Glorac Désigné volontaire
Nombre de messages : 1076 Age RP : A définir Fiche perso : (Non défini) Date d'inscription : 18/03/2007
Inventaire Troupes: Equipement: Attaques personnelles:
| Sujet: [Glorac] De nouvelles routes. Dim 20 Avr - 23:32 | |
| [Post précédent dans : Djel'Fa, Hek'Adir, Le Port, "Enfin l'aube."]
[Post n°68] <Glorac> Le barde et sa compagne avaient fait un crochet par l'auberge, pour déposer les affaires de la riche veuve, puis étaient partis accompagnés d'un laquais aux portes de la ville. Là, la garde jouait son rôle. Ben oui, elle gardait et était sur ses gardes, la garde. Et des caravanes s'organisaient. Un groupe de cavaliers en armes attendait derrière un petit homme, qui haranguait les badauds. - Soixante pièces d'or la place ! Soixante pièces d'or ! Plus qu'trois places pour Sryam, arrivée garantie entiers ce soir ! Soiiiiiiiiiiiixante pièces !L'employeuse du barde approcha du chef du groupe. Ils semblèrent discuter activement, le barde les laissant négocier. Au bout d'un dizaine de minutes, la femme revint vers le trouvère. - C'est réglé, mon ami. Tu pars dès que le groupe est complet.- Merci, Gwen', t'étais pas obligée.Sur ces mots, le barde enlaça son interlocutrice et déposa tendrement un baiser sur ses lèvres. Puis il s'écarta doucement et lui fit un baise-main on ne peut plus conventionnel et respectueux. - Adieu, ma dame, j'ai passé une agréable nuit à tes côtés. Je n'serais pas mécontent de t'recroiser, à l'occasion.- Adieu, doux prince. Je serai même ravie que nous nous revoyions, dit la gente dame avec un air espiègle. Et puis, tu connais désormais mon nom.Le barde s'inclina révérencieusement. - Au plaisir de te revoir, donc, dame Gwendale Synn.Une demie heure plus tard, le barde chevauchait encadré d'autres voyageurs et d'hommes en armes. Il se retourna mais ne vit nulle trace de son amante éphémère. Il était donc en route vers Sryam, il y serait probablement au crépuscule. L'attendait une dure journée de voyage à cheval, mais apparemment sûre au vu du nombre de personnes dans la troupe et de l'encadrement guerrier. Ses blessures le tiraillaient un peu, les griffures de son dos le démangeaient, mais qu'importait. Il voyait enfin l'opportunité de réellement concrétiser des vers millénaire. - Charme sybillin... commença-t-il à fredonner pour lui-même. [Post suivant dans : Djel'fa, Sryam, Les portes de la cité, "Le bout du voyage."] | |
|