[validé] Txera

Bon... déjà pardon pour la fiche d'avance, étant donné que c'est un de mes anciens persos, donc j'ai du essayer de l'adapter comme je peux. Il est donc sûr et certains qu'il y ait des incohérences avec l'univers, dans ce cas, merci de m'en informer que je rectifie ^^


Prénom et/ou Nom : Txera

Race : Semi-elfe

Métier : Barde

Savoir-faire : Cuisinier

Caractéristiques physiques : Aux premiers abords, il ne s'agit que d'un voyageur errant, portant un petit étui noir à son côté, tant que l'on oublie le fourreau de son épée. Il pourrait paraître menaçant, mais cette impression n'est que de courte durée. On distingue rapidement sous son capuchon de petits reflets dorés, et ensuite l'on peut voir son masque, pulvérisant sa tristesse à la ronde sans vergogne.
Son masque plein de désespoir est souvent source de questions, ou de rumeurs. On aimerait fuir cet être au visage caché, dont les trous au niveau des yeux luisent d'un éclat bleuté. Bleu Azur sont ses yeux, et cela n'est guère courant. Il adore voir les gens tout d'abord repoussés, puis hypnotisés par cette couleur de ciel.
Quand il ouvre son étui, c'est pour en sortir une flûte, noir d'ébène, et quand cet énergumène glisse la fente dans sa bouche, on y entend un son cristallin qui en émerge, comme si cet instrument était une partie de lui-même.

Caractéristiques mentales : Ô longue tristesse qui le prend jour et nuit. Txera le semi-elfe n'a pas vraiment l'envie de plaisanter, si ce n'est pour glisser quelques phrases d'ironies lassantes. Son humeur n'est pas au rire, mais sans arrêt à la mélancolie. Il parle peu, et se contente souvent de mots simples.
Tout seul, ou quand le soir tombe, il s'abandonne souvent à sa flûte, afin de reproduire certaines mélopées que la nature lui avait fait découvrir par le passé. Certaines notes pointent vers son passé, d'autres vers le semblant d'avenir qu'il se réserve. Ses pensées sont bien sombres, mais il fait parfois office de compagnon de bonne fortune, et il arrive que certains voyageurs se retrouvent finalement bien heureux qu'il puisse égayer leurs nuits de quelques notes bien douces à l'écoute.
Il répugne tout contact physique, et recherche parfois sans le vouloir la compagnie d'autres, tout en cherchant à trouver de nouvelles voies à son Art.

Vêtements (pas d'armures au départ) : Un grand manteau de cuir brun, pour le voyage. Il porte un petit pourpoint en cuir raffermit, ainsi qu'un pantalon de cuir noir, légèrement usé.

Etat d'esprit : Sombre et reclu, Txera aime faire plaisir aux gens, mais n'attends généralement pas de récompense. Il joue parfois pour quérir petites fortunes, afin de pouvoir passer une nuit dans une auberge, sinon il parcourt les routes, à la recherche de voyageurs errants, comme lui.

Histoire : Voir en-dessous.

Objets : Une flûte, et une panoplie de masques, dont un seul est sur son visage, toujours le même. Une épée courte orne son côté, mais ne sort pas souvent de son fourreau.

Techniques : Juste quelques sorts à la flûte. Ces sorts nécessitent tous de jouer, et prennent effet au bout de deux voire trois mesures. Il va de soit que cela nécessite qu'il ait sa flute (ou une flute) entre les mains, et qu'il ne rate aucune note pendant qu'il joue son morceau, ou bout de mélodie.
- "Prenez une pause" : Ce sort est sur la durée. Quand Txera décide de le déclencher, les personnes présentes ressentent un bien-être qui se crée en eux, et les idées violentes se calment, se tarissent dans leurs esprits. La mélodie doit être longue (au moins cinq minutes), ceci n'entraîne pas d'effet secondaire.
- Contrordre : Mesure de quelques secondes. La cible interrompt immédiatement une action en cours, si elle n'est pas en danger immédiat.
- Déclencher une émotion : Ce sort permet de créer de toutes pièces une émotion qui n'était pas présente auparavant dans l'esprit de sa cible. Il s'agira toujours d'une émotion basique et simple avec un but précis. L'effet de ce sentiment dépendra de son état d'esprit à l'instant où le sort l'affecte.

