[Arkayn + Candice ] Une arrivée remarquée

Post n°7
<Arkayn Steel>

Action précédente : Nouveau départ

Candice entra la première dans la taverne bondée de monde. L'ambiance était plutôt agréable,festive. Les rires et les éclats de voix résonnaient dans la salle qui empestait l'alcool et la sueur,et les conversations semblaient diverses et variées.
Quelques regards se tournèrent lorsque Candice fit son entrée dans cet établissement,uniquement fréquenté par la population masculine. Quelques sourires s'esquissèrent,quelques chuchottement s'échangèrent. Les conversations perdaient de leur intensité le temps d'admirer la nouvelle venue,laissant place à qulelques remarques déplacés,puis la taverne retrouvait son habituelle animation.
Lorsque c'était au tour d'Arkayn d'entrer dans l'établissement,l'atmosphère était toute autre. Le silence s'installa graduellement dans la salle et tous les habitués de la chopine le fixait avec un mélange de crainte et de surprise,comme s'il allait était l'incarnation du Malin. Une tension presque palpable s'était installée. Il y était habitué,ainsi il s'efforçait de ne pas prêter attention à toutes ces réactions démesurées et ces commentaires odieux,et les faisait vite taire d'un regard haineux.
Instinctivement il se plaça devant Candice, la faisait reculer d'un geste de bras. Il faisait face à cette assemblée,la tête haute et avec une fierté arrogante démontrant clairement qu'il assumait entierement son physique assez spécial. Il avançait d'une démarche assurée vers le comptoir sur lequel il frappa du poing avant de déclarer ;

Tavernier! A boire pour cette jolie demoiselle et moi-même! Deux bières,et que ça saute!

Le tavernier semblait vouloir contester,mais le regard froid et cruel d'Arkayn l'en dissuada. Il n'appréciait guère de jouer aux durs ainsi,mais s'il montrait quelconque signe de faiblesse,il risquait de s'attirer d'autres problèmes,comme à son habitude. Le tavernier s'executa rapidement,et à peine quelques instants plus tard,les deux bières étaient prêtes et attendaient sagemment sur le comptoir. Arkayn y déposa deux pièces d'or et sourit chaleureusement mais discrètement a l'homme en guise de remerciement,avant de saisir les deux chopes et de se diriger vers la table la plus excentrée afin de s'y installer. Il invita Candice à s'assoir avant d'en faire de même. Il se positionna prudemment le dos tourné vers le mur afin d'avoir dans son champ de vision l'ensemble de ces sacs-à-vins. L'ambiance bruyante précedant leur arrivée reprit place petit à petit et la tension s'estompait,bien que désormais ils furent tous deux les principaux sujets de conversation. Il but quelques gorgées de bières avant de chuchotter,en guise d'explication,

Comme on dit chez moi,le clou qui dépasse se fait taper dessus.

Il tentait de cacher tant bien que mal sa gène dûe à toute cette agitation,qui lui était pourtant si familière. Il jetta quelques rapides coups d'oeils nerveux sur les tables voisinnes,puis commença à siroter sa bière en regardant dans les yeux celle qui malgrès elle était devenue également sujette à toute cette mascarade.

[Me retirer 2 écus pour les bières s'il vous plaît. ]

[LL : Fait]

