coup à l'agresseur.

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Post n° 52

Gahn avait enfin pris pied sur la barricade, subissant des pertes non négligeables ...

Agrath et les gardes, suivis des miliciens, repoussèrent de la barricade les quelques soldats ennemis, tandis que les arbalétriers chargeaient leurs armes et les tenaient prêtes, légèrement en retrait.

en arrière près des bâtiments les quelques unités ennemies largement en sous-nombre avaient été défaites ; quatre hommes étaient morts, mais les 5 lanciers et les 6 gardes arrivaient à la rescousse, les archers, qui prenaient des flèches dans les carquois ennemis, suivaient un peu derrière.

Agrath repoussa un ennemi, qui se fit décapiter par l'épée d'un garde...

Mais il vit Gahn, tentant désespérément d'atteindre la porte, bloqué par un groupe compact d'ennemis, les cavaliers arrivant derrière ...

Gahn, Pouss' toi ! Fr'deurs, à vous !

Tandis que Gahn reculait d'un pas vif et se jetait au sol, 4 ou 5 bombes partirent et explosèrent près de l'entrée de la porte, réalisant un carnage chez l'ennemi, faisant se cabrer ou blessant chevaliers et chevaux ; un mur de flammes séparait désormais les ennemis des portes des cavaliers... Un des gardes de Gahn fut blessé et brûlé, trop près de l'explosion ...

Vit' ! N's avons quequ' minut' d'répit ! F'nissons les avant d's'occuper d'cav'liers !

Agrath regarda les quelques hommes encore debout chez l'ennemi : ils avaient un avantage non négligeable ...

[J'ai perdu 3 miliciens et 1 garde ; Gahn a perdu 1 garde ; merci de me dire combien d'ennemis sont blessés et tués par l'explosion, sachant qu'au moins 1 est mort duurant le combat]

[Il reste 21 ennemis (+ Erganum) - ce qu'a tué Gahn et ce que j'ai tué et ce qu'a tué l'explosion]

[Post 13]

Erganum voyait bien que la situation allait dégénéré et que les soldats ennemis commençaient a arriver de partout, il regarda attentivement et entendut un gros "Boum", alerté par le bruit il regarda autour de lui et vit un gros eclats et des hommes morts tout autour....

-Qui a donc fait ça?

Le chef dit à Erganum :

-C'est le nain là bas, il jette des bombes comme un écervelé depuis le début de la bataille, si ca continue il va exploser toutes ses troupes a lui tout seul!

Puis les échelles arrivèrent près de l'endroit d'Erganum et du chef, le chef dégaina son épée et fonça vers l'ennemi.
Erganum le rattrapa et l'arreta avec son bras aussi vite et il dit:

-Vous croyez que je vais vous laissez vous tuez ainsi , vous qui êtes plus important que moi aux yeux du Chef suprême! Repliez vous et laissez moi 3 épéiste, je les retiendrai le plus longtemps possible, ca ne risque de ne pas durer longtemps donc échappez vous vite!

-Puisse ta bravoure te faire survivre, Erganum, je n'oublierai jamais ton nom, adieu ou a plus tard!

Erganum fit un sourire au chef et dégaina ses 2 épées (la médiocre et la bien forgée), il avança puis commmença a courrir vers les échelles, il en poussa une avec son pied et fonça dans le tas d'ennemi ammassé de l'autre coté.
Il était entouré et tout a coup il cria:

-Bande de lache, voyez comment 1seul homme peut mourrir pour défendre ses idéaux, n'oubliez jamais mon nom! Je suis Erganum le pirate qui fait trembler les mers!

Il sauta et déclencha son attaque *Choc de terre* qui eu l'action de faire tomber les 3 ennemis qui l'entourèrent et peut de temps apres les acheva avec son épée.
IL aura tout fait pour son chef, et continuait de se battre comme un déchainé dans la tas d'ennemis.
Il sentit tout a coup une douleur dans sa jambe, un soldat lui avait planté dans la jambe une lance alors il enleva la lance et de fureur la lanca vers le nain qui jetait des bombes, il était mauvais viseur et la lance passa a coté, touchant un soldat qui venait d'arriver par l"échelle...
Peu importe ses blessures il continuait a se battre...