Que pouvez-vous apporter au forum ? : Dites ce que vous pouvez apporter au forum : Mon personnage est principalement axé sur la magie instrumentale, et je n'ai rien trouvé d'ailleurs à un quelconque sujet à propos de la magie. Je pense qu'il pourrait être fondateur d'un nouveau "type" de magie, si c'est possible bien entendu, cela apporterait peu à votre jeu, mais c'est toujours quelque chose ^^

Comment avez vous connu ce forum (où ET par qui) : sur ForumActif-Pub, j'me suis dit "pourquoi pas".

Avez-vous un parrain (facultatif) : cf ci-dessus.

Respect des règles du forum : lu et approuvé !

Vala c'est bon, je viens de me rendre compte que j'avais oublié de tout finir...

Sinon revoilà l'histoire, sinon je dépasse la limite de caractères



Histoire : Je n'étais pas comme cela autrefois. J'étais même plutôt beau, à ce que je me souviens. Je ne connais même plus mon âge exact pour être franc. Les jours pour moi sont flous, et le temps passe, inexorablement, comme coule l'eau d'une rivière.
Certains me connaissaient sous le nom de Jerod, ceux-ci m'ont désormais oublié. Je ne suis qu'une ombre dans ce torrent de lumière environnant. Quand je passe en pleine lumière, tous les regards se tournent vers moi. C'est pourquoi j'orne maintenant un masque, représentant un homme en train de souffrir, car c'est ce que j'éprouve au quotidien : la souffrance, celle de ne pouvoir me montrer, comme le font si bien les autres personnes, celle de ne pouvoir garder un contact humain.
Il paraît que les semi-elfe sont des vagabonds, ou aiment bien voyager, c'est vrai pour mon cas, car je n'ai d'autre choix, mais mes parents, eux, étaient différents.

Je suis né comme tout le monde, dans une ferme, tout ce qu'il y a de plus ordinaire. Ma mère, si je me souviens bien, s'appelait Alea, mon père, Tragan, quant à moi, je m'appelait Velenie. J'ai grandit dans cette même ferme, à apprendre les joies de la nature. Si je me rappelle, mes cheveux étaient blonds. Ma particularité était les yeux, qui étaient d'un bleu si clair, que l'on me surnommait "Cielleux", à cause de la ressemblance avec la couleur du ciel. Ce fut lorsque j'eus vingt ans que j'appris à monter à cheval, il faut dire qu'il n'en manquait pas.
Quand j'atteignis mes vingt-quatre ans, mon père m'apprit à me servir d'une arme, contre les brigands qui sillonnaient les contrées. Tragan était un ancien soldat à la retraire, et il ne manquait pas de savoir concernant la guerre. Chaque jour il me contait un de ces exploits lors d'un combat, ou faisait un petit spectacle pour toute la famille. Mes parents me donnèrent une petite soeur, qu'ils appelèrent Cecilia. J'avais alors vingt-cinq ans. Je connus l'amour lors de ma trentième année avec une fille du nom de Juvie. C'était une demi-elfe, qui avait perdu son père quand elle était petite. Elle avait exactement le même âge que moi. Ce fut quatre mois plus tard, que sans raison, sa famille partit. J'ai toujours un poids sur le coeur depuis ce jour là. Je ne lui ai toujours dit que j'étais humain, pour en quelque sorte la réconforter, mais j'étais semi-elfe, à part entière. On s'était juré de ne jamais se séparer, et même fait un tatouage, en forme de branche d'arbre, au poignet. L'inconscience de la jeunesse.

Le chaos survint dans la périphérie de la cinquantaine. Nous nous amusâmes, des amis et moi-même, dans la pleine jouissance de notre adolescence. Mais comme dit le précepte : "il ne faut jamais jouer avec le feu ", et nous avions omit ce dernier. Je ne suis pas près de l'oublier à présent, depuis l'instant où j'ai trébuché et suis tombé dans le feu, qui me rongea le visage, et la plupart de mon corps. J'aurais préféré mourir à cet instant, que vivre les années suivantes. Tandis que je me faisais brûler par les flammes, mes compagnons bougeaient de toutes parts, je les voyais, entre deux vagues de douleurs, s'affolaient, sans rien faire que contempler ma douleur, sauf un, Dragel, mon meilleur ami à ce jour, qui rassembla ce qui lui restait de courage, et me tira de l'enclos enflammé, m'infligeant la pire peine qui puisse exister. Mon visage n'avait plus rien d'elfique, et la chose grâce à laquelle on pouvait me reconnaître était mes yeux, toujours aussi bleus. Bleu... comme l'espoir.