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Post n°7
<Candice>

Quand, elle marcha d'un pas décider vers l'entrée, elle était encore loin de se douter que derrière cette porte se trouvait l'enfer. L'air y était irrespirable, il empestait l'alcool...
Les gens paraissaient y éviter les messes basses voyant ce chahut... Elle avait beau regarder, elle n'y remarquait que des hommes, pas une seule femme en vue...Elle ne se sentait pas en lieu sûr. Depuis son aparition, le bruit se dissipait de plus en plus , il n'y avait que des regards provocants suivit de quelques remarques déplaisantes posé sur sa silouhette peu commune...L'atmosphère était bien loin d'y être chaleureuse.
De fureur , elle sera les poings de colère, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour que son teint pâle tourne au rouge. Les visages semblaient se figer, ils étaient comme effrayés... Elle n'eut pas besoin de se retourner pour savoir que c'était Arkayn...D'ailleurs, si elle n'aurait pas été accompagnée, elle ne se serait pas retenue de remettre cette populace à sa place...Candice détestait perdre. A son arrivée, elle fut forcée de faire quelques pas en arrière pour laisser règler l'affaire à celui-ci. Il se dirigea aussitôt vers le comptoir pour demander d'un ton des plus imposants qu'on lui serve deux boissons.
La scène l'amusait quelque peut, elle ne s'attendait pas à le voir de cette façon, mais, elle était certaine que ce n'était pas le "Arkayn habituel".
Elle prit, ensuite , place à l'une des nombreuses tables que comptait cet endroit. Les conversations voisines reprirent avec hargne et des propos imondes circulaient à leur propos. Elle tenta de se calmer et d'essayer de ne laisser que la voix suave du jeune homme parvenir à ses oreilles.
Voyant, celui-ci nerveux elle prononça quelques paroles pour tenter de le rassurer.

Il vaut mieux essayer de ne pas écouter tous ces imbéciles, et de toute façon...Nous critiquer ne leur apportera rien de plus que du temps perdu.

Elle prit avec délicatesse sa chope et contempla ses yeux d'or, ils lui faisaient un effet d'apaisement. Elle repensa à sa citation qu'il disait provenir de chez-lui, c'est à dire de Djel'Fa , elle se rappelait l'avoir rencontrée plusieurs fois au cours de sa vie.

De quel village, venez-vous?

Elle chipota à une mèche de ces cheveux en etant pensive à la situation que son continent natale vivait en ce moment...

Post n°8
<Arkayn Steel>

Bien qu'elle ne semblait pas être à l'aise dans cette taverne, Candice tentait de rassurer Arkayn par des paroles réconfortantes. Il fut touché par cette attention ; ses pomettes rosirent, puis son regard se dirigea vers la chopine qu'il venait de poser sur la table, inclinant sa tête et souriant légèrement. Il ne la releva que lorsqu'elle le questionna sur son village natal.
Il repensa à son enfance, le regard dans le vague. Pouvait-on vraiment nommer cette ville et son autorité dictatoriale de la sorte ? Non, on ne pouvait pas. Un village natal, c'est un port d'attache ; le lieu ou l'on grandit en communauté. Une communautée dans laquelle on s'intègre plus ou moins bien, où l'on créé des liens d'amitié, d'amour, de parenté ... Une ville où, même après l'avoir quittée pour explorer le vaste monde, on serait accueillis à bras ouvert par ses habitants. Bien sûr, Arkayn avait tout de même des amis, tout du moins dans sa plus petite jeunesse. Il était même très populaire. Seulement,cette popularité se dégradait au fil du temps, se transformait en jalousie, en crainte. Le revers de la médaille en quelque sorte. Il ne voulait pas parler de cette partie peu glorieuse de son passé. Il remodela donc son histoire à sa guise, et répondit ceci ;

Je suis issu d'un peuple nomade et j'ai grandi au côtés de caravaniers-marchand. Je n'ai donc aucune origine particulière, si ce n'est celle du désert d'Akranikas.

Puis, comme il voulait se changer les idées, il demanda à son tour

Et vous, d'où venez-vous ? Dans quel but êtes-vous venue à Port-Pergas ?

Un but... Il se sentait maladroit d'avoir posé cette question, puisque lui-même n'avait pas de raisons concrètes pour venir à Port-Pergas. C'était ce désir d'aventure, de changer d'horizon, de fuir le plus loin possible, sans vraiment savoir ce qu'il redoutait. Il avait saisit l'opportunité que lui offrait ses mystérieux tatouages pour partir, prétextant vouloir en apprendre plus sur ces dessins gravées dans sa chair.
Il voulut rattraper sa maladresse, mais il s'en abstint : Après tout,si elle ne voulait pas répondre, elle n'y répondrait pas.
Il lançait quelques petits regard furtifs sur la clienètele. Il leur prêtait jusqu'alors qu'une oreille distraite, et les avait presque oubliés. Cet oubli fut de courte durée : ses yeux s'emplirent de colère lorsque leurs crittiques fusaient. Son regard se fixa sur un homme grassouillet et complètement ivre à en juger par son gros nez rouge. Arkayn serrait poings et dents quand ses crittiques explosives atteignirent ses oreilles.