[erganum tu ne peux pas tuer 3 hommes d'un coup sur une seule attaque stop l'effet superman]

[je me suis mal exprimé j'ai dit que je les destabilisait ce qui les faisait tomber a terre et que je les finnissait]

Post n° 53

Agrath regarda cet écervelé qui donnait des coups à tort et à travers, usant toute sa force sur une seule attaque, reversant quelques hommes, et essayant de les tuer ; ses coups malhabiles, aveuglé par l'effort qu'il avait fait, passaient à côté des hommes d'Agrath... Pendant ce temps les hommes de Gahn finissaient d'achever les quelques ennemis qui continuaient à se battre...

Le forcené qui dans un rêve extatique souriait bêtement en lançant des coups à tort et à travers, ne faisait pas grands dégats mais par sa folie tenait en respect les soldats. L'un des lanciers lui planta la lance dans la jambe ... Le forcené l'arracha et la lança sur Agrath ... Qui se baissa, l'arme passant par dessus lui sans dommages : heureusement il avait mal visé... Mais s'en était trop !
Agrath fit un signe à un de ses hommes... Celui-ci saisit un des bras tenant l'épée, tandis qu'un autre lançait son épée dans le gras du bras du forcené, lui faisant lâcher sa seconde arme ... Deux miliciens le mirent bas à coups de gourdins ...

Agrath fit signe à ses hommes de l'évacuer et de le ligoter serré. Le Comte aurait besoin d'ennemis à torturer quand tout cela serait fini ...

Les conjurés reculaient, mais se retrouvèrent coincés par le mur de flammes ... Agrath fit signe aux arbalétriers, et tandis que les ennemis tentant de fuir étaient regroupés en désordre, il donna l'ordre de tirer. 9 carreaux d'arbalète partirent avec une extrême puissance, traversant dans la masse plusieurs corps à la fois. Le carnage était total ...

Les archers et les piquiers étaient arrivés de l'arrière ... Il leur fit signe de se déployer en face de la porte, les lanciers accroupis devant les archers...

Gahn, pouss' toi ! Hurla Agrath. L'flamm' baiss', l'ch'valiers vont entrer ! R'cul' et mets tes homm' à boucliers accroupis d'vant mes archers av'c mes lanciers !

Les archers, prêts à tirer, bandèrent leus arcs, tandis que les chevaliers ennemis se préparaient vraisemblablement à passer la porte ...

[HRP : vu que Erganum est tout seul contre des dizaines d'hommes et qu'il est niveau 0, je me suis permis de le maîtriser facilement]

Post n°84
<Gahn>

Dans le tumulte du corps à corps, Gahn entendait la rumeur des morts et des agonisants par terre. Le carnage était total.
Ses hommes poussaient désormais les forces enemies dans leurs derniers retranchements, mais les diables avaient plus d'un tour dans leurs sacs. Plusieurs des hommes de Gahn n'eureut d'autre récompenses qu'une lame au travers de la gorge.
*Ces bougres sont des fines lames*

Gahn voyait un peu plus loins s'éloigner le capitaine enemi. Rien à faire, le nain ne pourrait pas le rattraper dans ce bourbier.

-Messieurs, courage ! Le combat n'est pas fini !
Les hommes d'Agrath menaient une guerrilla sans merci face aux hommes dans les batiments, quelques flèches éparses transpercaient de part en part un homme en noir ou un loyaliste. Tout cela n'était qu'une boucherie indesciptible ou les pires instincts se reveillent.

-Sergent ! Replis vers le second bataillon !
Gahn, le sergent et la quinzaine de survivants rebroussèrent chemin, entendant le bruits des sabôts raclant le pavé. Il s'appliquèrent à respecter ce que disaient Agrath, sortant leurs boucliers, formant une ligne devant les archers alors que la grille se levaient.

Lorsque les cavaliers entrèrent, il furent acceuillis par une volée de flèches, mais Gahn ne put en estimé les dégats alors qu'un cavalier se présentait devant lui.
Le nain para la première attaque avec son bouclier, ce qui eut pour effet de le renverser. En se relevant, Gahn pris la lame dans le bras portant son bouclier et dans un cri de douleur, la lumière bleutée de la rage s'empara de lui ( [Rage Bjoränn] .)

Il leva d'abord sa hache, et trancha net la jambe avant du cheval, dont le cavalier s'écroula au sol. L'homme était habile, il se releva prestemment, et un long combat s'engagea.