On me reconduisit chez moi, où je fus soigné, pendant de nombreux mois. Mes parents étaient désespérés, par mon apparence, mais aussi mon inconscience perpétuelle. J'avais perdu tout goût à la vie, car celle-ci me rejetait. Je perdis tous mes amis, dans ma solitude. Mais qui aurait voulu voir une être aussi immonde ? Même les soins magiques procurés par le guérisseur n'avaient pu être efficaces. Je restait ainsi seul, avec pour seul contacts mes parents, qui furent toujours présent à mes côtés, pour me soutenir. Une année après le drame, je voulu sortir, afin d'aller à la ville, espérant que mon visage s'était assez recomposé, pour avoir une once d'humanité, mais je m'étais trompé sur toute la ligne. Les premières personnes que je rencontra sur ma route fuirent à la seule aperçue de mon visage. Ce fut les mains sur ce qui restait de ma figure que je rentra en courant chez moi. Vint l'idée du masque, mais pas aussi élaboré que l'actuel. Une seule couche de cuir, avec un orifice pour le nez, deux pour les yeux, et un qui laissait entrevoir ma bouche, redevenue à peu près normale. Mes parents étaient contre cette idée, celle de m'enfermer dans un objet, mais je leur répondirent que je préférais avoir la tête enfermée dans un objet, que rester enfermé dans cette maison, pour le restant de ma vie. A ma demande, on enleva tous les miroirs de la maison que j'aurais pu voir accidentellement. Je sortis, et le monde se révéla sous un nouvel angle. Les gens me regardaient de drôles d'yeux, mais qu'catorte. Je préférais qu'ils me soupçonnent, plutôt qu'ils ne me fuient. Je pus enfin voir du monde, comme Dragel, avec qui je renoua une amitié, mais pas aussi fort qu'avant. Le masque s'interposait à chaque fois dans les relations. Les femmes, par contre, ne voulaient même pas renouer, nouer une amitié, voire parler avec moi, et je m'en retrouva meurtris. J'ai appris à vivre avec. Pour l'anniversaire de mes cinquante-deux ans, on m'offrit une panoplie de masques, tous représentant une émotion. Je pouvais enfin troquer ce bête cuir, contre une vraie chose. Je jeta mon dévolu sur un masque représentant la joie.


Les années passèrent ainsi, avec quelques moments de bonheur retrouvé, ou arraché au destin.
Je mis un grand point à aider les autres, même si eux ne m'aidaient jamais, même si je ne recevais en guise de remerciement un petit sourire et un rapide "merci".

Ce fut un soir, que je surpris en cachette une conversation entre mon père et ma mère. Celui-ci disait qu'il en avait marre de cette existence, à passer à la botte de son fils, qu'il en avait marre, et qu'il partait. Je fus un des seuls réconforts de ma mère après cela. J'y connaissait maintenant un rayon sur le chagrin, et la souffrance, pour lui servir de confident. Mais les révélations qu'elle me fit me vinrent droit au coeur, et je pris conscience des évènements passés : mon père ne m'avait jamais plus adressé la parole depuis mon accident, que pour dire des banalités de tous les jours. Il m'avait détesté depuis ce jour là, car il me croyait alors incapable de faire quoi que ce soit.
La vie reprit son cours, mais ce fut moi qui travaillait désormais. Seuls les personnes offrant de petits emplois m'acceptaient, et pour une durée limitée. Je me mis donc au travail itinérant. Nous étions connus dans le village, et mes employeurs avaient pitié de moi et de ma mère, et m'offrait toujours quelque chose en plus que ma paie, ou alors ils l'augmentaient légèrement. C'est ainsi que nous pûmes continuer notre train d'existence quotidien. Dragel partit pour d'autres contrées, à mon plus grand désespoir. D'autres suivirent.