Moi j'vous l'dis, un type comme ça, y peut pas être humain ! R'gardez moi ses yeux : la couleur de l'infamie ! Pis des ch'veux rouges comme ça, ça n'exist' pas par chez nous ! Et d'abord, c'pas possible pour un gosse de survivre dans l'désert d'Akranikas ! J'vous l'dis et j'vous l'répète, ce type là,l'est pas humain !

Arkayn dût faire preuve d'une grande maîtrise de lui-même pour ne pas aller "humainement" lui botter le train. De toute évidence, se battre dans cette taverne ne pourrait que lui apporter des ennuis, de plus il n'était pas seul. Il encaissa donc ces remarques odieuses sans broncher, mais son regard le plus cruel ne quittait pas l'ivrogne.

[L'ivrogne va t-il répondre de quelconque manière aux regards haineux d'Arkayn ?]

Le regard bizarre d'Arkayn glaçait le sang de l'ivrogne. Mais, la présence d'alcool dans son sang le réchauffait. Le fait d'être entouré par des personnes qui devaient être du même avis que lui, le regonfla. Il se leva, en titubant, puis tenta de s'approcher du jeune homme à la crinière rouge.

"Toi ! J'VaiS te mAssaCrEr ! FAis tEs prIèRes, SaLE mONstre !" Il parlait d'une voix rendue hésitante par l'alcool.

Il s'approcha encore un peu plus. Le jeune homme pouvait sentir la mauvaise haleine que sa bouche exhalait. Cette odeur était difficilement supportable. L'alcoolique leva le poing à la hauteur du visage du jeune homme. Ce qu'Arkayn voulait à tout prix éviter était inévitable, à moins que...

Post n°8
<Candice>

Elle détourna son regard des yeux de celui-ci, pour montrer son attention à une table, ou deux pochard discutaient de la corpulence du garçon aux cheveux rouges. Elle aurait bien voulu se lever et leur remettre les idées en places. Mais, hélas, elle n'était qu'une simple femme, elle n'avait pas la force d'un colosse. Elle se contenta de les mépriser. Elle préféra se concentrer sur ce garçon qu'elle trouvait si passionnant.
Aux paroles de celui-ci, une précipitation de souvenirs l'envahir...Arkranikas, ce nom elle le discernait bien. Que ça soit en journée ou en soirée, cette région était d'une dangerosité extrême. Il était vivement déconseillé de s'y aventurer. Et pourtant, elle l'avait déjà traversée...C'était dans cet espace ensablé qu'elle rencontra son fiancé et, à son décès, c'est dans cet endroit même qu'elle voulu s'apporter le suicide. Mais, hélas, nous ne sommes pas toujours maître de notre destinée. On lui accorda la peine, on lui préserva sa vie en la sauvant de sa propre volonté. Or, il ne lui suffisait que d'un minime espoir pour pouvoir enfin se fixer un but, une quête, une raison d'exister. Et ce jour-là, quelque chose émana en-elle : son âme ne reposerait qu'en paix, si elle parvenait à tuer cet assassin. Elle décida de prendre son envol vers d'autres contrées : obstinée à le retrouver.
Et maintenant, elle était à Port-Pergas, dans une taverne agravant sa mauvaise humeur rien qu'en n'y respirant son air... Jamais, elle ne se serait attendue à voyager si loin.

Je viens, tout comme vous de Delf'Ja, j'ai grandi non loin du petit village de Hek'Adir.

