[Gilgamesh] Telle une ombre...

Gilgamesh
Poste 1

Une ombre, un murmure dans les rues, une crainte comme une brise qui égaye les arbres, ce n’était pas le moment non, pas le moment de ce montré. Gilgamesh rôdait dans une ruelle comme la pale copie de ce que devait sensé être un humain. Déplaçant avec habilitée sa lourde carcasse parmi les décombres et les ordures, il fouinait, oui il fouinait pour sa survie. Ce n’était pas en mangeant des plats luxueux et en étant gâter tout les jours de sa vie que Gilgamesh avait survécu, non, il avait développé un cannibalisme aigu, la nourriture était rare dans les égouts et n’importe qui d’un peu imprudent n’avait sa place que dans l’estomac de quelques rats ou même pire.

Bien qu’il ait vécu 10 ans sous terre, il n’en perdait rien de son habilité légendaire a se repéré, vite et bien il s’orientait dans n’importe qu’elle environnement, ont peut alors se demandé pourquoi il n’a tout simplement pas interroger un nettoyeur ou un criminel dans les égouts pour en connaitre la sortit, la réponse et simple, quand la faim vous tirailles, elle prend le dessus sur la raison, raison au combien faible chez cet être qu’était l’orphelin de Port-Pergas. Mais maintenant qu’il était dehors, tout était plus claire, beaucoup plus claire et même un peu trop claire a son gout. Son but était simple même s’il devrait tuer ou même pire, il retrouverait les saccageurs de sa vie, et même s’il devait défier la police maritime pour sa, il les traquerait et les abattrait un a un. Il n’était pas passé par l’ombre et la solitude pour perdre maintenant. Sa volonté n’en était que plus forte et il en était bien plus que fier, Gilgamesh était de retour.

A ses pieds tachaient de vert, des rongeur le suivait, ils étaient sa deuxième famille, ceux qui l’avait recueillit. Il en saisit un par la queue et le fourra dans un pli de sa robe trouée. Le petit animal s’y lova et ce laissa bercer par les pas lourd de l’homme. Gilgamesh fouillait encore et il ne trouva rien, pas même un morceau de pain rassit ou un morceau de viande avarié a ce mettre sous la dent. Il caressa le petit rat et entama de lui parler.

« Radin, oui mon petit, radin ils sont tous…Pensent t’ils seulement a ceux qui vivent au dessous ? Non mon petit nom…Mais un jour nous prendrons le dessus, et ce jour la, ils pleureront. »

Comme pour le soutenir le rat couina légèrement et c’est alors que Gilgamesh trébucha et chuta sur le dos pour préserver la créature qui s’enfuit bien vite. Il se pencha et remarqua le morceau de bois caché sous les décombres, il s’en approcha et saisit un cafard qui grouillait, sans attendre il le mit en bouche et mordit sévèrement l’insecte, sentant le fluide et les petits organes se rependent dans sa bouche, un délice commun, mais un délice quand même !
Gilgamesh se releva et soudain il déboucha sur une place, évènement imprévu, le monde autour l’envahit comme une marée que l’ont ne peut stopper, il se retrouvait a la vue de tous et s’accroupit pour se cacher le visage, dans cette position ont dirait un mendiant et c’était sûrement la meilleurs de choses a faire en attendant la nuit.

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