Nous transformâmes la maison en auberge, afin d'accueillir les voyageurs de passage. Tout le monde s'accommodait de ma présence, et certaines personnes qui passaient régulièrement apprirent à me connaître. Ils m'apportaient sans cesse des nouvelles de contrées diverses, et c'est ainsi que je connus l'Appel. Je projetai de m'enfuir un soir, mais réalisa que je ne pouvais laisser ma mère ainsi, dans cette situation. L'Auberge des Bois Masqués continua d'exister, et je crois qu'elle continuera d'exister dans chaque mémoire qui y est passée. Certains voyageurs qui restaient plusieurs jours m'apprirent à me battre, et un particulièrement, un humain du nom de Frag l'Accordeur, m'apprit à jouer de la flûte. Ce sont à tous ces voyageurs que je dois mon expérience aujourd'hui.
Mon père revint peu après mes soixante-dix ans. Nous lui pardonnâmes sont départ, et il s'engagea dans notre petite entreprise. Notre premier employé. D'autres suivirent au cours des années, de tous les horizons, de tous les types. Nous avions un halfelin aux cuisines, quelques humaines en serveuses, un elfe aussi, même un nain à l'aide aux cuisines. Bref tout un petit commerce qui s'était étendu. Ce fut ma deuxième période de malheur.

Un fugitif du nom de Dronv, un humain, s'énerva contre ma mère. Personne ne le savait que c'était un hors-la-loi, mais je l'appris par la suite. La dispute tourna court, et nous savions pertinemment que nous avions raison, mais lui continuait. Une arme fut dégainée, les clients prirent parti pour nous, mais c'était trop tard. Dans ma hâte, je voulus désarmer l'individu, et l'arme se stoppa dans quelque chose, quelqu'un plutôt, et ce quelqu'un était ma mère. Elle n'avait pas eu le temps de voir le coup, qui ne lui était pas directement dirigé. Dronv allait se rendre, et par ma faute, ma mère a été blessée. Cela, je ne me le pardonnerais jamais. Je restais silencieux, effrayé par l'acte que je venais de commettre, tandis que mon père soutint ma mère, qui s'effondrait. Tous les autres me regardaient, moi, l'individu au masque qui avait porté atteinte à sa mère, alors que celle-ci n'avait jamais cessé de l'aimer. Je ne pus supporter cela, et m'enfuis, sans demander mes restes. J'accompagnais souvent les voyageurs pendant quelques lieus, et gardais donc toujours un sac de voyage à ma disposition. J'empoignais mon sac, y enfournai quelques masques et fuis, le plus rapidement possible, le plus loin possible, sans jamais me retourner. Alors que je passais devant une porte qui menait à la salle principale, et que tout le monde prêtait attention à la scène spectaculaire, sans s'intéresser à autre chose, je croisai le regard de mon père, un regard larmoyant. Il ne parlait pas, mais je pouvais très bien lire son message : "Mais qu'as-tu fait, toi mon fils ?". Un regard insupportable, que je ne suis pas près d'oublier. Ce fut la dernière fois que je revis mon père et ma mère. Je ne sais pas si elle a survécu, je ne sais pas si dans ce cas elle m'en veut toujours, je n'en sais rien, et je ne veux pas le savoir.

Je quittai le nom de Velenie, pour celui de Txera. J'ai adopté ce masque, bien que cela fait bien longtemps que mon visage a reprit l'apparence qu'il aurait toujours du avoir. Mes yeux sont toujours tels quel, aussi... bleus, mais je n'ai jamais entendu une nouvelle fois le "Cielleux" qui m'était caractéristique autrefois. Depuis mon accident, seul Dragel l'avait encore employé. Maintenant il est partit.

Après des semaines d'errance le long des chemins, que j'évitais le plus souvent de parcourir, de peur de rencontrer quelqu'un qui me connaîtrait. Je trouvais le peu de raison qui me restait pour vivre dans la musique. La petite flûte de l'Accordeur prit le dessus sur ma vie, et je décidai de revoir le musicien. Je me souvenais encore de ses paroles: "Si jamais l'envie te viens de vouloir me rendre visite.." et c'est précisément ce qui émergea dans l'esprit. Il m'accueillit, et m'hébergea. Il voulut savoir la raison de ma venue, et je ne lui ai jamais donné. Il me fournit tout ce don j'eus besoin pendant deux mois : gîte, couvert, équipement, connaissances. C'est lui qui me fournit mon épée, ainsi qu'une flûte, taillée de ses propres mains, qui m'apprit les rudiments de la magie. En échange, je l'aidais dans ses recherchees, et m'occupait de sa maison : ménage, cuisine, un peu tout, tout ce que je pouvais faire en tout cas. C'est ainsi que je partis, et que commença ma vie d'aujourd'hui, derrière mon masque de souffrances.