Un bref silence fit ainsi place, elle en profita pour terminer sa boisson. Ça semblait dater depuis l'âge de pierre, qu'elle n'avait plus dégusté une bière. En principe, elle ne buvait jamais de l'alcool même durant ses moments de détresses. Elle jugeait tous ces liquides nocifs pour la santé. Mais, aujourd'hui, elle tâcha de faire un effort qu'elle était loin de regretter. Hélas, pas encore suffisant pour lui redonner le goût à la vie.
Une fois qu'elle eut posé sa chope, elle se sentait obligée de lui répondre...Bien, qu'elle redoutait ce sujet. Quel était son but ? Devait-elle lui dire la vérité ? Pouvait-elle lui faire confiance ? Trouverait-il son comportement normal ? Il aurait été suspect de ne rien dire. Et si elle mentait ? Elle était certaine, qu'il arriverait à percer son regard comme la dernière fois. C'est avec crainte, qu'elle décida de lui avouer une partie de la vérité.

Si je suis ici , c'est dans l'unique espoir, d'y retrouver une certaine personne.

Et, si, jamais, il lui venait l'idée d'en savoir plus, elle n'aurait plus le choix que de lui raconter son histoire. Elle aurait bien souhaité qu'un évènement se produise pour que cette conversation prenne un léger arrêt. Et, un miracle, se déclencha... Elle pu entendre des paroles provocantes venant de la bouche d'un homme grassouillet.

Moi j'vous l'dis, un type comme ça, y peut pas être humain ! R'gardez moi ses yeux : la couleur de l'infamie ! Pis des ch'veux rouges comme ça, ça n'exist' pas par chez nous ! Et d'abord, c'pas possible pour un gosse de survivre dans l'désert d'Akranikas ! J'vous l'dis et j'vous l'répète, ce type là,l'est pas humain !

Arkayn semblait très énervé, il serait ses poings et ses dents, il lui lança un regard remplit du sentiment de haine. Elle eut un léger frisson suite à l'expression que son visage montrait.
Elle craignait le pire, l'ivrogne allait-il réagir ? Elle ne désirait pas que cette journée prenne une tournure dramatique. Et ce qu'elle redouta, arrivait... L'homme étant sous l'emprise de l'alcool se précipita vers eux. Il proféra des menaces d'une voix très hésitante. Et, lorsqu'il dirigea son poing, un coup pouvant lui être fatale, si un évènement ne l'empêcherait pas. Sans aucune hésitation, la demoiselle passa à l'acte, on put entendre le cri d'une femme raisonné en cette pièce. Elle se jeta sur l'homme bagarreur en espérant sous son poids, le faire tombé sur le sol.

[Va-t-elle le faire trébucher et par la suite comment va-t-il réagir ?]
[ Eliz : L'ivrogne tombe carrément mais avec la force qu'il lui reste, il t'envoie au loin et se relève péniblement ]

Post n° 9
<Arkayn Steel>

Arkayn était sous le coup de la surprise suite à la scène qui venait de se dérouler. C'était la première fois. La première fois que quelqu'un tente de le protéger, la première fois qu'on prend des risques pour lui. Il fut très touché par cette attention. Le rouge lui monta aux joues, ses yeux le piquaient agréablement. Cet doux picottement lui était familier, mais jamais il ne lui avait semblé aussi agréable. Il contint ses émotions, réalisant la situation. Il rejoigna la demoiselle et lui prit instinctivement la main avant de lui demander ;

Tout va bien?

L'inquietude se lisait clairement sur son visage. Cette jeune femme, pourtant encore méconnue, lui paraissait désormait aussi importante qu'une amie de longue date. Il voulait rester à ses côtés, aussi lontemps qu'elle l'y accepterait,protéger à tout prix cette fragile amitiée naissante. Il s'interposant entre l'ivrogne et Candice. Encore davantage que précédemment, absolument tous les regards étaient posés sur les trois opposants. Arkayn était partagé quant à la bonne attitude à adopter.