Tout autour de lui, le combat avec les cavaliers commencait, il prommeterrait la victoire à l'un des deux camps...

Post N° 54

Les cavaliers ennemis furent décimés par les 18 archers qui tirèrent sur son ordre à bout portant. Les cavaliers suivants s'empalèrent sur les lances, butèrent contre leurs amis tombés ou encore s'écrasèrent sur les boucliers des hommes de Gahn, chutant lourdement au sol.

Agrath se précipita sur un homme au sol, lui enfonçant sa hache dans le dos. Puis il se retourna, ivre de sang. La mêlée était indescriptible ; les hommes glissaient sur le sang frais, les râles des blessés ne parvenant pas à couvrir les cris des guerriers et les heurtements des lames.

En face de lui, un homme en noir venait d'enfoncer son épée dans le ventre d'un homme. Agrath lança une fiole d'huile dissimulée dans ses manches, qui explosa au contact, brûlant grièvement l'homme au torse. Celui-ci se recula, chancelant, mais il tenait bon, levant tant bien que mal son arme devant lui... Agrath hurla :

T'cass' têt' !

Il se jeta sur l'ennemi, qui leva son arme pour parer... Agrath, hache au sol, la releva vivement, désarmant l'homme mais brisant sa hache... Il enfonça son épée bien forgée dans son bras, reculant vivement et évitant le coup de poing que l'homme lui tendait ... L'homme s'affaiblissait ... Agrath se jeta sur lui, fit une feinte que l'homme n'était pas en état de voir, et lui enfonça l'arme dans le ventre.

Autour, les combats continuaient, mais les hommes d'Agrath et Gahn étaient en net avantage numérique, et la charge brisée par les archers, lanciers et boucliers avait fait beaucoup de morts dans le camp ennemi...

Agrath, en s'éloignant un peu du plus fort des combats, regarda ses arbalétriers : ils avaient rechargé.

Feu ! Hurla-t-il.

Les carreaux partirent, transperçant les justaucorps de cuir des hommes en noir...

(Merci de remplacer ma hache par "hache médiocre brisée")

[Fait ]

Post n°85
<Gahn>

Il semblait à Gahn que le combat se déroulait pour le mieux. Mais il n'avait que peu de temps à consacrer à la réflexion. Son adversaire leva son épée et l'écrasa sur le bouclier de Gahn. Dans sa malchance, elle resta bloquée, le nain en profitant pour frapper le cavalier aux cotes puis au visage, et enfin au cou.

La mélée se desépaisissait, assez peu de ses hommes vivaients encore, tout au plus une demi douzaine, mais l'enemi rebroussait chemin, seul trois ou quatre étaient encore en état de combattre.

-Prenez les portes, Hurla Gahn, le bras sanglant.
En disant cela, le reste des forces loyalistes se jetèrent sur les survivants, tuant sans pitié, leurs haine et leurs appétits de combat n'étant pas rasasié.

[Amis MDJ, reste-t-il des forces ennemis? Si oui Combien? Combien de troupes me restent-ils? Merci d'avance ]

[Oui, il ne reste plus que vingt gardes à affronter, les autres sont partis, et douze archers se sont rendu]

POSTE N°55
<AMON>

[HRP=action précendent dans "Port-Pergas", cf"les portes"]

L'étrange procession arriva au lieu de combat, il ne restait plus beaucoup d'hommes en noirs. Amon chuhota à Friedl:

_Le combat est perdu, il vaut mieux fuir, mais laissons nos hommes restant comme excuse pour que les habitants soit tué par l'armée loyalistes.

Ensuite il s'adressa au régiment:

_Mettez vous derriere les civiles et servez-vous en comme bon vous semble, mais battez-vous jusqu'a la mort!

Le bataillon se placa de facon à ce que les hommes en noirs soient derriere les civiles.

_Bon, nous on s'en va d'ici, sa ne sert à rien de mourrir une 2eme fois

Amon et Friedl prirent la poudre d'escampette pendant que l'un des derniers régiment allait attaqué, protégé par le mur de civiles. [url][/url]

Post n°86
<Gahn>

La place était désormais plus calme. Les processions de prisonniers allant vers le poste de commandement loyaliste. Agrath et Gahn avaient perdu plus de la moitié de leurs hommes, et dans la moitié restantes, une treintaine d'hommes pouvaient se battre efficacement.
*Cela suffira*

-Soldats de Port-Pergas, vous avez donnez vos vies dans cette bataille, et c'est avec honneur que je vous ais suivi au combat !
Les hommes autour de lui se relevaient péniblement, sortant parfois leurs glaives des entrailles enemies.
-En avant, et que cette bataille soit une victoire !