Effectivement, très belle fiche

Mis à part ce qu'à déjà dit Jonque à propos des techniques qui manquent beaucoup de précision, le reste me paraît correct (Enfin, ça c'est à voir avec les MDJ ^^)

N'oublie pas de faire ta signature ! (regarde celles des autres joueurs pour l'exemple et sache aussi qu'il faut modifier un point dans 'préférences' dans 'profil' pour qu'elle apparaisse tout le temps ^^)

Enfin, sinon, comme j'ai dit, RPiquement, c'est super ^^

PS : Ah, pense aussi à te présenter dans la partie appropriée, on demande ça à tous les joueurs, mais après à toi de décider ce que tu dévoiles ^^

En attendant de te voir sur les terres de Norgod ou Djel'Fa, bonne chance !

Ca, c'est de l'histoire Oo. J'adore le perso, c'est original. Y a juste un truc qui m'a fait tiquer à plusieurs reprises, c'est les verbes conjugués à la première personne du passé simple qui finissent par "a". Autrement, rien à redire.

Les techniques j'en parle pas, je laisse les MeuJeux faire.

P'tet à une prochaine en RP.

Voui il subsiste quelques fautes, il faudra que je corrige ça à l'occasion

D'ailleurs j'vais m'atteler à une vraie description des techniques, puisqu'il le faut...

Citation :

- "Prenez une pause" : Ce sort est sur la durée. Quand Txera décide de le déclencher, les personnes présentes ressentent un bien-être qui se crée en eux, et les idées violentes se calment, se tarissent dans leurs esprits. La mélodie doit être longue (au moins cinq minutes), ceci n'entraîne pas d'effet secondaire.

OK, le sort dans mon idée n'est pas super utile, mais il est acceptable

Citation :

- Contrordre : Mesure de quelques secondes. La cible interrompt immédiatement ce qu'elle était en train de faire. Elle s'arrêtera de se battre, s'immobilisera si elle se déplaçait, et ainsi de suite. Ce sort n'a aucun effet si elle ne faisait rien (elle ne s'arrêtera pas de respirer) ou si cet arrêt entraîne des conséquences trop néfastes (blessures, mort), elle continuera de se défendre par exemple, mais cessera d'attaquer si elle en a la possibilité.

Trop puissant, ça implique un contrôle de l'esprit de la cible total, sans limites ; mets des limites a ta technique
egalement : trop long : pas plus de 3 lignes du fofo pour chaque technique

Citation :

- Déclencher une émotion : Ce sort permet de créer de toutes pièces une émotion qui n'était pas présente auparavant dans l'esprit de sa cible. Il s'agira toujours d'une émotion basique et simple avec un but précis. Exemples : colère envers cet homme, jalousie envers un autre, sympathie envers quelqu'un.

OK mais mets des limites : la ta technique n'admet pas l'échec ; de plus, il pourrait être bon d'avoir au moins 1 technique de combat

PS : pas le temps de lire lhistoire, je laisse a quelqu'un d'autre le temps de voir si cest crédible avec le BG de G&H

MDJ (Brisecous) a écrit:

OK, le sort dans mon idée n'est pas super utile, mais il est acceptable

Mon personnage n'est pas un guerrier, s'il a une épée, c'est juste pour les cas d'extrême urgence ^^

MDJ (Brisecous) a écrit:

Trop puissant, ça implique un contrôle de l'esprit de la cible total, sans limites ; mets des limites a ta technique
egalement : trop long : pas plus de 3 lignes du fofo pour chaque technique

Je rappelle quand même que je suis obligé de jouer pour que les sorts prennent effet, ce qui handicape largement, je ne peux rien faire de mes mains pendant ce temps. Sinon le "sort" n'a absolument aucun effet "néfaste" sur la cible en elle-même, je ne vois pas en quoi c'est surpuissant (genre elle ne va pas s'arrêter en plein vol si elle veut me mettre un coup d'épée). J'ai mis plus de lignes pour montrer que ce n'est pas une technique surpuissante. A la base j'avais mis une ligne "Stoppe la cible dans son action", mais là ça faisait surpuissant.