** Qu'est ce que je pourrai bien faire ? Bluffer ? Prendre la fuite ? L'affronter ? Je devrais être en mesure de mettre au tapis un ivrogne dans son genre. Il vaudrait pourtant mieux éviter un combat, cela pourrait attirer les gardes ou d'autres ennuis. Et puis, si les autres clients décident d'y prendre part, on sera dans l'pétrin. Bien ! Tentons le bluff, histoire de dissuader la populace d'y mettre son grain de sel, ou mieux encore, de persuader ce sac à vin d'arrêter cette mascarade. Au pire, on pourra toujours s'enfuir."

Ne lâchant pas la main de Candice, il se rapprochait discrètement de la porte, décrivant un arc de cercle autour de son adversaire, comme un prédateur tournerait autour de sa proie. Il s'arreta à quelques mètres de la sortie, puis lâcha la main de la demoiselle qu'il avait traîné jusqu'ici. Il n'avait pas vraiment le choix : il devait tenter le tout pour le tout. Cependant, il n'était pas doué pour convaincre les gens oralement, il opta donc pour un persuasion visuelle.
Il retira sa grande veste et la jetta par terre d'un geste brusque. Désormais torse nu, seule Candice, qui était positionnée derrière elle, pouvait voir une partie de ses tatouages sur ses omoplates. Sa carrure imposante parlait déja d'elle même, mais il avait décidé d'aller jusqu'au bout. Il retira lentement ses bandages, ne quittant pas des yeux l'ennemi. On pouvait entendre des "Ooooooh !", des "Aaaah !" et autres onomatopés, au rythme de la découverte de ces runes gravées dans sa chair. Arkayn ne prononçait pas un mot, serrant poings et dents. Son regard glacial exprimait néanmoins une détermination sans faille. Une cruauté bestiale, une soif de sang, semblait étrangement émaner de lui.
Il ne bougeait pas d'un pouce, fixant son adversaire des les yeux. La tension entre les deux opposants était presque palpable. Arkayn l'observait d'un regard assassin : il était prêt, et avait déja dû tuer pour se protéger. Cette fois-ci, il lui faudra également protéger Candice. Cette simple volonté suffisait à le gonfler à bloc. Il esperait pourtant de tout son être que cela suffirait à dissuader le saoulard d'entamer un combat.

[Quelle sera la réaction de l'ivrogne?]
[S : Il ne fait rien, ces compagnons le retiennent afin de vous laisser le temps de partir.]

Post n°10
<Arkayn Steel>

Sa bonne étoile brillait d'un éclat salvateur ce jour-là. Des hommes, qui semblaient connaître l'ivrogne s'étaient jetés sur celui ci. Agréablement surpris, Arkayn décida de saisir cette chance qui serait peut-être la seule solution pour s'en tirer en un seul morceau. Il ramassa hâtivement ses affaires et s'empressa de remettre sa veste, il aura bien le temps de remettre ses bandages en place plus tard. Il reculait lentement vers Candice qui n'avait pas bougé d'un pouce et lui pris la main avant de chuchoter avec un air grave :

C'est le moment idéal pour décamper, prépare toi à courrir.

Il attendit quelques secondes, se retournant vers l'ivrogne. Ses compagnons peinaient à le garder en place, et l'excité gesticulait sans cesse, baragouinant des phrases incompréhensibles ou tout du moins incohérentes. Il voulait imprimer son visage dans sa mémoire, et lui flanquer une bonne raclée à leur prochaine rencontre pour toutes cette floppé d'insultes pronnoncées à son égard, mais ses capacités mentales avoisinnant celles d'un poisson rouge autiste (HRP: Ne lésinons pas sur les expressions hyperboliques xD), il savait que cela était vain. Il ouvrit brusquement la porte, puis un sourrire victorieux se dessina sur son visage gratifié d'un air de défi, avant de s'enfoncer dans les ruelles de Port-Pergas, hurlant comme comme un sourd, talonné par Candice dont il tenait la main.

C'est partiiiiii!

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