Gahn se retourna alors, le soleil embrasant sa barbe et ses cheveux comme un brasier de hain et de colère. Dans un cri de rage, il pointa sa hache vers le bataillon enemis restant. Lorsqu'il commenca à courrir, il sentit la présence du sergent à ses cotés, ainsi que ses derniers hommes. Le bataillon d'Agrath suivait comme autant de force prêtes à ce dernier combat.

Le choc fut rude, Gahn para un coup dans son bouclier, mais la lame d'une épée trouva sa jambe. Un large entaille sanguinolente trônait là, aspergeant le kilt gris du nain. La hache du guerrier explosa la boite cranienne d'un soldat enemis trop étourdi. La bataille continuait.

Post N° 55

(HRP : Alors qu'une chose soit claire : Les ennemis ne peuvent pas s'enfuir, puisqu'on tient les portes : on a fini de massacrer le bataillon qui tenait les portes, achevé le bataillon de cavaliers, il ne reste que les troupes de Friedl venues en renfort, qui sont Dans la ville ... De plus merci de quantifier nos morts dans la feuille de perso j'en ai toujours autant de troupes )

Agrath regardait autour de lui, s'essuyant le visage de la manche : ils avaient perdu beaucoup d'hommes, mais ils avaient réussi à tenir. Un des chefs, quelques soldats et cavaliers avaient réussi à s'enfuir, mais maintenant les portes étaient sous leur contrôle, et ils baissèrent avec fracas les lourds battants...

Archers et arb'létriers à l'barricad' ! Hurla Agrath.

De nouvelles troupes, une vingtaine, chargeaient en hurlant. Les troupes ennemies cherchaient à sortir, mais ils ne les laisseraient pas faire... Il avaient en face d'eux une vingtaine d'hommes qui se dirigeaint vers eux, et un commandant et quelques troupes qui semblaient vouloir fuir, mais fuir où ? Il n'y avait nulle part où s'enfuir ... Ils tenaient les portes et d'après les rapports les quais avaient résisté à l'assaut... Ils tiendraient, c'était sûr !

Le combat s'engageait, Agrath utilisait ses dernières bombes dans les masses ennemies qui explosaient en hurlements perçants, aidait partout, soutenant les hommes. Déja la moitié de ces soldats suicidaires était à bas... Mais de nouvelles pertes étaient venues affaiblir le front allié ; la victoire était acquise, mais chaque soldat qui partait fendait le coeur d'Agrath. Gahn, blessé, tentait tant bien que mal de continuer le combat.

Soudain, Agrath entendit un clairon ... Non, deux, trois clairons, un bruit de cavalcade ... Des chants, des chants guerriers ! Il regarda derrière lui : des troupes arrivaient derrière la porte .... C'était tristerive, suivi des cavaliers de Hautesylve qui arrivaient ! Une soixantaine d'hommes entraînés au combat ! Cette fois-ci la victoire était acquise !

Ouvrez l'port' band' d'incapabl' ! Rouvrez les vit' ! V'la nos alliés qui s'point' à not' rescouss' !

Dans un fracas assourdissant, les portes se rouvrirent en grinçant. Les hommes pleuraient de joie, tenant fermement leu arme à la main, ils lancèrent un "hourra !". Plus déterminéds que jamais, ils se remirent en position, prêts à fondre sur les derniers éléments ennemis.

Agrath se tourna vers les nouveaux arrivants :

Vous êt's l'bienv'nus ici ! Ca a été un' vraie tuerie ! Envoyez vit' des 'staffett' prév'nir l'quais et l'citadell' d'fair' un' sortie ! On l'prend à r'vers et on en finit ! Passez par l'quartier Ouest il est s'curisé !

En face, on pouvait voir la dizaine d'hommes ennemis survivants, tremblants, regarder la mort en face, tandis que 6 ou 7 conjurés, suivis de leur chef, retournaient retrouver ce qui restait de l'armée ennemie en déroute...