MDJ (Brisecous) a écrit:

OK mais mets des limites : la ta technique n'admet pas l'échec ; de plus, il pourrait être bon d'avoir au moins 1 technique de combat

Je n'ai jamais dit que mes sorts étaient 100% fiables. Sinon encore une fois : ce n'est pas un guerrier. Il sait se défendre, mais sans plus. Mettez-le en face d'un barbare et mon p'tit semi-elfe se fait laminer à plates coutures. C'est également pour cela que je lui ai mit "Contrordre", c'est pour empêcher quelqu'un de s'en prendre à lui, s'il a le temps de voir arriver l'attaque.

N'argumente pas, modifie

si ta technique implique un côté "imparable", quelle que soit cette technique, elle sera refusée

Je laisse à d'autres le soin de relever d'éventuelles incohérences

La technique "Cri de Guerre" de Golgoth est imparable également, pourtant on l'a accepté.

J'argumente parce que je trouve assez injuste qu'on enlève presque le seul moyen de se défendre de mon personnage. Vous ne m'en voudrez pas j'espère ?

Je ne vois pas non plus en quoi cette technique est surpuissante, elle arrête juste la cible si elle n'est pas en danger direct, surtout que l'effet est instantané.

Si j'écris tout ça c'est pour mettre des précisions que je ne peux pas mettre dans ma fiche sinon ce serait trop long.

Golgoth a écrit:

Cri de guerre —> Dans l'action, Golgoth pousse un énorme cri de guerrier. Ce qui a généralement pour effet de destabiliser l'ennemi, et parfois même à le faire fuir. L'effet dépend de l'adversaire. Un dragon y est insensible par exemple, mais un farfadet fuira à toutes jambes.

Brisecous a écrit:

ça implique un contrôle de l'esprit de la cible total, sans limites

Tu vois bien qu'en fonction de la masse de l'adversaire, sa technique connait ses limites. La tienne non. c'est juste ca que l'on veut que tu modifies.

Voui mais sur un humain ça marchera, pareil pour moi. J'ai rarement vu un barde jouer un p'tit air pour calmer un troll

Enfin, je précise comme on parle de ma technique... Ca marche sur un humain, mais ça peut juste destabiliser un peu sans plus, et ça dépend aussi du type d'humain, ça ne marche pas toujours ^^

Alors que toi, tu dis : "La cible interrompt immédiatement ce qu'elle était en train de faire. Elle s'arrêtera de se battre, s'immobilisera si elle se déplaçait, et ainsi de suite. "

Ça a un côté trop réussite à tous les coups ^^ Même si dans ton esprit c'est peut être pas ça ^^

Contre ma ptite Leelou, son cri de guerre va marcher du tonnerre, contre une grosse brute comme lui par exemple, ca marchera moins.

Tu comprends ce qu'on veut dire ?

AU pire tu peut insufler instantanement un fort souffle d'hesitation dans l'esprit de ta cible, l'autre arretera son action sous le poids de l'hesitation mais contiuera apres une seconde meme pas.
Juste assez pour que l'homme qu itefonce dessus freine legerement pour te laisser le temps de fuire ou de parer ^^

Khelvarn Sombre-Nuit a écrit:

Juste assez pour que l'homme qui tefonce dessus freine legerement pour te laisser le temps de fuire ou de parer ^^

Et je pare avec quoi ? je fais renforcer ma flute avec de l'acier trempé... ?

Ce sort arrête l'action de la cible, ce qui ne l'empêche pas de recommencer juste après. Pour une même information, il est tiré de Agone (Harmonistes, Flute), et empêche la cible de faire une action autre que défensive le tour d'après.
Ce n'est pas une foudre qui s'abat du ciel et tue automatiquement quelqu'un, ce n'est pas un tourbillon de lames qui lacère la cible, ce n'est pas quelque chose qui me fait me camoufler, c'est une mélodie rapide qui m'empêche de crever comme un vieux rat mort, ou généralement d'empêcher quelqu'un de faire une bêtise.

Vous voulez que je mette quoi comme technique : "saute partout et agite les bras en criant 'pas moi ! pas moi !" ? non merci.

J'ai un concept je le défends jusqu'au bout. De plus, comme tous les sorts qui peuvent exister, il n'a pas un taux de réussite de 100%, suffit que le stress me fasse déraper et je manque la bonne note. Je n'ai plus de flûte sous la main : pas de sort, quand j'ai ma flute dans les mains, je ne peux rien faire d'autre, il vous faut quoi comme autre condition ? que je me fasse exploser la tête à la fin du sort ?

Toi tu peux animer un cadavre, balancer des couteaux sur un mec pour qu'il s'en prenne plein la tête, et je ne peux même pas avoir un misérable sort sans réel impact à part éviter la mort de mon personnage ? Là je ne comprends pas tout...

Je ne sais pas si l'amalgame a été fait : c'est bien une action qui est arrêtée, et non pas tout le personnage, ce qui permettrais a Txera de le tuer sans qu'il puisse se défendre. Non, c'est bien une action, par exemple une coup de hache latéral qui trancherais une poutre en deux peut être stoppé net, à ceci prêt que l'instant d'après, le personnage enemis retrouve sa liberté de mouvement.

Je suis franchement pas contre cette technique (puisque c'est ce qui semble coincer), mais elle ne me semble pas superman du tout. Après, dans l'éventualité ou Txera se retrouverait devant une chef de guerre niveau 6 et que lui même est niveau 2, peut-être qu'en effet la technique pourrait avoir un impact moindre comme un ralentissement de plusieurs secondes, mais ceci ne me concerne en rien

Bref, je crois (mais je suis loin d'être sur) qu'on fait un foin pour peu de choses !

Aller, a+ sous l'bus

Txera a écrit:

suffit que le stress me fasse déraper et je manque la bonne note

C'est ce qu'on te demande depuis le début. Quelque chose qui fait que ton sort peut rater. On ne veut aucunement te retirer ton sort ... juste le faire rentrer dans le reglement : avoir un point faible

Donc là, ca serait : Si l'action va trop vite, Txera n'a pas le temps de jouer et il prend l'attaque dans les dents par exemple.

Tu cherches absolument à défendre ton attaque mais on ne la remettait pas entierement en cause. Avant de t'attaquer à nous, regarde un peu ce qu'on te demande. Merci ...

Je ne voyais pas l'utilité de préciser des choses normales.

Et non, pas pour toutes les attaques, désolé, sinon il ne servirait à rien. En cas de stress, mon personnage ne va pas stresser 24/24.

- Contrordre : Mesure de quelques secondes. La cible interrompt immédiatement son action sauf si cela la met en danger ou si son esprit est suffisament puissant pour résister à la musique.
J'ai modifié la technique pour essayer de mettre toutes les parties d'accord.

Citation :

- Déclencher une émotion : Ce sort permet de créer de toutes pièces une émotion qui n'était pas présente auparavant dans l'esprit de sa cible. Il s'agira toujours d'une émotion basique et simple avec un but précis. Exemples : colère envers cet homme, jalousie envers un autre, sympathie envers quelqu'un.

Afin que tout le monde soit satisfait, je te propose de changer "permet de" par "peut". Cela introduit la possibilité que la technique puisse n'avoir aucun effet.

J'espère que cela mettra tout le monde d'accord et que Txera pourra enfin commencer son RP.

Txera a écrit:

Et non, pas pour toutes les attaques, désolé, sinon il ne servirait à rien. En cas de stress, mon personnage ne va pas stresser 24/24.

T'as lu ce que j'ai écris ? Si le mec qui t'attaque va trop vite, tu seras forcément sous pression pour jouer ta mélodie. J"'ai pas dit toutes les attaques.

Txera a écrit:

Toi tu peux animer un cadavre, balancer des couteaux sur un mec pour qu'il s'en prenne plein la tête, et je ne peux même pas avoir un misérable sort sans réel impact à part éviter la mort de mon personnage ? Là je ne comprends pas tout...

euh faut pas m'attaquer comme ça xD moi je suis completement d'accord avec ta techniques seulement les mdj sont pas d'accord donc j'essayait de trouver un compromis... mais bon... puisque je peu pas en caser une sans me retrouver la cible du debat

PS : pour info j'y peu rien d'avoir été un des premiers joueurs a venir sur ce forum et que depuis cette epoque, les selections des capacités etc... sont devenus beaucoup plus strictes !

J'ai édité, étant donné que les conditions de stress, rigueur, etc ne sont pas valables que pour Controdre mais pour tous mes sorts (bah vi, ils se jouent tous à la flûte).

Je pense que Txera attend toujours les MDJs

Ta fiche est enfin validée.

Tu as le niveau 1 en bonus.
N'oublie pas d'aller faire un tour au conclave des MDJs pour obtenir ton niveau 1.

Tu commences avec 40 or en bonus, ce qui te fait 140 or.

N'oublie par de remplir les champs descriptions physique et mentale de ta fiche.

Sur ce, bon RP.